Nozay (Loire-Atlantique)

Nozay est une commune de l'Ouest de la France, dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Avant la Révolution française, elle faisait partie de la Bretagne historique et de la circonscription ecclésiastique et civile dite archidiaconé de la Mée.

Pour les articles homonymes, voir Nozay.

Nozay

Mairie de Nozay.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes de Nozay
(siège)
Maire
Mandat
Jean-Claude Provost
2020-2026
Code postal 44170
Code commune 44113
Démographie
Gentilé Nozéens
Population
municipale
4 173 hab. (2018 )
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 33′ 55″ nord, 1° 37′ 26″ ouest
Altitude Min. 13 m
Max. 96 m
Superficie 57,7 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Nozay
(ville isolée)
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Guémené-Penfao
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Nozay
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Nozay
Géolocalisation sur la carte : France
Nozay
Géolocalisation sur la carte : France
Nozay
Liens
Site web http://www.nozay44.fr/

    Territoire rural de 5 770 hectares, Nozay a longtemps vu son économie s'articuler autour de l'agriculture : commerce de bétail et de blé, fabrication artisanale de textile. Au début du XXe siècle, grâce au chemin de fer, l'extraction de pierre de schiste et de minerais de fer et de cassitérite va dynamiser la commune. De nos jours, les sphères d'influence économique de Nantes et de Rennes animent le commerce et l'artisanat local.

    Géographie

    Situation de la commune de Nozay dans le département de la Loire-Atlantique.

    Nozay est située au nord du département de la Loire-Atlantique, à 40 km de Nantes et 60 km de Rennes, le long de la voie express reliant ces deux villes.

    Les communes limitrophes sont Jans, Marsac-sur-Don, Vay, Puceul, Abbaretz et Treffieux.

    Relief et hydrographie

    Le Don à Beaujouet.
    Carte du relief des environs de Nozay.

    Le territoire de Nozay s'étale en pente douce vers l'est. On passe ainsi de 91 mètres à l'ouest de la commune au lieu-dit Le Haut-Mérel à 28 mètres au Bois-Hubert à l'est. Si la ville en elle-même (au centre d'une moitié gauche du territoire) et la limite sud de la commune ont une moyenne de 50 mètres, la frontière septentrionale a été érodée par la rivière du Don, qui s'écoule dans des terrains d'une hauteur moyenne de 25 mètres. Le reste du paysage est légèrement vallonné, portant de petites collines, telles la butte de Limerdin ou celle de Moque-souris, constituant les restes de l'axe central des reliefs du Massif armoricain breton. Le territoire nozéen est irrigué par plusieurs petits ruisseaux. À l'ouest, les rus des Rochettes, de la Briandrie, de Jouvence (lequel traverse la ville) rejoignent les ruisseaux des Hunières et de la Villate. Ces derniers se rejoignent à Ville-au-Chef en compagnie de ceux de la Mare de l'Aune et de Cétrais, venant respectivement de l'est et du sud. Toutes ces confluences prennent le chemin du Don par le ruisseau du Sauzignac. Le Don se jette dans la Vilaine. Au sud-ouest, les ruisseaux de Créviac et de la Source du Fresne se jettent dans un affluent de l’Isac à Puceul[1].

    Géologie

    Affleurement de schiste à la Ville-au-chef.

    Les sous-sols de la commune font partie de la Bretagne centrale ou domaine centre-armoricain, de formation datée d'environ 370 millions d'années. Ils sont sédimentaires et reposent sur un socle de grès armoricain[2]. Le sous-sol est presque entièrement formé de différentes sortes de schistes. L'un de ces schistes, de type sub-ardoisier, bleu-noir et relativement dur, contient de la tourmaline ou du mica ; c'est celui que l'on a longtemps appelé « pierre verte », de nos jours « pierre bleue », et largement utilisé pour la construction dans le pays. L'autre, le plus abondant, est un méta-argilite gris-blanc, qui s'altère rapidement en donnant une argile argentée. Un filon de quartz stannifère de 8 kilomètres traverse la commune d'est en ouest. On trouve également une poche de granit au village de Gatine, et un gisement de kaolin au Petit-Perray[3].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 775 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Derval », sur la commune de Derval, mise en service en 1979[10] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 767,8 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 43 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[14], à 12,5 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[16].

