Sarreguemines

Sarreguemines (en allemand : Saargemünd , en francique rhénan : Saargemìnn) est une commune française située dans le département de la Moselle, en région administrative Grand Est.

Sarreguemines

Casino et pavillon de Geiger.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Moselle
(sous-préfecture)
Arrondissement Sarreguemines
(chef-lieu)
Intercommunalité Communauté d'agglomération Sarreguemines Confluences
(siège)
Maire
Mandat
Marc Zingraff (LR)
2020-2026
Code postal 57200
Code commune 57631
Démographie
Gentilé Sarregueminois, Sarregueminoises
Population
municipale
20 820 hab. (2018 )
Densité 702 hab./km2
Population
agglomération
28 968 hab. (2017[1])
Géographie
Coordonnées 49° 06′ 40″ nord, 7° 04′ 05″ est
Altitude 243 m
Min. 192 m
Max. 293 m
Superficie 29,67 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Sarreguemines (partie française)
(ville-centre)
Aire d'attraction Sarreguemines (partie française)
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Sarreguemines
(bureau centralisateur)
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Sarreguemines
Géolocalisation sur la carte : Moselle
Sarreguemines
Géolocalisation sur la carte : France
Sarreguemines
Géolocalisation sur la carte : France
Sarreguemines
Liens
Site web sarreguemines.fr

    Cette commune se trouve dans la région historique de Lorraine et fait partie du bassin de vie de Moselle-est.

    Ville de longue tradition faïencière, elle est au cœur d'une unité urbaine rassemblant sept communes et formant la cinquième agglomération du département avec 29 150 habitants en 2016. Son aire urbaine compte 44 729 habitants en 2016.

    Géographie

    Localisation

    Sarreguemines, à la frontière franco-allemande, est située au confluent de la Sarre et de la Blies. Cette configuration est confirmée par l’étymologie du lieu : le mot allemand Gemünd signifiant confluence[2] se retrouve également dans le nom allemand de la ville, Saargemünd. Elle fait partie de l’eurodistrict SaarMoselle qui avoisine les 700 000 habitants. Elle est traversée par le canal des houillères de la Sarre. Le chemin de halage du canal est emprunté par le grand itinéraire cyclable Eurovélo 5 (EV5 Via Romea Francigena de Londres à Rome/Brindisi). Son agglomération s’étend d'ailleurs de part et d’autre de la frontière. L’aire urbaine compte 45 579 habitants pour sa partie française. Sarreguemines est la cinquième commune la plus peuplée du département de la Moselle après Metz, Thionville, Forbach et Montigny-lès-Metz.

    Carte de la commune.

    Climat

    La ville de Sarreguemines bénéficie d'un climat tempéré chaud. Sarreguemines est une ville avec des précipitations importantes. Même pendant le mois le plus sec il y a beaucoup de pluie. La carte climatique de Köppen-Geiger y classe le climat comme étant de type Cfb. Sarreguemines affiche 9.5 °C de température en moyenne sur toute l'année. Il tombe en moyenne 722 mm de pluie par an[3].

    Hydrographie

    La liste des 14 cours d'eau traversant le territoire de Sarreguemines est[4] :

    1. Rivière la Sarre
    2. Rivière la Sarre
    3. Rivière la Blies
    4. Ruisseau Lembach
    5. Ruisseau de Woustviller
    6. Ruisseau le Steinbach
    7. Ruisseau de Folpersviller
    8. Ruisseau de le Buchholz
    9. Ruisseau le Strichbach
    10. Ruisseau de Neufgrange
    11. Ruisseau l'Altwiesenbach
    12. Ruisseau Itchbach
    13. Ruisseau de Rouhling
    14. Ruisseau le Lach

    Réseau routier

    Sarreguemines est desservie par la route nationale 61, ou RN 61, qui est une route nationale française reliant Phalsbourg à Sarrebruck en Sarre. Elle est aussi reliée par la route nationale 62, ou RN 62, qui est une ancienne route nationale française. Elle a, dans sa dernière version, relié Haguenau à Sarreguemines.

    Voies ferrées

    Tram-train en gare de Sarreguemines.

