Noroy

Noroy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Noroysiens et les Noroysiennes.

Pour les articles homonymes, voir Noroy-le-Bourg dans le département de la Haute-Saône.

Noroy

L'église Notre-Dame.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau Picard
Maire
Mandat
Pierre Wellecan
2020-2026
Code postal 60130
Code commune 60466
Démographie
Gentilé Noroysiens, Noroysiennes
Population
municipale
245 hab. (2018 )
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 26′ 57″ nord, 2° 30′ 13″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 159 m
Superficie 5,45 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Noroy
Géolocalisation sur la carte : Oise
Noroy
Géolocalisation sur la carte : France
Noroy
Géolocalisation sur la carte : France
Noroy

    Géographie

    Localisation

    Communes limitrophes.

    Noroy est une commune située à 66 km au nord de Paris, 30 km à l'est de Beauvais, 24 km à l'ouest de Compiègne et à 52 km au sud d'Amiens[1].

    Topographie et géologie

    La commune s'étend de 103 mètres au sud de la commune à 159 mètres d'altitude à la limite sud-ouest du territoire. Elle se situe sur le plateau picard, laissant apparaître plusieurs points culminants au-dessus de 120 mètres au-dessus du niveau de la mer, comme la « Grande Montagne » (159 mètres) au sud-est et la « Montagne Sèche » au nord (125 mètres). Le relief peu marqué s'exprime par la présence de plusieurs vallées sèches s'orientant au nord et au sud. Le village s'étale de 127 à 137 mètres au-dessus du niveau de la mer[2]. La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire à très faible risque sismique[3].

    Hydrographie

    La commune de Noroy n'est traversée par aucun cours d'eau. Les seuls élements aquatiques sur le territoire sont un petit étang situé au sud du village ainsi qu'une mare rue Dufour. La présence de vallons témoigne d'une ancienne présence de ruisseaux, s'orientant au sud vers le bassin versant de la Brêche et au nord vers le bassin versant de l'Aronde[2]. Le village n'est pas situé au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes, qui lesquelles se situent uniquement au point le plus bas du territoire communal[4].

    Voies de communications et transports

    La commune est traversée par 3 routes départementales : la D37, la D 101, la D 557. La route départementale 37, de Breuil-le-Sec à Neufvy-sur-Aronde bien que longeant la limite communale au sud, est le principal axe de circulation permettant d'accéder à l'agglomération de Clermont, la plus proche. La route départementale 101, de Bulles à Estrées-Saint-Denis traverse le territoire d'est en ouest et constitue la rue principale du village (rue Saint-Jean-des-Pleurs). La route départementale 557 relie quant à elle le chef-lieu à Lieuvillers au nord. Le village est également desservi par plusieurs routes communales en provenance de Rémécourt et de Trois-Etots[2].

    Les gares SNCF les plus proches sont celles d'Avrechy et de Saint-Remy-en-l'Eau à moins de 6 kilomètres à l'ouest. La gare de Saint-Just-en-Chaussée, mieux desservie, se trouve à km au nord-ouest[1]. Ces gares sont toutes situées sur la ligne de Paris-Nord à Lille.

    La commune est desservie par le réseau ATRIOM du Compiégnois du conseil général de l'Oise par une ligne de transport scolaire vers les établissements de l'agglomération de Clermont ainsi que par une ligne vers le collège Louise Michel de Saint-Just-en-Chaussée[5]. La commune fait partie du réseau TADAM, service de transport collectif à la demande, mis en place à titre expérimental par la communauté de communes du Plateau Picard. Elle est reliée à l'un des 8 points de destination situés à Saint-Just-en-Chaussée, Maignelay-Montigny, La Neuville-Roy et Tricot au départ des 98 points d'origine du territoire[6]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal relie le village au groupe scolaire de Lieuvillers, avec la commune de Cernoy[7].

    L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 28 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 50 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 699 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[14] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 28 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[18] à 10,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels

    Hormis le bâti, qui s'étend sur une vingtaine d'hectares, la surface communale est composée à plus de 75 % de cultures sur 412 hectares. Les espaces boisés sont majoritairement présents sur les coteaux au sud avec les bois du Grand Terrier, des Cailloux, de la Vieille Carrière, du Cerbullé, et du Courroie. On retrouve également quelques parcelles à l'est du village au lieu-dit la Motte et près de la Montagne Sèche, rassemblant au total 70 hectares pour 12.8 % de la superficie. Enfin, la commune comprend 48 hectares de vergers et prairies[21],[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Noroy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,8 %), forêts (11,9 %), zones urbanisées (5 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[28].

    Hameaux et lieux-dits

    La commune ne possède pas de hameaux, les espaces bâtis se situent uniquement au chef-lieu[2].

    Politique et administration

    La commune a obtenu deux fleurs au concours des villes et villages fleuris 2013[29].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 René Gourguechon    
    2008 En cours
    (au 19 septembre 2014)
    Pierre Wellecan NC[30] Chef d'entreprise
    Réélu pour le mandat 2014-2020[31]

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

    En 2018, la commune comptait 245 habitants[Note 7], en augmentation de 19,51 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    200236277251476261348236233
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    217241208199199197206190201
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    179167185182171139147154132
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    121102102109168184192193194
    2013 2018 - - - - - - -
    205245-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,5 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,3 %, 15 à 29 ans = 9,6 %, 30 à 44 ans = 28,7 %, 45 à 59 ans = 25,5 %, plus de 60 ans = 13,9 %) ;
    • 51,5 % de femmes (0 à 14 ans = 25 %, 15 à 29 ans = 11 %, 30 à 44 ans = 23 %, 45 à 59 ans = 23 %, plus de 60 ans = 18 %).
    Pyramide des âges à Noroy en 2007 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    1,0 
    1,1 
    75 à 89 ans
    6,0 
    12,8 
    60 à 74 ans
    11,0 
    25,5 
    45 à 59 ans
    23,0 
    28,7 
    30 à 44 ans
    23,0 
    9,6 
    15 à 29 ans
    11,0 
    22,3 
    0 à 14 ans
    25,0 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Lieux et monuments

    La commune possède un monument historique sur son territoire.

    • L'église Notre-Dame (XVIe siècle) : Monument datant de 1552. On y remarque quelques vitraux et plusieurs tableaux en émail qui représentent l'histoire de la Passion[38]. Le monument possède le plus ancien confessionnal du département datant du XVIIe siècle. On y trouve des fonts baptismaux avec déversoir en pierre du XVIe siècle et un bénitier en pierre datant du même siècle[39]. L'édifice fait l'objet d'une inscription aux titre des monuments historiques depuis le 14 septembre 1949[40].
    Galerie

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 26 août 2016)..
    3. « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Noroy », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
    5. « Transports en commun à Noroy (carte, lignes et arrêts) », sur Oise mobilité (consulté le ).
    6. « TADAM, le service de transport collectif à a demande du plateau Picard », sur Oise Mobilité (consulté le ).
    7. « Navette de regroupement pédagogique intercommunal », sur Oise mobilité (consulté le ).
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    14. « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Noroy et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Noroy et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune de Noroy », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    29. Matthieu Hérault, « Concours des villes fleuries : question d'envie et de budget », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    30. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
    31. « Noroy », Cartes de France (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. « Évolution et structure de la population à Noroy en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    37. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    38. Répertoire Archéologique du Département de l'Oise, Emmanuel Woillez, 1862; page 107
    39. Les objets classés de l'église Notre-Dame sur la base Palissy
    40. « Église Notre-Dame », notice no PA00114785, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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