    Agriculture

    Le paysage est à dominante rurale, propice à la culture fourragère (herbe) et céréalière (blé), sur la grande partie est de la commune grâce à une bonne qualité des sols. La plupart de ces exploitations agricoles sont spécialisés dans l'élevage bovin et la production laitière.

    Réseau routier

    La commune de Nozay est traversée par plusieurs routes départementales[17], dont :

    Sa position géographique stratégique situe Nozay au carrefour de grandes agglomérations (30 minutes de Nantes, 45 min de Rennes, 20 min de Châteaubriant)[17].

    Transports en commun

    Le réseau d'autocars Aléop, géré par la région des Pays de la Loire, permet de relier Nozay au reste de la Loire-Atlantique[18]. Nozay ne possède plus de gare depuis 1970[Note 4]. Les aéroports les plus proches de Nozay sont ceux de Rennes - Saint-Jacques et de Nantes Atlantique, qui proposent des vols réguliers intérieurs et internationaux.

    Urbanisme

    Typologie

    Nozay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nozay, une unité urbaine monocommunale[22] de 4 150 habitants en 2017, constituant une ville isolée[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,6 %), zones agricoles hétérogènes (26,1 %), prairies (11 %), forêts (4,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,6 %), zones urbanisées (3,1 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[28].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Noziacum en 1072[29],[30]et 1123[31],[32], Nozeyum en 1145[29], Nozauym en 1287[29] et Nouzay en 1453[30].

    Probablement du latin nucetum « lieu planté de noyers » (comprendre gallo-roman NUCETU), basé sur nux « noix », devenu NUC- + suffixe -ETU, devenu -ei, -oi en langue d'oïl, -iacum doit être une fausse latinisation de l'ancien suffixe d'oïl -ei, -oi (< latin -etum)[32].

    Son nom breton est Nozieg[33].

    Histoire et Patrimoine

    Histoire

    L'occupation du territoire nozéen est attestée dès la préhistoire par la découverte de plusieurs haches en pierre polie, et par l'érection du menhir de Couëbrac[34].

    À l'époque romaine on a fabriqué de 6 000 à 9 000 tonnes de bronze, près des mines et des exploitations anciennes de cassitérite d'Abbaretz et Nozay. Vers -1200, -725, des hommes avaient déjà exploité ce sol pour la fabrication du bronze et vers -150, les Vénètes, venus par les côtes atlantiques proches faisaient du commerce avec les Grecs et les Carthaginois.

    La découverte au XIXe siècle d'un torque en or et de monnaies romaines affirment l'activité des celtes et gallo-romains à l'époque antique, notamment celle de petits ateliers d'extraction et de travail de minerai d'étain et de fer[35].

    À la suite de l'évangélisation du pays nantais au début du Moyen Âge, une communauté chrétienne se fixe sur un site qui deviendra le bourg de Nozay (nommé de nos jours le Vieux-Bourg), et où les sépultures d'un cimetière mérovingien ont été découvertes au XIXe siècle[36].

    Nozay apparait la première fois en 1123, sous le nom de Noziacum. La paroisse fait alors partie des biens des évêques de Nantes depuis au moins 986[37]. Elle est donnée par la suite, parmi de nombreuses autres terres, à des nobles du pays nantais, afin de gagner leur appui dans les luttes entre évêques et comtes de Nantes.

    Hôtel du Grand Monarque.

    Au Moyen Âge, la plus grande partie de la paroisse de Nozay appartient à plusieurs petites seigneuries (dont la Croix-Merhan, Rozabonnet, Peret, la Touche, etc.), toutes vassales du seigneur de Nozay. Du XIIe au XIVe siècle, les seigneurs de Nozay sont les membres de la famille Le Bœuf, puis du XIVe au XVe siècle de la famille de Rieux. En ville, prospère une communauté de bourgeois et de marchands, qui se fait bâtir de nombreux hôtels en pierre de taille[38], alors que l'église Saint-Pierre-aux-Liens du Vieux-Bourg s'agrandit successivement, au rythme de l'accroissement de la population.

    À l'époque moderne, Nozay est marquée par le développement de la seigneurie de la Touche, qui sous l'influence première de Pierre Piraud, secrétaire du baron de Châteaubriant, rachète au XVIe siècle de nombreuses petites seigneuries nozéennes, et se constitue un domaine rassemblant une grande partie de la paroisse. Il reste cependant toujours vassal de la seigneurie de Nozay, qui elle, passe en 1532 aux mains des familles de Montmorency, puis de Bourbon-Condé en 1632, toutes deux barons de Châteaubriant[39]. Économiquement, à la fin du XVIIe siècle, Nozay est réputée pour ses tanneries, ses fabriques d'étoffes, et ses foires.

