Mazerolles (Charente)

Mazerolles (Maseròlas en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Mazerolles.

Mazerolles

La mairie.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Jean-Christophe Naudon
2020-2026
Code postal 16310
Code commune 16213
Démographie
Gentilé Mazerollois
Population
municipale
296 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 44′ 54″ nord, 0° 32′ 05″ est
Altitude Min. 207 m
Max. 353 m
Superficie 17,45 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Mazerolles
Géolocalisation sur la carte : Charente
Mazerolles
Géolocalisation sur la carte : France
Mazerolles
Géolocalisation sur la carte : France
Mazerolles
Liens
Site web mazerolles16.fr

    Ses habitants sont les Mazerollois et les Mazerolloises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Mazerolles est une commune de la Charente limousine située à km au sud-ouest de Montembœuf, son chef-lieu de canton, et 31 km à l'est d'Angoulême.

    Elle est aussi à km au nord de Montbron, 11 km à l'est de La Rochefoucauld et 32 km au sud de Confolens[2].

    Les routes principales traversant la commune sont la D 13, axe est-ouest de La Rochefoucauld (puis Angoulême) à Rochechouart, et la D 16, route de Confolens à Montmoreau qui va de l'Arbre (D 13) à Montbron.

    D'autres routes départementales moins importantes passent dans la commune, en particulier la D 173 qui va de l'Arbre, passe au bourg et continue vers Chasseneuil, la D 110, à l'ouest de la commune, qui va vers Saint-Sornin et continue vers Angoulême (les Favrauds). Cette dernière route suit la ligne de crête du massif de l'Arbre et d'Orgedeuil[3].

    Hameaux et lieux-dits

    La commune compte de nombreux hameaux, et le bourg n'est pas plus important qu'un de ceux-ci.

    Les plus importants sont :

    • l'Arbre est situé au carrefour de la D 13, D 16 (route de Montbron), D 173 et D 397, et une petite partie est dans la commune de Rouzède ;
    • le Mas, situé non loin du carrefour de la D 13 et de la D 110 (route de Saint-Sornin). C'est là qu'est située la salle des fêtes.
    • Condadeuil et Puyponchet, situés au nord.
    • Brie

    Les autres lieux-dits et fermes sont[3] :

    • la Croix de Paille
    • Rochebertier
    • Brugéras
    • les Chevailles
    • les Fareaux
    • Écossas
    • les Plats
    • la Cadois
    • Chez Coutières
    • Parpelat
    • Fontbelonne
    • les Fayards
    • les Cinq Châtaigniers
    • Chez Broche
    • les Landes
    • Puy de Beaumont
    • les Petites Roudelières
    • la Petite Grelière
    • Beau Soleil
    • le Maine au Brun
    • les Parcoutières
    • le Moulin de Mazerolles

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Large panorama depuis la route du Mas.

    La commune de Mazerolles se trouve sur les premiers monts du Massif central en venant de l'océan. L'altitude y est relativement élevée car on dépasse couramment les 300 m d'altitude. De plus, la commune est sur un promontoire de ce massif dirigé vers l'ouest, appelé Massif de l'Arbre, d'où on a un immense point de vue aussi bien vers le sud, le nord et l'ouest. Cette chaîne forme une crête qui ne descend doucement vers l'ouest que vers Saint-Sornin, et vers l'est se soude au reste du massif de la Charente limousine.

    La sous-sol de la commune est principalement composé de micaschiste, qui est la formation la plus occidentale du Massif central. Le quart occidental et la bordure sud sont composés d'altérite et argile rouge à silex, roche détritique de l'époque tertiaire et coulées de ce massif[4],[5],[6].

    Longtemps Mazerolles a été connue comme abritant le point culminant de la Charente[7] au lieu-dit l'Arbre (353 m), situé près de la D 13. Au XIXe siècle, ce point était appelé le signal de Mazerolles[8]. En fait le point culminant du département est le rocher aux Oiseaux, en limite de la Haute-Vienne, dans la commune de Montrollet (368 m).

    Le bourg est sur une hauteur de 330 m d'altitude. Le point le plus bas de la commune est à 207 m, situé sur la Bellonne en limite nord-ouest[3].

    Hydrographie

    La commune est principalement située sur la crête de l'Arbre, et des nombreux ruisseaux en descendent aussi bien vers le nord vers la Bonnieure que vers le sud vers la Tardoire.

    La Bellonne, petit affluent de la Tardoire, prend sa source non loin de l'Arbre en bas de Fontbellonne et se dirige vers le nord-ouest en passant à l'ouest du bourg.

    Le ruisseau de la Fontaine des Fayards appelé plus en aval ruisseau de Maschevraux prend sa source à l'est du bourg et se dirige vers le nord. Plus en aval, il formera le Rivaillon qui passe à Vitrac-Saint-Vincent puis se jettera dans la Bonnieure. Tous ces ruisseaux sont dans le bassin de la Charente.

    Le relief et la nature imperméable du sol permettent aussi de faire de nombreuses petites retenues d'eau[3].

    Climat

    Le climat est océanique aquitain dégradé. De par sa géologie et son altitude, Mazerolles appartient à la Charente limousine et aux "terres froides" (par opposition aux "terres chaudes" calcaires de l'ouest du département[9]), les hivers y sont plus rigoureux et les étés plus frais. Exposé aux vents d'ouest, les précipitations y sont aussi plus nombreuses.

