Saint-Laurent-de-la-Salanque

Saint-Laurent-de-la-Salanque [sɛ̃ loʁɑ̃ də la salɑ̃k] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. C'est la capitale historique de la Salanque.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Laurent.

Saint-Laurent-de-la-Salanque

La rue Arago

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Perpignan
Intercommunalité Perpignan Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Alain Got
2020-2026
Code postal 66250
Code commune 66180
Démographie
Gentilé Laurentins
Population
municipale
10 158 hab. (2018 )
Densité 820 hab./km2
Population
agglomération
24 388 hab. (2018)
Géographie
Coordonnées 42° 46′ 28″ nord, 2° 59′ 29″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 7 m
Superficie 12,39 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Saint-Laurent-de-la-Salanque
(ville-centre)
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Côte Salanquaise
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Laurent-de-la-Salanque
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Saint-Laurent-de-la-Salanque
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Laurent-de-la-Salanque
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Laurent-de-la-Salanque
Liens
Site web saint-laurent-salanque.com

    Ses habitants sont appelés les Laurentins.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Saint-Laurent-de-la-Salanque se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 12 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département [3], bureau centralisateur du canton de la Côte Salanquaise dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1] La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Saint-Laurent-de-la-Salanque[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Torreilles (2,1 km), Saint-Hippolyte (2,3 km), Claira (3,2 km), Le Barcarès (4,0 km), Villelongue-de-la-Salanque (5,1 km), Sainte-Marie (5,6 km), Pia (6,6 km), Bompas (6,7 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saint-Laurent-de-la-Salanque fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[5] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[6].

    Communes limitrophes de Saint-Laurent-de-la-Salanque[7]
    Salses-le-Château
    (par un quinquepoint)
    Leucate (Aude)
    (par un quinquepoint)
    Saint-Hippolyte Le Barcarès
    Claira Torreilles
    Situation de la commune

    Géologie et relief

    L'altitude de la commune varie entre 0 et 7 mètres[8].

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].

    Hydrographie

    L'Agly délimite la frontière méridionale de Saint-Laurent-de-la-Salanque.

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10],[11].

    Un espace protégé est présent sur la commune : l'étang de Salses-Leucate, une zone humide protégée par la convention de Ramsar, d'une superficie de 7 628,1 ha[12].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[14].

    • le « complexe lagunaire de Salses », d'une superficie de 7 818 ha, une zone littorale associant des milieux dunaires caractéristiques du littoral roussillonnais et des milieux humides littoraux. Elle comporte plusieurs bassins différemment alimentés en eau ce qui favorise l'installation de formations végétales très variées, tant aquatiques, herbiers de Zostère naine, tapis de charas, que palustres, sansouires, roselières, scirpes, jonçaies[15] et au titre de la directive oiseaux[14]
    • le « complexe lagunaire de Salses-Leucate », d'une superficie de 7 701 ha, comprend un ensemble de zones humides périphériques plus ou moins salées (sansouires, roselières) et plusieurs îlots suffisamment isolés et quelques espaces dunaires qui constituent des espaces de grand intérêt pour la nidification de diverses espèces de grand intérêt patrimonial (Butor étoilé, Sterne naine...).[16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[17] :

    • l'« embouchures de l'Agly, du Bourdigou et de l'Auque » (488 ha), couvrant 4 communes du département[18] ;
    • l'« étang de Salses-Leucate » (4 964 ha), couvrant 6 communes dont deux dans l'Aude et quatre dans les Pyrénées-Orientales[19] ;
    • « la Corrège et les Dosses » (227 ha), couvrant 3 communes dont une dans l'Aude et deux dans les Pyrénées-Orientales[20] ;
    • les « prairies des rives sud de l'étang de Leucate » (38 ha)[21] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[17] :

    • le « complexe lagunaire de Salses- Leucate » (7 769 ha), couvrant 6 communes dont deux dans l'Aude et quatre dans les Pyrénées-Orientales[22] ;
    • le « lido et marais de Toreilles » (703 ha), couvrant 4 communes du département[23].

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est Sant Llorenç de la Salanca[24].

    Le nom Santi-Laurenci apparaît pour la première fois en 968, en référence à un lieu situé à l'embouchure de l'Agly.

    Comme son nom l'indique, Saint-Laurent-de-la-Salanque s'étend dans une zone de salanque, type de sol correspondant à l'étang qui le borde et signifie « terre salée ».

    Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Sentinelle-de-l'Agly[8].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Laurent-de-la-Salanque est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[25],[26],[27]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Laurent-de-la-Salanque, une agglomération inter-départementale regroupant 4 communes[28] et 24 401 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[29],[30].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[31],[32].

    La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[33]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[34],[35].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (38,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (45,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,3 %), eaux maritimes (30,8 %), zones urbanisées (17,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %), zones humides côtières (0,3 %)[36].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    L'architecture peut varier. Les appartements font de un à trois étages couramment et sont de style plutôt rétro[pas clair]. La plupart des villas sont modernes. Des puits illégaux[réf. nécessaire] sont fréquents. Les appartements et villas sont hauts car les risques d'inondations sont élevés[réf. nécessaire].

    Logement

    Saint-Laurent-de-la-Salanque comprend en 2012 5 147 logements, parmi lesquels 83,5 % sont des résidences principales, 8,2 % sont des résidences secondaires et 8,2 % sont vacants. 64,4 % des ménages sont propriétaires de leur logement[37].

    Faute d'avoir respecté l'objectif triennal 2011-2013 de construction de logements sociaux, avec 144 réalisés sur les 199 requis (soit un taux de réalisation de 72 %), la commune se voit sanctionnée par la préfecture en 2015 d'une pénalité de 57 000 euros[38].

    Voies de communication et transports

    Voies routières
    • La D 83, voie rapide reliant Le Barcarès à Perpignan, traverse la commune d'ouest en est ;
    • La D 11 traverse la partie occidentale de la commune du nord au sud, en provenance de Saint-Hippolyte et en direction de Torreilles ;
    • La D 90 traverse le sud de la commune de l'ouest vers l'est, en provenance de Saint-Hippolyte et en direction du Barcarès ;
    • La D 81 traverse la partie sud-est de la commune du sud vers le nord, en provenance de Sainte-Marie et en direction de la D 83.
    Voies ferroviaires

    Saint-Laurent-de-la-Salanque était jadis reliée à Perpignan par la ligne de Perpignan au Barcarès qui a été depuis fermée.

    Transports en commun

    La commune est desservie par le réseau Sankéo avec les lignes 10, 11 et aussi en juillet et août avec la ligne 36.

    Elle possède aussi son propre réseau de bus nommé "Navette Laurentine", qui est gratuit.

    Histoire

    La commune du Barcarès est créée le par détachement de Saint-Laurent-de-la-Salanque, qui jusqu'alors comportait un débouché maritime[39].

    Pierre Latécoère, constructeur d’avions à Toulouse, conçoit, dans les années 1920, le projet révolutionnaire de relier Toulouse à l’Amérique du Sud par la voie des airs. Il installe, sur l’étang de Saint-Laurent, son hydrobase, destinée aux avions de l’Aéropostale. Le collège de Saint-Laurent-de-la-Salanque porte le nom de Jean Mermoz.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1945 Théodore Berthomieu    
    Laurent Vidal-Barragué   Capitaine au long cours
    Ancien conseiller général du canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque (1937 → 1940)
    Amédée Cadène DVG Conseiller général du canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque (1955 → 1973)
    René Marquès[40] DVG puis UDF-AD Médecin
    Sénateur des Pyrénées-Orientales (1992 → 2001)
    Conseiller général du canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque (1973 → 2004)
    Président du conseil général des Pyrénées-Orientales (1987 → 1998)
    Fernand Siré DVD puis UMP Médecin généraliste retraité
    Député de la 2e circonscription des Pyrénées-Orientales (2010 → 2017)
    Conseiller général du canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque (2004 → 2010)
    Vice-président de la CA Perpignan Méditerranée (2001 → 2014)
    En cours Alain Got[41] DVD puis UDI puis LREM Ingénieur du CNRS retraité
    Ancien conseiller général du canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque (2010 → 2011)
    Conseiller communautaire délégué Perpignan Méditerranée Métropole
    Président de Natura 2000/Étang de Salses-Leucate

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1355 1365 1378 1470 1515 1553 1709 1720 1730
    47 f112 f34 f15 f19 f8 f116 f82 f202 f
    1755 1765 1767 1774 1789 1790 - - -
    317 f700 H1 181 H202 f296 f2 014 H---
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].

