Bas-en-Basset

Bas-en-Basset (prononciation : /bas ɑ̃ basɛ/) est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Basset.

Bas-en-Basset

Bas-en-Basset depuis le Château de Rochebaron.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Yssingeaux
Intercommunalité Communauté de communes Marches du Velay-Rochebaron
Maire
Mandat
Guy Jolivet
2020-2026
Code postal 43210
Code commune 43020
Démographie
Population
municipale
4 368 hab. (2018 )
Densité 93 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 18′ 24″ nord, 4° 06′ 36″ est
Altitude Min. 433 m
Max. 901 m
Superficie 46,76 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Monistrol-sur-Loire
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Étienne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bas-en-Basset
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Bas-en-Basset
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Bas-en-Basset
Géolocalisation sur la carte : France
Bas-en-Basset
Géolocalisation sur la carte : France
Bas-en-Basset

    Présentation

    Géographie

    Bas-en-Basset est situé dans le nord-est du département de la Haute-Loire et limitrophe de celui de la Loire, à 27 km au sud-ouest de Saint-Étienne et à 35 km au nord-nord-ouest du Puy-en-Velay.

    La commune est traversée par la Loire, le fleuve marquant, sur deux sections distinctes au sud-est et à l'est, la limite communale. Bas-en-Basset est composée de plusieurs villages (44 lieux-dits) et s'étend sur près de 4 800 hectares.

    Sur sa partie rive-gauche :

    • Bas. Partie administrative du bourg dans lequel se trouvent mairie et écoles, limitée par la Loire à l'est
    • Lamure
    • Loudun
    • Labiec
    • Os
    • Fouilloux
    • Ranchevoux
    • Coutanson
    • Tézenac
    • Montméat
    • Le Roure
    • Saint-Julien
    • Nave
    • Navogne
    • Ancette. Située au bord de l'Ance
    • Crémerolles
    • la Roche

    Sur sa partie rive-droite :

    • Gourdon
    • Basset
    • les Salles
    • Gournier, partagé avec la commune de Monistrol-sur-Loire, de même que la gare.

    Une plaine avec des étangs s'étend depuis la Loire jusqu'à des collines à l'ouest. Ces étangs se sont formés après l'exploitation intensive des sables de la Loire. Les cavités exploitées à l'époque se sont remplies d'eau et abritent une faune et une flore protégées.

    Voies de communication et transports

    Sports

    • Stade René-David.
    • Court(s) de tennis.
    • Trois terrains de football d'entraînement.
    • Une salle municipale et une salle des fêtes.
    • Un gymnase.
    • Une piscine d'été.
    • Un club de volley-ball.

    Économie

    La commune possède trois zones industrielles :

    • ZI de la Gare ;
    • ZI du Patûral ;
    • ZI du Pré du Milieu.

    L'essentiel de l'activité économique de la commune repose sur les domaines de la plasturgie et de l'industrie mécanique.

    Les entreprises artisanales sont aussi très présentes dans la commune. Le secteur primaire est lui aussi bien représenté.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Thyrse de style roman.
    • La croix des Marronniers.
    • Béate de Basset.
    • Le château de Rochebaron. Dominant toute la plaine de Bas-en-Basset, il est un lieu de tourisme local, et accueille parfois des manifestations culturelles.

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Malgré la découverte de silex datant du néolithique près de la Loire, il n'y a aucune preuve d'une occupation permettante du territoire aux temps préhistoriques.

    Puis apparaît un village Vellaune[3] sur le Mont-Malorum, sur la frontière d'avec les Ségusiaves. Son extension maximale est comprise entre quatre et six hectares. Y furent retrouvées des pièces de monnaie[4], ainsi qu'une « grosse cargaison » de poteries gauloises et d'amphores[5]. Après l'invasion romaine, le Mont Malorum sera voué à l'exploitation agricole jusqu'à la fin du XIXe siècle.

    Dans la plaine, par contre, la spécialité fut « durant des millénaires »[6] la poterie, grâce au gisement d'argile de Ranchevoux, exploité en souterrain, et ce encore jusqu'à la fin du XIXe siècle.

    Le nom Bas trouverait son origine dans la présence d'un consul romain nommé Caius Bassus, propriétaire de biens dans le Territorium Bassence[7]. Le Bas-en-Basset gallo-romain, dans la plaine, parait avoir été important : traversé par une route, on y a retrouvé des colonnes ; une stèle funéraire ; des monnaies ; des objets divers originaires de la région ou de Gaulle ; et certains autres qui ornaient habituellement les temples romains[8].

    Le Velay est ravagé lors des invasions barbares par les Vandales[9], les Burgondes, les Wisigoths. Il passe ensuite sous domination franque.

