Erquinvillers

Erquinvillers est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Erquinvillois et les Erquinvilloises.

Erquinvillers

Mairie et église d'Erquinvillers.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plaeau Picard
Maire
Mandat
Jean-Michel Hoedt
2020-2026
Code postal 60130
Code commune 60216
Démographie
Gentilé Erquinvillois, Erquinvilloises
Population
municipale
184 hab. (2018 )
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 27′ 33″ nord, 2° 28′ 44″ est
Altitude Min. 102 m
Max. 137 m
Superficie 3,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Erquinvillers
Géolocalisation sur la carte : Oise
Erquinvillers
Géolocalisation sur la carte : France
Erquinvillers
Géolocalisation sur la carte : France
Erquinvillers

    Géographie

    Localisation

    Communes limitrophes

    Erquinvillers est situé à 67 km au nord de Paris, 29 km à l'est de Beauvais, 26 km à l'ouest de Compiègne et à 50 km au sud d'Amiens[1].

    Communes limitrophes d’Erquinvillers
    Lieuvillers
    Pronleroy
    Cuignières Noroy

    Topographie et géologie

    Le territoire s'étend entre 102 mètres au fond de la vallée Viverot pour culminer à 137 mètres au-dessus du niveau de la mer au nord-ouest, à la limite communale avec Lieuvillers. Le village est construit entre 120 et 130 mètres d'altitude, l'église et la mairie à 130 mètres. Le terroir, situé sur le plateau picard, est entaillé de plusieurs vallées sèches. Au sud, la vallée madame, se dirige vers le bassin versant de la Béronnelle tandis qu'à l'est la vallée Viverot, est comprise dans le bassin versant de l'Aronde[2]. La commune se trouve en zone de sismicité 1, très faiblement exposée aux séismes[3].

    Hydrographie

    Il n'a aucune présence de cours d'eau sur le territoire de la commune. Une mare se situe au nord du village sur la chaussée Brunehaut. Erquinvillers se trouve aux limites des bassins versants de l'Arré, de la Béronnelle par la vallée madame et de l'Aronde par la vallée Viverot[2]. Les zones les moins élevées du territoire, dans le fond du vallée Madame, sont situées au-dessus de plusieurs nappes phréatiques sous-affleurantes[4].

    Voies de communications et transports

    La commune d'Erquinvillers est desservie par trois routes départementales : la D 101, la D 127 et la D 557. La route départementale 101, reliant Bulles à Estrées-Saint-Denis, traverse le territoire depuis le nord-ouest d'où l'on peut atteindre Saint-Remy-en-l'Eau et Saint-Just-en-Chaussée par la route départementale 916; au sud-est où l'on peut rejoindre la commune voisine de Noroy. Elle passe à l'ouest du village par la rue des Vignes-Obry. La route départementale 127, de Fitz-James à Montiers, arrive depuis Cuignières et Avrechy par la D 570 en traversant le chef-lieu par les rues des Tirailleurs-Sénégalais et de Montdidier. Elle croise la D 101 puis se dirige vers Lieuvillers. À l'est, la route départementale 557 se sépare de la D 127 à l'entrée de Lieuvillers pour rejoindre la commune de Noroy, sans passer par le village. La chaussée Brunehaut est aménagée en route communale depuis la mairie jusqu'à la D 101, au nord-ouest[2].

    Les gares SNCF les plus proches sont celles d'Avrechy et de Saint-Remy-en-l'Eau à moins de 4 kilomètres à l'ouest. La gare de Saint-Just-en-Chaussée, mieux desservie, se trouve à 6,3 km au nord-ouest[1]. Ces gares sont toutes situées sur la ligne de Paris-Nord à Lille.

    La commune est desservie par le réseau ATRIOM du Compiégnois du conseil général de l'Oise par plusieurs lignes de transports scolaires vers le collège Louise-Michel de Saint-Just-en-Chaussée ainsi que vers les établissements scolaires de l'agglomération de Clermont[5]. La commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des huit points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[6]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal relie le village au groupe scolaire de Lieuvillers avec les communes d'Angivillers et de Cuignières[7].

