Montaigut-sur-Save
Montaigut-sur-Save (Montagut de Sava en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Montaigut.
Montaigut-sur-Save | |||||
![]() La chapelle Notre-Dame-d'Alet. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Toulouse | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Hauts Tolosans | ||||
Maire Mandat |
François Codine 2020-2026 |
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Code postal | 31530 | ||||
Code commune | 31356 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montaigutois, Montaigutoises | ||||
Population municipale |
1 760 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 139 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 41′ 32″ nord, 1° 13′ 53″ est | ||||
Altitude | Min. 116 m Max. 194 m |
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Superficie | 12,65 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Léguevin | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Ses habitants sont appelés les Montaigutois.
Géographie
Localisation
La commune de Montaigut-sur-Save se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 20 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à 10 km de Léguevin[3], bureau centralisateur du canton de Léguevin dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Saint-Paul-sur-Save (0,9 km), Bretx (3,0 km), Daux (3,1 km), Menville (3,3 km), Lévignac (4,1 km), Mondonville (5,1 km), Larra (5,3 km), Thil (6,1 km).
Sur le plan historique et culturel, Montaigut-sur-Save fait partie du pays de Rivière-Verdun, un petit pays d'élection de l'est de la Gascogne sis à l'écart des grandes voies de communication. Ce territoire s'étage sur les terrasses de la rive gauche de la Garonne, entre la vallée de la Save et la Lomagne, et se prolonge plein est en Gascogne toulousaine[5].
Montaigut-sur-Save est limitrophe de sept autres communes.

Hydrographie
La commune est située sur la Save à sa confluence avec l'Arsène. La Save se jetant ensuite en aval dans la Garonne à Grenade.
Géologie
La superficie de la commune est de 1 265 hectares ; son altitude varie de 116 à 194 mètres[7].
Au point de vue géologique, la commune est située dans la vallée de la Save qui a formé une vaste plaine constituée par des dépôts alluviaux anciens de la moyenne terrasse de la Garonne. Ces formations ont été fortement entaillées lors de la mise en place de la rivière Save, couvrant l'espace entre le plateau alluvial de la Garonne et la vallée de la Save de formations colluvio-alluviales. L'érosion a été forte et par endroits le substratum molassique peut apparaitre, notamment dans le centre bourg.
Climat
Au point de vue climatique, la commune de Montaigut-sur-Save est, comme la région toulousaine, soumise à l'influence du climat océanique qui est dégradé par la continentalité. Les flux d'ouest dominent, donnant des hivers plutôt doux et humides mais des étés chauds et secs caractérisés par des orages violents. Les précipitations sont régulières tout au long de l'année, avec un maximum enregistré au printemps (d'avril à juin). Le vent d'autan se manifeste notablement sur le haut de la commune d'octobre à janvier.
- Moyenne température annuelle : 12,9 °C (hiver : 7,5 °C / été : 18 °C)
- Moyenne annuelle de jours de gel : 37 (?)
- Moyenne précipitations : 655 mm/an
- Durée moyenne d'ensoleillement : 2 047 h/an[8]
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[9] : la « forêt de Bouconne » (2 868 ha), couvrant 10 communes dont neuf dans la Haute-Garonne et une dans le Gers[10] et la « rivière de la Save en aval de Montaigut-sur-Save » (94 ha), couvrant 6 communes dont cinq dans la Haute-Garonne et une dans le Tarn-et-Garonne[11].
Urbanisme
Typologie
Montaigut-sur-Save est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[12],[13],[14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,6 %), forêts (32,9 %), zones agricoles hétérogènes (22,2 %), zones urbanisées (11,4 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Accès par la route nationale 224 en venant de Toulouse.
Par l'avion : aéroport de Toulouse-Blagnac.
La ligne 369 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse depuis Lasserre-Pradère, et la ligne 373 relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse également depuis Cadours.
Toponymie
Montaigut de Mons acutus mont aigu, le nom de la colline du village.
