Saint-Hippolyte (Pyrénées-Orientales)

Saint-Hippolyte est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Hippolyte.

Saint-Hippolyte

Le clocher de l'église.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Perpignan
Intercommunalité Perpignan Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Madeleine Garcia-Vidal
2020-2026
Code postal 66510
Code commune 66176
Démographie
Gentilé Hippolytains
Population
municipale
3 131 hab. (2018 )
Densité 214 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 47′ 06″ nord, 2° 58′ 02″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 11 m
Superficie 14,65 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Saint-Hippolyte
(ville isolée)
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Côte salanquaise
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Hippolyte
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Saint-Hippolyte
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Hippolyte
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Hippolyte

    Géographie

    Localisation

    La commune de Saint-Hippolyte se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 11 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à km de Saint-Laurent-de-la-Salanque[3], bureau centralisateur du canton de la Côte salanquaise dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Laurent-de-la-Salanque[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Saint-Laurent-de-la-Salanque (2,3 km), Claira (2,8 km), Torreilles (3,9 km), Le Barcarès (5,6 km), Pia (5,8 km), Villelongue-de-la-Salanque (6,4 km), Bompas (6,5 km), Salses-le-Château (6,7 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saint-Hippolyte fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[5] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[6].

    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[7].

    Hydrographie

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].

    Un espace protégé est présent sur la commune : l'étang de Salses-Leucate, une zone humide protégée par la convention de Ramsar, d'une superficie de 7 628,1 ha[10].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[12].

    • le « complexe lagunaire de Salses », d'une superficie de 7 818 ha, une zone littorale associant des milieux dunaires caractéristiques du littoral roussillonnais et des milieux humides littoraux. Elle comporte plusieurs bassins différemment alimentés en eau ce qui favorise l'installation de formations végétales très variées, tant aquatiques, herbiers de Zostère naine, tapis de charas, que palustres, sansouires, roselières, scirpes, jonçaies[13] et au titre de la directive oiseaux[12]
    • le « complexe lagunaire de Salses-Leucate », d'une superficie de 7 701 ha, comprend un ensemble de zones humides périphériques plus ou moins salées (sansouires, roselières) et plusieurs îlots suffisamment isolés et quelques espaces dunaires qui constituent des espaces de grand intérêt pour la nidification de diverses espèces de grand intérêt patrimonial (Butor étoilé, Sterne naine...).[14].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[15] :

    • l'« étang de Salses-Leucate » (4 964 ha), couvrant 6 communes dont deux dans l'Aude et quatre dans les Pyrénées-Orientales[16] ;
    • le « marais du Mas Tamarit » (14 ha)[17],
    • les « sagnes d'Opoul et del Dévès » (638 ha), couvrant 2 communes du département[18] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[15] : le « complexe lagunaire de Salses- Leucate » (7 769 ha), couvrant 6 communes dont deux dans l'Aude et quatre dans les Pyrénées-Orientales[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Hippolyte est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[20],[21],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Hippolyte, une unité urbaine monocommunale[23] de 3 052 habitants en 2017, constituant une ville isolée[24],[25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[26],[27].

    La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[28]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[29],[30].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : eaux maritimes (43,3 %), zones agricoles hétérogènes (28,5 %), cultures permanentes (22 %), zones urbanisées (4,8 %), zones humides côtières (1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Les lignes 10 (Le Barcarès - Gare de Perpignan) et 11 (Saint-Laurent-de-la-Salanque - Gare de Perpignan) du réseau urbain Sankéo assurent la desserte de la commune.

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est Sant Hipòlit de la Salanca[32], Saint-Hippolyte-de-la-Salanque. Ce nom apparaît dans les textes dès l'an 963. Il provient du nom du martyr chrétien du IIIe siècle Hippolyte[33].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Signature du maire Étienne Masnou en 1815.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
     ? Étienne Masnou[34]    
     ? Pierre Gari[34]    
    Les données manquantes sont à compléter.
    Léon Parent    
    Paul Boyer    
    Jérôme Margail    
    Michel Montagne[35],[36],[37] DVD Retraité agricole
    En cours
    (au 30 avril 2014)
    Madeleine Garcia-Vidal[38] SE-DVG Professeure de catalan
    Conseillère départementale du canton de la Côte salanquaise (2015 → )

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1365 1378 1470 1515 1553 1643 1709 1720 1730
    27 f34 f21 f24 f21 f8 f66 f43 f63 f
    1755 1767 1774 1789 1790 - - - -
    74 f199 H63 f71 f216 H----
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].

    En 2018, la commune comptait 3 131 habitants[Note 7], en augmentation de 10,4 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    391417445576606720741830791
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    8858669269801 0661 2901 3271 2981 282
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2621 2731 2261 2311 1421 2051 1001 0171 033
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 1331 0331 0441 0381 6161 8492 2692 3272 385
    2013 2018 - - - - - - -
    2 8363 131-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[43] 1975[43] 1982[43] 1990[43] 1999[43] 2006[44] 2009[45] 2013[46]
    Rang de la commune dans le département 54 61 62 52 52 49 49 42
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale et communale : [47].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 26 814 [48].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'or à quatre pals de gueules, à saint Hippolyte martyr traîné par un cheval, le tout d'argent, brochant sur le tout[50].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[11].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Saint-Hippolyte », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Hippolyte et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Hippolyte et Saint-Laurent-de-la-Salanque », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Saint-Hippolyte », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 362-363.
    7. « Plan séisme » (consulté le ).
    8. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    9. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    10. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    12. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Hippolyte », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « site Natura 2000 FR9101463 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « site Natura 2000 FR9112005 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Hippolyte », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF l'« étang de Salses-Leucate » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF le « marais du Mas Tamarit » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF les « sagnes d'Opoul et del Dévès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF le « complexe lagunaire de Salses- Leucate » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Unité urbaine 2020 de Saint-Hippolyte », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    24. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    25. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan », sur insee.fr (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    29. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    32. (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
    33. Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p..
    34. Fabricio Cardenas, Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, Saint-Hippolyte, le 31 mai 1815 , 25 janvier 2014
    35. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
    36. M. Montagne a parrainé la candidature de Jean Saint-Josse à l'élection présidentielle de 2002, cf. Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002.
    37. M. Montagne a parrainé la candidature de Frédéric Nihous à l'élection présidentielle de 2007, cf. Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007.
    38. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    43. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    44. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    45. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    46. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    47. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
    48. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    49. « Eglise paroissiale Saint-Michel », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    50. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=1715
    • Portail des communes de France
    • Portail des pays catalans
    • Portail des Pyrénées
    • Portail des Pyrénées-Orientales
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.