Brax (Haute-Garonne)

Brax (en occitan Brats) est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Ne doit pas être confondu avec Bax.

Pour les articles homonymes, voir Brax.

Brax

Vue aérienne de Brax et de son château.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Toulouse Métropole
Maire
Mandat
Thierry Zanatta
2020-2026
Code postal 31490
Code commune 31088
Démographie
Gentilé Braxéens
Population
municipale
2 836 hab. (2018 )
Densité 642 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 36′ 53″ nord, 1° 14′ 24″ est
Altitude Min. 145 m
Max. 240 m
Superficie 4,42 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Toulouse-7
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Brax
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Brax
Géolocalisation sur la carte : France
Brax
Géolocalisation sur la carte : France
Brax
Liens
Site web Site officiel

    Ses habitants sont appelés les Braxéens.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Brax se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 16 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Léguevin (1,7 km), Pibrac (3,7 km), La Salvetat-Saint-Gilles (4,9 km), Lasserre (6,3 km), Pradère-les-Bourguets (6,6 km), Lévignac (6,8 km), Mérenvielle (6,8 km), Plaisance-du-Touch (7,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Brax fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].

    Brax est limitrophe de trois autres communes.

    Carte de la commune de Brax et de ses proches communes.
    Communes limitrophes de Brax[5]
    Pibrac
    Lasserre-Pradère
    Léguevin

    Hydrographie

    Brax s'étend entre deux cours d'eau : le Courbet et son affluent la Chauge, affluent et sous affluent de l'Aussonnelle.

    Transports

    Accès par la route nationale 124.

    Brax est desservie par la gare de Brax - Léguevin, d'où partent des TER Occitanie effectuant des liaisons entre Toulouse-Matabiau, L'Isle-Jourdain et Auch.

    La ligne 32 du réseau Tisséo permet de relier le château de la commune et le centre-ville à la gare de Colomiers, située sur la ligne C des trains urbains de Toulouse.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 700 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922[11] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[13], à 14,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[15].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[16] : la « forêt de Bouconne » (2 868 ha), couvrant 10 communes dont neuf dans la Haute-Garonne et une dans le Gers[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[16] : les « terrasses de Bouconne et du Courbet » (2 088 ha), couvrant 5 communes du département[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Brax est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[22] et 1 004 747 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (38,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (49,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,3 %), zones urbanisées (37,3 %), forêts (24,4 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Brax vient de braco (terre boueuse) en gaulois.

    Une commune de Lot-et Garonne porte le même nom.

    Histoire

    Brax fut autrefois un lieu fortifié dépendant du comté de L'Isle-Jourdain et jusqu'au XVIIe siècle eut pour seigneurs la noble famille des Montfort, et notamment Géraud de Montfort, juge royal et bailli d'Auterive, et Pierre de Montfort, conseiller au parlement de Toulouse en 1582. Les armes des Montfort se trouvent sous le porche de l'église moderne de Brax, très mutilées et provenant de l'ancienne église démolie au XIXe siècle (Ces armes se trouvent également sur l'une des clefs de voûte de l'église de Boulogne-sur-Gesse). Un Jean de Montfort fut capitoul de Toulouse en 1468, en 1483 et en 1484.

    Les revenus de Brax servaient de caution à Toulouse au sujet des servitudes que Toulouse possédait en forêt de Bouconne et que Brax y possède toujours.

    Les archives de la commune remontent à Françoise de Seysses, dame de Brax qui avait acheté le village à une autre dame, Marie Ducos, seigneuresse de Brax. On connaît un acte du parlement de Toulouse du à ce sujet. Cette dame devait épouser Jean de Polastron et on peut estimer que c'est aussi la date de la construction, sur le ruisseau de la Chauge, de ce château élégant avec ses hauts pignons et ses fenêtres mansardées qui fait l'orgueil du village actuel. La tour, le donjon et la chapelle ont disparu vers la Révolution. En 1628, le château appartenait à la famille de Pins qui devait, à nouveau, en hériter à la fin du XIXe siècle et le conserver jusqu'en 1939. C'est le comte de Pins-Montbrun qui était le maire de Brax avant, pendant et après la Grande Guerre de 1914-1918.