    Le règlement du évoque des toiles dénommées "beurières", tissées dans les régions de Nozay et de Fougeray[40].

    À partir de 1830, l'histoire locale est fortement marquée par l'agronome alsacien Jules Rieffel, fondateur de l'école nationale d'agriculture de Grand-Jouan[41].

    En 1882, Louis Davy redécouvre la cassitérite (oxyde d'étain) dans la région d'Abbaretz et Nozay. Mais ce n'est qu'en 1920 que la Société nantaise des minerais (SNMO) ouvre un puits qu'elle referme en 1926, puis rouvre en 1952 et referme en 1957. Elle emploiera jusqu'à 350 mineurs.

    Après 1900, Nozay est connue pour ses carrières d'où l'on extrait du schiste appelé « pierre bleue », et du minerai de fer et d'étain. En raison des deux guerres mondiales et de la désertification des campagnes, la population nozéenne va progressivement décliner, puis repartir à la hausse à partir de 1990 jusqu'à atteindre de nos jours les 4 000 habitants.

    Seigneurs de Nozay

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules à la croix d'or cantonnée de quatre lionceaux du même.
    Commentaires : Armes de la famille de Nozay (Armorial de Guy Le Borgne – 1668). Blason (délibération municipale du ) enregistré le .

    Jusqu'en 1971, la commune de Nozay ne possédait pas d'armoiries. En septembre 1971, le Comité d'Héraldique Urbaine en prit conscience lors de la préparation de la publication du premier recueil des armoiries officielles de la Loire-Atlantique. La commune chargea donc les Archives départementales d'effectuer des recherches. La référence à la famille de "Nozay", dont les armoiries sont : de gueules à la croix d'or, cantonné de 4 lionceaux de même, fut choisie. Le conseil municipal de Nozay vota l'adoption de ces armoiries le , armoiries enregistrées ensuite le par la Commission d'héraldique urbaine.

    Mais en réalité, et malgré l'homonymie, les membres de la famille de Nozay, qui furent seigneurs de Villemort et de Lyé en Poitou, n'ont jamais possédé aucune terre à Nozay. On considère comme premier seigneur de Nozay Briant Le Bœuf, seigneur des terres de Nozay, d'Issé et de Fougeray au XIIIe siècle. Les armoiries des Le Bœuf, de gueules à un bœuf passant, regardant d'or, la queue entre les jambes remontant en pal et fourchée, sont aujourd'hui celles de la commune d'Issé, et apparaissent sur celles de Grand-Fougeray.

    Patrimoine civil

    La commune compte trois monuments historiques :

    Nozay possède en outre un patrimoine bâti très riche :

    • une douzaine de manoirs datés du XVe au XVIIe siècle, disséminés dans la campagne nozéenne ;
    • plusieurs châteaux : La Touche, La Pinsonnais, L'Angle, Rieffeland, GrandJouan, la Blanchardière ;
    • les rues Alexis Letourneau et rue Saint Jean, qui cachent derrière leurs façades des logis pour la plupart des XVIe et XVIIe siècles, avec tourelles d'escalier en pierre et pigeonniers ;
    • plusieurs anciennes carrières d'extraction de schiste, dont celle réhabilitée de la carrière du Parc[45] ;
    • un petit patrimoine composé de puits, fours à pain, haies de palis en schiste bleu.

    Patrimoine religieux

    Outre l'église Saint-Pierre-aux-Liens, réalisée par l'architecte Bougoin au XIXe siècle, Nozay porte un petit patrimoine religieux d'intérêt tels de nombreux calvaires, chapelles (Limerdin, Guerry), ou tombeaux et caveaux sculptés du cimetière local.

    Patrimoine oral

    Il existe plusieurs légendes traditionnelles sur Nozay. La plus connue est sans doute celle de la « légende de la Croix-Merhan » : l'histoire du fermier de la Croix-Merhan, qui jadis, pour débarrasser ses terres des serpents qui les infestaient, fit appel à un sorcier ; mais qui ne respectant pas le contrat passé avec lui, mourut sous les crocs d'un serpent[46].

    Personnalités liées à la commune

    Ancienne école d'agriculture de Grand-Jouan.

