Saint-Sornin (Charente)

Saint-Sornin (Sent Sornin en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Saint-Sornin.

Saint-Sornin

Maison ancienne.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes La Rochefoucauld - Porte du Périgord
Maire
Mandat
Michaël Canit
2020-2026
Code postal 16220
Code commune 16353
Démographie
Population
municipale
794 hab. (2018 )
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 41′ 41″ nord, 0° 26′ 11″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 242 m
Superficie 11,27 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val de Tardoire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Sornin
Géolocalisation sur la carte : Charente
Saint-Sornin
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Sornin
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Sornin

    Géographie

    Localisation et accès

    Saint-Sornin est une commune située à l'est d'Angoulême, dans la vallée de la Tardoire, à mi-chemin sur la route reliant Montbron à La Rochefoucauld.

    Elle est à km au nord-ouest de Montbron, km au sud-est de La Rochefoucauld, et 22 km d'Angoulême[1].

    La D.6 reliant Mansle à Piégut-Pluviers (Dordogne) par Montbron et La Rochefoucauld est la route principale qui traverse la commune et le bourg et qui longe la vallée de la Tardoire sur sa rive droite.

    D'autres routes départementales de moindre importance traversent la commune :

    D'autres routes communales sillonnent la commune.

    Hameaux et lieux-dits

    Des hameaux assez importants parsèment la commune.

    • Rochebertier au bord de la Tardoire sur la route de Vilhonneur, en limite avec cette commune.
    • les Combes au sud
    • le Mas et la Fenêtre au sud-est
    • les Michelots, intégré au bourg à l'est
    • la Faurie à l'est
    • les Chaumes et le Couret au nord

    et d'autres hameaux plus petits...

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Table d'orientation près du Mas.

    Saint-Sornin est situé sur le bord nord-est du Bassin aquitain. Le sol est encore de nature calcaire, du Jurassique inférieur, mais recouvert d'argile à galets à l'est, décomposition détritique et coulées tertiaires en provenance du Massif central tout proche, et de formations fluviatiles du Pléistocène sur les terrasses de la Tardoire à l'ouest du bourg[3],[4],[5].

    On est en limite du karst de La Rochefoucauld.

    L'est de la commune est assez élevé en altitude car situé sur le piémont du massif de l'Arbre, premier mont du Massif central qui commence à Mazerolles et qui forme une longue avancée vers l'ouest qu'escalade la D 110. Les hameaux de la Faurie et la Fenêtre sont déjà à plus de 200 m d'altitude.

    Le point culminant est à une altitude de 242 m situé à l'est de la Faurie en limite avec Orgedeuil. Le point le plus bas est 89 m situé le long de la Tardoire à Rochebertier. Une grande partie de la commune dont le bourg occupe une terrasse comprise entre 110 et 130 m d'altitude[2].

    Chemin de la côte qui descend.

    Saint-Sornin était connu pour avoir un endroit où il y avait une illusion d'optique due à ce relief et qui avait fait déplacer pas mal de curieux. À la sortie est du bourg sur la D 110, une petite route continuant à droite vers une chapelle semble descendre, en fait elle monte[6]. L'explication en est que tout le paysage est incliné vers l'ouest, et la montée s'accentue vers l'est, provoquant l'illusion d'un flanc de vallée.

    Hydrographie

    La commune est sur la rive droite de la vallée de Tardoire, sous-affluent de la Charente, mais la commune ne touche la rivière qu'en deux petits endroits à Rochebertier, car la limite de la commune longe le pied de la terrasse et ne comprend pas le fond de vallée.

    De par la nature karstique du sous-sol, aucun autre cours d'eau ne traverse la commune, malgré un fort relief à l'est et un sol un peu argileux.

    On peut citer quelques minuscules retenues ou captages d'eau au sud de Miaulant et le profond vallon au nord de la Fenêtre.

    Climat

    Comme une grande partie du département, le climat est océanique aquitain.

    Végétation

    La commune est boisée principalement à l'est. Le sud des terrasses entre les Michelots, le Mas et la Fenêtre est propice à la culture de la vigne. Le reste de la commune est occupée par des champs et prairies.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Sornin est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,8 %), terres arables (23,8 %), forêts (21,7 %), zones urbanisées (5 %), cultures permanentes (2,7 %), prairies (1,1 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Sanctus Saturninus au XIVe siècle[13].

    Comme de nombreuses communes éponymes localisées principalement dans le sud de la France, cette commune doit son nom au culte de saint Saturnin de Toulouse (saint Cernin), premier évêque chrétien de Toulouse répertorié[14],[15],[Note 3].

    Dialecte

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[16]. Elle se nomme Sent Sornin en occitan[17].

    Histoire

    La voie antique supposée romaine d'Angoulême à Limoges, appelée aussi le chemin des Anglais, traversait la commune d'ouest en est. Elle arrivait de Pranzac et Vilhonneur, passait à l'est du bourg par les Michelots[18], puis grimpait sur la crête du Massif de l'Arbre qu'elle suivait jusqu'à Mazerolles à peu près par l'actuelle route départementale. Cette voie rejoignait la voie romaine de Saintes à Lyon à Saint-Quentin-sur-Charente[19],[20].

