Moulidars

Moulidars (prononcer [mulidaʀ]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Moulidars

Le bourg et l'église Saint-Hippolyte.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Sylvie Yannick Mocœur
2020-2026
Code postal 16290
Code commune 16234
Démographie
Gentilé Montliardais
Population
municipale
729 hab. (2018 )
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 39′ 44″ nord, 0° 02′ 12″ ouest
Altitude Min. 22 m
Max. 103 m
Superficie 17,17 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val de Nouère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Moulidars
Géolocalisation sur la carte : Charente
Moulidars
Géolocalisation sur la carte : France
Moulidars
Géolocalisation sur la carte : France
Moulidars
Liens
Site web www.moulidars.fr

    Ses habitants sont les Montliardais et les Montliardaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Moulidars est une commune située à 3,5 km à l'ouest d'Hiersac et 15 km à l'ouest d'Angoulême.

    Moulidars est aussi à km au nord de Châteauneuf, 11 km à l'est de Jarnac, 13 km au sud de Rouillac et 23 km à l'est de Cognac[2].

    La commune est traversée d'est en ouest par la N 141 d'Angoulême à Cognac et Saintes, maillon occidental de la route Centre-Europe Atlantique, qui passe à km au nord du bourg. La D 63, ou route Claude Bonnier, traverse du nord au sud la commune et rejoint la N 141 à Malvieille. La D 405 en direction d'Hiersac dessert le bourg[3].

    La gare la plus proche est celle de Châteauneuf, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune compte des hameaux relativement importants : Malvieille sur la route nationale, le Cluzeau juste à côté au nord, Lignolle et Cesseaux à l'ouest, la Vigerie, les Pannetiers et Chez Borgnet au sud, Rouffignac et Chez Maurin à l'est, ainsi que de nombreuses fermes[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La vue depuis le pigeonnier d'Ardenne.

    Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Bassin aquitain comme les trois quarts ouest du département de la Charente. Elle est située sur la limite du Jurassique au nord et du Crétacé au sud.

    Une grande partie nord-ouest de la commune est dans le Jurassique supérieur. On distingue le Portlandien au nord, et le Purbeckien à l'ouest, ancienne zone lagunaire de la fin du Jurassique, début du Pays Bas à l'ouest, et riche en gypse qui a été exploité dans la commune par de nombreuses petites carrières.

    Les hauteurs au sud-est où est implanté le bourg de Moulidars marquent le début de la zone crétacée, avec le Cénomanien[4],[5],[6].

    Le relief de la commune est celui d'un bas plateau légèrement incliné vers le sud-ouest, hormis les hauteurs de la partie sud-est. Le point culminant de la commune est à une altitude de 103 m, situé à l'est du bourg près du château d'eau. Le point le plus bas est à 22 m, situé sur la limite ouest près de Cheville. Le bourg est à environ 85 m d'altitude[3], et la vue s'étend vers l'ouest sur environ une quinzaine de kilomètres.

    Hydrographie

    Aucun cours d'eau important traverse la commune. Le ruisseau temporaire du Ris, qui se jette dans la Charente à Vibrac, fait la limite méridionale de la commune. À l'ouest, la Guirlande, autre ruisseau temporaire, passe en limite de commune. On trouve quelques mares ou trous d'eau dans la partie centrale de la commune[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Moulidars est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (52,1 %), terres arables (19,7 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), forêts (11,4 %), zones urbanisées (3 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont ad Montem liardi en 1117[13], Molidarno au XIVe siècle[14].

    L'origine du nom de Moulidars est obscure, elle pourrait être Monte Lietardo, « le mont de Lietard », d'un nom de personne germanique[15],[16].

    Histoire

    Des traces du chemin des Anglais, ancienne voie romaine puis féodale de Saintes à Limoges par Angoulême ont été retrouvées au nord de la commune[17].

    Le Fossé au Comte était un retranchement construit par les comtes d'Angoulême avant le IXe siècle pour tenter de se protéger contre les invasions vikings. Ce fossé long de 20 km reliait la Charente en amont d'Angoulême à la Charente en aval, et allait du nord-est au sud-ouest de Montignac à Vibrac[18],[19],[20]. Il passait dans la commune vraisemblablement par Malvieille et la D 63 à l'ouest du bourg. Quelques chemins et toponymes demeurent au nord-est[21]. Il passait dans l'ancienne forêt de Marange[22].

