Sainte-Marie-la-Mer

Sainte-Marie-la-Mer (Santa Maria la Mar en catalan) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Sainte-Marie.

Ne doit pas être confondu avec Saintes-Maries-de-la-Mer.

Sainte-Marie-la-Mer

Le port de Sainte-Marie-la-Mer
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Perpignan
Intercommunalité Perpignan Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Edmond Jorda
2020-2026
Code postal 66470
Code commune 66182
Démographie
Gentilé Saint-Marinois
Population
municipale
4 797 hab. (2018 )
Densité 466 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 43′ 41″ nord, 3° 01′ 04″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 10 m
Superficie 10,29 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Sainte-Marie
(ville isolée)
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Perpignan-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Sainte-Marie-la-Mer
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Sainte-Marie-la-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Marie-la-Mer
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Marie-la-Mer
Liens
Site web www.saintemarielamer.com

    Ses habitants sont appelés les Saintes-Marinois.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Sainte-Marie-la-Mer se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 11 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département La commune fait en outre partie du bassin de vie de Canet-en-Roussillon[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Canet-en-Roussillon (2,5 km), Villelongue-de-la-Salanque (2,7 km), Torreilles (3,6 km), Saint-Laurent-de-la-Salanque (5,6 km), Claira (6,2 km), Bompas (6,8 km), Saint-Nazaire (6,9 km), Le Barcarès (7,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Sainte-Marie-la-Mer fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[4] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[5].

    Risques naturels et technologiques

    La commune est concernée par le périmètre d’un plan de prévention des risques naturels ( PRR N ) concernant les risques d'inondation approuvé le 19/05/2004[7].

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[8].

    Voies cyclables

    La ville est traversée par la Vélittorale qui conduit du Barcarès à Canet-Plage[9].

    Transports

    La ligne 5 du réseau urbain Sankéo relie la commune à la gare de Perpignan.

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10],[11].

    Un espace protégé est présent sur la commune : « le Bourdigou », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de 73,9 ha[12],[13].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[14] : l'« embouchures de l'Agly, du Bourdigou et de l'Auque » (488 ha), couvrant 4 communes du département[15] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[14] : le « lido et marais de Toreilles » (703 ha), couvrant 4 communes du département[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Marie-la-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sainte-Marie, une unité urbaine monocommunale[20] de 4 773 habitants en 2017, constituant une ville isolée[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].

    La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[25]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[26],[27].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (70,5 %), zones urbanisées (20,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,4 %), zones humides côtières (2,1 %), cultures permanentes (1 %), eaux maritimes (0,9 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Au cours de la Révolution française, la commune porte les noms de Redoute-de-l'Agly et de Redoute-Maritime[29].

    La commune, nommée simplement Sainte-Marie, prend officiellement le nom de Sainte-Marie-la-Mer à la suite d'un décret du ministère de l'Intérieur du [30].

    Histoire

    Le monument aux morts.

    Jusqu'au XIIe siècle, deux villages coexistent dans les environs : Sainte-Marie-de-Pabirans, siège au XIe siècle d'une famille de Sainte-Marie, et Saint-André-de-Bigaranes. Le territoire passe ensuite entre les mains des seigneurs de Canet. En février 1198, le roi Alphonse II d'Aragon donne l'autorisation à Raymond de Canet de fortifier l'une des deux localités de son choix. Celui-ci décide de doter Pabirans de fortifications, ce qui causa probablement la disparition progressive de Saint-André dont il ne reste plus de traces aujourd'hui. Le toponyme de Pabirans est ensuite progressivement abandonné au profit de Sainte-Marie[31],[32].

    En 1322, Sainte-Marie rejoint la vicomté de Canet, créée à l'initiative de Sanche Ier, roi de Majorque et comte de Roussillon, en faveur de Guillaume IV de Canet[32].

    En 1790, Sainte-Marie devient une commune indépendante[29].

    Politique et administration

    Canton

    En 1793, la commune de Sainte-Marie fait partie du canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque. Elle est rattachée en 1801 à celui de Perpignan-Ouest puis en 1973 au canton de Perpignan-7. Elle revient en 1985 au canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque puis change encore en 1997 pour le canton de Canet-en-Roussillon[29].

    À compter des élections départementales de 2015, la commune rejoint le canton de Perpignan-2.

    Administration municipale

    La mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[33]
    Période Identité Étiquette Qualité
    7 février 1790 1790 François Ferrie    
    1790 1791 Xavier Guichu    
    1792 1793 Antoine Roque    
    1793 1794 Louis Ferrie    
    1794 1797 Jean Cortala    
    1797 1800 Barthélémy Lafite    
    1800 1815 Pierre Martre    
    1815 1816 Joseph Cortale    
    1816 1831 Pierre Martre    
    1831 1836 Joseph Roque    
    1836 1840 François Boluix    
    1840 1846 Pierre Martre    
    1846 1848 Jenis Pierre Martre    
    1848 1850 Jean Cortale    
    1850 1851 Honoré Vignau    
    1851 1851 Julien Maillach    
    1851 1870 Gérard d'Oms    
    1870 1874 Abdon Danjou    
    20 février 1874[34] 1896 Emmanuel Martre    
    1896 1904 Joseph Vignau    
    1904 1905 Charles Garrigue    
    1905 1908 Pierre Ticheyre    
    1908 1944 Jules Pagnon    
    1944 1947 Henri Bonnes    
    1947 1953 Jean Ausseil    
    1953 1959 Georges Barrau    
    1959 1983 Henri Pagnon    
    mars 1983 2020 Pierre Roig[35],[36] DVD puis UMP-LR Ancien conseiller général
    2020 En cours Edmond Jorda    

