Cabestany

Cabestany est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Cabestany (homonymie).

Cabestany

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Perpignan
Intercommunalité Perpignan Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Jean Vila
2020-2026
Code postal 66330
Code commune 66028
Démographie
Gentilé Cabestanyencs
Population
municipale
10 235 hab. (2018 )
Densité 982 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 40′ 52″ nord, 2° 56′ 36″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 53 m
Superficie 10,42 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Perpignan
(banlieue)
Aire d'attraction Perpignan
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Perpignan-3
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Cabestany
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Cabestany
Géolocalisation sur la carte : France
Cabestany
Géolocalisation sur la carte : France
Cabestany
Liens
Site web ville-cabestany.fr

    Ses habitants sont appelés les Cabestanyencs.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Cabestany se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département La commune fait en outre partie du bassin de vie de Perpignan[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Saleilles (3,0 km), Saint-Nazaire (4,3 km), Perpignan (4,4 km), Théza (4,8 km), Villeneuve-de-la-Raho (5,3 km), Alénya (5,5 km), Bompas (5,7 km), Canet-en-Roussillon (6,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Cabestany fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[4] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[5].

    Communes limitrophes de Cabestany[6]
    Perpignan Canet-en-Roussillon
    Saleilles Saint-Nazaire
    Situation de Cabestany.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 042 hectares. L'altitude varie entre 0 et 53 mètres[7].

    La commune est classée en zone de sismicité 9, correspondant à une sismicité très élevée[8].

    Hydrographie

    Cabestany est située dans la plaine côtière du Roussillon, juste au sud-est de Perpignan, à proximité de l'étang de Canet-Saint-Nazaire. Son territoire s'étend entre les fleuves de la Têt (la Tet) et du Réart. Il s'agit pour l'ensemble d'une ancienne zone marécageuse, occupée autrefois par des étangs aujourd'hui asséchés.

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[9],[10],[11].

    Toponymie

    Le nom catalan de la commune (de Cap, « Tête » et « Estany », lac) n’a pas été francisé (du latin caput et stagni, même sens)[12].

    Les premières mentions du nom sont Cabestagnium en 927 et Caput stagnum en 1042[13].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 15,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 597 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,3 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[15].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[16]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[14].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924[19]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[20],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[21], à 15,7 °C pour 1981-2010[22], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Cabestany est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Perpignan, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[27] et 201 061 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[28],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[30],[31].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (58,5 %), zones urbanisées (31,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), prairies (0,2 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    Place Abbé Michel Matton.

    Le territoire agricole de Cabestany, essentiellement consacré à la vigne, s'est considérablement rétréci depuis une trentaine d'années avec l'extension des zones pavillonnaires. Dans le cadre de son Plan local d'urbanisme (2010), une ceinture verte aura vocation à préserver une partie du territoire de l'urbanisation forte de la plaine du Roussillon.

    Cabestany constitue une banlieue résidentielle proche de Perpignan.

    Logement

    Cabestany comprend en 2012 4 195 logements, parmi lesquels 93,6 % sont des résidences principales, 1,6 % sont des résidences secondaires et 4,8 % sont vacants. 74,5 % des ménages sont propriétaires de leur logement[33].

    Faute d'avoir respecté l'objectif triennal 2011-2013 de construction de logements sociaux, avec 100 réalisés sur les 151 requis (soit un taux de réalisation de 66 %), la commune se voit infliger par la préfecture en 2015 une pénalité de 67 000 euros[34].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par plusieurs lignes du réseau urbain Sankéo : la ligne 4 la relie à la gare de Perpignan, et la ligne 22 la relie au centre de Perpignan ou à sa gare routière. La ligne 542 du réseau régional liO dessert également la commune, en la reliant à la gare de Perpignan et à Saint-Cyprien.

    Histoire

    Le monument aux morts.

    À la suite de la requête en 1762 des habitants de Cabestany, un curé perpétuel est affecté à la paroisse. La représentation en incombe alors à l'ordre de Malte[35].

    Le , pendant la guerre du Roussillon, eu lieu le combat de Cabestany ou 400 fantassins et 400 cavaliers du général espagnol Antonio Ricardos massacrèrent les soldats de la République et une partie de la population[36].

    Une partie de la commune de Cabestany est détachée le pour former la nouvelle commune de Saleilles[35].