    Un site à tegulae et céramique a d'ailleurs été trouvé aux Michelots, témoignant d'un habitat gallo-romain[18].

    Les premiers registres de l'état civil remontent à 1630.

    Le logis de la Fenêtre faisait partie au XVIe siècle des biens de la famille de Corlieu[21]. Il passa ensuite, avec la Chaise et les Ombrais, aux mains de la famille de La Croix, et appartenait au début du XXe siècle à la famille Delavallade[22].

    Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Roumazières par Montbron appelée le Petit Mairat. La station était au pied du bourg près de Rochebertier.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1984 2014 Marcel Rapion PS Retraité agricole
    2014 En cours Michaël Canit
    Réélu pour le mandat 2020-2026[23]
    PS Technicien, conseiller départemental depuis 2021

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[24].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2018, la commune comptait 794 habitants[Note 4], en diminution de 9,26 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    699754813781750783809767759
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    870834871859898879834806771
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    753725684644644622611552633
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    618615673694715793860808794
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 19,5 %, 15 à 29 ans = 11 %, 30 à 44 ans = 24,2 %, 45 à 59 ans = 22,2 %, plus de 60 ans = 23 %) ;
    • 49,6 % de femmes (0 à 14 ans = 18,8 %, 15 à 29 ans = 15,3 %, 30 à 44 ans = 22,1 %, 45 à 59 ans = 21,9 %, plus de 60 ans = 21,8 %).

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,4 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (26,6 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,4 % contre 48,4 % au niveau national et 48,5 % au niveau départemental).

    Pyramide des âges à Saint-Sornin en 2007 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ans ou +
    0,5 
    7,5 
    75 à 89 ans
    10,4 
    15,0 
    60 à 74 ans
    10,9 
    22,2 
    45 à 59 ans
    21,9 
    24,2 
    30 à 44 ans
    22,1 
    11,0 
    15 à 29 ans
    15,3 
    19,5 
    0 à 14 ans
    18,8 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Agriculture

    Vigne et point de vue.

    Saint-Sornin possède un vignoble qui donne lieu à la seule production de vin de pays charentais de la Charente ; principaux cépages, cabernet et sauvignon. Le vignoble s'étage au pied du Massif de l'Arbre situé plus à l'est et il fait face au sud-ouest et à la vallée de la Tardoire.

    Commerces

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Saint-Sornin, Vilhonneur et Vouthon. Saint-Sornin accueille l'école primaire et Vilhonneur et Vouthon les écoles élémentaires. L'école de Saint-Sornin, située au bourg, comprend deux classes de maternelle et une classe d'élémentaire. Le secteur du collège est Montbron[31].

    Sports et activités

    • Salle Placide-Brunet : le club de basket-ball évolue dans cette salle.

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église paroissiale Saint-Saturnin date du XIIe siècle mais a été en partie remaniée[32]. Bien entretenue mais sans caractère architectural marquant[22].

    Elle renferme une statue de saint Antoine en bois sculpté et polychrome du XVIIe siècle classée monument historique au titre objet depuis 2003. Propriété de la commune, elle a été exposée au musée d'Angoulême en 2000[33].

    La chapelle Saint-Roch.

    La chapelle Saint-Roch (ou Notre-Dame-de-la-Lande[34]) est située sur l'ancien chemin des Anglais, qui était au Moyen Âge un des itinéraires secondaires est-ouest fréquentés par les pèlerins qui allaient au sanctuaire de Saint-Jacques-de-Compostelle et aux reliques de saint Eutrope à Saintes[35].

    La fontaine Saint-Antoine[Où ?] était une fontaine miraculeuse destinée à la guérison des enfants[36].

    Patrimoine civil

    Logis de la Fenêtre.

    Le logis de la Fenêtre offre un magnifique point de vue vers l'ouest et le sud. Il possède deux tours cylindriques coiffées de poivrières. Le corps de logis date du XVe ou XVIe siècle et a été profondément remanié[37].

    Patrimoine environnemental

    Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les communes françaises de Saint-Saturnin  (dont une en Charente), Saint-Cernin , Saint-Sernin , et les autres Saint-Sornin , ont aussi cette étymologie.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montbron », sur Infoterre, (consulté le )
    6. Journal Charente libre, 1978
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 168,172,191
    14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, p. 1576, 1991, (ISBN 978-2-600-02884-4), [lire en ligne]
    15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 591.
    16. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    17. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    18. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 151
    19. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 165
    20. André Debord, La société laïque dans les pays de la Charente Xe-XIIe s., Picard, , 585 p. (ISBN 2-7084-0112-2, présentation en ligne), p. 44
    21. Jean-Marie Ouvrard, « Armorial de la famille de Corlieu », (consulté le )
    22. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 352,369
    23. https://reader.cafeyn.co/fr/1980733/21598706
    24. Site des villes et villages fleuris, consulté le 7 février 2021.
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. « Évolution et structure de la population à Saint-Sornin en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    30. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    31. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    32. Catillus Carol
    33. « Statue de saint Antoine », notice no PM16000410, base Palissy, ministère français de la Culture
    34. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 338
    35. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
    36. M. Bernard, maréchal à Saint-Sornin, Etudes Locales, , chap. 215, p. 144
    37. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 719

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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