    Nœud ferroviaire, la gare de Sarreguemines est actuellement desservie par des trains express régionaux en direction de Metz (via Béning), Sarrebruck et Strasbourg.

    Par le passé, elle disposait aussi de liaisons directes avec Haguenau (1869-1996) par Bitche (1869-2011), Hombourg ou Deux-Ponts (1875-1952) par Bliesbruck (1875-1959), Nancy (1881-1969) ou Sarrebourg (1872-2000) et Sarre-Union (1872-2018) par Hambach (1872-1971) puis Kalhausen, et enfin Thionville (à partir de 1882) par Béning.

    Depuis 1997, elle est également desservie par le tram-train transfrontalier Saarbahn.

    Quartiers

    Une fontaine, et l'église de Welferding, quartier périphérique Ouest de la ville.
    • Welferding : ancienne commune rattachée à Sarreguemines en 1964
    • Himmelsberg
    • Beausoleil
    • Blauberg (Bloobersch[5] en francique rhénan)
    • Quartier de la Forêt
    • Sarreguemines-Centre
    • Cité des Faïenceries
    • Blies
    • Allmend
    • Neunkirch : ancienne commune rattachée à Sarreguemines en 1964
    • Gregersberg
    • Palatinat
    • Folpersviller : ancienne commune rattachée à Sarreguemines en 1971

    Urbanisme

    Typologie

    Sarreguemines est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sarreguemines (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 7 communes[9] et 28 968 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarreguemines (partie française), dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (44,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (34,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (29,6 %), forêts (29,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,8 %), prairies (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,1 %), cultures permanentes (3,4 %), terres arables (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %), zones humides intérieures (0,3 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    • Anciennes attestations[16] : nommée pour la première fois dans les chartes de Pépin, duc d'Austrasie, en faveur de l'abbaye d'Epternach en 706; Gaimundas (706) ; Gamundias (706) ; Gamundia (777) ; Guemunde (1248) ; Gemonde (1274) ; Gemönde (1297) ; Guemundia (1301) ; Gemindt, Gemeindt (1380) ; Guemindia (1393) ; Gemont (1471) ; Gemüde (1471) ; Sargemünt (1577) ; Saargemünde (1592) ; Guemunde (1594) ; Sargemund (1606) ; Sargemeingt (1612) ; Gueminde (1616) ; Zerguemine (1632) ; Sar-Gemünd (1636) ; Gemünd an der Sar (1645) ; Sargueminde (1661) ; Sarguemine (1670) ; Sarguemines (1698) ; Zargueminde (1698) ; Zarguemines (1707) ; Zarreguemines (1719) ; Zareguemine (1756) ; Sareguemines (1772).
    • Saargemünd en allemand standard et Saargemìnn[5],[17] en francique rhénan.
    • De Sarre + ge-münd « embouchure », non pas « de la Sarre », mais « dans la Sarre »[18]. La forme Sarreguemines est probablement une francisation graphique de Saargemìnn, nom dialectal de cette ville. Toponyme similaire Gemünd (Rhénanie).

    Histoire

    La première mention de Sarreguemines dans un texte officiel remonte à 777, il s'agit d'un testament dans lequel le prêtre Fulrad, conseiller de Pépin le Bref et Charlemagne, cède ses possessions de la région - dont celles de Sarreguemines (Gaimundia en latin) - à l'abbaye de Saint-Denis. Du Xe siècle jusqu'au XIIe siècle, le bourg de Sarreguemines se développe autour d'un château fort construit afin de surveiller le confluent entre la Sarre et la Blies. En 1297, Sarreguemines passa du duché de Deux-Ponts au duché de Lorraine, État souverain du Saint-Empire romain germanique, qui fut annexé à la France en 1766 en vertu du traité de Vienne de 1735-1738.