    Le , une commémoration par la ville de Cabestany du centenaire de l'armistice a été faite, avec un discours du maire, une lecture de lettres de poilus par des élèves du collège local, un chant de La Marseillaise, ainsi qu'un lâcher de ballons aux couleurs du drapeau français.

    Politique et administration

    Canton

    En 1790, la commune de Cabestany est incluse dans le canton d'Elne. Elle est rattachée en 1801 au canton de Perpignan-Est. Elle rejoint brièvement en 1982 le canton de La Côte Radieuse avant de revenir en 1985 au canton de Perpignan-3[35],[7].

    À compter des élections départementales de 2015, la commune demeure dans le canton de Perpignan-3, dont les limites ont cependant été remaniées.

    Intercommunalité

    La ville fut enclavée dans le territoire de Perpignan Méditerranée Métropole par l'adhésion de la ville de Saleilles. Cabestany et son maire communiste Jean Vila, refusèrent d'ailleurs d'y être intégré par la contrainte. Dans le cadre d'un référendum local en 2001, 95 % des Cabestanyencs ont refusé l'intégration à l'Agglomération (particip. 43 %). En 2010, face à la tentative d'intégration forcée à l'agglomération, la municipalité a démissionné. À l'occasion de l'élection municipale qui a suivi, la population a réaffirmé son opposition à l'intégration. Cabestany est intégrée par l'État dans l'agglomération de Perpignan le 1er janvier 2010[37]. Depuis le 1er janvier 2016, elle fait partie de Perpignan Méditerranée Métropole.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[38],[39]
    Période Identité Étiquette Qualité
             
     ? juin 1815 Mare Beille[40]    
    juin 1815 janvier 1825 Jean Berga[40]    
    janvier 1825 décembre 1831 Antoine Meunier    
    décembre 1831 mai 1834 Augustin Oriola    
    mai 1834 janvier 1837 Pierre Berga    
    janvier 1837 février 1848 Joseph Sabardeil    
    février 1848 septembre 1848 Joseph Gely    
    septembre 1848 février 1852 Louis Sabardeil    
    février 1852 janvier 1855 Joseph Pons    
    janvier 1855 janvier 1868 Victor Battle    
    janvier 1868 septembre 1870 Michel Fort    
    septembre 1870 janvier 1874 Jean Camo    
    janvier 1874 mai 1876 Louis Sabardeil    
    mai 1876 septembre 1878 Pierre Pastor    
    septembre 1878 janvier 1881 Jean Nogues    
    janvier 1881 septembre 1882 Joseph Cavaille    
    septembre 1882 janvier 1883 Emmanuel Pairi    
    janvier 1883 mai 1884 François Badie    
    mai 1884 mai 1886 Théodore Carrere    
    mai 1886 mai 1893 Étienne Casedamont    
    mai 1893 mai 1909 Jean Fort    
    mai 1909 mai 1912 Jacques Comignan    
    mai 1912 mai 1921 François Sagui Escudie    
    mai 1921 août 1944 François Pomarede    
    août 1944 mai 1945 Gervais Castello    
    mai 1945 mars 1977 Jules Castillo    
    mars 1977 juillet 2021 Jean Vila[41] PCF Chef de publicité retraité
    Député de la 1re circonscription des Pyrénées-Orientales (1997 → 2002)
    Conseiller régional de Languedoc-Roussillon (1986 → 1998)
    Conseiller général puis départemental du canton de Perpignan-3 (1992 → 1999 puis 2004 → 2016)
    2e vice-président du conseil général des Pyrénées-Orientales (2008 → 2015)
    juillet 2021 En cours Édith Pugnet[42] PCF Conseillère départementale du Canton des Aspres (2015 → 2021)[43]

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2007[44].

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1378 1424 1515 1709 1720 1730 1767 1774 1789
    39 f15 f5 f27 f18 f22 f170 H22 f40 f
    1790 - - - - - - - -
    45 H--------
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[46].

