Montembœuf
Montembœuf (Montembuòu en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Montembœuf | |||||
![]() La mairie. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Confolens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Charente Limousine | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marie Trapateau 2020-2026 |
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Code postal | 16310 | ||||
Code commune | 16225 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montembelviens | ||||
Population municipale |
651 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 41 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 46′ 44″ nord, 0° 33′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 181 m Max. 342 m |
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Superficie | 16,05 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Charente-Bonnieure | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.montemboeuf.fr | ||||
Ses habitants sont les Montembelviens et les Montembelviennes[1].
Géographie
Localisation et accès
Montembœuf est une commune située en Charente limousine, à 34 km à l'est d'Angoulême, 14 km à l'est de La Rochefoucauld, 13 km au nord-est de Montbron, 22 km à l'ouest de Rochechouart et 28 km de Confolens[2].
C'est le chef-lieu de son canton.
Les routes principales traversant la commune sont la D 13, axe est-ouest de La Rochefoucauld (puis Angoulême) à Rochechouart qui fait la limite de commune au sud, et la D 16, route de Montmoreau à Confolens, qui va de la Belle Étoile (D 13) à Cherves-Châtelars et La Péruse en traversant le bourg.
D'autres routes départementales moins importantes passent dans la commune ; en particulier la D 27 à l'extrême nord qui bifurque de la D 16 et va à Chasseneuil, la D 162 qui traverse le bourg et va vers Saint-Adjutory et Taponnat vers le nord-ouest et Mouzon vers l'est, la D 173 sud-nord qui passe à l'ouest, qui va de Mazerolles (et l'Arbre) à Chasseneuil par Vitrac[3].
Hameaux et lieux-dits
La commune compte de nombreux hameaux. On peut citer les Labourières au sud-est du bourg, Beaussac au sud-ouest, Jayat à l'ouest, sans oublier la Belle Étoile situé au carrefour de la D 13 et de la D 16 au sud.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Comme toute la partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune appartient géologiquement à la partie occidentale du Massif central, composée de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.
La moitié ouest de la commune est du micaschiste, et la moitié est du gneiss. Seule l'extrême nord vers l'Ennui, sur la crête, on trouve le terrain tertiaire détritique composé d'argile sableuse à silex qui marque la fin du massif, ainsi qu'au nord-ouest de Jayat[4],[5],[6].
La commune de Montembœuf se trouve sur une crête secondaire qui descend vers le nord du Massif de l'Arbre, premier mont du Massif central en venant de l'océan. L'altitude y est relativement élevée car on dépasse couramment les 250 m d'altitude.
Les points culminants de la commune se situent donc au sud sur la crête principale, en limite avec la commune du Lindois. La Belle Étoile est à 324 m d'altitude, mais le point culminant de 342 m se trouve sur la limite sud-ouest en direction de l'Arbre.
Le bourg est à 270 m d'altitude, juché sur ce promontoire d'où on a constamment une vue immense vers le nord. Le carrefour de la D 16 et D 27 marquant la limite nord de la commune et prolongeant cette même crête est à 242 m d'altitude.
Le point le plus bas, 181 m, se trouve sur le Rivaillon, ruisseau quittant la commune au nord-ouest.
De nombreux ruisseaux prennent aussi naissance dans la commune et creusent des vallées plus encaissées en s'écoulant vers le nord.
Hydrographie
La nature imperméable du sol et le relief favorisent la naissance de multiples ruisseaux, qui descendent vers le nord-ouest et se jettent dans la Bonnieure, dans le bassin de la Charente.
On peut citer la Croutelle qui passe à l'est du bourg et à Cherves-Châtelars, et le Rivaillon à l'ouest de la commune, qui passe à Vitrac-Saint-Vincent.
De nombreuses petite retenues d'eau parsèment aussi ces vallées, utiles à l'agriculture.
Climat
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La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010, comme 294 autres communes de la Charente soit 73 % du département[Note 2]. Ce type de climat constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an) et chauds soutenu (entre 15 et 23 par an)[7]. La dénomination régionale utilisée pour les communes de Charente limousine est « climat océanique limousin ». Plus arrosé et plus frais que le reste de la Charente qui est de type aquitain, ce climat reste tempéré avec des printemps tièdes et des étés assez chauds, avec des variations dues à l’altitude. L’ensoleillement annuel atteint en moyenne 1 850 heures [8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[7].
Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[10]. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1990 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,8 | 2,9 | 5,1 | 6,8 | 10,4 | 13,4 | 15 | 15,2 | 12,3 | 10 | 5,5 | 3 | 8,6 |
Température moyenne (°C) | 5,5 | 6,2 | 9,1 | 11,1 | 15,1 | 18,3 | 20,1 | 20,4 | 16,8 | 13,5 | 8,4 | 5,6 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,2 | 9,5 | 13,1 | 15,5 | 19,7 | 23,3 | 25,2 | 25,6 | 21,4 | 17 | 11,3 | 8,2 | 16,5 |
Record de froid (°C) date du record |
−10 08.01.09 |
−12,9 09.02.12 |
−10,1 01.03.05 |
−2,2 04.04.1996 |
0,6 05.05.19 |
5,8 01.06.11 |
7,4 12.07.00 |
7,4 28.08.1998 |
3,3 25.09.02 |
−2,8 30.10.1997 |
−7 22.11.1998 |
−9,9 30.12.1996 |
−12,9 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17 05.01.1999 |
23,8 27.02.19 |
26,1 20.03.05 |
30 30.04.05 |
32,5 30.05.01 |
37,2 27.06.11 |
38 23.07.19 |
39,2 05.08.03 |
34,1 12.09.16 |
29,2 02.10.11 |
23,4 08.11.15 |
17,7 07.12.00 |
39,2 2003 |
Ensoleillement (h) | 66,4 | 87,3 | 140,5 | 176,2 | 207 | 216,6 | 221,3 | 224,6 | 179,2 | 121,1 | 70,6 | 56,6 | 1 767,3 |
Précipitations (mm) | 93,2 | 77 | 72,7 | 79,2 | 82,4 | 76,8 | 69,6 | 78,7 | 82,1 | 86,6 | 108 | 101,6 | 1 007,9 |
Végétation
La commune est boisée à 40 %, et les bois se retrouvent principalement sur les flancs des vallons. On trouve principalement du châtaignier et des résineux (épicéas, douglas).
Les sommets des plateaux sont consacrés à l'agriculture.
Urbanisme
Typologie
Montembœuf est une commune rurale[Note 3],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,3 %), forêts (25,4 %), prairies (21,6 %), terres arables (10,4 %), zones urbanisées (2,7 %), cultures permanentes (0,5 %)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Une forme ancienne est Monte Bovis au XIIIe siècle[17].
L'origine du nom de Montembœuf remonterait au latin mons signifiant « colline » ou « montagne » et à un nom de personne germanique Bovo peut-être précédé de la particule nobiliaire en[18]. La forme a été latinisée en monte bovis, « mont au bœuf », et francisée. Toutefois le gentilice est montembelvien.
Histoire
Avant la Révolution et la formation du département de la Charente, Montembœuf a été une enclave du Poitou en Angoumois et Limousin[21].
Des souterrains-refuges d'époque indéterminée existaient au nord du bourg et avaient été mis au jour lors de la construction de la route de Chasseneuil.
Les pépinières ont été créées en 1888 par M. Gâteau, puis tenues par son gendre, M.Duparc-Gâteau, maire de la commune, grâce à qui les bâtiments publics comme l'église et la gendarmerie ont été reconstruits. Ces pépinières étaient au début du XXe siècle une des plus vastes du sud-ouest de la France, et leurs produits s'exportaient déjà en Espagne et en Italie.
Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était aussi desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Roumazières par Montbron appelée le Petit Mairat[22].
Héraldique
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Les armoiries de Montembœuf se blasonnent ainsi : |
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Politique et administration
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].
En 2018, la commune comptait 651 habitants[Note 4], en diminution de 5,1 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
Économie
Agriculture