    Moyen Âge

    Bas est lié à la seigneurie de Rochebaron, dont le château est bâti au XIe siècle[10] sur un éperon en bordure du Mont Malorum, à 650 mètres d'altitude, dominant de plus de 200 mètres le cours de la Loire et la plaine. Il est fortement remanié au XVe siècle.

    Citons quelques seigneurs moyenâgeux du lieu, sans trop entrer dans les détails :

    de la Renaissance à 1789

    .

    De 1789 à Aujourd'hui

    Le territoire fait partie du Comté de Forez du XIVe siècle jusqu'en 1789, et est rattaché l'année suivante au département de la Haute-Loire.

    Au XVIIIe siècle et durant la première partie du XIXe, la commune connaît une importante exploitation de son bois (principalement des sapins), qui est acheminé par flottage sur le fleuve jusqu'à Saint-Just-Saint-Rambert pour servir à la construction de bateaux[14].

    Le village subit des crues catastrophiques en 1790, 1846, 1856, 1866, ce qui n'entrave cependant pas le développement des activités agricoles dans la plaine, principalement axées sur le maraîchage et la viticulture (jusqu'à la crise du Phylloxéra pour cette dernière).

    Une gare est bâtie et est ouverte au service en 1863 sur la ligne ferroviaire Saint-Georges-d'Aurac - Saint-Étienne.

    L'église Saint-Thyrse-et-Saint-Antoine-le-Grand, bâtie sur l'emplacement d'un édifice antérieur, est consacrée en 1888.

    Bas devient Bas-en-Basset le 19 décembre 1958. Dans la seconde moitié du XXe siècle se développe le tourisme, matérialisé par l'implantation de deux campings, justifiant le surnom de « Petit Nice de la Haute-Loire »[15].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1971 mars 1989 Urbain Martin[16] UDF-PR Responsable d'agence bancaire
    Conseiller général (1982-2001)
    mars 1989 mars 2014 Joseph Chapuis DVD Agriculteur
    Conseiller général (2001-2015) puis départemental (2015-)
    du canton de Bas-en-Basset
    mars 2014 2020 Gilles David[17] DVD Retraité
    2020 En cours Guy Jolivet[18] DVD Cadre retraité de l'industrie, conseiller départemental depuis 2021

    Jumelages

    Population et société

    Évolution démographique

    En 2018, la commune comptait 4 368 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Une réforme du mode de recensement permet à l'Insee de publier annuellement les populations légales des communes à partir de 2006. Pour Bas-en-Basset, commune de moins de 10 000 habitants, les recensements ont lieu tous les cinq ans, les populations légales intermédiaires sont quant à elles estimées par calcul[19]. Les populations légales des années 2006, 2011, 2016 correspondent à des recensements exhaustifs[20].

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4 9615 0985 3885 3085 5245 4185 7886 1993 386
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 0003 1893 1413 0223 0673 0743 0933 0402 940
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 9283 0022 8622 6742 6022 6112 5242 2182 112
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 1782 2802 3032 5212 9553 3443 8754 2324 351
    2018 - - - - - - - -
    4 368--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La pyramide des âges, à savoir la répartition par sexe et âge de la population, de la commune de Bas-en-Basset en 2010[23] ainsi que, comparativement, celle du département de la Haute-Loire la même année[24], sont représentées avec les graphiques ci-dessous.

    La population de la commune comporte 48,5 % d'hommes et 51,5 % de femmes. Elle présente en 2010 une structure par grands groupes d'âge légèrement plus âgée que celle de la France métropolitaine[25]. L'indicateur de jeunesse, égal à la division de la part des moins de 20 ans par la part des plus de 60 ans[26], est en effet de 0,89 pour la commune, soit 89 jeunes de moins de 20 ans pour cent personnes de plus de 60 ans, alors que pour la France métropolitaine il est de 1,06. Cet indicateur est par contre supérieur à celui du département (0,87) et à celui de la région (0,8)[27].

    Pyramide des âges à Bas-en-Basset en 2010 en pourcentage[23].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    1,4 
    7,7 
    75 à 89 ans
    12,4 
    15,7 
    60 à 74 ans
    16,4 
    21,6 
    45 à 59 ans
    17,7 
    20,4 
    30 à 44 ans
    20,2 
    14,3 
    15 à 29 ans
    13,8 
    19,9 
    0 à 14 ans
    18,0 
    Pyramide des âges dans le département de la Haute-Loire en 2010 en pourcentage[24].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    1,4 
    7,9 
    75 à 89 ans
    12,3 
    15,9 
    60 à 74 ans
    16,3 
    21,7 
    45 à 59 ans
    20,2 
    19,8 
    30 à 44 ans
    18,6 
    15,6 
    15 à 29 ans
    14,0 
    18,7 
    0 à 14 ans
    17,2 