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1365 1378 1470 1515 1553 1643 1709 1720 1730
    68 f46 f38 f36 f23 f12 f37 f26 f22 f
    1755 1767 1774 1789 1790 - - - -
    27 f158 H22 f50 f150 H----
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

    En 2018, la commune comptait 4 797 habitants[Note 6], en augmentation de 1,52 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    230252263358402417440447502
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    494489515510512539589619652
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    669694666744734833724633795
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    8769759311 2852 1713 4523 8424 6414 762
    2018 - - - - - - - -
    4 797--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fêtes patronale et communale : 15 et [40].

    Santé

    Le centre médical

    Un centre médical est présent sur la commune.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 24 004 [41].

    Culture locale et patrimoine

    Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Sainte-Marie

    L'église Sainte-Marie remonte probablement au haut Moyen Âge. L'édifice actuel ne date cependant, pour ses parties les plus anciennes, que du XIIe siècle ou du début du XIIIe siècle. Le chevet fortifié, de forme pentagonale, est en effet le dernier vestige de l'église romane. Extérieurement comme intérieurement, ses parois sont appareillées en pierre de taille, ce qui montre le grand soin apporté à l'édifice[42]. L’orientation du chevet vers l'intérieur de l'enceinte fortifiée du village laisse penser que l'église jouait le rôle d'ultime refuge en cas d'attaque[43].

    Le reste de l'église romane ne nous est pas parvenu. La nef fut reconstruite au XVIIIe siècle et rallongée au XIXe siècle, avec la construction de la façade actuelle. La nef est couverte par une charpente sur arcs diaphragmes, et remploie des pierres de taille provenant probablement de l'édifice roman[44].

    L'Abside a été classée au titre des monuments historiques en 1983[45]. La nef a été inscrite au titre des monuments historiques en 1983[45].

    Le mobilier comporte plusieurs retables et statues baroques (XVIIIe siècle) et néo-gothiques (XIXe siècle). De plus, l'édifice conservait un fragment sculpté attribué à un linteau et portant des traces d'une inscription aujourd'hui indéchiffrable. La datation souvent avancée pour cette sculpture (époque pré-romane) n'est pas vérifiable[42]. Cette pièce semble ne plus être entreposée dans l'église[46].

    • Dans le village, on verra les vestiges de l'ancienne enceinte de forme quadrangulaire qui protégeait le village. Il ne reste que la courtine ouest, flanquée par l'abside de l'église et par une porte en plein cintre, surmontée d'une tour de l'horloge en briques. L'ensemble a été fortement remanié. Il subsiste également la tour d'angle nord-ouest, récemment restaurée.
    • Fresque de portraits de rugbymen célèbres (300 m de long) à Sainte-Marie Plage, réalisée par le peintre Leslie Dykes en 1993.

    Équipements culturels

    La commune possède une bibliothèque municipale, située sur la place de la mairie.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Sainte-Marie-la-Mer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Sainte-Marie-la-Mer et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Sainte-Marie-la-Mer », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 362-363.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « plan de prévention des risques naturels inondation » (consulté le ).
    8. « Plan séisme » (consulté le ).
    9. Vélittorale (EV8)
    10. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    11. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    12. « le Bourdigou », sur le site du conservatoire du littoral (consulté le )
    13. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sainte-Marie-la-Mer », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF l'« embouchures de l'Agly, du Bourdigou et de l'Auque » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF le « lido et marais de Toreilles » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Sainte-Marie », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan », sur insee.fr (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    26. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. « Version électronique authentifiée publiée au JO du 09/02/2017 | Legifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    31. Lucien Bayrou, Entre le Languedoc et le Roussillon, 1258-1659, fortifier une frontière ?, Ed. Amis du Vieux Canet, 2004, page 269.
    32. Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
    33. Tableau des maires affiché en mairie
    34. Fabricio Cardenas, « Maires nommés en février 1874 dans les Pyrénées-Orientales », sur Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, (consulté le ).
    35. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
    36. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2017 et 2018.
    40. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
    41. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    42. Géraldine Mallet, Églises romanes oubliées du Roussillon, Ed. Les Presses du Languedoc, 2003, p. 96-97.
    43. Lucien Bayrou, Entre le Languedoc et le Roussillon, 1258-1659, fortifier une frontière ?, Ed. Amis du Vieux Canet, 2004, p. 269.
    44. Marcel Durliat, Roussillon Roman, Ed. Zodiaque, 1986, p. 232.
    45. « Eglise Notre-Dame des Anges », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    46. Visite de l'église en juillet 2007

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Francis Brunet, « Sainte-Marie sous la IIe République 1848-1851 », Études roussillonnaises, no XII, , p. 257-284

    Articles connexes

    Liens externes

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