Issé

Issé est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Pour les articles homonymes, voir Issé (homonymie).

Issé

L'ancienne gare, au début du XXe siècle.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes Châteaubriant-Derval
Maire
Mandat
Jean-Marc Lalloué
2020-2026
Code postal 44520
Code commune 44075
Démographie
Gentilé Isséens
Population
municipale
1 814 hab. (2018 )
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 37′ 29″ nord, 1° 27′ 00″ ouest
Altitude Min. 22 m
Max. 76 m
Superficie 38,66 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châteaubriant
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châteaubriant
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Issé
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Issé
Géolocalisation sur la carte : France
Issé
Géolocalisation sur la carte : France
Issé
Liens
Site web http://www.isse.fr/

    Géographie

    Localisation

    Situation de la commune d'Issé dans le département de la Loire-Atlantique.

    Issé est située sur les bords du Don à 10 km au sud-est de Châteaubriant.

    Les communes limitrophes sont Louisfert, Saint-Vincent-des-Landes, Treffieux, Abbaretz, La Meilleraye-de-Bretagne et Moisdon-la-Rivière.

    Voies de communication et transports

    La gare d'Issé située sur la ligne de Nantes-Orléans à Châteaubriant rouverte sous la forme d'un tram-train le [1] est desservie par 7 aller-retours quotidiens avec la gare de Nantes (trajet en 57 minutes) et avec la gare de Châteaubriant (trajet en 11 minutes)[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 748 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Soudan », sur la commune de Soudan, mise en service en 1994[9] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 821,7 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 51 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 12,5 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Issé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteaubriant dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,1 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %), prairies (8,7 %), forêts (3 %), zones urbanisées (2,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), eaux continentales[Note 6] (0,8 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    La localité est attestée sous la forme latinisée Isiacum dès 1123[23].

    La commune possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Isae (écriture ELG, prononcé [isə])[24], Issë[25] (écriture MOGA).

    Histoire

    Des vestiges gallo-romains ont été retrouvés sur le territoire de la commune au lieu-dit Gué-d'Asi. La première mention d'un seigneur d'Issé, nommé Brient Le Bœuf, date de 1202. Puis le territoire passe entre les mains des maisons de Rieux, de Montmorency, de Laval et de Condé[26].

    Au XVIIe siècle, un haut-fourneau à fondre le fer est en exploitation dans la ferme de Beaumont[26].

    Le cahier de doléance de la paroisse d'Issé est assez revendicatif. En 1793, la révolte locale contre le pouvoir républicain part d'Issé avant de gagner Moisdon-la-Rivière. La garde nationale mène des combats contre des insurgés menés par « Cœur de roy » pour protéger les forges[26].

    Le chemin de fer fait son apparition dans la commune en 1877.

    L'histoire d'Issé est particulièrement marquée par celle du site de la minoterie, sur la rive du Don. En 1460 déjà, il est fait mention d'un moulin à cet endroit. Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, la famille nantaise Perraud l'achète pour le convertir en minoterie. Auguste Richer en fait à son tour l'acquisition en 1897, et la revend trois ans plus tard à Camille Jouzel, qui transforme le site en laiterie-beurrerie, une usine employant jusqu'à 150 personnes et dotée d'une organisation interne, de locaux et d'un outillage modernes. La production de beurre permet de fournir des clients à Paris, dans les départements du Nord et en Angleterre. En 1906, l'entreprise intègre la Société Anonyme de la Nantes butter and Refrigerating Company Limited dont le siège social est à Londres. L'usine, détruite en 1910, est reconstruite en 1911. Pourtant, en 1913, la laiterie est vendue à Marie Rochard Devin, qui est tanneur à Nantes. L'usine est transformée en tannerie employant 120 personnes. En 1922, un groupe d'industriels parisiens achètent l'usine. Puis c'est la société Salpa qui la rachète en 1934. Le site est alors consacré à la production de synderme[27] destiné à la fabrication de galoches à semelle de bois[28]. L'activité évolue encore lorsqu'en 1954[26], l'usine désormais appelée Atlas se spécialise dans la fabrication d'emballages en matières plastiques[28]. Elle compte plus de 600 salariés quand, en 1974, la société Hutchison-Mapa en fait l'acquisition. Mais l'activité périclite. En 1978, les élus locaux doivent tenter de s'opposer au projet d'un plan de licenciement de 211 employés. L'usine ferme définitivement ses portes en [28].

    En , une unité de méthanisation est inaugurée juste à côté de l'usine de coproduits animaux, au nord-ouest du bourg, qui occupe le site de l'ancien abattoir inauguré en 1895. Cette ouverture signe la renaissance de la commune, qui devrait se concrétiser avec la réouverture en de la ligne de Nantes-Orléans à Châteaubriant sous la forme d'un tram-train et mise en service d'une nouvelle gare sur le site de l'ancien bâtiment voyageur qui a été démoli.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    juin 1995 mars 2001 Armand Bouchet    
    mars 2001 mars 2008 Marcelle Durand    
    mars 2008 2020 Michel Boisseau[Note 7],[29] Divers gauche retraité
    2020 En cours Jean-Marc Lalloué    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Issé est une commune multipolarisée. Elle fait partie de la zone d'emploi et du bassin de vie de Châteaubriant. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[30]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 92 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 8 % dans des zones « très peu denses »[31].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

    En 2018, la commune comptait 1 814 habitants[Note 8], en diminution de 2,21 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2251 2071 0661 4461 6021 4701 5511 6321 725
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7671 8001 8881 9042 1232 2202 4102 5272 463
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 3822 3732 1261 9201 7681 7221 6521 7621 760
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 8921 8981 9091 8961 8211 7761 8091 8151 821
    2013 2018 - - - - - - -
    1 8551 814-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (25,4 %) est en effet supérieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[36],[37],[38]. Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,5 % contre 48,4 % au niveau national et 48,7 % au niveau départemental)[36],[37],[38].