    L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 26 km à l'ouest et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 51 km au sud-est[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 697 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[14] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 27 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[18] à 10,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels

    Hormis les espaces bâtis, qui s'étendent sur 11 hectares (3,1 % de la surface communale), le territoire est composé en 2016 à 95,8 % de cultures sur 360 hectares. Le seul espace boisé visible est le bois d'Erquinvillers, à la limite méridionale de la commune, qui occupe 3,7 hectares. Les vergers et prairies ne comprennent que 57 ares[21],[2].

    Oiseaux

    Dans les années 2010, on recense 25 espèces d'oiseaux[22],[23] :

    Nom de l'espèceStatut de conservationNiveau de présence sur le territoire communalAnnées d'observationProtection Patrimoine
    Bruant jaunePréoccupation mineureTrès commun2004Oui Non
    Busard Saint-Martin Quasi menacé Peu commun 1997 à 2015 Oui Oui
    Buse variablePréoccupation mineureCommune2003 à 2012Oui Non
    Corneille noirePréoccupation mineureTrès commune2012 à 2017Non Non
    Effraie des clochers Données insuffisantes Assez commun 2017
    Étourneau sansonnet Préoccupation mineure Très commun 2017
    Faucon crécerellePréoccupation mineureCommun2000 à 2015Oui Non
    Faucon émerillon Non évalué 1997 à 2013
    Goéland argenté Préoccupation mineure 2005 Oui Oui
    Goéland brun Vulnérable Très rare 2005 Oui Oui
    Grive musiciennePréoccupation mineureTrès commune2012Non Non
    Hirondelle rustiquePréoccupation mineureTrès commune2012 à 2017Oui Non
    Merle noirPréoccupation mineureTrès commun2012 à 2017Non Non
    Mésange charbonnière Préoccupation mineure Très commune 2017
    Mésange nonnettePréoccupation mineureCommune2013Oui Non
    Moineau domestique Préoccupation mineure Très commun 2017
    Moineau friquet Vulnérable Assez commun 2004 Oui Oui
    Perdrix grisePréoccupation mineureTrès commun2002Non Non
    Perdrix rougeNon applicablePeu commune1995Non Non
    Pigeon ramierPréoccupation mineureTrès commun2011 à 2017Non Non
    Pinson des arbresPréoccupation mineureTrès commun2004 à 2017Oui Non
    Rouge-gorge familier Préoccupation mineure Très commun 2017
    Troglodyte mignon Préoccupation mineure Très commun 2017
    Tourterelle turquePréoccupation mineureTrès commune2011 à 2017Non Non
    Vanneau huppé Vulnérable Peu commun 2004 Non Oui
    Verdier d'Europe Préoccupation mineure Très commun 2017

    Mammifères

    On recense une espèce de mammifère[22],[23] :

    Nom de l'espèceStatut de conservationNiveau de présence sur le territoire communalAnnées d'observationProtection Patrimoine
    Lepus capensisPréoccupation mineureCommun2000 à 2013Non Non

    Arachnides

    On recense deux espèces d'arachnides en 2017[23] :

    Nom de l'espèce Année d'observation
    Épeire diadème 2017
    Mangore petite-bouteille 2017

    Amphibiens

    On recense en 2017 une espèce d'amphibien[23] :

    Nom de l'espèce Statut de conservation Niveau de présence sur le territoire communal Année d'observation
    Alyte accoucheur Préoccupation mineure Assez commun 2017

    Insectes

    En 2017, on recense 23 espèces d'insectes[23] :

