Saint-Quentin-sur-Charente

Saint-Quentin-sur-Charente (Sent Quentin en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Saint-Quentin (homonymie).

Cet article concerne Saint-Quentin en Charente limousine. Pour l'autre commune du même nom dans le département, voir Saint-Quentin-de-Chalais.

Saint-Quentin-sur-Charente

L'église de Saint-Quentin.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Mickaël Loiseau
2020-2026
Code postal 16150
Code commune 16345
Démographie
Population
municipale
216 hab. (2018 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 50′ 20″ nord, 0° 40′ 16″ est
Altitude Min. 169 m
Max. 268 m
Superficie 14,39 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Vienne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Quentin-sur-Charente
Géolocalisation sur la carte : Charente
Saint-Quentin-sur-Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Quentin-sur-Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Quentin-sur-Charente

    Géographie

    Localisation et accès

    Saint-Quentin surplombant la Charente.

    Saint-Quentin-sur-Charente, appelée Saint-Quentin localement, est une commune de la Charente limousine située à km au sud-ouest de Chabanais et à 45 km au nord-est d'Angoulême, dans la vallée supérieure de la Charente.

    Elle est située dans le canton de Chabanais, km au sud-est de La Péruse, à km au nord de Massignac, km au sud-est de Roumazières-Loubert, 12 km à l'ouest de Rochechouart, 20 km au sud de Confolens et 46 km à l'ouest de Limoges[1].

    À l'écart des grands axes routiers, elle est desservie par plusieurs petites routes départementales. La D 161 de Roumazières à Rochechouart et la D 190 en direction de Confolens et Chabanais desservent le bourg. La D 164 de Suris à Chabanais passe au nord de la commune, et la D 162 de Lésignac à Chabanais passe au sud.

    La N 141, route d'Angoulême à Limoges, passe au nord de la commune à km du bourg.

    La gare la plus proche est celle de Chabanais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune est occupée par de nombreux hameaux ; Chez Grenet, la Forge, la Barrière au nord, et la Chauvetie, Sansac, la Nègrerie, Maubayou, Lavaud (qui a donné son nom au lac), la Brunetie au sud, etc.

    Le château de Pressac est au nord de la commune.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Quentin-sur-Charente
    Exideuil-sur-Vienne Chabanais
    Terres-de-Haute-Charente
    Lésignac-Durand Pressignac

    Géologie

    Paysage sur la route de Pressignac.

    Géologiquement, la commune se trouve dans le Massif central, comme toute cette partie orientale de la Charente qui s'appelle Charente limousine. Le sol est principalement composé de gneiss, avec un plateau d'argile sableuse situé à l'est du bourg au bois des Geais. Quelques filons de microgranite strient ce massif du sud au nord[2],[3], [4].

    La commune se trouve aussi sur le bord occidental de l'emprise du cratère de la météorite de Rochechouart, mais ne comporte pas de brèches dues à l'impact.

    Le relief est celui de la Charente limousine : assez élevé par rapport au reste du département, mais bas par rapport au reste du Massif central. Les hauteurs sont dans les 230 m.

    La commune est traversée par une longue crête orientée sud-est, nord-ouest, qui sépare le bassin de la Loire à l'est de celui de la Charente à l'ouest, d'altitude moyenne 250 m. Une crête de hauteur équivalente limite l'ouest de la commune et sépare la vallée de la Charente de celle de la Moulde, son premier affluent principal.

    Le point culminant de la commune, 268 m, est situé à l'est du bourg, près du Bois des Besses. Le point le plus bas, 169 m est situé au nord-est du château de Pressac.

    Le bourg, situé sur le flanc de la vallée de la Charente rive droite, est à une altitude de 220 m et le fond de la vallée à 200 m.

    Hydrographie

    La vallée de la Charente au pied du bourg.

    La commune se trouve à cheval sur deux bassins hydrographiques ; celui de la Loire au nord-est, et la Charente au sud-ouest, avec la vallée de la Charente elle-même qui passe au pied du bourg.

    La Charente traverse la commune du sud-est au nord-ouest et le barrage du lac de Lavaud se situe au sud en amont au lieu-dit Lavaud. Une toute petite partie du lac est donc sur la commune.

    Au nord-est de la commune les ruisseaux se dirigent vers la Vienne, en particulier le ruisseau des Courants et de la Serre de Savignac au nord près de Pressac.

    Le sol imperméable est aussi propice à quelques petites retenues d'eau, en particulier sur le domaine de Pressac au nord.

    Végétation

    Le paysage est essentiellement du bocage destiné à l'élevage (vache limousine et ovins). La commune est assez boisée, principalement sur la crête à l'est du bourg où on trouve le Bois des Geais et le Bois des Besses. On trouve aussi quelques landes.

    Climat

    Le climat est celui de la Charente limousine, de type océanique dégradé. Les précipitations sont plus nombreuses et les températures plus fraîches que dans le reste du département.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Quentin-sur-Charente est une commune rurale[Note 1],[5]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[6],[7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (40,4 %), zones agricoles hétérogènes (26,3 %), forêts (18,2 %), terres arables (13,6 %), eaux continentales[Note 2] (1,5 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes, en latin, sont Sanctus Quentinus prope Cabanesium, ou prope Carantoniam[11], signifiant « Saint Quentin près de Chabanais » ou « près de la Charente ».