Montembœuf est connu dans la région et depuis la fin du XIXe siècle pour ses pépinières. Elles concernent principalement les arbres fruitiers ou de décoration (feuillus ou résineux).
Elles occupaient en 1983 130 ha et 70 salariés[29].
Le reste des terres agricoles concerne principalement l'élevage, en particulier celui de la vache limousine.
Commerces

- Boucherie, crèmerie
- Alimentation
- Boulangerie
- Garagiste
- Électricité, plomberie, chauffage
- Coiffure
- Café
- Restaurant
Équipements, services et vie locale
Enseignement
- Le collège d'enseignement général public accueille les enfants de la 6e à la 3e en huit classes et 172 élèves en 2011[30].
- L'école est un RPI entre Montembœuf, Vitrac-Saint-Vincent, Cherves, Massignac et Mazerolles. Montembœuf accueille les élèves du CP au CM2, avec cinq classes, Vitrac et Mazerolles sont des écoles maternelles[31]. Cherves accueille les élèves du CP au CE2, Massignac accueille les élèves de maternelle et de CP.
Sports et activités
- Festival de l'Imprévu, chaque début septembre.
Lieux et monuments

- L'église, de style néo-gothique, construite en 1906
- La chapelle, sur la route de Saint-Adjutory
- Fontaine de l'Étang rompu : à Villemaneau, au bout d'un petit chemin de terre. Ce serait une ancienne fontaine de dévotion…
- Le lac de Puyravaud, en limite avec la commune de Vitrac-Saint-Vincent.
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Nombre de communes pour un climat donné et pourcentage par département sont définis sur la base du découpage territorial de 2009, qui a servi de canevas pour l’élaboration de la typologie climatique de 2010.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- [PDF]« ORACLE Nouvelle-Aquitaine - État des lieux sur le changement climatique et ses incidences agricoles en région Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr (consulté le ).
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 59,149,186
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 470.
- Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
- (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
- Cartes de la sénéchaussée d'Angoulême et de la Généralité de Limoges, in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, notice BnF no FRBNF34901024, présentation en ligne), p. 153-154
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 246-247
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Evolution et structure de la population à Montembœuf en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
- Les pépinières charentaises, l'Expansion, 1983
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Collèges » (consulté le )
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Montembœuf sur le site du Pays Charente Limousine
- Catillus Carol, « Montembœuf », (consulté le )
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