    Végétation

    La commune est assez boisée, principalement par des bois de châtaigniers. Le reste de la commune est occupé par des prés où l'on fait de l'élevage, principalement des vaches limousines, et aussi par de nombreuses pépinières.

    Urbanisme

    Typologie

    Mazerolles est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,4 %), prairies (33 %), zones agricoles hétérogènes (25,7 %), terres arables (1,8 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Une forme ancienne est Mazerollis en 1281[16].

    Le nom de Mazerolles, comme Mazières, a pour origine le latin maceriae qui signifie « ruines », et par extension « masure », et d'où dérivent de nombreux noms de lieux en France. Mazerolles est un dérivé, avec suffixe augmentatif occitan -ola, donnant *Maceriolas[17],[18].

    Langues

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[19]. Elle se nomme Maseròlas en occitan[20].

    Histoire

    Une voie ancienne, gauloise et romaine, d'Angoulême à Limoges, dite le chemin des Anglais, montait de Vilhonneur et rejoignait la voie d'Agrippa Saintes-Lyon près de Mouzon. Elle passait sur la crête. Non loin du Mas, aux Châtelars, près de la voie, se trouvait un exploratorium romain, dont on pouvait encore voir des vestiges au XIXe siècle[21],[22].

    Au bourg de Mazerolles, on trouve un tumulus conique avec larges fossés, qui serait une motte féodale qui aurait servi à protéger le château disparu à côté duquel elle se trouvait placée[23],[24].

    Les plus anciens registres paroissiaux ne remontent pas avant 1737[8].

    Sous l'Ancien Régime, Mazerolles faisait partie avec les paroisses de Suaux, Cherves, Châtelars et Rouzède de la baronnie de Manteresse, qui a appartenu à Étienne Chérade, comte de Montbron et de Marthon[25].

    Le territoire de la commune comportait des dépôts superficiels de fer à l'image de ce que l'on retrouve dans l'est du département ou dans la zone limitrophe du Limousin. Une forge fonctionnant à partir de l'énergie hydraulique disponible par le débit créé en sortie d'un réseau d'étangs artificiels est attestée sur le lieu-dit des Fayards au19e siècle[26].

    Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Roumazières par Montbron appelée le Petit Mairat. La gare était à 1,5 km du bourg[8].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2008 Roger Trichard   Ingénieur-technicien
    2008 2020 Michel Coq   Traducteur technique
    2020 En cours Jean-Christophe Naudon    

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

    En 2018, la commune comptait 296 habitants[Note 2], en diminution de 10,03 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    7629257577859999711 004967945
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    915945858864822901881809809
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    784721622635602554496452442
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    404331309309311324326328329
    2018 - - - - - - - -
    296--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Mazerolles en 2007 en pourcentage[31].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90  ans ou +
    1,8 
    9,8 
    75 à 89 ans
    15,2 
    19,0 
    60 à 74 ans
    16,4 
    28,8 
    45 à 59 ans
    26,7 
    16,0 
    30 à 44 ans
    14,5 
    14,7 
    15 à 29 ans
    15,2 
    11,0 
    0 à 14 ans
    10,3 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[32].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Mazerolles est une commune à vocation principalement agricole[33]. Le secteur est constitué de petites exploitations individuelles. L’activité se partage entre l'exploitation forestière (châtaigniers en taillis), l'élevage, principalement des vaches limousines, et aussi quelques importantes pépinières. Quelques entreprises liées au secteur du bâtiment se sont récemment implantées sur la commune.

    Équipements, services et vie locale

    La salle des fêtes au Mas.

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Le Lindois, Mazerolles et Roussines. Roussines accueille l'école maternelle, et Le Lindois et Mazerolles les écoles élémentaires. L'école de Mazerolles comporte une seule classe. Le secteur du collège est Montembœuf[34].

    Lieux et monuments

    Motte féodale derrière l'église.
    • La motte féodale du Moyen Âge siècle est située derrière l'église. Elle fait 20 m de hauteur et 25 m de diamètre à la base. Elle est entourée d'un fossé et d'un talus, rogné par la route. Elle protégeait l'ancien château, en ruines, du même côté de la route et avant l'église. Michon l'appelle logis de Mazerolles; il daterait du XVe siècle, était fortifié et entouré de douves[35]. Il tombe en ruines après la Révolution[24].
    L'intérieur de l'église avec sa nef latérale.
    • L'église paroissiale Notre-Dame date du XIIe siècle. Toute en granit, elle a été restaurée en 1855 et la nef a été élargie au sud
    • Point de vue : voir le planimètre situé en face de l'église de Mazerolles.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le )
    7. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 236
    8. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 236
    9. « Charte Paysagère », sur www.charente-limousine.fr (consulté le )
    10. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 156,185,186,283
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 456.
    18. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    19. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    20. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    21. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 165
    22. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 153
    23. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 138
    24. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 459
    25. Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, « Une seigneurie à la belle étoile, la baronnie de Manteresse », (consulté le )
    26. Jacques Pinard, « Les anciennes forges charentaises du XVI au XIXe siècle », Norois, vol. 122, no 1, , p. 353–362 (DOI 10.3406/noroi.1984.4190, lire en ligne, consulté le )
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. « Evolution et structure de la population à Mazerolles en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    32. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    33. « Commune de Mazerolles (Charente) », sur Cour des comptes (consulté le )
    34. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    35. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 228

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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