Odos

Odos est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Odos

Église Saint-Georges d'Odos.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées
Maire
Mandat
Isabelle Loubradou
2020-2026
Code postal 65310
Code commune 65331
Démographie
Gentilé Odosséens Odosséennes
Population
municipale
3 253 hab. (2018 )
Densité 371 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 11′ 49″ nord, 0° 03′ 31″ est
Altitude Min. 315 m
Max. 391 m
Superficie 8,77 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Tarbes
(banlieue)
Aire d'attraction Tarbes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Moyen-Adour
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Odos
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Odos
Géolocalisation sur la carte : France
Odos
Géolocalisation sur la carte : France
Odos
Liens
Site web Site officiel

    Ses habitants sont appelés les Odosséens.

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Odos se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, et à km de Barbazan-Debat[3], bureau centralisateur du canton du Moyen Adour dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tarbes[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Laloubère (1,7 km), Horgues (2,6 km), Juillan (2,9 km), Momères (3,3 km), Soues (3,5 km), Salles-Adour (3,6 km), Louey (3,8 km), Hibarette (3,9 km).

    Sur le plan historique et culturel, Odos fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[5].

    Carte de la commune d'Odos et des proches communes.

    Hydrographie

    Les ruisseaux de La Gespe (affluent droit de l’Échez) et de Galopio traversent la commune du sud au nord.

    Climat

    Le climat est tempéré de type océanique, dû à l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

    Le tableau ci-dessous indique les valeurs normales de l'ensoleillement, des températures et des précipitations, observées par Météo-France à Ossun, où se trouve la station météorologique de référence pour le département.

    Données climatiques à Odos.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
    Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
    Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
    Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
    Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[7].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[8] : le « réseau hydrographique de l'Échez » (392 ha), couvrant 26 communes dont trois dans les Pyrénées-Atlantiques et 23 dans les Hautes-Pyrénées[9] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[8] : les « coteaux et vallons des Angles et du Bénaquès » (12 879 ha), couvrant 45 communes du département[10].

    Urbanisme

    Typologie

    Odos est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tarbes, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[14] et 78 594 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Le château d’eau en 2019.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (51,3 %), zones urbanisées (19,7 %), terres arables (16,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,8 %), forêts (3,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,2 %), prairies (0,8 %), zones humides intérieures (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    La ville est scindée en trois regroupements : un secteur agricole avec un petit centre-ville, un lotissement construit dans les années 1960 nommé le « Bouscarou » et, séparé par l'autoroute A64, un autre quartier résidentiel[20].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 1 440[21].
    Parmi ces logements, 94,8 % sont des résidences principales, 1,1 % des résidences secondaires et 4,2 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Odos au sud de Tarbes.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[22] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    Étymologie : nom de personnage latin Odus et suffixe aquitain ossum (domaine d’Odus).

    Nom occitan : Audòs.

    Histoire

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    Préhistoire

    On[évasif] a trouvé des vestiges de présence humaine dès le Ve siècle avant Jésus-Christ[23]. Le site est celui d'un ancien oppidum gallo-romain, motte d'une dizaine de mètres de hauteur au centre du futur village.

    Antiquité

    Il reste trace d'une tour bâtie en galets roulés disposés en épis entre des arases de brique (Ve siècle ?). Des constructions et palissades en bois furent remplacées, sans doute au XIIIe siècle, par un château en dur avec une enceinte, mentionné dans plusieurs textes[Lesquels ?].

    Moyen Âge

    Les Templiers

    • 1249 : La cour arbitrale d'Odos est citée dans le règlement d'un différend sur un droit de pacage entre l'ordre du Temple de Bordères-sur-l'Échez et le véziau d'Ibos (véziau : terme gascon signifiant communauté). En 1281, elle intervient dans un litige sur le droit d'utiliser les landes communales entre Tarbes et Séméac.

