Bompas (Pyrénées-Orientales)
Bompas est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Bompas.
Bompas Bompàs | |||||
Avenue du Haut-Vernet en centre-ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Perpignan | ||||
Intercommunalité | Perpignan Méditerranée Métropole | ||||
Maire Mandat |
Laurence Ausina 2020-2026 |
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Code postal | 66430 | ||||
Code commune | 66021 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bompassencqs | ||||
Population municipale |
7 310 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 1 282 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 43′ 56″ nord, 2° 56′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 9 m Max. 20 m |
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Superficie | 5,70 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Perpignan (banlieue) |
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Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Perpignan-2 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Bompassencqs.
Géographie
Localisation
La commune de Bompas se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 5 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département La commune fait en outre partie du bassin de vie de Perpignan[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Pia (1,8 km), Claira (3,7 km), Villelongue-de-la-Salanque (4,2 km), Perpignan (4,9 km), Torreilles (5,6 km), Cabestany (5,7 km), Rivesaltes (6,4 km), Saint-Hippolyte (6,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Bompas fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[4] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[5].
Pia | Claira | Claira | ||
Perpignan | N | Villelongue-de-la-Salanque | ||
O Bompas E | ||||
S | ||||
Perpignan | Perpignan | Perpignan Château-Roussillon |
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 570 hectares. L'altitude varie entre 9 et 20 mètres[6].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[7].
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924[13]et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[15], à 15,7 °C pour 1981-2010[16], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[17].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[18],[19],[20].
Urbanisme
Typologie
Bompas est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[21],[22],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Perpignan, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[24] et 201 061 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[25],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[27],[28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (61,2 %), zones urbanisées (35,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,2 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
- Routes
Au sud de la ville se trouve la départementale D617 qui relie Perpignan à Canet-en-Roussillon[réf. nécessaire].
- Transports
Bompas est desservi par deux lignes de bus de la communauté d'agglomération (Sankéo[30])[réf. nécessaire] :
- La ligne 12 qui passe par Canohès et Torreilles ;
- La ligne 5 qui relie la porte d'Espagne (sud de Perpignan) et Sainte-Marie.
Toponymie
En catalan, le nom de la commune est Bompàs, dont le français Bompas est issu.
L'étymologie de Bompas provient du latin bonum passum qui signifie « bon passage ». Aux XIIe et XIIIe siècles, les formes attestées sont Malo Passu et Malpas, « mauvais passage ». Au XIIIe siècle, c'est devenu Bono Passu et Bonpas, peut-être à la suite de travaux améliorant le passage, ou par superstition[31]. En effet, le site de Bompas était situé sur un passage à gué sur le fleuve Têt. La graphie actuelle est apparue au XIXe siècle et constitue donc une aberration[32].
Histoire
La Voie Domitienne traversait le territoire de la commune dans l'Antiquité. Seul témoignage de cette époque, un trésor de monnaies gauloises et romaines a été découvert en 1910 près de l'ancien chemin dit de Charlemagne et comprenant 650 monnaies des Volques Tectosages ainsi que 13 deniers consulaires datant de 139 à 74 av. J.-C. Au XIIe siècle, il existe une famille de seigneurs de Malpas, avant que le comte de Roussillon Girard II ne lègue la seigneurie à la milice du Temple en 1172. Après la disparition des Templiers, celle-ci devient une possession des Hospitaliers de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem[32].
Politique et administration
Bompas est membre de la communauté d'agglomération Perpignan Méditerranée. La commune est rattachée à la 1re circonscription des Pyrénées-Orientales.
Canton
En 1790, la commune de Bompas est incluse dans le canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque puis, à partir de 1801, dans le canton de Perpignan-Ouest et enfin à partir de 1973 dans le canton de Perpignan-7, qu'elle ne quitte plus par la suite[33],[6].
À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le canton de Perpignan-2, déjà existant mais entièrement reconfiguré.
Tendances et résultats politiques
À l’exception du scrutin municipal peu politisé, l’électorat bompassencq vote habituellement à droite, les candidats du parti Les Républicains (parti qui remplace l'UMP) et du Front national obtenant généralement des scores supérieurs à leur moyenne nationale. Le meilleur résultat obtenu par la gauche ces dernières années a été de 46,81 % aux élections présidentielles de 2012.