    Quintinus était un apôtre chrétien, évangélisateur de la Gaule, martyr du IIIe siècle[12].

    La commune constituée à partir de la paroisse en 1793 s'appelait Saint Quentin, puis s'est officiellement appelée Saint-Quentin en 1801, comme l'autre Saint-Quentin du département à cette époque. On l'a aussi appelé Saint-Quentin-de-Chabanais pour la distinguer[13]. Sa dénomination actuelle, Saint-Quentin-sur-Charente, date de 1937[14].

    Dialecte

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[15]. Elle se nomme Sent Quentin en occitan[16].

    Histoire

    La commune était située à un carrefour de trois voies romaines et antiques.

    • La voie romaine de Saintes à Lyon par Limoges, ou voie d'Agrippa, qui passait par Saint-Cybardeaux, Montignac et Chassenon passait au nord du bourg sur la crête qui fait la ligne de partage des eaux, actuellement un chemin empierré. En provenance de Suris au nord-ouest, elle bifurquait à l'est dans le bois des Besses pour passer au nord de Puymis (limite communale de Chabanais et Pressignac)[17].
    • Le tronçon de cette voie passant dans la commune était aussi commun à une autre voie antique, nord-sud celle-ci, et qui allait de Périgueux à Poitiers vraisemblablement par Charroux et appelée ailleurs Chemin ferré. Cette voie, longeant la ligne de partage des eaux, passait par Videix (Saint-Gervais) au sud et La Péruse au nord. Les deux voies se séparaient au nord à Suris et au sud au Bois des Besses[18].
    • Saint-Quentin était aussi le point de jonction de la voie venant d'Angoulême appelée chemin des Anglais avec la voie d'Agrippa, et qui passait à l'ouest par Lésignac, Mouzon et Mazerolles[18]. Cette voie traversait la vallée de la Charente et passait peut-être au bourg.

    Des découvertes de monnaies romaines, tegulae et d'un petit bloc en marbre témoignent d'une occupation gallo-romaine : le Parc, la Croix du Parc, et près de la Barrière[19].

    La paroisse de Saint-Quentin, qui aurait été évangélisée par saint Martial lui-même, faisait partie des terres de Pressac[réf. nécessaire].

    Pressac était une des quatre grandes seigneuries qui, avec la Chauffe, la Chétardie et les Étangs, dépendaient de la principauté de Chabanais. Le château de style Renaissance date du XVIe siècle. Au XVIIe siècle, il appartenait à Jean de Singareau, écuyer. Puis il est passé aux mains des familles d'Abzac, d'Allogny et de La Bastide.

    Les plus anciens registres paroissiaux remontent à 1627.

    Au village de Sansac, un souterrain naturel a été découvert, qui a probablement servi de souterrain-refuge.

    Au début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était représentée par une minoterie à cylindres, située à Sansac sur la Charente et appartenant au maire de la commune, M. Gauchon[20].

    Administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 2007 Jean-Louis Granet    
    2007 2014 Alexandre Hamon SE Cadre retraité
    2014 mars 2015 Katia Rousseau    
    juin 2015 En cours Mickaël Loiseau    

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

    En 2018, la commune comptait 216 habitants[Note 3], en augmentation de 9,09 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    598510568615535643636640601
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    584579559543571534539525497
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    514516401425382349329337347
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    294250245250232227208211216
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 16,5 %, 15 à 29 ans = 16,5 %, 30 à 44 ans = 18,3 %, 45 à 59 ans = 23,5 %, plus de 60 ans = 25,3 %) ;
    • 49,3 % de femmes (0 à 14 ans = 14,3 %, 15 à 29 ans = 13,4 %, 30 à 44 ans = 19,6 %, 45 à 59 ans = 23,2 %, plus de 60 ans = 29,5 %).

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (27,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (26,6 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,7 % contre 48,4 % au niveau national et 48,5 % au niveau départemental).

    Pyramide des âges à Saint-Quentin-sur-Charente en 2007 en pourcentage[24]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9 
    90 ans ou +
    1,8 
    6,1 
    75 à 89 ans
    11,6 
    18,3 
    60 à 74 ans
    16,1 
    23,5 
    45 à 59 ans
    23,2 
    18,3 
    30 à 44 ans
    19,6 
    16,5 
    15 à 29 ans
    13,4 
    16,5 
    0 à 14 ans
    14,3 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Commerces

    • Restaurant et épicerie multi-service, au bourg.

    Tourisme

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre La Péruse, Saint-Quentin et Suris. Saint-Quentin accueille l'école élémentaire, située au bourg et comprenant une seule classe, et Suris l'école maternelle. Le secteur du collège est Chabanais[26].

    Lieux et monuments

    • L'église paroissiale Saint-Romain.
    • Le château de Pressac est situé à 2 km au nord du bourg, sur la route de Suris à Chabanais. Ancien fief médiéval, cet imposant château de style néo-classique Renaissance domine une vallée.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    3. Carte du BRGM sous Géoportail
    4. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le )
    5. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 59
    12. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 625.
    13. Catillus Carol, « Saint-Quentin-sur-Charente », (consulté le )
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    16. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    17. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 159
    18. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 165
    19. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 101
    20. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 346
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    24. « Évolution et structure de la population à Saint-Quentin-sur-Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    25. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    26. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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