    Urbanisme

    Typologie

    Bas-en-Basset est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[28],[29],[30]. Elle appartient à l'unité urbaine de Monistrol-sur-Loire, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[31] et 13 066 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[32],[33].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[34],[35].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,8 %), zones agricoles hétérogènes (26,7 %), prairies (15,1 %), zones urbanisées (6,8 %), eaux continentales[Note 3] (2,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[36].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[37].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 101, alors qu'il était de 100 en 2013 et de 85 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 46,5 % étaient des résidences principales, 46,5 % des résidences secondaires et 6,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bas-en-Basset en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (46,5 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 73,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,2 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Bas-en-Basset en 2018.
    Typologie Bas-en-Basset[I 1] Haute-Loire[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 46,5 71,5 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 46,5 16,1 9,7
    Logements vacants (en %) 6,9 12,4 8,2

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De gueules à une amphore romaine d'or (couronne de trois tours)[38].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Bibliographie

    • Yves Theillère, Histoire du canton de Bas-en-Basset de l'époque néolithique au XXe siècle, 1989
    • Lucien Parat, Le château de Rochebaron : in Cahiers de la Haute-Loire 1972, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.

    Site de l'Insee

    1. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Bas-en-Basset », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Bas-en-Basset - Section LOG T2 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Bas-en-Basset - Section LOG T7 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière », sur le site de l'Insee (consulté le ).

    Autres sources

    1. carte IGN.
    2. Anciennement classée aux monuments historiques et déclassée par le décret du 25 avril 2017 du fait de son délabrement et du don de l'ensemble de papiers peints panoramiques des années 1800-1810.
    3. Groupe de recherche archéologique vellave - "Le Mont-Malorum", de Romain Lauranson, le 4 mai 2012.
    4. Site internet https://auvergne-centrefrance.com __"Bas-en-Basset - Ville du département de la Haute-Loire.
    5. Livre d'Albert Boudon-Lashermes __"Le vieux Puy - Podium Sanctae Mariae"__, année 1989, page 2.
    6. Livre "Le monde souterrain de Haute-Loire", de Jean-Paul Béal, année 2018, page 75.
    7. http://basenbasset.fr __"Bas-en-Basset - À la découverte du petit patrimoine".
    8. https://www.leprogres.fr, article du 19 novembre 2017 "Bas-en-Basset - À la découverte du passé gallo-romain de "Navogne".
    9. Page Wikipedia de la ville d'Espaly-Saint-Marcel.
    10. Selon les sites internet, ce château est parfois daté du XIe siècle, et parfois du XIIe siècle. Cependant il faut noter que la Famille de Rochebaron apparaît en 960 (voir texte plus bas).
    11. Il y a peu d'informations sur cette famille, sinon qu'elle est originaire du Forez. Guillaume de Baffie est évêque de Clermont de 1096 à 1103. Au XIIIe siècle une certaine Philippie ou Philippa de Baffie (née vers 1225) se marie avec Guillaume VIII d'Auvergne, puis avec Robert II de Courcelles.
    12. Les origines géographiques de Marguerite de Buzet et de Elide de la Rouë sont à vérifier.
    13. Ce mariage a certainement été organisé pour « raccommoder » les partis, au sortir des luttes fratricides de la guerre de Cent Ans. À noter, l'âge de Guigon à sa mort (24 ans) ; et celui de Louis lors de son mariage (10 ans).
    14. Commune de Bas-en-Basset (43) - Plan Local d'Urbanisme (P.L.U.), année 2016, page 13.
    15. P.L.U., année 2016, page 14.
    16. Urbain Martin, ancien-maire sur leprogres.fr
    17. « Liste des maires » [PDF], sur le site de la préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
    18. « Liste des maires » [PDF], Préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
    19. « Le recensement de la population en bref », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    20. « Calendrier de recensement des communes de la Haute-Loire », sur Insee (consulté le ).
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. « Chiffres clés évolution et structure de la population de Bas-en-Basset », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    24. « Chiffres clés évolution et structure de la population du département de la Haute-Loire en 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    25. « Chiffres clés évolution et structure de la population de la France métropolitaine en 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    26. « Indicateur de jeunesse », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    27. « Chiffres clés évolution et structure de la population de la région Auvergne en 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    28. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    30. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    31. « Unité urbaine 2020 de Monistrol-sur-Loire », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    32. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    33. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    34. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    35. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    36. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    37. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    38. Armorial spécial de France : recueil authentique des généalogies historiques de familles nobles et titrées... Ouvrage contenant un grand nombre de blasons gravés et l'état présent des maisons souveraines, Aimé B. d'Agnières, page 558.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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