    Politique et administration

    La commune de Nozay (ancien chef-lieu du canton de Nozay) fait partie du canton de Guémené-Penfao, composante de la sixième circonscription de la Loire-Atlantique, dans la région des Pays de la Loire.

    Tendances politiques et résultats

    Le décompte des votes du 1er tour de l'élection présidentielle 2012 a révélé à Nozay un taux d'abstention de 14,46 %[47], très en dessous du taux national[48]. Les électeurs nozéens ont principalement voté pour François Hollande (29,84 %), Nicolas Sarkozy (29,66 %), Marine Le Pen (13,46 %), François Bayrou (12,06 %) et Jean-Luc Mélenchon (8,46 %)[47]. François Hollande obtient un score un peu supérieur au niveau national, Nicolas Sarkozy 2,5 % de moins[48]. Cette tendance se confirme au second tour, car pour une abstention toujours inférieure à celle du pays entier, Nozay vote majoritairement pour François Hollande (52,49 %), devant Nicolas Sarkozy (47,51 %)[47].

    Le député de la circonscription législative dont dépend Nozay est Yves Daniel (du Parti socialiste), élu lors des élections législatives de 2012. Les conseillers départementaux du canton sont, depuis mars 2015, Anne-Sophie Douet et Yannick Bigaud (Union de la Droite), élus avec 50,05 % des voix devant Viviane Lopez et Gilles Philippot (DVG), ce dernier conseiller général sortant[49].

    Administration municipale

    Mairie de Nozay.

    Le conseil municipal compte 27 élus. Le maire, Jean-Claude Provost, est entouré de 7 adjoints. Parmi les autres conseillers municipaux, 15 font partie de la majorité et 4 de l'opposition. Tous ces élus se répartissent le travail au sein d'une douzaine de commissions et délégations[50].

    Maires de Nozay

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1970 Joseph Ferré    
    1970 1989 Jean Guyon DVD Conseiller général (1970-2003)
    1989 1995 Paul Lognoné    
    juin 1995 juillet 2004 Christian de Grandmaison[Note 7] UDF  
    juillet 2004 2014 Thérèse Avril[Note 8] NC  
    2014 En cours Jean-Claude Provost[Note 9] DVD Animateur de région
    Les données manquantes sont à compléter.

    Fiscalité

    Taux et produits des impôts locaux à Nozay en 2010[52], [53]
    TaxeTaux appliqué (part communale)Recettes dégagées en 2010 et en €
    Taxe d'habitation (TH)18,97 %529 000
    Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)18,65 %658 000
    Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)48,11 %116 000
    Taxe professionnelle (TP)0,00 %0

    Budget[54]

    Évolution de l'endettement (en milliers d'€)

    Évolution des dépenses d'équipement (en milliers d'€) :

    Sécurité, instances judiciaire et administrative

    La gendarmerie de Nozay est basée depuis le XIXe siècle dans sa caserne de la route de Nantes, et consiste de nos jours en une brigade territoriale et un peloton de motards. La Communauté de Brigades de Nozay comprend la brigade de Nozay et la brigade de Derval, dépendant elles-mêmes de la compagnie de Châteaubriant[55]. Nozay dispose d'une caserne de pompiers ; ce Centre d'Intervention Secondaire dépend du Groupement de Blain[56].

    La commune dépend de la cour d'appel de Rennes. Pour tous les autres tribunaux et cours (instance, commerce et prud'hommes), Nozay dépend de la juridiction de Nantes. La maison de justice et du droit la plus proche est implantée à Châteaubriant[57].

    Intercommunalité

    Nozay est le siège de la Communauté de communes de la région de Nozay, qui regroupe 7 communes, représentant une population d'environ 15 000 habitants en 2012 et une superficie de 27 000 hectares. Le conseil communautaire compte 29 élus, et est présidé par Claire Théveniau, maire de Puceul[58]. Avec la communauté de Communes du Castelbriantais et celle de Derval, la CCRN compose le Pays de Châteaubriant.

    Jumelages

    La ville de Nozay est jumelée depuis 1991 avec la ville de Broughton (en), dans le Lincolnshire, cité de 5 000 habitants du nord-est de l'Angleterre.

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Nozay est une ville isolée qui est le centre d'un bassin de vie. Elle fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes[59]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 86 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 14 % dans des zones « très peu denses »[60].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[62].