Histoire
La très ancienne présence humaine se signale tout d'abord par des vestiges préhistoriques découverts lors de travaux réalisés près de la forêt de Bouconne. Le principal site, le site Bichou à Montaigut a livré plus de 2500 objets et indices d'occupations préhistoriques correspondant à deux époques successives, l'Acheuléen (âge estimé d'environ 400 000 ans) et le Paléolithique moyen[18].
Récemment, on a également pu retrouver le site d'un village gaulois (vers Mondonville) et des traces de camps fortifiés romains (lieu-dit des Fourtous).
Au XIe siècle, l'histoire du laboureur Raymond, qui voit apparaître la Vierge dans son champ, est à l'origine de la construction de la chapelle Notre-Dame-d'Alet. Maintes fois détruite, elle a été à chaque fois rebâtie par les habitants de Montaigut qui lui ont toujours voué un culte indéfectible. Elle fut pendant des siècles un haut lieu de pèlerinage[19].
Entre le village et la chapelle, un antique manoir se dressait à mi-coteau. Il fut remplacé après la guerre de Cent Ans par le château de Montaigut, flanqué de quatre grosses tours dominant toute la plaine de la Save. De puissants seigneurs habitèrent pendant des siècles cette demeure princière (familles de Faudoas, Le Masuyer, de Tournier), fournissant au Parlement de Toulouse quelques membres illustres. Le château, complètement démoli à la Révolution française, a pu cependant être localisé par hasard grâce à des travaux de terrassement qui ont découvert ses fondations. Un dessin du château est conservé aux archives départementales[20].
En 1940 ou 1941, un site allemand d'entrainement de la Luftwaffe (aviation allemande) est construit à Montaigut. De nombreux tirs sont entendus par la population, signe des entraînements intensifs. Par trois reprises, des avions se sont même crashés, causant une seule fois la mort du pilote allemand[21].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de dix-neuf[22],[23].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Hauts Tolosans et du canton de Léguevin (avant le redécoupage départemental de 2014, Montaigut-sur-Save faisait partie de l'ex-canton de Grenade) et avant le de la communauté de communes de Save et Garonne.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].
En 2018, la commune comptait 1 760 habitants[Note 5], en augmentation de 10,55 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[28] | 1975[28] | 1982[28] | 1990[28] | 1999[28] | 2006[29] | 2009[30] | 2013[31] |
Rang de la commune dans le département | 154 | 161 | 160 | 125 | 120 | 117 | 120 | 123 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Montaigut profite du dynamisme de la banlieue ouest de la métropole régionale et connait un fort développement depuis une vingtaine d'années.
En 30 ans (1968-1999), la population a été multipliée par trois. La commune s'inscrit donc dans la dynamique démographique des communes périurbaines de la métropole toulousaine. Le taux de croissance démographique annuel est important (de l'ordre de 2,38 % sur la période 1990-1999).
Économie
L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé ...) tient encore une place importante mais tendent à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine puisque étant dans son aire urbaine.
Enseignement
Montaigut-sur-Save fait partie de l'académie de Toulouse.
La commune dispose d'une école maternelle et d'une école primaire publique[32], ainsi qu'une bibliothèque.
Sports
Pétanque, football, cyclotourisme ou rugby à XV[33].
Le club de rugby XV de la Save est champion de France 3eme serie en 2018 face au RC Routier(12). Rencontre se déroulant sur le terrain de Graulhet (81)
Culture, fête
La fête locale a lieu traditionnellement tous les premiers week-ends de septembre, bibliothèque municipale, salle des fêtes, base de loisirs,
En 2007, Lors de l'enquête "Où vit-on le mieux dans le grand Toulouse, réalisée tous les deux ans par le quotidien régional "La Dépêche du Midi", la commune de Montaigut-sur-Save a été distinguée en remportant le trophée dans le domaine "Animation, culture et loisirs".
Écologie et recyclage
En 2009, la commune de Montaigut-sur-Save s'est à nouveau distinguée en remportant cette fois le trophée « environnement ».