    En 2018, la commune comptait 10 235 habitants[Note 6], en augmentation de 6,87 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    216257315371420500574666686
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    7467027528159249901 1441 2461 271
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4971 4561 5531 5081 0309999649491 029
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 1551 3463 3906 2217 5138 2598 2309 0749 790
    2018 - - - - - - - -
    10 235--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[48] 1975[48] 1982[48] 1990[48] 1999[48] 2006[49] 2009[50] 2013[51]
    Rang de la commune dans le département 41 16 7 4 6 8 6 7
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    Il y a trois écoles maternelles (Ecoles Jean de la Fontaine, Ludovic Massé et Charlie Chaplin), et trois écoles élémentaires (Ludovic Massé, Georges Buffon et Jacques Prévert). Il y a également un collège (Pablo Casals).[réf. nécessaire]

    Manifestations culturelles et festivités

    Santé

    La clinique Medipole est située sur la commune de Cabestany

    Sports

    Chaque année, la commune de Cabestany organise une course de 10 km, appelée la "Cabestanyenca".

    Économie

    Place de la Révolution française

    Revenus de la population et fiscalité

    Revenus de la population

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 31 615 [53].

    En 2012, le revenu fiscal médian des ménages par unité de consommation est de 20 538,69  et 66,8 % des foyers fiscaux sont imposables. Le taux de pauvreté est de 11,3%[33].

    Fiscalité

    Culture locale et patrimoine

    L'église Notre-Dame-des-Anges
    Le centre culturel

    Monuments et lieux touristiques

    • L'église Notre-Dame-des-Anges, qui abrite le tympan marial dit du Maître de Cabestany (fin du XIIe siècle). La charpente d'une travée de l'église date du XIVe siècle. À proximité de l'église, des restes de jarres enterrées, signes de présence d'un grenier et peut-être d'une villa romaine, ont été trouvés. Une autre villa de grande taille occupait très certainement les légers reliefs de l'actuelle rue de la Colline.
    • Il est curieux de constater que la Mairie actuelle et ses dépendances proches occupent à peu près exactement l'emplacement du cellier, grenier communal du Moyen Âge.
    • Sur les coteaux, en direction de la mer, vers Canet-en-Roussillon, se trouvent les "terrasses de Cabestany", lieux plats habités par les hommes depuis 800 000 ans au moins, c'est-à-dire bien avant les datations de Tautavel. Malheureusement, le vent a détruit toute trace de ces premiers foyers du Roussillon, et les rares pierres taillées que l'on y trouve parfois sont très érodées par les vents, et fort peu identifiables.

    Personnalités liées à la commune

    • Guillem de Cabestany : un troubadour du XIIe siècle ;
    • Le Maître de Cabestany (fin du XIIe siècle) : sculpteur anonyme itinérant, sculpta probablement dans une chapelle dédiée à Saint-Thomas et aujourd'hui disparue, un tympan dédié à la Vierge Marie, conservé aujourd'hui dans l'église paroissiale, d'une facture particulière et identifiable de façon aisée[54] ;
    • Ludovic Massé (1900-1982) : romancier, a été instituteur à Cabestany[55].
    • François (Ferenc) Vanczak (Budapest 1908-Perpignan 1988) : sculpteur actif en France depuis 1937, habitant de Cabestany de 1968 à 1988 et auteur de nombreux monuments en Hongrie, Angleterre et France, dont, dans le département[56]
    • Christian d'Oriola (1928-2007) : escrimeur français, inhumé au cimetière de Cabestany.
    • The Limiñanas, groupe de rock originaire de la commune[57].

    Équipements culturels

    Héraldique

    Blason
    Écu en losange. De gueules à la tête de Maure de sable, tortillée d'argent et du champ, enfermée dans un ouroboros [serpent décrivant un cercle] contourné d'or; à la champagne d'argent chargée de deux burelles ondées de sinople.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Culture populaire

    Littérature
    • Pompes funèbres à Cabestany de Pierre Coutant (Les Presses Littéraires, 2012) : roman policier dont l'action se situe dans la commune.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le Maître de Cabestany d'André Bonnery (Éditions Msm, 2007).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Cabestany », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Cabestany et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches de Cabestany », sur www.villorama.com (consulté le ).
    4. Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 362-363.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    8. « Plan séisme » (consulté le ).
    9. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Cabestany », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « Liste des ZNIEFF de la commune de Cabestany », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « Liste des espaces protégés sur la commune de Cabestany », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. Site Ville de Cabestany, Découvrir Cabestany-Étymologie
    13. Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
    14. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    15. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    16. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    17. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    18. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    19. « Station Météo-France Perpignan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    20. « Orthodromie entre Cabestany et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    25. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Unité urbaine 2020 de Perpignan », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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