    En 2018, la commune comptait 4 173 habitants[Note 10], en augmentation de 5,49 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0512 0301 7242 2162 6782 7583 0023 0373 369
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 4393 6923 8053 7913 8574 1544 1574 1703 978
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 9664 0684 1403 7083 5283 5093 3383 3824 631
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    3 3493 2423 2373 1583 0503 1563 4973 8354 087
    2018 - - - - - - - -
    4 173--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[63] puis Insee à partir de 2006[64].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (24,3 %) est en effet supérieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[65],[66],[67]. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,3 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %)[65],[66],[67].

    Pyramide des âges à Nozay en 2013 en pourcentage[65]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,1 
    90 ans ou +
    1,8 
    6,7 
    75 à 89 ans
    12,1 
    13,3 
    60 à 74 ans
    13,5 
    17,1 
    45 à 59 ans
    17,0 
    21,6 
    30 à 44 ans
    20,9 
    16,4 
    15 à 29 ans
    14,2 
    23,9 
    0 à 14 ans
    20,5 
    Pyramide des âges de la Loire-Atlantique en 2013 en pourcentage[66]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,3 
    5,8 
    75 à 89 ans
    9,1 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,6 
    19,6 
    45 à 59 ans
    19,2 
    20,8 
    30 à 44 ans
    19,6 
    19,4 
    15 à 29 ans
    17,7 
    20,5 
    0 à 14 ans
    18,5 

    Enseignement

    Nozay dépend de l'académie de Nantes. En 2014, la ville recensait 1 500 élèves. La commune compte deux écoles maternelles et élémentaires publiques, une école privée maternelle et élémentaire, deux collèges (un privé[68], et un public[69]). Les collégiens peuvent ensuite s'inscrire dans les lycées de Nantes, Blain, Châteaubriant et Redon. La commune possède aussi un centre de Formation en agro-équipement et un Centre de Formation Professionnelle Pour Adultes (CFPPA)[70].

    Santé

    Nozay dispose d'un hôpital local avec un secteur personnes âgées. Celui-ci comprend la maison de retraite La Chesnaie avec 71 logements individuels, et une unité de soins de longue durée d'une capacité d'accueil de 32 lits[71]. Un Pôle Médico-Social (PMS) regroupant une quarantaine de professionnels médico-sociaux a ouvert ses portes en [72].

    Culture

    Nozay dispose d'un cinéma, d'une bibliothèque intercommunale, d'un office de tourisme, de plusieurs salles municipales pour l'organisation de réunions ou de fêtes, et d'un cybercentre pour le public désireux de se familiariser avec l'informatique. Marché le jeudi matin et samedi matin[73]. À destination des jeunes, la commune bénéficie d'une Résidence Jeunes pouvant loger jusqu'à 37 jeunes travailleurs, d'un centre socio-culturel (La Mano), d'un Relais Petite Enfance (RAM), d'un Multi-Accueil pour les enfants (Le Manège Enchanté)[74]. Le secteur associatif est très actif, avec 65 associations, tant professionnelles, que scolaires, culturelles, sportives, pour les loisirs, ou pour les services (comme la Croix-Rouge, les Restos du cœur)[75].

    Sports

    Jardin public.

    La salle des sports de La Chesnaie dispose d'une grande salle accueillant la pratique de nombreux sports, d'un grand mur d'escalade, d'une salle consacrée aux arts martiaux (judo, aikido, karaté), et d'une salle de remise en forme. Le football est pratiqué sur deux stades communaux, le BMX sur le terrain de Moque-Souris, le tennis sur courts intérieurs et extérieurs, l'athlétisme sur le stade de la route d'Abbaretz. La commune dispose aussi d'une piscine découverte, d'un skate-park et d'un minigolf sur le site des Étangs, ainsi que du site du jardin public pour la détente des nozéens. De nombreux clubs sportifs existent, outre ceux évoqués au-dessus : handball, basket-ball, badminton, tennis de table, gymnastique, randonnée, danse, tai-chi-chuan, volley-loisir, moto-cross, VTT[76].

    Médias

    En plus des journaux quotidiens régionaux (Ouest-France et Presse-Océan), il existe deux hebdomadaires : L'Éclaireur[77] et La Mée[78], tandis que la mairie édite une lettre d'information municipale (le Flash-Infos). Sur Internet, on trouve une web télé de pays : Pulceo[79], et un site d'informations du Pays de Châteaubriant, Châteaubriant Actualités[80], alors que Radio Château sur 99.7 FM est la station de radio locale.