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de Save et Garonne[35].
Culture locale et patrimoine
Chapelle Notre-Dame-d'Alet
La chapelle Notre-Dame-d'Alet est classée Monument historique depuis 1988[36].
La dévotion à Notre-Dame d’Alet se développa au XIIe siècle à la suite d'une apparition de la Vierge à un laboureur nommé Raymond. La première chapelle vit le passage de saint Dominique en 1213. Elle fut détruite au cours des guerres de religion puis reconstruite en 1673. De toute la région, les pèlerins arrivaient en nombre, on dut alors agrandir le sanctuaire avec une chapellenie et un cloître. De cette époque datent les remarquables retables baroques du maître-autel et des chapelles secondaires. À la Révolution, le comité révolutionnaire décida de détruire la chapelle mais les habitants du village s’y opposèrent. Elle fut restaurée au XIXe siècle avec l’ajout du porche d’entrée. La nef fut alors ornée d’un plafond à caissons, d’une chaire et d’un ensemble de vitraux de l’atelier Gesta. En outre, la chapelle possède deux Vierges de Pitié de qualité, l’une de pierre du XVIe siècle de style bourguignon et l’autre de terre cuite réalisée au XVIIe siècle par Étienne Dugast. Cette dernière était placée à l’origine sur le toit de la chapelle, une copie l’y a remplacée depuis 1996[37].
Église Saint-Pierre
Le chœur et une grande partie de la nef sont les parties les plus anciennes de l’église Saint-Pierre, ils datent probablement des XIVe et XVe siècles. La nef unique est encadrée de trois chapelles ajoutées aux XVIIe et XVIIIe siècles. Le XIXe siècle fut une période de travaux importants. Le couvrement fut alors refait en utilisant les chevrons de la charpente d’origine. En 1835 on construisit le clocher mur qui est épaulé de quatre puissants contreforts. Sur les deux grosses cloches avec joug de bois est inscrite la date 1835. Puis l’horloge fut installée en 1888, son cadre fut changé en 1956. À la fin du XIXe siècle on réalisa le décor peint de l’église, un décor de style néogothique alors à la mode. À la même époque furent ajoutées les marches et la porte d’entrée du côté Sud. Le couvrement et le clocher ont fait l’objet d’une importante restauration achevée en 2013.
- Façade
- Depuis la route de Saint-Paul-sur-Save
- Avec la mairie
Château de Montaigut
Le château de Montaigut, aujourd'hui disparu, fut construit après la Guerre de Cent Ans sur les pentes abruptes située au-dessus du village. Après être passé de main en main dans de grandes familles, son histoire se termine avec sa destruction en 1795, au cours de la Révolution.
Forêt de Bouconne
La forêt de Bouconne, seul grand massif forestier proche de Toulouse, couvre avec 2 378 ha dont 373 ha sur Montaigut, soit un tiers du territoire communal. Une base de loisirs y est implantée avec une piscine, des courts de tennis, un minigolf, etc. La forêt est aménagée pour recevoir les randonneurs, sportifs, pêcheurs, chasseurs et amoureux de nature. La base de loisirs est le départ de sentiers balisés de randonnées pédestres, dont le Chemin de Compostelle GR 653, VTT et équestres.
Personnalités liées à la commune
- Honoré Serres décédé sur la commune le .
- Julien Salamon est né le à Caragoude. Après des études de médecine à Paris (pendant lesquelles il réalise de remarquables reproductions de tableaux du Louvre), il devient un des premiers spécialistes accoucheurs de Toulouse (il n'y avait alors que des sages-femmes), ce qui lui permet de gagner rapidement une forte notoriété. Ayant fait construire en 1875 à Montaigut-sur-Save un relais de chasse : la villa d'Alet, il devient maire de la commune entre 1877 et 1883 et fait voter la création de l'école. Julien Salamon venait plusieurs fois par an en calèche à Montaigut pour assurer ses fonctions de maire. Il fut attaqué par des brigands dans le virage du chemin de Mondonville. Grâce aux deux pistolets qu'il portait sur lui, il put continuer son chemin et arriver vivant mais blessé à Montaigut. Sa petite-fille Marie-Louise Betbèze, épousa Gérard Rouvière qui fut à son tour maire de Montaigut entre 1929 et 1935.
