Chabanais
Chabanais est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Pour l’article homonyme, voir Le Chabanais.
Chabanais | |||||
![]() Le logis et le clocher Saint-Michel. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Confolens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Charente Limousine | ||||
Maire Mandat |
Michel Boutant 2020-2026 |
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Code postal | 16150 | ||||
Code commune | 16070 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chabanois | ||||
Population municipale |
1 610 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 107 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 52′ 30″ nord, 0° 43′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 148 m Max. 252 m |
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Superficie | 15,01 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Charente-Vienne | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | chabanais.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Chabanois et les Chabanoises[1].
Géographie
Localisation et accès
Située au cœur de la Charente limousine ou Haute-Charente, Chabanais est à 42 km à l'ouest de Limoges, 50 km au nord-est d'Angoulême sa préfecture, 77 km au nord de Périgueux et 84 km au sud-est de Poitiers. Chabanais est aussi à 16 km au sud de Confolens, 14 km à l'ouest de Saint-Junien et 22 km à l'est de Chasseneuil[2].
Chabanais dans la vallée de la Vienne, est proche des sites des barrages de Lavaud et du Mas-Chaban (lacs de Haute-Charente), de la forêt d'Étagnac, des monts de Blond.
Voies routières

Chabanais conserve une certaine activité par sa position sur l'axe principal de circulation de l'ex-RN 141 Saintes-Angoulême-Limoges-Clermont-Ferrand (RCEA vers Guéret, Montluçon et Mâcon), qui traverse la Vienne à cet endroit. Elle était une source de tensions dues au fort trafic traversant la ville[Note 1].
Aujourd'hui, la route nationale 141 évite la ville par le sud, la section à 2 × 2 voies ayant été ouverte le 31 janvier 2013. Dès lors, la ville a retrouvé son calme et le virage tant redouté par les camions et les automobilistes n'est plus qu'un souvenir. La portion de la route nationale ainsi déviée a été renommée en D941.
Voies ferroviaires
La gare de Chabanais, sur la ligne Angoulême - Limoges, se situe à 45 minutes de la gare de Limoges-Montjovis, 50 minutes de la gare de Limoges-Bénédictins, et une heure de la gare d'Angoulême.
Hameaux et lieux-dits
La commune compte de nombreux hameaux. On trouve la Quintinie, la Broussauderie, Mayeras au nord, sur la rive droite de la Vienne, le Pont de Grêne à l'ouest, Grenord, ancienne commune, au sud-ouest, Reilhac, les Borderies, Puychevrier, Savignac, le Breuil, etc.[3]
Communes limitrophes
Géologie et relief
Comme toute la partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune de Chabanais se trouve sur le plateau du Limousin, partie occidentale du Massif central, composé de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.
Le sous-sol communal est composé de granit, diorite et gneiss. Sur la route de Chassenon on trouve du sable argileux et des graviers qui sont une terrasse d'alluvions anciennes, dont la hauteur atteint 70 m. Les vallées de la Vienne et de la Grène sont couvertes d'alluvions récentes[4],[5],[6],[7].
Chabanais est aussi dans l'emprise du cratère de la météorite de Rochechouart, mais on n'y trouve pas de brèche.
La commune occupe la vallée de la Vienne et ses deux versants, ainsi que la vallée de la Grêne au sud. Le territoire communal est assez vallonné et culmine à 252 m sur sa limite sud, au bois des Besses. Le point le plus bas, 148 m, est situé le long de la Vienne à la limite ouest. Le bourg, situé en bordure d'une petite plaine que forme la vallée, est à environ 155 m d'altitude[3].
Hydrographie

La Vienne partage Chabanais, le milieu du pont représentant le centre du bourg. La rive gauche est au sud de la Vienne, la rive droite au nord.
La Grêne, affluent en rive gauche de la Vienne, passe dans la commune à Grenord et se jette dans la Vienne au Pont de Grêne.
Climat
Le climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, plus semblable à celui de la ville de Limoges que celui de la station départementale de Cognac.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,9 | 1,9 | 3,1 | 5 | 8,7 | 11,8 | 14,1 | 13,8 | 11,7 | 8,3 | 4,1 | 2,1 | 7,1 |
Température moyenne (°C) | 3,6 | 4,9 | 6,8 | 9 | 12,7 | 16,1 | 18,7 | 18,4 | 16,1 | 12 | 7,2 | 4,9 | 10,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,3 | 8 | 10,4 | 12,9 | 16,8 | 20,4 | 23,3 | 23 | 20,5 | 15,6 | 10,3 | 7,6 | 14,6 |
Ensoleillement (h) | 80 | 97 | 138 | 180 | 182 | 233 | 264 | 249 | 207 | 146 | 111 | 88 | 1 975 |
Précipitations (mm) | 96,7 | 90,5 | 90,9 | 80,5 | 104,2 | 70 | 65,7 | 71,2 | 73,5 | 92,1 | 85,8 | 101,8 | 1 022,9 |
Urbanisme
Typologie
Chabanais est une commune rurale[Note 2],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,7 %), zones agricoles hétérogènes (27,8 %), zones urbanisées (15,5 %), terres arables (10,9 %), eaux continentales[Note 3] (2,6 %), forêts (0,5 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Les formes anciennes sont Cabaniaco en 1140[15], Chabanesio en 1243[16].
Le nom de Chabanais provient du bas latin capanna qui signifie cabane, transformé en chabanne et qui a donné de nombreux noms dans le Sud-Ouest et le Massif central[17],[18].
Chabanais, créée chef-lieu de canton en 1793, est devenue Chabanois en 1801 pour redevenir Chabanais.
Chabanais est situé dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et se nomme Chabanès en dialecte limousin[19],[Note 4].
Politique et administration
Administration municipale