    Néanmoins, de 1737 à 1766, le duché fut attribué à Stanislas Leszczynski, roi détrôné de Pologne (anciennement réfugié dans le duché de Deux-Ponts voisin) mais beau-père du roi Louis XV de France qui résidait dans le sud du duché, à Lunéville, à Nancy ou à Commercy. Souverain fantoche, il avait cédé la réalité du pouvoir à son gendre qui fit nommer intendant de Lorraine Antoine-Martin Chaumont de La Galaizière. Stanislas soutint ce dernier, malgré son impopularité due notamment à un lourd plan fiscal. C'est également à cette époque que furent prises les premières mesures réprimant l'usage du Platt lorrain, langue commune d'origine germanique.

    La ville devint en 1698 le chef-lieu du bailliage d'Allemagne. Les habitants y parlaient (et y parlent encore pour un certain nombre) un dialecte germanique, le Francique lorrain ou « platt ». Les actes officiels du bailliage d'Allemagne étaient rédigés en allemand jusqu'à ce que, en 1748, une ordonnance inspirée par le chancelier, impose le français dans les actes officiels en Lorraine.

    Pendant la Révolution française, le maire catholique Nicolas François Blaux, également député, fut de ceux qui incitèrent les sujets des ducs de Nassau-Weilburg à demander leur rattachement à la République française et la formation d'un district unique relié au district lorrain de Bitche. Il fut le véritable artisan du rattachement du comté de Sarrewerden à la France. Cependant, les habitants de l'ex-comté, majoritairement protestants, gênés de se retrouver dans un département à majorité catholique demandèrent à être rattachés au Bas-Rhin ce qui leur fut accordé le . Mais contrairement à ce qu'affirmait M. Blaux, les habitants du comté, étaient en 1793, finalement pas très fixés sur le département auquel ils souhaitaient appartenir. Plusieurs communes ont même administrativement essayé en vain de quitter le Bas-Rhin[19].

    Comme les autres communes de l'actuel département de la Moselle, la ville de Sarreguemines est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. En 1871, la commune de Sarreguemines devient le siège de l'arrondissement de Sarreguemines, un arrondissement du district de Lorraine, au sein de l'Alsace-Lorraine, dont la capitale est Strasbourg. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les Mosellans combattent dans l'armée impériale allemande. Beaucoup tombèrent sur les différents champs de bataille européens. Les Mosellans accueillent avec joie la fin des hostilités et le retour de la paix. « Saargemünd » redevient Sarreguemines en 1918.

    La Seconde Guerre mondiale et le drame de l'annexion par le Troisième Reich marqueront longtemps les esprits. La commune, rebaptisée « Saargemünd », redevint le siège de l'arrondissement de Sarreguemines, mais cette fois au sein du Gau Westmark, dont la capitale est Sarrebruck. À partir de 1942, les jeunes conscrits furent incorporés de force dans les armées allemandes et souvent envoyés sur le front de l'Est. Un grand nombre disparut. Entre 1942 et 1944, les bombardements américains n'épargnèrent pas les civils, endommageant gravement la ville. La commune ne fut libérée qu'en par la 7e armée américaine du général Patch.

    La création d'équipements structurants, de zones industrielles modernes, et le développement des échanges avec Sarrebruck, ont permis à Sarreguemines de s'affirmer comme le principal centre tertiaire de l'est-mosellan[20].

    Rattachements géopolitiques

    Héraldique

    Blason
    Parti d’or, à la croix de Lorraine de gueule, et de gueules à l’alérion d’argent[21].
    Détails

    Politique et administration

    Sarreguemines a absorbé quelques communes voisines au cours de son histoire : Neunkirch-lès-Sarreguemines et Welferding en 1964, ainsi que Folpersviller en 1971.

    Sarreguemines est chef-lieu du canton de Sarreguemines.