- Élections présidentielles (résultats des deuxièmes tours)
- 2017 : 52,87 % pour Marine Le Pen (FN), 47,13 % pour Emmanuel Macron (LREM), 76,29 % de votants[34].[réf. nécessaire]
- 2012 : 59,19 % pour Nicolas Sarkozy ( UMP) ,46,81 % pour François Hollande (PS), 93,09 % de votants.[35][réf. nécessaire]
- 2007 : 59,72 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 40,28 % pour Ségolène Royal (PS), 85,82 % de votants.[36][réf. nécessaire]
- 2002 : 68,73 % pour Jacques Chirac (RPR), 31,27 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 82,24 % de votants.[37][réf. nécessaire]
- Élections législatives (résultats des deuxièmes tours)
- 2017 : 51,21 % pour Romain Graud (LREM) (élu), 48,79 % pour Alexandre Bolo (FN), 42,09 % de votants.[réf. nécessaire].
- 2012 : 40,04 % pour Jacques Cresta (DVG) (élu), 32,60 % pour Daniel Mach (UMP) , 27,36 % pour Louis Aliot (FN) , 97,90 % de votants.[réf. nécessaire].
- 2007 : 60,30 % pour Daniel Mach (UMP) (élu), 39,70 % pour Jean Vila (PCF), 59,85 % de votants.[réf. nécessaire].
- 2002 : 55,91 % pour Daniel Mach (UMP) (élu), 44,09 % pour Jean Vila (PCF), 59,92 % de votants.[réf. nécessaire].
- Élections européennes, listes ayant obtenu plus de 10 % des suffrages exprimés.
- 2014 : 39,49 % pour Louis Aliot (FN), 16,17 % pour Michèle Alliot-Marie (UMP) , 11,96 % pour Virginie Rozière (PRG) , 43,99 % de participation[réf. nécessaire].
- 2009 : 27,58 % pour Dominique Baudis (UMP), 15,66 % pour Louis Aliot (FN), 12,76 % pour Kader Arif (PS), 11,41 % pour José Bové (Europe Écologie), 35,42 % de participation[38].
- 2004 : 31,92 % pour Kader Arif (PS), 16,40 % pour Jean-Claude Martinez (FN), 15,48 % pour Alain Lamassoure (UMP), 12,23 % pour Jean-Marie Cavada (UDF), 38,17 % de participation.[réf. nécessaire].
- Élections régionales, résultats des deuxièmes tours
- 2015 : 49,54 % pour Louis Aliot (FN), 32,48 % pour Carole Delga (PS), 59,32 % de participation[réf. nécessaire].
- 2010 : 44,40 % pour Georges Frêche (DVG), 30,32 % pour Raymond Couderc (UMP), 25,28 % pour France Jamet (FN), 47,99 % de participation[39].
- 2004 : 45,71 % pour Georges Frêche (PS), 34,12 % pour Jacques Blanc (UMP), 20,17 % pour Alain Jamet (FN), 73,09 % de participation.[réf. nécessaire].
- Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours.
- 2015 : 58,80 % pour Jean Sol ( UMP) (élu), 41,20 % pour Irina Kortanek (FN), 56,46 % de participation[réf. nécessaire].
- 2011 : 63,43 % pour Jean Sol ( UMP) (élu), 36,52 % pour Irina Kortanek (FN), 54,02 % de participation[réf. nécessaire].
- 2004 : 43,14 % pour Claude Cansouline (PS), 43,01 % pour Jean Sol (UMP) (élu), 13,84 % pour Joseph Sampe (FN), 74,56 % de participation[réf. nécessaire].
- 1998 : 43,10 % pour Claude Cansouline (PS) (élu), 30,66 % pour Françoise Barate (RPR), 26,24 % pour Roger Chenaye (FN), 58,86 % de participation[réf. nécessaire].
- Élections municipales, résultats des premiers tours.
- 2014 : 48,83 % pour Jean-Paul Batle (SE), 40,17 % pour Jean Sol (UMP) , 10,98 % pour Irina Kortanek (FN) , 73,83 % de participation[réf. nécessaire].
- 2008 : 54,42 % pour Jean-Paul Batlle (SE), 34,75 % pour Jean Sol (UMP), 10,83 % pour Pierre Casadevall (DVG), 77,48 % de participation[réf. nécessaire].
- 2001 : 55,39 % pour Jean-Paul Batlle (SE), 27,09 % pour Bernard Constans (UDF-RPR-DL), 17,52 % pour Christiane Maillol (Gauche plurielle)[réf. nécessaire]
- Élections référendaires.
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l’Europe : 67,26 % pour le Non, 32,74 % pour le Oui, 72,49 % de participation[réf. nécessaire].
Administration municipale.