Le nombre d'habitants de la commune étant compris entre 1 500 et 2 500, le nombre de membres du conseil municipal est depuis 2014 de 19[20],[21].
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].
En 2018, la commune comptait 1 610 habitants[Note 5], en diminution de 8,68 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
Enseignement
Il y a à Chabanais une école maternelle, une école élémentaire qui bénéficient d'une garderie[36], et le collège Jean-de la Quintinie[37].
La halte garderie La P'tite Maison accueille les enfants de 0 à 3 ans. Le mercredi et durant les vacances les enfants de 3 à 12 ans, sont accueillis à la garderie et il y a un local jeunes pour les ados de 12 à 18 ans.
Santé
Cabinets médicaux comprenant docteurs , dentistes , infirmières ainsi que pharmacies et kinésithérapeutes .
Sports
Il y a un stade de football, un complexe sportif avec tennis couvert, gymnase, piste d'athlétisme, terrain de pétanque, terrains annexes et salles de réunion.
Économie
Foires et marchés


Chabanais est le lieu de foires aux bestiaux connues à l'échelon régional, principalement de l'élevage bovin : vaches limousines et laitières.
Le premier jeudi du mois se tient une foire composée d'exposants : primeurs, poissonnerie, marchands de vêtements et de chaussures, jardinerie, audio et vidéo tous formats (anciens et récents), ... Chaque jeudi se tient également un marché.
Industrie
La ville a connu une importante activité de minoterie et de fabrique de douelles de barriques[38].
Commerces
Tous les commerces de proximité sont présents : supermarché, épiceries et épicerie britannique, boucheries, boulangeries, opticien, salons de coiffure, tabac-presse, fleuristes, magasins d'habillement…
Tourisme
Longtemps centre de la Charente limousine, Chabanais semble aujourd'hui, s'orienter vers une démarche touristique, axée sur la valorisation du patrimoine « nature ». Il y a un camping.
La commune a obtenu le label national Village étape en 2019.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
Chabanais possède quatre églises.
Église Saint-Pierre
L'église paroissiale Saint-Pierre était à l'origine un prieuré-cure dépendant de l'abbaye de Lesterps et construit en 1481. La paroisse Saint-Michel lui fut unie. Elle fut rebâtie en 1629 et 1630[39]. Elle possède un tabernacle en bois doré, objet classé monument historique le 15 avril 1980[40].
- Le clocher.
- L'entrée.
- L'intérieur et le tabernacle.
Église Saint-Sébastien

L'église paroissiale Saint-Sébastien est située sur la rive droite de la Vienne. Elle était à l'origine la chapelle d'un hôpital fondé en 1386. Devant la fréquentation fréquente, elle devint paroissiale en 1419 pour les habitants de ce quartier. Elle fut une vicairie perpétuelle en 1673, puis un prieuré-cure en 1675 uni au prieuré des Salles-Lavauguyon. Elle fut démolie en 1895 pour être reconstruite un peu plus au nord sur les plans de l'architecte Warin. À l'emplacement de l'ancienne église, rue Souchet et au-dessus de la fontaine Saint-Roch, fut érigée une croix, bénie le 18 août 1895[39].
L'église Saint-Sébastien renferme un sarcophage en pierre taillée du XIIIe siècle orné d'une épée, de croix et d'armoiries. Il est classé monument historique au titre objet depuis 1933[41].
Clocher Saint-Michel
Connu aussi sous le nom de Tour Saint-Michel, ce clocher est situé en haut de la ville sur la rive gauche de la Vienne, près du logis Saint-Michel. Il est tout ce qu'il reste de l'église Saint-Michel, vraisemblablement romane. Celle-ci servit de caserne à la Révolution, puis fut démolie en 1818 à l'exception du clocher[39].
Prieuré Notre-Dame de Grenord

