Montiers

Montiers est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Montiers-sur-Saulx et Montiers-en-Argonne.

Montiers

Église Saint-Sulpice.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau Picard
Maire
Mandat
Xavier Deneufbourg
2020-2026
Code postal 60190
Code commune 60418
Démographie
Gentilé Montièrois, Montièroises
Population
municipale
418 hab. (2018 )
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 05″ nord, 2° 34′ 43″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 131 m
Superficie 7,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Montiers
Géolocalisation sur la carte : Oise
Montiers
Géolocalisation sur la carte : France
Montiers
Géolocalisation sur la carte : France
Montiers
Liens
Site web http://www.mairie-montiers.fr/

    Ses habitants sont appelés les Montièrois et les Montièroises.

    Géographie

    Localisation

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 661 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Godenvillers », sur la commune de Godenvillers, mise en service en 1937[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Montiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,7 %), forêts (10,9 %), zones urbanisées (4,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Histoire

    La seigneurie de Montiers a appartenu à la famille Tarteron, qui a conservé le château jusqu'au début du XIXe siècle[21].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Saint-Just-en-Chaussée[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton d'Estrées-Saint-Denis.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes du Plateau Picard, créée fin 1999.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[23]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1805 Jean-Baptiste L’Heureux    
    1805 1809 Claude de Warmaize    
    1810 1811 Jean-Baptiste L’Heureux    
    1811 1815 Charles-Pierre Ducancel   Avocat et auteur dramatique
    Sous-préfet de Clermont (1815 → 1816)
    1816 1822 Jean-Louis Leclerc[24]   Ancien préfet de la Meuse
    1822 1824 Charles-Pierre Ducancel    
    1824 1826 Pierre, Louis Steculorum    
    1826 1831 Félix Delagarde    
    1831 1833 Pierre, Louis Steculorum    
    1833 1843 Pierre Pouillet    
    1843 1846 Louis Sébastien Boitel    
    1846 1870 Georges, Toussaint Vimeux    
    1871 1874 Jacques, Prudent Le Boucher    
    1874 1878 François, Xavier, Ursule, Adolphe d’Astanieres    
    1879 1884 Eugène, Nicolas, Clément d’Astanieres    
    1885 1889 Henri Deneufbourg   Agriculteur
    1890 1896 Jules, Joseph Gerard    
    1896 1899 Eugène, Nicolas, Clément d’Astanieres    
    1899 1904 Jules Gerard    
    1904 1921 Henri Deneufbourg   Agriculteur
    1921 1943 Léon Deneufbourg    
    1943 1945 Émile Ducastel    
    1945 1952 Henri Lacaille    
    1952 1953 Gilberte Bourdon    
    1953 1974 André Deneufbourg    
    1974 1993 Paul Sueur    
    1993 2001 Xavier Deneufbourg    
    2001 2008 Claude Debaye   Enseignant [25]
    mars 2008 En cours
    (au 6 juillet 2018)
    Xavier Deneufbourg   Agriculteur
    Réélu pour le mandat 2020-2026[26]

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

    En 2018, la commune comptait 418 habitants[Note 6], en augmentation de 2,45 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    293309375379434422397397412
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    368408399415429415437404378
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    379413373338371327333316270
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    276292236240353399439407418
    2018 - - - - - - - -
    418--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune était relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (15,7 %) était en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune était supérieure à la population féminine (52,8 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge était, en 2007, la suivante :