- Léon Achiary : né le au pays basque, à Esquiule (Basses-Pyrénées), fils de cheminot, Léon Achiary fait ses études à Rodez, puis à l'école indigène de la Bouzanéa, et devient instituteur. Il entre avec sa femme Henriette en résistance dans le réseau Brutus à Toulouse, organisé autour de Raymond Naves (sous le pseudonyme de Louis Arnal). Naves crée le Journal clandestin « Le Populaire du Sud Ouest », imprimé chez les Frères Lion. Léon Achiary, alors responsable de la Mutualité rue de Metz, (dénommée « la Centrale ») met à disposition ses locaux pour se réunir et entreposer les journaux clandestins .En , repéré et traqué par la Gestapo, le couple Achiary se réfugie à Lyon, puis à Paris. Mais, en , la Gestapo les retrouve. Léon Achiary a le temps de s'enfuir, mais pas Henriette, qui est arrêtée. Elle meurt en déportation le à Ravensbrück (Allemagne).
Léon Achiary terminera sa carrière comme directeur de l'école de teinturerie d'Alger. Il prend sa retraite dans la région toulousaine à Montaigut-sur-Save, au lieu-dit du Courbet. Il laisse le souvenir à ses voisins d'un homme discret et affable. Il s'éteint le , ses cendres reposent au columbarium de Cornebarrieu[38].
- Sœur Emmanuelle, vient en 1995 à Montaigut faire un séjour à Notre-Dame-d’Alet, hébergée par la gardienne des lieux, sœur Jacqueline Mercier des Rochettes, de la même congrégation des sœurs de Sion. Elle laissera un souvenir ému aux enfants du village qui la rencontrent et suivent partout ses baskets fluos.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Site de l'Office de Tourisme Save et Garonne
- Page de Montaigut sur le site de la Communauté de Communes Save et Garonne
- Syndicat mixte de la forêt de Bouconne
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Montaigut-sur-Save », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Montaigut-sur-Save et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Montaigut-sur-Save et Léguevin », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Montaigut-sur-Save », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 364-365.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Météo France
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Montaigut-sur-Save », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « forêt de Bouconne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « rivière de la Save en aval de Montaigut-sur-Save » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- http://www.montaigut-sur-save.com/wp-content/uploads/2013/10/Les-premiers-habitants-de-Montaigut-de-lointains-cousins....pdf
- http://www.montaigut-sur-save.com/wp-content/uploads/2013/11/historique-ND-dAlet.pdf
- http://www.montaigut-sur-save.com/wp-content/uploads/2013/10/Le-ch%C3%A2teau-de-Montaigut.pdf
- « Petites histoires d'avions ».
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections sénatoriales 2020 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Senatoriales/elecresult__senatoriales-2020 (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- site de l'école primaire Montaigut-sur-Save
- « Loisirs, associations - Mairie de Montaigut-sur-Save », sur Mairie de Montaigut-sur-Save (consulté le ).
- « Le Centre Communal d’Action Sociale - Mairie de Montaigut-sur-Save », sur Mairie de Montaigut-sur-Save (consulté le ).
- http://www.cc-saveetgaronne.fr/collecte/montaigut
- « Chapelle Notre-Dame d'Alet », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- La dévotion à Notre Dame d’Alet, Toulouse, 1863, Editions E.Connac, Delpon et Cie.
- http://www.memoresist.org/spip.php?page=oublionspas_detail&id.Site web de Force Ouvrière (FO-Raymond Naves)Récit publié « Eglantine et Vert-de-Gris 1940-1944" d' Henri Docquiert
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