    Nom de l'espèce Statut de conservation Niveau de présence sur le territoire communal Année d'observation
    Rhopalapion longirostre 2017
    Démétrias à poils bruns 2017
    Coccinelle à 10 points (en) 2017
    Coccinelle à deux points 2017
    Coccinelle asiatique 2017
    Coccinelle à virgules 2017
    Coccinelle de l'épicéa 2017
    Coccinelle des friches 2017
    Coccinelle des landes 2017
    Entomobrya nivalis 2017
    Orchesella cincta 2017
    Perce-oreille commun 2017
    Cyphostethus tristriatus 2017
    Corée marginée 2017
    Rhyparochromus vulgaris 2017
    Liocoris tripustulatus 2017
    Punaise nébuleuse 2017
    Gendarme 2017
    Stictopleurus abutilon 2017
    Abeille à miel 2017
    Frelon européen 2017
    Paon du jour Préoccupation mineure Très commun 2017
    Aurore Préoccupation mineure Commun 2017

    Urbanisme

    Typologie

    Erquinvillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[25],[26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[27],[28].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (99,9 %), zones urbanisées (0,1 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[30].

    Hameaux et lieux-dits

    Le seul espace bâti est constitué par le chef-lieu, la commune ne possède pas de hameaux[2].

    Morphologie urbaine

    Erquinvillers est composé de sept rues et de quelques chemins :

    • Rue de Montdidier
    • Chaussée Brunehaut
    • Rue du Tour-de-Ville
    • Rue des Tirailleurs-Sénégalais
    • Rue des Vignes-Obry
    • Partie de la D 101
    • Partie de la D 557

    Toponymie

    Erquinvillers vient d'Erkinviller en 1205[31],[32] puis de Herquinvilers en 1235[32]. La commune s'est nommée Arquinvilliers et Erquinvilliers autrefois[33].

    Erquinvillers est composé du préfixe Erchana (nom féminin) et du suffixe villare (nom signifiant écart ou ferme)[31],[32].

    Histoire

    Au Moyen Âge, le village était une dépendance de Cuignières, puis de 1825[34] ou 1826[35] à 1835[34],[35].

    Seconde Guerre mondiale

    Des combats de chars ont eu lieu dans les environs du village en juin 1940. Les 9 et 10 juin, lors de la deuxième phase de la Bataille de France, des soldats allemands, appartenant probablement à la 9e division d'infanterie allemande, massacrèrent à Erquinvillers une cinquantaine de tirailleurs sénégalais prisonniers appartenant aux 16e et 24e régiments de tirailleurs sénégalais[36]. Au total, aux alentours d'Erquinvillers, ce sont environ 100 à 600 tirailleurs sénégalais qui furent massacrés. Un médecin français avec l'aide d'un soldat allemand évite le massacre de douze tirailleurs sénégalais abrités dans une cave[37].

    XXIe siècle

    Depuis fin 2017, le village possède une nouvelle mairie aménagée dans l'ancienne école[38].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Saint-Just-en-Chaussée[39]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    La commune est rattachée au conseil de prud'hommes de Beauvais, à la cour administrative d'appel de Douai, à la cour d'appel d'Amiens, à la cour d'assises de l'Oise, au tribunal administratif d'Amiens, au tribunal d'instance de Beauvais, au tribunal de commerce de Beauvais, au tribunal de grande instance de Beauvais, au tribunal des affaires de sécurité sociale de l'Oise, au tribunal des affaires de sécurité sociale de la Somme, au tribunal des affaires de sécurité sociale de l'Aisne, au tribunal paritaire des baux ruraux de Beauvais et au tribunal pour enfants de Beauvais[40].

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Just-en-Chaussée

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription législative de l'Oise.

    Erquinvillers est membre de la communauté de communes du Plateau Picard, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999.

    Tendances politiques et résultats

    En 1992, lors du référendum sur le traité de Maastricht, le "Oui" l'emporte avec 50,59 % des suffrages exprimés contre 49,41 % pour le "Non"[41].

    Lors du premier tour des élections législatives de 1993, Olivier Dassault (RPR) arrive en tête avec 43,75 % des votes exprimés, suivi par Yves Rome (PS) avec 25 %, Katherine d'Herbais (FN) avec 12,5 %, Thierry Aury (PCF) avec 10 % et Madeleine de Chaumont (DIV) avec 5 %. Les autres candidats ont fait moins de 5 %[42].