    Temps modernes

    • 1525 : Marguerite d'Angoulême, dite aussi Marguerite de Navarre, sœur de François Ier, épouse d'Henri d'Albret, reine de Navarre et châtelaine d'Odos.
    •  : Jean de Coarraze, petit-fils de Bernard de Coarraze, vend la seigneurie d'Odos à Jeannicot de Lassale, marchand d'Oloron, pour 1245 écus et 18 sols.
    • 1549 : mort de Marguerite de Navarre, grand-mère d'Henri IV, au château d'Odos.
    • 1569 : L'église d'Odos est incendiée par les troupes protestantes de Montgomery.
    •  : Henri IV confie à Jean de Lassale, fils de Joannicot, « un château qui est à présent tout rompu et ruiné et ne reste plus que de masure et vieille muraille inhabitable ».
    • . Un inventaire des biens de la communauté d'Odos recense 400 journaux (le journal était la superficie moyenne de terre travaillée en une journée) : le Plan de Beyrède (200 journaux), le Bouscarou (40 journaux), le Buala (100 journaux), la Devèze (40 journaux), les Alliats (20 journaux). Des livres terriers sont rédigés, le deuxième en 1765.
    • 1701 : Procès des habitants contre le seigneur d'Odos. Mais un arrêt du Parlement de Toulouse maintient le seigneur dans la propriété des landes, des bois, des terres et fermes du lieu.
    •  : transaction entre Anne d'Odos et les habitants au sujet des landes. Ceux-ci s'engagent à lui verser 200 sols morlaas par an.
    •  : Paul de Lassale, dernier seigneur d'Odos, veuf de Barthélémie Ducasse d'Artagnan, épouse en secondes noces Cécile Barère de Vieuzac, jeune sœur de Bertrand Barère.
    •  : décès de Paul de Lassale, 75 ans.

    Époque contemporaine

    • 1789 : rédaction du « Cayer des plaintes et doléances arretté dans l'assemblée généralle des habitans de la parroisse d'Odos », signé par 26 habitants.
    • 1791 : Monsieur Abadie est élu premier maire d'Odos.
    • 1796 : La maison presbytérale est saisie comme bien national et vendue.
    •  : Acquisition du presbytère.
    • 1852 - 1864 : Le château est fortement remanié par le général Courby de Cognord, époux de Joséphine de Lassale, petite-fille de Cécile Barère de Vieuzac.
    •  : Acquisition de la propriété Cénac Larré pour la construction de la mairie-école.
    •  : Vente aux enchères de 2 lots, le château avec ses dépendances (12 hectares), et la métairie Gardette (43 hectares).
    • 1895 : le château est acheté par Paul et Madeleine de Févelas[25], qui s'y installent en 1907. À la mort de Madeleine de Févelas en 1958, le château reste à l'abandon.
    • 1936 : La commune est dévastée par un cyclone. La quasi-totalité des toitures est endommagée.
    • 1947 : Monsieur Lucien Rieudebat est élu maire, et le restera jusqu'en 1983. La commune connait un grand essor avec l'électrification, la création de la zone industrielle et commerciale de la route de Lourdes.
    • 1968 : M et Mme Galissard achètent le château et le restaurent.
    • 1970 : Acquisition de terrains dépendant du château pour la construction du groupe scolaire, de la salle omnisports, de courts de tennis, du lotissement des Peupliers.
    • 1972 : Les landes communales disparaissent au profit des lotissements des Alliats et du Bouscarou.

    Pionnière dans l'accueil des gens du voyage, Odos a construit, en 2003, sous l'impulsion de son maire M. Gérard Boube, une aire de stationnement en respect de la loi[26]. Elle comprend 12 places réparties en 8 emplacements. Cet investissement a été bien reçu par la communauté tzigane du Grand Tarbes.