    Tendances politiques et résultats

    Avec 57,94% des voix au 2e tour de l'élection présidentielle à Sarreguemines, Emmanuel Macron (En Marche!) arrive à la première place. Marine Le Pen (Front national) recueille 42,06% des voix. Parmi les électeurs, 7,06% ont glissé un bulletin blanc dans l'urne[22].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    décembre 1944 octobre 1945 André Rausch   Conseiller municipal
    1945  ? Henri Ehrmann   Conseiller municipal
    mai 1953 1967 Joseph Massing DVD Avocat
    Conseiller général du canton de Sarreguemines (1953 → 1967)
    1967 juin 1995 Robert Pax DVG puis DVD Conseiller général du canton de Sarreguemines (1973 → 1985 puis 1992 → 2003)
    juin 1995 mars 2001 René Ludwig SE Avocat
    Conseiller régional de Lorraine (1998 → 2004)
    mars 2001 mai 2020 Céleste Lett UDF puis
    UMP-LR
    Cadre hospitalier
    Député de la 5e circonscription de la Moselle (2002 → 2017)
    mai 2020 En cours Marc Zingraff SE-DVD Professeur certifié de lettres, conseiller régional depuis 2021
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelage

     Gmünd (Basse-Autriche) (Autriche)

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[24],[Note 3]

    En 2018, la commune comptait 20 820 habitants[Note 4], en diminution de 3,49 % par rapport à 2013 (Moselle : −0,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    2 4022 5292 9723 6084 1134 2436 0756 8026 863
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    8 4669 57310 71913 07613 88814 68514 91914 25314 197
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    13 81214 37116 00113 37514 94717 86624 28425 68424 763
    1990 1999 2006 2011 2016 2018 - - -
    23 11723 20221 73321 60420 94420 820---
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26]. |recens-prem=an.)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Industrie de la faïence

    Vase en faïence de Sarreguemines, XIXe siècle.

    Implantée à Sarreguemines depuis la fin du XVIIIe siècle, l'industrie faïencière acquiert ses lettres de noblesse avec Paul Utzschneider et Paul de Geiger qui propulsent la manufacture au tout premier rang : dès le XIXe siècle, Sarreguemines propose dans le monde entier une vaste collection de faïences, vases, cache-pot, fresques murales, cheminées…

    Après cette période d'expansion, la faïencerie de Sarreguemines réduit son activité et finit par disparaitre en .

    Méthanisation

    Depuis 2015, l'unité de méthanisation Méthavos1 valorise le biogaz issu de la fermentation anaérobie des déchets verts en provenance des déchèteries de Moselle-Est[27] et d'Alsace Bossue[28]. Elle fonctionne en voie sèche[29] et injecte du biométhane dans le réseau de distribution de gaz naturel[27].

    Tourisme

    Située en Lorraine, à la frontière franco-allemande, Sarreguemines l’européenne permet aux touristes de passage de découvrir à la fois son patrimoine mais également de partir à la découverte de ses voisins allemands grâce à une liaison en Tram vers Sarrebruck. À la jonction de la Sarre et de la Blies, Sarreguemines offre différentes infrastructures fluviales dont un port de plaisance qui a permis à la Cité des faïenciers d’être la première ville de Moselle à être labellisée « Pavillon Bleu d’Europe ». Une nouvelle base nautique, située à peine à km du centre-ville de Sarreguemines, d’une capacité de 36 places, permet aux plaisanciers de passer des séjours en pleine nature. Depuis 2009, Sarreguemines est labellisée ville aux 4 fleurs, preuve de son attachement à l’environnement, au bien-être de ses habitants et à la mise en valeur de son patrimoine naturel.

    Il existe au départ de la ville de nombreux circuits cyclables permettant de s’évader le long de la Sarre.

    Partenaire de l’opération Terroir et Patrimoine, la ville de Sarreguemines met à l’honneur ses restaurateurs et artisans locaux et leurs savoir-faire lors de manifestations gastronomiques.

    Mais Sarreguemines est avant tout une ville d’histoire, au passé riche et marquant. La ville s’est fait connaître dans le monde entier grâce à son industrie faïencière dont il reste aujourd’hui encore de nombreux vestiges pouvant être découverts dans les musées de la ville :

    • Le musée des Techniques Faïencières expose les machines d’époque servant à fabriquer de la faïence, et sur le prolongement du site, le Jardin des Faïenciers met les ruines d’antan en scène à travers fleurs, arbres et rivières.
    • Le Musée de la Faïence, qui abrite un Jardin d’Hiver, expose une collection d’objets en faïence, grès et porcelaine allant de la vaisselle au four à faïence en passant par les panneaux décoratifs.