    • 52,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 25 %, 15 à 29 ans = 20,7 %, 30 à 44 ans = 22,4 %, 45 à 59 ans = 19,4 %, plus de 60 ans = 12,5 %) ;
    • 47,2 % de femmes (0 à 14 ans = 22,2 %, 15 à 29 ans = 15,9 %, 30 à 44 ans = 24,2 %, 45 à 59 ans = 18,4 %, plus de 60 ans = 19,4 %).
    Pyramide des âges à Montiers en 2007 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    0,5 
    6,5 
    75 à 89 ans
    12,1 
    5,6 
    60 à 74 ans
    6,8 
    19,4 
    45 à 59 ans
    18,4 
    22,4 
    30 à 44 ans
    24,2 
    20,7 
    15 à 29 ans
    15,9 
    25,0 
    0 à 14 ans
    22,2 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI), qui regroupe La Neuville-Roy, Léglantiers, Pronleroy, Wacquemoulin et Montiers et est géré par le syndicat scolaire « Les Hirondelles[32] », et qui accueille en 2018 270 écoliers scolarisés dans 11 classes de double niveaux réparties dans quatre écoles. Soixante enfants sont accueillis dans deux structures périscolaires, à La Neuville- Roy et Léglantiers.

    Le syndicat scolaire a décidé de réaliser une école unique pour les 5 villages, constituant donc un regroupement pédagogique concentré (RPC) à La Neuville-Roy comprenant notamment 12 salles de classe, deux salles de repos, des locaux administratifs, ainsi que des espaces mutualisés comme la bibliothèque, une salle périscolaire, une salle de motricité. La cantine est prévue pour accueillir 50 couverts dans deux salles et jusqu’à 200 convives en deux services.

    Ce projet, envisagé dès 2006[33], voit le début de la construction en pour une livraison escomptée fin 2019.

    Le coût du projet conçu par Christophe Giraud et Christophe Fournier, du cabinet ADD d’Ons-en-Bray, est évalué à 5,2 millions d’euros, financé par une subvention départementale de 1,78 M€, l’État (1,1 million d’euros), le conseil régional (675 767 €) et la CAF de l’Oise (90 000 )[34],[35].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Sulpice - Cloche de l’église sonnant 17h :
    • Église Saint-Sulpice : elle abrite deux statues du XIVe siècle (saint Évêque et Vierge à l'Enfant) classées monument historique[36]. Ses toitures ont fait l'objet d'une restauration en 2015[37].
    • Chapelle Sainte-Madeleine-et-Saint-Nicolas.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Parti : au 1er d'argent à trois fasces de gueules, au 2d d'or à un scorpion de sable posé en pal ; le tout sommé d'un chef de gueules chargé de trois coquilles d'or[38].
    Détails
    Le premier est inspiré des armes de la famille des comtes d'Astanières, qui donna deux maires du village. Le second renvoie aux armes de la famille Tarteron de Montiers qui portait « d'or à un scorpion de sable, au chef d'azur chargé de trois étoiles d'argent », et qui donna des seigneurs de Montiers de 1690 jusqu'à la Révolution. Enfin, le chef est inspiré des armes de la famille de Warmaise de Montiers, qui portait « d'argent à la croix de gueules chargée de cinq coquilles d'or », qui possédait la seigneurie avant les Tarteron de Montiers.

    Adopté en 2021.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Godenvillers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Montiers et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Godenvillers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Montiers et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. « Historique du village - Montiers », sur mairie-montiers.fr (consulté le )
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. « Les maires de Montiers », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    24. « Cote LH/1530/56 », base Léonore, ministère français de la Culture.
    25. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
    26. « Le visage de vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3284, , p. 29 (ISSN 1144-5092).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. « Évolution et structure de la population à Montiers en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    31. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    32. Site du SIRS Les Hirondelles
    33. « Un projet de regroupement scolaire », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    34. « C’est parti pour la future école de la Neuville-Roy », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    35. Céline Sol, « La première pierre est posée  : L’école ouvrira fin 2019 : Cinq communes se sont unies pour construire un groupe scolaire de plus de 2 200 mètres carrés », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3520, , p. 15.
    36. Les objets classés de l'église Saint-Sulpice sur la base Palissy
    37. L'église Saint-Sulpice de Montiers sur sauvegardeartfrançais.fr
    38. « 60418 Montiers (Oise) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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