    Lors du premier tour de l'élection présidentielle de 1995, Lionel Jospin (PS) arrive en tête avec 26,92 %, suivi par Jacques Chirac (RPR) avec 21,15 %, Jean-Marie Le Pen (FN) avec 16,35 %, Robert Hue (PCF) avec 14,42 % et Édouard Balladur (RPR) avec 12,5 %. Les autres candidats ont fait moins de 5 %. Au second tour, Lionel Jospin reste en tête avec 50,5 % devant Jacques Chirac qui obtient 49,5 %[43].

    Lors du premier tour des élections législatives de 1997, Yves Rome (PS) arrive en tête avec 40 %, suivi par Laurent Isore (FN) avec 21,11 %, Olivier Dassault (RPR) avec 20 % et Thierry Aury (PCF) avec 10 %. Les autres candidats ont fait moins de 5 %. Au second tour, Yves Rome arrive en tête avec 47,87 %, suivi par Olivier Dassault avec 36,17 % et Laurent Isore avec 15,96 %[44].

    En 2000, lors du référendum sur le quinquennat présidentiel, le "Oui" l'emporte avec 57,5 % des suffrages exprimés contre 42,5 % pour le "Non"[45].

    Lors du premier tour de l'élection présidentielle de 2002, Jean-Marie Le Pen (FN) arrive en tête avec 28 %, suivi par Lionel Jospin (PS) avec 17 %, Jacques Chirac (RPR) avec 16 %, Jean Saint-Josse (CPNT) avec 8 %, Jean-Pierre Chevènement (MDC) avec 6 % et Bruno Mégret (MNR) et Olivier Besancenot (LCR) tous deux à 5 %. Les autres candidats ont fait moins de 5 %. Au second tour, Jacques Chirac arrive en tête avec 68,04 % contre Jean-Marie Le Pen qui fait 31,96 %[46].

    Lors du premier tour des élections législatives de 2002, Olivier Dassault (UMP) arrive en tête ex æquo avec Yves Rome (PS) avec 27,59 %, suivi par Thomas Joly (FN) avec 21,84 %, Caroline Cayeux (DVD) et Sébastien Rins (DVD) tous deux avec 5,75%. Les autres candidats ont fait moins de 5 %. Au second tour, Olivier Dassault arrive en tête avec 50,62 % contre Yves Rome qui fait 49,38 %[47].

    Lors du premier tour des élections cantonales de 2004, Jean-Pierre Braine (DVG) arrive en tête avec 37,21 %, suivie par Bernard Burel (FN) avec 26,74 %, Frans Desmedt (UMP) avec 23,26 %, Jean-Jacques Pik (PCF) avec 6,98 % et Daniel Remond (EXG) avec 5,81 %. Au second tour, Jean-Pierre Braine reste en tête avec 43,18 %, suivi cette fois par Frans Desmedt avec 32,65 % puis par Bernard Burel avec 23,86 %[48].

    Lors du premier tour des élections régionales de 2004, la liste FN arrive en tête avec 32,56 %, suivie par la liste de gauche conduite par Claude Gewerc avec 27,91 %, la liste de droite conduite par Gilles de Robien avec 19,77 %, la liste d'extrême gauche avec 12,79 % et l'autre liste de gauche conduite par Maxime Gremetz avec 6,98 %. Au second tour, la liste de Claude Gewerc arrive en tête avec 39,77 %, suivi par la liste FN avec 32,95 % et la liste de Gilles de Robien avec 27,27 %[49].

    Lors des élections européennes de 2004, la liste PS arrive en tête avec 32,14 %, suivie par la liste FN avec 28,57 %, la liste UMP avec 8,93 %, la liste UDF avec 7,14 % et les listes CPNT et LO/LCR toutes deux à 5,36 %. Les autres listes ont fait moins de 5 %[50].

    En 2005, lors du référendum sur le traité établissant une constitution pour l'Europe, le "Non" l'emporte avec 80,81 % des suffrages exprimés contre 19,19 % pour le "Oui"[51].