    La découverte de ces deux sites permet d’avoir une vision globale des différentes étapes de la fabrication jusqu'à l’objet totalement terminé.

    D’autres sites existent comme le Casino des Faïenceries (ancien lieu de détente des ouvriers de la manufacture) ou encore l’ancien four à faïence situé à l’arrière de l’hôtel de ville.

    L’Office de tourisme a également mis en place plusieurs circuits intra-urbains permettant de suivre l’évolution de la ville à travers les époques, les styles, l’architecture et les hommes.

    Lieux et monuments

    Édifices religieux

    • Église Saint-Nicolas[30] 1765 payée par le roi Stanislas : autels XVIIIe siècle, toiles XVIIIe siècle, pietà XVIIe siècle.
    • Église du Sacré-Cœur, architecture gothique primitive[31].
    • Chapelle Notre-Dame de Beausoleil[32], XXe siècle, quartier Beausoleil.
    • Église Notre-Dame du-Perpétuel-Secours du couvent des Rédemptoristes du Blauberg[33] XXe siècle : Christ de pitié XVIe siècle.
    • Église Sainte-Barbe de Folpersviller[34], architecture romane.
    • Église Saint-Denis de Neunkirch[35], 1850 ; clocher XIVe siècle ; bas-relief de la Trinité XVIe siècle.
    • Église Saint-Walfried de Welferding[36], XVIIIe siècle ; clocher roman.
    • Chapelle Saint-Jean jouxtant l’église du Sacré-Cœur.
    • Chapelle du centre hospitalier spécialisé.
    • Chapelle de l'ancien hôpital du Blauberg.
    • Ancienne église Sainte-Barbe de Folpersviller[37], dont il ne reste que le chœur
    • Église luthérienne, rue Georges-V (EPCAAL) construite entre 1897 et 1898 dans le style romano-gothique[38].
    • Synagogue construite en 1959 avec un orgue[39], en remplacement de l’ancienne synagogue de style orientalisant (1860-1862) rasée par les nazis en 1942. Rue de la Chapelle: plaque marquant l’emplacement de la précédente synagogue[40].
    • Église néo-apostolique rue Théodoric.
    • Église évangélique rue des Frères-Paulin.
    • Cimetière israélite construit en 1901.
    • Mosquée Turque, impasse Nicolas Rohr

    Édifices civils

    • Vestiges gallo-romains : villa-palais, tuiles.
    • Ruines du château XIIe siècle : deux tours, une porte, surplombant le centre-ville.
    • Le Casino au bord de l’eau, espace culturel avec un théâtre (1878).
    • Parc municipal créé vers 1895.
    • Les cités ouvrières (1888 et 1927).
    • Palais de justice construit sous l'époque allemande (1903).
    • Le parc de l’hôpital (1903).
    • Château Utzschneider à Neunkirch, 1906.
    • Ancien Casino de la Faïencerie : casino, décors extérieurs en faïence, pavillon Geiger.
    • Kiosque à musique.
    • Monument aux morts.
    • Prison.
    • Le four, unique rescapé de son type en Europe, à côté de la mairie.
    • Les ruines du complexe industriel SESA et, juste à côté, les anciennes casernes, qui constituent aujourd’hui le lycée professionnel hôtelier et le collège Fulrad.

    Musées et jardin sur la faïence

    • Le musée de la Faïence[41], installé dans les anciens appartements de Paul de Geiger, directeur des Faïenceries entre 1871 et 1914, et le circuit de la faïence.
    • Le moulin de la Blies - Musée des techniques faïencières[42] : collection de machines et d'outils présentée de façon didactique pour appréhender le processus de fabrication de la faïence ; l’ampleur et l’originalité du lieu en font un musée unique en Europe. Exposition de la donation France et Wolfgang Kermer à la Ville de Sarreguemines « Céramique française 1970–2000 »[43]. « Sarreguemines, haut lieu de la faïence, à la frontière de la France et de l'Allemagne, s'est imposée et le couple profite des vingt ans du Moulin de la Blies pour révéler au public leur donation, une centaine de pièces et presque autant de céramistes, qui dresse un panorama inédit et personnel de la céramique en France entre 1970 et 2000. »[44]
    • Le jardin des Faïenciers[45] : jardin paysager contemporain dessiné par l'architecte Philippe Niez. Le jardin fait partie du réseau transfrontalier de jardins nommé Jardins sans limites.