    Entre ces dates, le château avait appartenu aux familles de Polastron, Lahillère et de Hérisson. Le dernier des Hérisson possède une très belle pierre tombale dans l'église actuelle (bas-côté de droite). C'est à la fin du XVIIe siècle, à la suite d'un séisme, que fut érigée une statue du Christ, la face tournée vers l'Occident : monolithe de m de haut à base carrée développée ensuite en colonne octogonale, au bas de laquelle on lit la phrase suivante : « Le 21 de la Terre Trembla ».

    La première église a dû être consacrée vers 1511 par l'évêque de Pamiers (on le sait par un texte de l'évêque offrant une cloche à l'église). L'église fut inaugurée en 1865 par M. de Saint-Félix, curé dès 1848, qui consacra sa vie et sa fortune à cette édification et à celle du prieuré, pour lequel il légua 800 F de rente or perpétuelle pour son entretien et le maintien de l'enseignement gratuit dans le village. Son tombeau se trouve derrière le maître autel. Après 1901, on perd la trace de cette donation…

    Le château a été acheté en 1967 par l'Association des enfants invalides qui l'a aménagé en « Centre de rééducation de l'ouïe et de la parole ». On y éduque environ 90 sourds-muets ou malentendants.

    Les origines

    La fondation du village remonte très vraisemblablement aux environs du XIIe siècle, dans un environnement boisé et marécageux. Le lieu était situé à proximité de l'ancienne voie romaine qui allait de Toulouse à Auch.

    Brax est un vieux village blotti au pied du château comtal du XIVe siècle et de l'église du XIXe siècle dont la brique chatoie sous le soleil.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-trois[28],[29].

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie de la sixième circonscription de la Haute-Garonne, de Toulouse Métropole et du canton de Toulouse-7 (avant le redécoupage départemental de 2014, Brax faisait partie de l'ex-canton de Léguevin).

    Tendances politiques et résultats

    Les résultats dans la ville de Brax tendent à montrer un certain enclin pour la Gauche, que ce soit pour les Régionales, Présidentielles et Européennes.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1929 1961 Léon Gailhaguet    
    1961 1969 Marcel Cardonne    
    1969 1983 Georges Bastien    
    1983 1989 Robert Calsou    
    1989 2001 Bernard Cunnac PS  
    mars 2001 2014 Jean-Pierre Vergé PS  
    mars 2014 2020 François Lepineux DVG  
    2020 En cours Thierry Zanatta DVG  

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[30].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2018, la commune comptait 2 836 habitants[Note 8], en augmentation de 5,58 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    263230282373346325281316322
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    290307303290313300299301271
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    262259249222218188188197234
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    3074589021 2021 3582 0172 3672 5312 651
    2018 - - - - - - - -
    2 836--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[35] 1975[35] 1982[35] 1990[35] 1999[35] 2006[36] 2009[37] 2013[38]
    Rang de la commune dans le département 157 114 98 96 78 82 84 80
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    De 199 habitants à la fin de la Grande Guerre, il regroupe environ 1 000 habitants en 1974. Au dernier recensement de , Brax comptait 2 086 habitants.

    Économie

    L'économie de la commune est essentiellement basée sur l'agriculture.

    Enseignement

    Brax fait partie de l'académie de Toulouse.

    La commune de Brax possède une école maternelle et une école élémentaire.

    Culture

    Bibliothèque municipale, foyer rural,

    Activités sportives

    Brax accueille différents clubs, basket-ball, football, tennis, pétanque, judo ainsi que la Foulée Braxéenne...

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté urbaine de Toulouse Métropole et de l'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Brax
    Blason
    D’azur au château du lieu d’or essoré de gueules et soutenu de deux épis de blé d’or posés en chevron renversé.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Brax », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Brax et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Brax », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station météofrance Toulouse-Francazal - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Brax et Cugnaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Toulouse-Francazal - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Liste des ZNIEFF de la commune de Brax », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF la « forêt de Bouconne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF les « terrasses de Bouconne et du Courbet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Unité urbaine 2020 de Toulouse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    23. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    24. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    29. https://elections.interieur.gouv.fr/municipales-2020/031/031088.html
    30. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Brax, consultée le 26 octobre 2017
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    39. http://www.mairie-brax31.fr/fr/le-village-pratique/collecte-des-dechets.html
    40. « Château de Brax », notice no PA00094297, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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