    Cadastre napoléonien d'Odos

    Le plan cadastral napoléonien d'Odos est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[27].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires

    La mairie d'Odos en 2008.
    Le foyer rural en 2021.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    Anne-Elisabeth Blachère PS  

    (démission)
    Maurice Olléon UDF  
    Gérard Boube PS Professeur puis instituteur
    Conseiller général du canton de Laloubère (2001 → 2015)
    mars 2008 Dominique Lidar ex-UMP  
    mars 2014 mars 2020 Jean-Michel Lehmann[30] DVG Employé
    mars 2020[31] En cours Isabelle Loubradou Sans  

    Historique administratif

    Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Tarbes, canton de Tarbes (1790), Tarbes-Sud (1801), de Séméac (1973), de Laloubère (1982)[32].

    Intercommunalité

    Odos ppartient à la Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées créée en et qui réunit 86 communes.

    Services publics

    Démographie

    Sous l'ancien régime, la population est dénombrée par feux, c'est-à-dire par foyers fiscaux. Pour en déduire le nombre d'habitants, les historiens appliquent souvent un coefficient multiplicateur de 5. Certains documents indiquent le nombre de maisons.

    • 1300 : 38 feux, soit approximativement moins de 200 habitants.
    • 1612 : 83 maisons et 6 bordes (granges).
    • 1720 : 73 feux, soit approximativement moins de 400 habitants.
    • En 1846, 142 maisons ; en 1872, 173 maisons. Pour la population, voir ci-dessous.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2018, la commune comptait 3 253 habitants[Note 6], en augmentation de 0,56 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    417450574613732684691694772
    1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    740714746794797777770727698
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    683706627648657657656719847
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    1 0232 2222 8543 2873 2853 2583 2473 2363 235
    2018 - - - - - - - -
    3 253--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Population et société

    L’école maternelle du Bourg en 2019.

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’écoles en 2017[38].

    Sports

    Le stade de football en 2021.

    Culture locale et patrimoine

    Le monument aux morts municipal.
    L'entrée du nouveau cimetière.

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent à l'ombre de tour crénelée de sept pièces mouvant de la pointe et à l'aigle bicéphale de gueules brochant sur le tout.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'Odos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Odos et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Odos et Barbazan-Debat », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches d'Odos », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
    8. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Odos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « ZNIEFF le « réseau hydrographique de l'Échez » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « ZNIEFF les « coteaux et vallons des Angles et du Bénaquès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Unité urbaine 2020 de Tarbes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    15. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Tarbes », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Pierre Carrey, « Odos : Jacquie et Michel, le porno né sous X », Libération, (consulté le ).
    21. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Odos
    22. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, notice BnF no FRBNF37213307)..
    23. Petit journal 2010. Hors série Odos; Histoires, légendes d'hier et d'aujourd'hui; Dir. de publication Maurice Tejedor, textes et photos Claude Bonneu et Michel Seize.
    24. Pierre Arnaud de Béarn, frère naturel de Gaston Fébus, tient alors le château de Lourdes, ainsi que toute la Bigorre et le Lavedan, pour le roi d'Angleterre.
    25. Bulletin municipal de Novembre 1997. Paul Humeau : Odos et son château.
    26. La Dépêche du Midi, « L'aire d'Odos inaugurée », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
    27. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral d' Odos en 1819
    28. Ministère de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Odos » (consulté le ).
    29. Ministère de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Odos » (consulté le ).
    30. « Lehmann fait basculer Odos à gauche », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
    31. D.G., « Odos. Isabelle Loubradou, maire pour poursuivre le travail », sur La Dépêche du Midi, (consulté le ).
    32. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    33. « Liste des juridictions compétentes pour Odos », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    39. « MAISON DES JEUNES ET DE LA CULTURE - Accueil et Contacts », sur mjcodos.fr (consulté le ).
    40. 7 février 1948 : Robert Soro, le Lion de Swansea, sur rugby-nomades.qc.ca
    41. Dans la tête du tueur, Jean-François Abgrall, 2005, Albin Michel (p. 137-138)
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