    Enseignement

    Enseignement supérieur

    Sarreguemines accueille un Institut de formation en soins infirmiers et un des trois sites de l'IUT de Moselle-Est, composante de l'Université de Lorraine. Le site de Sarreguemines propose deux BUT, Gestion logistique et transports (GLT) et Gestion administrative et commerciale (GACO) ainsi que deux DU et quatre licences professionnelles. La ville accueille également une licence de Droit et une licence professionnelle « assistant en gestion et logistique transfrontalière » permettant d’acquérir une formation supérieure très spécifique.

    Vie sportive

    • Le Sarreguemines Triathlon Club (STC), fondé en 1989[46]
    • L'AS Sarreguemines Tennis, créé en 1919
    • Le club de lutte de Sarreguemines, fondé en 1896 et le plus vieux de France[réf. nécessaire].
    • L’association sarregueminoise de football 93 (club doyen fondé en 1919), le RC Sarreguemines et l’AS Neunkirch sont les clubs de la cité, accompagnés de l’AS Welferding, le CS Folpersviller et le FC Istanbul
    • Golf de Sarreguemines
    • Aéroclub Espoir aéronautique de Sarreguemines, route de Deux-Ponts ; activité : vol moteur et vol à voile
    • La 1re compagnie de tir à l'arc de Sarreguemines, fondée en 1969 par Victor Thisse
    • L'espoir rugby club Sarreguemines, fondé en
    • L'ASSA (Athlé Sports Sarreguemines Arrondissements), club d'athlétisme de la ville, récompensé à de multiples reprises par la fédération française d'athlétisme[47]
    • L'asso Gym Sarreguemines, fondée en 1909. Elle propose la pratique de trois disciplines olympique : la Gymnastique Artistique Féminine, la Gymnastique Artistique Masculine et le Trampoline[48]

    Sarreguemines devient célèbre dans le monde entier à l'occasion de l'UEFA EURO 2016 et des Jeux olympiques d'été de 2016, grâce à un habitant qui expose un drapeau français marqué du nom de la ville lors de très nombreuses épreuves[49].

    Vie culturelle et festivités

    • Mir redde Platt, festival linguistique annuel depuis 1999.
    • Les Gardiens du Rêve, association de jeux de société, de figurines et de rôle depuis 1987.[50]
    • La médiathèque communautaire : depuis 2007, Sarreguemines dispose d'une médiathèque de 4 100 m2[51]. Elle est située au cœur du centre-ville, dans la galerie commerciale Carré Louvain. Elle fait partie du réseau de lecture publique de la communauté d'agglomération Sarreguemines Confluences.