Le prieuré Notre-Dame situé au lieu-dit Grenord est constitué des ruines d'une église du XIIe ou XIIIe siècle. C'était un prieuré-cure dépendant, comme l'église Saint-Sébastien, du prieuré des Salles, en Haute-Vienne[39]. Un sarcophage de pierre taillée orné de fleurs, feuilles, d'une épée, d'un oiseau et d'armoiries qui date de la fin du XIIIe siècle, d'un des seigneurs de Chabanais, Jourdain II[39], a été classé monument historique au titre d'objet, le 8 mars 1924[42]. Cette église a pour la petite histoire accueilli le baptême de Sadi Carnot, président de la République de 1887 à 1894.
Fontaine Saint-Roch
Située sur la rive droite de la Vienne, cette fontaine surmontée d'une croix dédiée à saint Roch, patron des pèlerins et placée au bord de la route de Limoges, était l'objet de dévotions.
- Face côte route.
- La fontaine au pied.
Patrimoine civil
Le logis Saint-Michel domine la ville, près du foirail.
Le château de Savignat est moderne[43].
Le pont sur la Vienne date de 1958 et a remplacé le vieux pont endommagé en août 1944 pendant les combats opposant maquisards et Allemands[réf. nécessaire]. Une partie du centre du village, en rive gauche de la Vienne, principalement rue de Verdun, rue du 8 mai et place de la Croix-Blanche, est caractérisé par un urbanisme typique de la Reconstruction après la Seconde Guerre mondiale, du fait des destructions consécutives à la bataille de Chabanais ayant opposé maquisards, armée allemande et miliciens.
- Le château de Savignat.
- Logis Saint-Michel.
Patrimoine environnemental
- Arboretum du Chêne-Vert
- Parc municipal.
- Héron cendré sur la Vienne.
- La Vienne vue vers l'aval du pont.
- Vue vers l'amont.
Personnalités liées à la commune
- Les Colbert-Chabanais ;
- La famille Dupont (Chabanais)[44] :
- Isaac Pierre Dupont (1724-1810), seigneur de Savignat, avocat en parlement, juge sénéchal à Chabanais, 1er maire de Chabanais (1790) ;
- Pierre Antoine Dupont-Chaumont (1759-1838), fils du précédent, général et comte de l'Empire ;
- Pierre Dupont de Poursat (1761-1835), frère du précédent, évêque de Coutances, baron de l'Empire ;
- Pierre Dupont de l'Étang (1765-1840), frère des précédents, général et comte d'Empire. Ministre de la Guerre (1814). Si son nom est resté gravé dans l'histoire du Premier Empire, c'est surtout du fait de sa capitulation à Bailen (Espagne) le , car cette défaite était la première de l'armée impériale ;
- François Dupont de Savignat (1769-1846), frère des précédents, colonel d'état-major, inspecteur général des Haras, officier de la Légion d'honneur ([45]), grand-père maternel de Sadi Carnot (1837-1894), président de la République française (1887-1894).
- Jean-Baptiste de La Quintinie (1626-1688), responsable du potager du Roi (Louis XIV), natif de Chabanais devient l'image de marque du village ; si les objectifs de l'époque de même que le statut de l'individu étaient différents, La Quintinie n'en reste pas moins « jardinier ».
- François Rempnoux, auteur de langue occitane du XVIIe siècle, né à Chabanais.
- Jean Duché (1915-2000), journaliste et écrivain.
- Michel Boutant (né en 1956), sénateur et président du conseil général de la Charente.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Ces tensions ont vu la création de l'association Grain de sable en 2006, qui existait encore en 2013.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- La Charente limousine est une partie de la Charente occitane.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail.
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM.
- Carte du BRGM sous Géoportail.
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le ).
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Rochechouart », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1687-6, consulté le ).
- « Limoges, Haute-Vienne (87), 402 m - [1961-1990] », sur Infoclimat (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 70,71
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 148,246,248
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 127.
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
- « Liste des conseillers municipaux », sur le site de la mairie de Chabanais (consulté le ).
- « Isaac Pierre Dupont », sur la base généalogique roglo (consulté le ).
- « Barret », sur le site « Les blasons de la Charente », site personnel de Jean-Marie Ouvrard (consulté le ).
- Francis Cordet, Carnet de Guerre en Charente, Gérard Tisserand, (lire en ligne), p. 339
- AERI, la Résistance en Charente.
- Les descendants de Justes commémorent la Shoah.
- http://chabanais.blogs.charentelibre.fr/archive/2014/04/01/chabanais-marie-claude-poinet-prend-les-renes-de-la-municipa-182291.html
- https://reader.cafeyn.co/fr/1980733/21598706
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Evolution et structure de la population à Chabanais en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Collèges » (consulté le ).
- « Chabanais », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 93-94
- « Tabernacle », notice no PM16000112, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Sarcophage », notice no PM16000110, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Sarcophage prieuré Notre-Dame », notice no PM16000111, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Catillus Carol
- Jean-Marie Ouvrard, « Dupont de Chabanais », sur jm.ouvrard.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
- « Cote LH/855/33 », base Léonore, ministère français de la Culture.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie de Chabanais
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative à la musique :
- (en) MusicBrainz
- Ressource relative aux organisations :
- Chabanais sur le site du Pays Charente Limousine
- Catillus Carol, « Chabanais », (consulté le )
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