    En 2018, la commune comptait 10 158 habitants[Note 7], en augmentation de 3,12 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6601 8532 1312 5573 2073 4443 5263 8134 063
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 3094 4354 5964 5714 6095 0365 4764 5404 434
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4 4704 3904 2594 1124 0363 6233 6303 0473 075
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    3 3003 6493 9714 5237 1867 9328 2248 58610 269
    2018 - - - - - - - -
    10 158--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[45] 1975[45] 1982[45] 1990[45] 1999[45] 2006[46] 2009[47] 2013[48]
    Rang de la commune dans le département 13 14 14 6 8 7 7 6
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    Un collège nommé Jean Mermoz et plusieurs écoles.

    Manifestations culturelles et festivités

    Santé

    centre de radiologie, dentistes, cardiologue, cabinet ophtalmique, orthodontiste, gynécologue, podologue, médecins généralistes, psychologue, laboratoires d'analyse, kinésithérapeutes, vétérinaires,

    Sports

    L'équipe de football américain (Grizzlys Catalans)[51] est le club phrase de la ville, ils évoluent en première division française. Saint-Laurent de La Salanque compte deux clubs de rugby à XIII et rugby à XV, Saint-Laurent-de-la-Salanque XIII et Rugby Club Salanque XV, un club de football FC Laurentin avec 210 licenciés et un club de tennis (Tennis Club Laurentin).

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    Revenus de la population

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 25 159 [52].

    En 2012, le revenu fiscal médian des ménages par unité de consommation est de 17 730  et 56,4 % des foyers fiscaux sont imposables. Le taux de pauvreté est de 17,1%[37].

    Fiscalité

    Entreprises et commerces

    • Le centre parachutiste d'instruction spécialisée (CPIS) de Perpignan dans les Pyrénées-Orientales, est l'un des trois centres d'entraînement des agents de la DGSE. Il utilise la piste de décollage ainsi qu'un hangar récemment réhabilité se trouvant sur la commune de Saint-Laurent-de-la-Salanque.

    Une base militaire équipée d’antennes radars est installée à Saint-Laurent. Ce serait un des sites d'écoute de la DGSE, appartenant au réseau Frenchelon.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Église Saint-Laurent.

    Personnalités liées à la commune

    Né en 1845 à Saint-Laurent-de-la-Salanque (†1907), fils de cafetier et devenu adulte, capitaine au long cours aux activités « pirates », il vogue vers l’Abyssinie, (où il rencontre Arthur Rimbaud), en proie aux affres de la guerre. Eloi Pino, décide de s’engager dans le commerce des armes dont a cruellement besoin le roi Ménélik II et s’installe à « Djibouti » en faisant construire une maison en dur, créant ainsi la ville de Djibouti[54].

    • Henri Danoy, dramaturge né en 1859 à Saint-Laurent-de-la-Salanque.
    • Fernand Duron né le à Saint-Laurent-de-la-Salanque. Joueur de rugby à XV. Champion de France de rugby à XV avec l'U.S.A.P en 1921 et finaliste en 1924. Troisième ligne aile ou talonneur (1,70 m - 74 kg).
    • Joseph Ribas, écrivain né en 1931 à Saint-Laurent-de-la-Salanque.

    Héraldique

    Blason
    Taillé, au premier d’azur au bateau d’argent voguant de face, au deuxième de gueules au gril d'or en pal. Alias : De gueules au gril de cinq pals d'or, tenu par une main de carnation parée d'argent et mouvant de la pointe[55].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Robert Villaros-Sanyas, Saint-Laurent-de-la-Salanque : Mémoires entre terre et eaux, Amélie-les-Bains, Alter ego éditions, , 221 p. (ISBN 2-915528-04-7)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Saint-Laurent-de-la-Salanque », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Laurent-de-la-Salanque et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Laurent-de-la-Salanque et Saint-Laurent-de-la-Salanque », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Saint-Laurent-de-la-Salanque », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 362-363.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    9. « Plan séisme » (consulté le ).
    10. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    11. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    12. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Laurent-de-la-Salanque », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « site Natura 2000 FR9101463 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9112005 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Laurent-de-la-Salanque », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF l'« embouchures de l'Agly, du Bourdigou et de l'Auque » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF l'« étang de Salses-Leucate » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF « la Corrège et les Dosses » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF les « prairies des rives sud de l'étang de Leucate » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « complexe lagunaire de Salses- Leucate » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    24. (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
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