    Personnalités de la commune

    Personnalités nées à Sarreguemines

    • Jean-Pierre Bachasson, comte de Montalivet (Sarreguemines, 1766 - Saint-Bouize, 1823), ministre de l’Intérieur sous le Premier Empire français[Note 5].
    • Georges Bangofsky (Sarreguemines, - Nancy, ), élève de l'École de Mars en 1794, enrôlé volontaire en 1798, participe aux principales campagnes de l'armée française jusqu'au , date de sa mise à la retraite pour blessures[52].
    • Virgile Schneider (Sarreguemines, 1779 - Paris, 1847), général et homme politique français.
    • Camille Crémer (Sarreguemines, 1840 - Paris, 1876), général français.
    • Hugo Karl (Sarreguemines, 1878 - Berlin, 1944) général de brigade allemand[53].
    • Maximilian von Jaunez (Sarreguemines, 1873 - Sarreguemines, 1947), député protestataire lorrain au Reichstag.
    • Eberhard Hanfstaengl (Sarreguemines, 1886 - Munich, 1973), historien de l'art allemand.
    • Henri Nominé (1892-1972), homme politique, maire.
    • Hans Traut (Sarreguemines, 1895 - Darmstadt, 1974) général de division allemand.
    • Georg Eißer (Sarreguemines, 1898 - Tübingen, 1964), juriste allemand.
    • Anton Johann Huppertz (Sarreguemines, 1900 - Marostica, 1945), scénariste et réalisateur allemand.
    • Marianne Oswald (Sarreguemines, 1901 - Limeil-Brévannes, 1985), chanteuse et actrice française.
    • Karl Ullrich (Sarreguemines, 1910 - Bad Reichenhall, 1996), officier supérieur allemand.
    • Henri Hiegel (Sarreguemines, 1910 - Sarreguemines, 2001) historien de la Moselle.
    • Eugen-Ludwig Zweigart (Sarreguemines, 1914 - Le Cambaux, 1944), as de l’aviation allemande.
    • Jean-Marie Rausch (Sarreguemines, le ), homme politique français, maire de Metz de 1971 à 2008.
    • Jean-Marie Mayeur (Sarreguemines, le -Paris, le ), historien, professeur d'histoire contemporaine à La Sorbonne (Université Paris-IV)
    • Roland Minnerath, (Sarreguemines, 1946) évêque français, archevêque de Dijon.
    • Jean-Paul Potonet (Sarreguemines, 1946), réalisateur français
    • Jean Michel Massing (Sarreguemines, 1948), historien de l'art français.
    • Céleste Lett (Sarreguemines, le ), homme politique français, maire de Sarreguemines de 2001 à 2020.
    • Michel Roth (Sarreguemines, le ), cuisinier français, exerçant actuellement au Ritz.
    • Fabrice Hergott (Sarreguemines, le ), conservateur de musée, directeur du Musée d'art moderne de Paris.
    • Éric Hassli (Sarreguemines, le ), footballeur professionnel français.
    • Matthieu Sprick (Sarreguemines, le ), coureur cycliste français.
    • Yannick Szczepaniak (Sarreguemines, le ), lutteur français et médaillé olympique.
    • Cédric Tousch (Sarreguemines, le ), boxeur professionnel français[54].
    • Aurélie Muller (Sarreguemines, le ), nageuse licenciée au CN Sarreguemines.
    • Erza Muqoli (Sarreguemines, le ), membre du groupe musical Kids United (UNICEF).

    Personnalités liées à Sarreguemines

    • Louis Verdet (1744-1819), homme d'église, député aux États généraux.
    • Nicolas François Blaux (1729-1822), maire de Sarreguemines.
    • Alfred Döblin, né à Stettin en 1878, médecin et écrivain allemand, auteur du roman Berlin Alexanderplatz ; il séjourne à Sarreguemines où il est médecin à l'hôpital militaire pendant la Première Guerre mondiale. Il meurt après une longue maladie à Freiburg/Breisgau le .
    • Simon Lazard, né à Frauenberg, fondateur de la banque Lazard[55].
    • Wolfgang Kermer, né en 1935 à Neunkirchen (Sarre), historien de l'art allemand, professeur et ancien recteur de la Staatliche Akademie der Bildenden Künste Stuttgart, donateur à la Ville de Sarreguemines.
    • France Kermer, née en 1945 à Douvres (Ain), artiste plasticienne française, enseignante en arts plastiques et auteure, donatrice à la Ville de Sarreguemines.
    • Marianne Haas-Heckel, née à Sarreguemines en 1946, auteur de quelques ouvrages linguistiques concernant la commune et ses environs.
    • Erza Muqoli, née à Sarreguemines en 2005, chanteuse, s'est fait connaître dans le groupe Kids United avant d'entamer une carrière solo.
    • Marcel Pierron, éditeur, imprimeur, libraire. Edition de livres d'histoire régionale, en particulier des témoignages de la période de l'annexion de la Moselle entre 1940-1945, éditeur de matériel scolaire scientifique.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    5. La « rue du Comte de Montalivet » est nommée en son honneur.