Vingt-neuf élus siègent au conseil municipal : la majorité municipale est composée de vingt-deux membres élus sur la liste du maire sans étiquette Jean-Paul Battle ; siègent également six conseillers. Les Républicains élus sur la liste menée par Jean Sol et une conseillère FN Irina Kortanek.
Liste des maires.
Politique environnementale.
- Ville fleurie : trois fleurs attribuées par le conseil national des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[48].
Population et société
Démographie ancienne.
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Démographie contemporaine.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50]. En 2018, la commune comptait 7 310 habitants[Note 6], en augmentation de 3,53 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
selon la population municipale des années : | 1968[52] | 1975[52] | 1982[52] | 1990[52] | 1999[52] | 2006[53] | 2009[54] | 2013[55] |
Rang de la commune dans le département | 35 | 29 | 13 | 11 | 11 | 12 | 13 | 14 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement.
La commune de Bompas dispose de deux écoles maternelles et de deux écoles primaires. La scolarité se poursuit au collège à Pia et au lycée à Perpignan[56].
Manifestations culturelles et festivités
Sports
- Associations sportives
- KM-JUST'KRAV (Krav Maga)[58]
- A.S. Bompas XV (rugby)
- Installations sportives
- Gymnase ;
- Halle des sports ;
- Stade municipal ;
- Courts de tennis ;
- Boulodrome ;
- Tir à l'arc ;
- Parc des sports et des loisirs (9 hectares) ;
- Salle polyvalente.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 28 209 €[59].
Entreprises et commerces
Bompas dispose de deux supermarchés et de divers commerces de proximité[réf. nécessaire].
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
- Ancienne église Saint-Étienne, de style roman, a été rasée au XXe siècle[32].
- Nouvelle église Saint-Étienne : construite en 1865, elle contient le mobilier de l'ancienne église avec notamment plusieurs retables des saintes Rufine et Juste (XVIIe siècle), de la Vierge et du Christ (XVIIIe siècle), des bustes-reliquaires (XVIe siècle) et différentes statues et toiles (XVIIe siècle et XVIIIe siècle)[57].
- Église Saint-Sauveur de Canomals.
- Vestiges des fortifications et de l'ancienne commanderie des templiers (XIIe siècle), parmi lesquels figurent deux tours transformées en habitations[57].
Personnalités liées à la commune
- André Chauvenet[60] (1900-1981) : l'un des tout premiers résistants de la France Libre, né à Bompas ;
- Jean Sol ( 1952-) : homme politique, conseiller municipal à Bompas et ancien adjoint au maire ;
- Laurent Carrère (1983-) : boxeur de muay-thaï et de K-1 ayant vécu à Bompas ;
- Matthieu Bourret (1985-) : Joueur de rugby à XV ayant joué à l'Entente Bompas-Villelongue XV.
Héraldique
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De gueules à l'écusson d'azur à un pont courbé maçonné de sable sur une rivière de sinople, accompagné en chef, à dextre de trois épis empoignés d'or, à sénestre d'une grappe de raisin feuillée d'une pièce du même. |
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Voir aussi
Bibliographie
- Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p.
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Bompas », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Bompas et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Bompas », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 362-363.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
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- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Perpignan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Bompas et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- Basseda 1990, p. 334-335.
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- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
- « Bompas (66430) : Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur LExpress.fr (consulté le ).
- « Résultats Bompas - Présidentielle 2012 - 1er et 2nd tour », sur Le Monde.fr (consulté le ).
- « Elections Présidentielles 2007 à Bompas », sur Annuaire-Mairie (consulté le ).
- « Résultats Bompas - Présidentielle 2002 - 1er et 2nd tour », sur Le Monde.fr (consulté le ).
- Résultats de l’élection européenne de 2009 à Bompas sur le site du ministère de l’intérieur
- Résultats de l’élection régionale de 2010 à Bompas sur le site du ministère de l’intérieur
- MairesGenWeb, Maires de Bompas à partir de 1900
- Fabricio Cardenas, Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, Un nouveau maire à Bompas, 26 mai 1815, 19 avril 2014
- « P.-O. : Jean-Paul Batlle, maire de Bompas, est décédé », L'Indépendant, (lire en ligne, consulté le ).
- Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
- [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
- Réélection 2014 : « Maires », sur le site de la Préfecture du département des Pyrénées-Orientales (consulté le ).
- « Bompas : Laurence Ausina a été élue nouveau maire de la ville », L'Indépendant, (lire en ligne, consulté le ).
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- Site de la mairie, section Cadre de vie
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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