    Pyramide des âges à Issé en 2013 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,9 
    7,9 
    75 à 89 ans
    10,1 
    14,7 
    60 à 74 ans
    16,0 
    21,2 
    45 à 59 ans
    18,6 
    22,4 
    30 à 44 ans
    20,2 
    13,1 
    15 à 29 ans
    10,9 
    20,4 
    0 à 14 ans
    22,3 
    Pyramide des âges de la Loire-Atlantique en 2013 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,3 
    5,8 
    75 à 89 ans
    9,1 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,6 
    19,6 
    45 à 59 ans
    19,2 
    20,8 
    30 à 44 ans
    19,6 
    19,4 
    15 à 29 ans
    17,7 
    20,5 
    0 à 14 ans
    18,5 

    Culture et patrimoine

    Château de Gâtine

    La famille Defermon achète en 1777 une vieille terre noble, un territoire ayant abrité une villa gallo-romaine[39]. Plus tard, Raoul Ginoux de Fermon confie à l'architecte nantais Émile Libaudière le soin de dresser les plans d'un nouveau château, bâti à la fin du XIXe siècle[40] en remplacement d'un manoir[39]. Le conseil général de la Loire-Inférieure devient locataire des bâtiments à partir en 1940, pour y héberger une maternité pour filles-mères, mais les événements de la Seconde Guerre mondiale contraignent les autorités à les transformer en centre d'accueil pour des femmes réfugiées[40].

    Après la guerre, la maison maternelle d'Issé reprend son activité. Elle peut accueillir jusqu'à 38 mères et 20 enfants. En 1977, la famille Defermon vend ma propriété à M. Sauvager, et la maison maternelle ferme[40].

    Le château est construit dans un style néo-gothique[39]. Il présente des tourelles, des pinacles, des gables, des vitraux, des baies jumelées et trilobées. Construit en pierre meulière, il s'élève sur trois niveaux. La façade nord est agrémenté d'une grande ouverture en arc brisé. La toiture est en ardoise[40].

    Haras de Gâtine

    Haras de Gâtine.

    Ces haras sont liés au château de Gâtine. C'est une nouvelle fois à Émile Libaudière que Raoul Ginoux de Fermon en confie la conception. Ils sont construits en 1903, sur les plans de l'architecte nantais Émile Libaudière. En 1988, le propriétaire du château, M. Sauvager, cède les bâtiments à la ville de Châteaubriant. Ils accueillent alors les haras nationaux de La Roche-sur-Yon. En 2013, ils sont acquis par un particulier[41].

    L'architecture rappelle celle des maisons de villégiature de la fin du XIXe siècle. La porte monumentale est située entre deux appartements, situés au premier étage, auxquels on accède par un escalier à deux volets en pierre et bois. Elle mène à un hall hexagonal qui est couvert par une verrière et qui permet d'accéder à 15 boxes, une sellerie et des granges à fourrage[42].

    Autres lieux

    L'étang de Beaumont.
    • L'étang de Beaumont est un plan d'eau artificiel, classé ZNIEFF continentale de type 2. Il couvre 29,72 ha. C'est un site qui accueille la faune aviaire migratoire. 90 % de sa surface est constituée d'eau, 6 % de végétation de rives et 4 % de végétation aquatique. Tout autour s'étend une zone de bocage. La pêche y est autorisée[43].
    • Moulin du Frétay

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules au bœuf d'or, la queue passée entre les pattes, relevée et fourchue.
    Commentaires : Blason de la famille Le Bœuf, dont Brient Le Bœuf est attesté seigneur de Fougeray, Jans, Nozay et Issé au XIIe siècle.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Vanderquand et Jean-Luc Flohic (dir.), Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, vol. 1, Charenton-le-pont, Flohic éditions, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1383 p. (ISBN 2-84234-040-X), p. 579-582.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Réélu en 2014.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Article sur www.france3.fr du .
    2. Site SNCF TER Pays de la Loire, Informations pratiques sur les gares et arrêts : Gare d'Issé lire en ligne (consulté le )
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Soudan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Issé et Soudan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Soudan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Issé et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 34.
    24. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    25. « ChubEndret — Dictionnaire de noms de lieux - institu Chubri - Du galo pourr astourr », sur www.chubri-galo.bzh (consulté le ).
    26. Georges Vanderquand et Jean-Luc Flohic 1999, p. 579.
    27. Feuilles ou bandes d'agglomérés à base de cuir ou de fibres de cuir.
    28. « Minoterie puis laiterie industrielle puis tannerie puis usine d'articles en matière plastique », conseil régional des Pays de la Loire, (consulté le ).
    29. « Ils ont été élus maires », Dimanche Ouest-France (éd. Loire-Atlantique), no 535, , p. 10 (ISSN 1285-7688).
    30. « Commune d'Issé (44075) », Insee (consulté le ).
    31. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Issé - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    37. « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Insee (consulté le ).
    38. « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Insee (consulté le ).
    39. Georges Vanderquand et Jean-Luc Flohic 1999, p. 581.
    40. « Château de Gâtine », conseil régional des Pays de la Loire, (consulté le ).
    41. « Haras de Gâtine », conseil régional des Pays de la Loire, (consulté le ).
    42. Georges Vanderquand et Jean-Luc Flohic 1999, p. 582.
    43. « étang de Beaumont », Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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