    Références

    1. À la croisé des chemins sur sarreguemines.fr
    2. « Climat Sarreguemines: Diagramme climatique, Courbe de température, Table climatique pour Sarreguemines - Climate-Data.org », sur fr.climate-data.org (consulté le ).
    3. « Ville de Sarreguemines, la Mairie de Sarreguemines et sa commune (57200) », sur Annuaire-Mairie (consulté le ).
    4. Geoplatt
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Sarreguemines (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sarreguemines (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    15. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868.
    16. Hervé Atamaniuk, Marianne Haas et Marielle Rispail, Le Platt lorrain pour les Nuls : Guide de conversation, First, , 352 p. (ISBN 9782754036061), p. 16.
    17. Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre.
    18. Jean-Louis Masson, Histoire administrative de la Lorraine, des provinces aux départements.
    19. « Une longue histoire » sur sarreguemines.fr.
    20. [PDF]L'histoire des armoiries de Sarreguemines
    21. « Sarreguemines (57200)  : Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur LExpress.fr (consulté le ).
    22. « LES MAIRES DE SARREGUEMINES DE LA REVOLUTION A 1871 », sur www.sarreguemines.fr (consulté le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. Pascale Braun, « Méthavos convertit les déchets verts en gaz naturel », sur usinenouvelle.com, (consulté le ).
    27. Les Dernières Nouvelles d'Alsace, en date du samedi 9 septembre 2017. Voir l'article page 14.
    28. « Quand le biogaz croise la route des travaux publics », sur republicain-lorrain.fr, (consulté le ).
    29. Sarreguemines : église Saint-Nicolas
    30. Sarreguemines : église du Sacré-Cœur
    31. Sarreguemines : chapelle Notre-Dame de Beausoleil
    32. Sarreguemines : Sanctuaire marial du Blauberg
    33. Sarreguemines : église Sainte-Barbe de Folpersviller
    34. Sarreguemines : église Saint-Denis de Neunkirch
    35. Sarreguemines : église Saint-Walfried de Welferding
    36. Sarreguemines : Ancienne église Sainte-Barbe de Folpersviller
    37. Sarreguemines : l'église luthérienne
    38. Inauguration de la synagogue de Sarreguemines
    39. Les Juifs dans la région de Sarreguemines
    40. Présentation du musée sur sarreguemines-museum.eu.
    41. Présentation du moulin sur sarreguemines-museum.eu.
    42. Céramique française 1970–2000: Donation France et Wolfgang Kermer, Sarreguemines, Editions Musées de Sarreguemines, 2018, (ISBN 978-2-91375-924-4).
    43. A.-C.M., « Céramique française (1970-2000) : Donation France et Wolfgang Kermer », La Revue de la Céramique et du Verre, no 223, , p. 71 (ISSN 0294-202X).
    44. Présentation du jardin sur sarreguemines-museum.eu.
    45. http://sarregueminestri.free.fr
    46. (en) « Athlétisme Sarreguemines Sarrebourg Arrondissements (ASSA) », sur assa.athle.com (consulté le ).
    47. http://assogymsarreguemines.e-monsite.com/
    48. « JO-2016 : Sarreguemines en mondovision » (consulté le ).
    49. « Les Gardiens du Rêve - Portail », sur gardiensdureve.forumactif.org (consulté le ).
    50. « Panorama de la Médiathèque ».
    51. Alexandre de Roche Du Teilloy, Les Étapes de Georges Bangofsky, officier lorrain : extraits de son journal de campagne (1797-1815) (lire en ligne).
    52. Biographie d'Hugo Karl.
    53. Cédric Tousch sur siamfightmag.com.
    54. Simon Lazard : un lycée porte son nom à Sarreguemines.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Robert Doegé (1910-1978), « 2000 Jahre Sarregueminer Geschichte » Histoire de Sarreguemines écrite en dialecte local : le « platt », Éditions Pierron, 1979, 392 p.
    • Le Petit Glaneur : journal littéraire, commercial, etc, Sarreguemines (notice BnF no FRBNF32836463)
    • Nous parlions ainsi ! : petit recueil des locutions, expressions, dictons, sentences, adages et proverbes utilisés à Sarreguemines et ses environs, 1994 (ISBN 9782950840905)
    • Zapp, Histoire du parler sarregueminois, Confluence, 1997 (OCLC 163754078)

    Articles connexes

    Liens externes

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