    Lors du premier tour de l'élection présidentielle de 2007, Nicolas Sarkory (UMP) arrive en tête avec 26,21 %, suivi par Jean-Marie Le Pen (FN) avec 23,30 %, Ségolène Royal (PS) avec 21,36 % et François Bayrou (UDF) avec 11,65 %. Les autres candidats ont fait moins de 5 %. Au second tour, Nicolas Sarkozy arrive en tête avec 57,69 % contre Ségolène Royal qui fait 42,31 %[52].

    Lors du premier des élections législatives de 2007, Olivier Dassault (UMP) est de nouveau en tête avec 45,45 %, suivi par Yves Rome (PS) avec 29,87 %, Thomas Joly (FN) avec 9,09 % et Thierry Aury (PCF) avec 5,19 %. Les autres candidats ont fait moins de 5 %. Au second tour, Olivier Dassault reste en tête avec 55,41 % contre Yves Rome qui fait 44,59 %[53].

    Lors des élections municipales de 2008, 11 candidats sont en lice. Ils sont tous élus dès le premier tour[54].

    Lors des élections européennes de 2009, la liste PS arrive de nouveau en tête avec 20 %, suivie par la liste FN avec 16,92 %, la liste des Verts avec 13,85 %, la liste UMP avec 12,31 %, la liste DVD conduite par Frédéric Nihous avec 9,23 % et la liste AEI avec 6,15 %. Les autres listes ont fait moins de 5 %[55].

    Lors du premier tour des élections régionales de 2010, la liste PS arrive en tête avec 25,33 %, suivie par les listes UMP et FN toutes deux à 16 %, les listes EELV et EXD toutes deux à 14,67 % et la liste centriste avec 5,33 %. Les autres listes ont fait moins de 5 %. Au second tour, la liste PS reste première avec 44,58 %, suivi par la liste FN avec 30,12 et la liste UMP avec 25,30 %[56].

    Lors du premier tour des élections cantonales de 2011, Frans Desmedt (UMP) arrive en tête avec 39,13 %, suivie par Michel Goes (PS) et Bernard Duchemin (FN) tous deux à 24,64 % et Gérard Quesnel (PCF) avec 11,59 %. Au second tour, Frans Desmedt arrive premier avec 54,55 % contre Michel Goes qui fait 45,45 %[57].

    Lors du premier tour de l'élection présidentielle de 2012, François Hollande (PS) arrive en tête avec 30,97 %, suivi par Nicolas Sarkozy (UMP) avec 24,78 %, Marine Le Pen (FN) avec 20,35 % et François Bayrou (UDF) avec 7,08 %. Les autres candidats ont fait moins de 5 %. Au second tour, Nicolas Sarkozy arrive en tête avec 56,31 % contre François Hollande qui réalise 43,69 %[58].

    Lors du premier tour des élections législatives de 2012, Olivier Dassault (UMP) arrive en tête avec 46,99 %, suivi par Béatrice Lejeune (PS) avec 31,33 % et Sandrine Leroy (FN) avec 18,07 %. Les autres candidats ont fait moins de 5 %. Au second tour, Olivier Dassault obtient 56,98 % face à Béatrice Lejeune qui en obtient 43,02 %[59].

    Lors des élections municipales de 2014, 11 candidats sont en lice. Ils sont tous élus dès le premier tour[60].

    Lors des élections européennes de 2014, la liste FN arrive en tête avec 38,57 %, suivie par la liste UMP avec 22,86 %, la liste PS avec 17,14 % et les listes EELV et DLF toutes deux à 7,14 %. Les autres listes ont fait moins de 5 %[61].

    Lors du premier tour des élections départementales de 2015, le binôme FN arrive en tête avec 40,7 %, suivie par le binôme UMP avec 32,56 %, le binôme PS avec 16,28 % et le binôme DVG avec 10,47 %. L'autre binôme a fait moins de 5 %. Au second tour, le binôme UMP arrive en tête avec 56,45 % devant le binôme FN qui fait 43,55 %[62].