    Cultes

    Église Saint-Pierre-aux-Liens.

    Nozay compte un lieu de culte consacré à la pratique de la religion catholique : l'église Saint Pierre-aux-Liens. Le territoire de la commune fait partie de la paroisse Saint Clair en Pays Nozéen, membre de la zone pastorale de Châteaubriant, qui dépend du diocèse de Nantes (province ecclésiastique de Rennes)[81].

    Économie-Logement

    Formation et revenus de la population

    En 2006, la part des Nozéens (non-scolarisés) ayant un diplôme supérieur au baccalauréat est de 27,6 %, pour 28,5 % ayant un CAP ou un BEP. 19,2 % de ces Nozéens n'ont aucun diplôme. En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 16 883 , pour un impôt moyen de 413 . À cette date, 58,2 % des actifs nozéens travaillaient dans le département hors de la commune, dont 6,1 % en Ille-et-Vilaine[82].

    Emploi

    En 2006, 2 192 Nozéens étaient considérés comme actifs, c'est-à-dire ayant entre 15 et 64 ans. Les actifs ayant un emploi représentaient 69 % de la population et 25 % étaient comptabilisés comme inactifs (retraités, étudiants, et autres)[82]. La même année, l'Insee recense 131 chômeurs, ce qui donne un taux de chômage de 6 % pour la commune[82] contre 9 % pour le département[83].

    Répartition des emplois par domaines d'activité en 2006

      Agriculture Industrie-construction Tertiaire Dont commerce Dont services
    Nozay 8 % 25,4 % 66,6 % 9,9 % 12,5 %
    Moyenne nationale 3,48 % 15,40 % 6,45 % 13,32 % 61,40 %
    Sources des données : Insee[82].

    Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006

      Agriculteurs Artisans, commerçants,
    chefs d'entreprise
    Cadres, professions
    intellectuelles
    Professions
    intermédiaires
    Employés Ouvriers
    Nozay 6,3 % 6,5 % 9,4 % 21,8 % 30,8 % 25,2 %
    Moyenne Nationale 2,4 % 6,4 % 12,1 % 22,1 % 29,9 % 27,1 %
    Sources des données : Insee[82].

    Entreprises, commerces, exploitations agricoles

    En 2006, Nozay comptait 183 établissements actifs, dont 19 dans l'industrie, 18 dans la construction, 28 dans le commerce et 118 dans les services ; l'industrie étant dominée par l'agroalimentaire et la plasturgie[84]. Concernant les exploitations agricoles, 51 étaient recensées en 2008, exploitant 3 665 hectares agricoles, et la moitié étaient spécialisées dans la production de lait de vache[85].

    Logement

    Nozay comptait 1 629 logements en 2006, d'après une étude de l'Insee. Les résidences principales représentaient 90,8 % des logements, réparties à 83 % en maisons individuelles et à 16,6 % en appartements. Après n'avoir augmenté que de 20 % entre 1968 et 1990, le nombre de résidences principales bondissait de 30 % en une quinzaine d'années. Dans le même temps, le nombre de résidences secondaires diminuait de moitié ; ces deux données traduisant l'essor démographique de la commune. De fait, Nozay a vu entre 1975 et 2006 la construction de plusieurs lotissements, de taille modeste, mais qui conjugués aux maisons neuves individuelles, représentaient alors 30 % du parc résidentiel. Les constructions antérieures à 1949 représentaient quant à elles 50 % du parc, majoritairement de vieilles bâtisses en pierre de pays. En 2006, la plupart des habitations possédaient 5 pièces ou plus (42,8 %), celles avec 3 ou 4 pièces atteignaient cumulées 46 % ; les petits logements étaient donc peu nombreux. Nozay possède par conséquent des logements de taille importante du fait de la réhabilitation en logements d'anciennes fermes, et du fait d'un espace immobilier non restreint, permettant de grandes constructions. Enfin, 68 % des résidents nozéens étaient propriétaires de leur logement en 2006, et depuis des périodes supérieures à 20 ans[86].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Construite en 1880, cette halte sur la ligne Saint-Nazaire-Châteaubriant-Laval-Paris était une gare marchande et de voyageurs.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Réélu en 2001.
    8. Réélue en 2008.
    9. Réélu en 2020
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

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    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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    14. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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