    Lors du premier tour des élections régionales de 2015, la liste FN arrive en tête avec 40,7 %, suivie par les listes LR et PS toutes deux à 22,09 %. Les autres listes ont fait moins de 5 %. Au second tour, la liste FN arrive en tête avec 51,16 %, devançant la liste LR qui obtient 48,84 %[63].

    Lors du premier tour de la l'élection présidentielle de 2017, Marine Le Pen (FN) arrive en tête avec 35,25 %, suivi par Jean-Luc Mélenchon (LFI) avec 22,95 %, François Fillon (LR) avec 16,39 % et Emmanuel Macron (EM!) avec 15,57 %. Les autres candidats ont fait moins de 5 %. Au second tour, Marine Le Pen arrive en tête avec 56,84 % contre Emmanuel Macron qui obtient 43,16 %[64].

    Lors du premier tour des élections législatives de 2017, Olivier Dassault (LR) arrive en tête avec 30,38 %, suivi par Denis Flour (LREM) avec 22,78 %, Claire Marais-Beuil (FN) avec 18,99 % et Fabien Naves (LFI) avec 16,46 %. Les autres candidats ont fait moins de 5 %. Au second tour, Olivier Dassault arrive en tête avec 63,79 % contre Denis Flour qui obtient 36,21 %[65].

    Lors des élections européennes de 2019, la liste Prenez le pouvoir (RN) arrive en tête avec 34,67 %, suivie par la liste Europe Écologie (EELV) avec 13,33 %, la liste La France insoumise (LFI) avec 10,67 %, la liste Renaissance (LREM/MoDem) avec 8,00 %, les listes Envie d'Europe (PS/PP/ND) et Union de la droite et du centre (LR) toutes deux à 6,67 % et la liste Ensemble Patriotes et Gilets Jaunes (LP) avec 5,33 %. Les autres listes ont fait moins de 5 %[66].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[67]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1800 1801 Pierre Bailly    
    1801 1804 Étienne Bailly    
    1804 1826 Pierre Juste Bailly    
    1826   Philippe Heu    
    avant 1836 1866 Claude Coutellier   Cultivateur
    1866 1871 Emile Dumont   Cultivateur
    1871 1893 Alphonse Dumont   Cultivateur
    1893   Joseph Decaye    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mai 2020 Bruno Levesque[68] DVD[69] Agriculteur
    mai 2020[70] En cours
    (au 3 juin 2020)
    Jean-Michel Hoedt    

    Distinctions et labels

    En 2019, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[71].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[72]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[73].

    En 2018, la commune comptait 184 habitants[Note 7], en augmentation de 6,98 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    135128125112122113120115107
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1041061081091161151018890
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    90689189838387114115
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    131137147154161161161175183
    2018 - - - - - - - -
    184--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[74].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (10,6 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,4 %) est supérieur au taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 46,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 17,3 %, 15 à 29 ans = 22,7 %, 30 à 44 ans = 32 %, 45 à 59 ans = 20 %, plus de 60 ans = 8 %) ;
    • 53,4 % de femmes (0 à 14 ans = 24,4 %, 15 à 29 ans = 23,3 %, 30 à 44 ans = 20,9 %, 45 à 59 ans = 18,6 %, plus de 60 ans = 12,8 %).
    Pyramide des âges à Erquinvillers en 2007 en pourcentage[75]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,0 
    2,7 
    75 à 89 ans
    4,7 
    5,3 
    60 à 74 ans
    8,1 
    20,0 
    45 à 59 ans
    18,6 
    32,0 
    30 à 44 ans
    20,9 
    22,7 
    15 à 29 ans
    23,3 
    17,3 
    0 à 14 ans
    24,4 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[76]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Sainte-Madeleine.
    • Calvaire, aux carrefour de la D 101 et de la D 127.
    • Autrefois, il y avait un moulin à vent[réf. nécessaire].
    • Lieux de mémoire de la Seconde Guerre mondiale

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

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    Voir aussi

    Article connexe

    Lien externe

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