    Au Moyen Âge, il y avait deux châteaux dans Moulidars : le plus ancien, qui s'appelait la Cour de Moulidars, est aujourd'hui à peu près complètement détruit et les quelques constructions qui en subsistent forment ce qu'on appelle la Métairie du château d'Ardenne.

    Le château de la Cour avait été construit vers le Xe siècle et relevait de la châtellenie de Châteauneuf, alors que le château d'Ardenne, édifié deux siècles plus tard, dépendait de l'abbaye de Saint-Cybard[23].

    En 1476 le seigneur Jean de Lousme était le propriétaire du château d'Ardenne. En effet il y a saisie féodale du château d’Ardenne, par Guy de Montbrun, abbé de Saint-Cybard et évêque de Condom, son créancier[24],[25].

    En 1480, ce château fut vendu à la famille Nourrigier, qui acquirent aussi le château de la Cour. De cette époque le château d'Ardenne fut aménagé par ses propriétaires, délaissant le château de la Cour comme métairie.

    Entre 1612 et 1625, Jacques Le Musnier, conseiller du roi et seigneur de Rouffignac à Moulidars, acquit l'ensemble des terres de Moulidars, sauf le château même d'Ardenne qui avait été vendu par Isaac Méhée et possédé en 1608 par Raymond de Forgues, baron des Pins, de la Rochandry, d'Audenge et de Lacanau.

    C'est seulement en 1633, quatre ans après la mort de Jacques Le Musnier, que sa veuve Hippolyte de La Place, acquit de Catherine Redon, dame de Forgues, le château d'Ardenne, en échange de la seigneurie de Mosnac[23].

    Lors des guerres de religion, Condé, chef des protestants, mourut au château d'Ardenne des suites de ses blessures reçues à la bataille de Jarnac le [26].

    En 1691, lors d'un partage, la seigneurie de Moulidars passa aux mains des Méhée d'Anqueville, qui possédaient aussi le logis des Courades. Seul le domaine de Rouffignac resta en possession des Musnier jusqu'au début du XIXe siècle, où il fut morcelé et vendu.

    Rouffignac était aussi une seigneurie de Moulidars, qui s'étendait sur neuf paroisses. Au XVe siècle, elle appartenait à Henri Pelletan, écuyer, qui avait épousé une fille de Charlot de Mosnac. Elle fut vendue en 1602 à François Le Musnier, seigneur de Lartige[23].

    Avant le XVIIIe siècle, Moulidars était aussi situé sur l'ancienne route de la Poste entre Paris et Bordeaux, directe entre Chaunay et Barbezieux par Villefagnan, Aigre et Châteauneuf, avant que celle-ci ne soit déviée pour desservir Angoulême par Turgot, intendant de la généralité de Limoges[27],[28],[29],[3].

    Administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989 2008 Serge Thoreau    
    2008 2014 Sylvie Mocœur SE Technicienne d'édition
    2014 En cours Martial Desport SE  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

    En 2018, la commune comptait 729 habitants[Note 3], en diminution de 2,15 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    9509591 005877978954984978994
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 1031 063952942828788707614635
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    639630543585593570609623605
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    569521504543558688734719729
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Moulidars en 2007 en pourcentage[34].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90  ans ou +
    0,9 
    6,1 
    75 à 89 ans
    7,8 
    10,2 
    60 à 74 ans
    11,6 
    22,7 
    45 à 59 ans
    20,9 
    25,6 
    30 à 44 ans
    25,0 
    13,7 
    15 à 29 ans
    13,7 
    21,2 
    0 à 14 ans
    20,1 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[35].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une partie importante de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[36].

    Tourisme

    Moulidars compte une activité de tourisme de gîtes et de chambres d'hôtes.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école.

    L'école est un RPI entre Moulidars et Vibrac. Vibrac accueille l'école élémentaire et Moulidars l'école primaire. L'école communale comporte une classe de maternelle et deux d'élémentaire[37].

    Le collège est à Châteauneuf et le transport est assuré comme dans tout le département par le Conseil général avec six arrêts sur la commune de Moulidars.

    Lieux et monuments

    Église Saint-Hippolyte

    L'église paroissiale Saint-Hippolyte date du XIIe siècle et sa façade romane a été classée monument historique en 1912[38].

    Château d'Ardenne

    Le château d'Ardenne a été construit en plusieurs étapes, du XIIe au XVIIIe siècle. La tour, construite par Richard de Montbrun, date du XIIe siècle. Le reste de l'édifice date du XVIe siècle et a été remanié au XVIIIe siècle. Les familles Nourrigier (XVIe siècle), Le Musnier (XVIIe siècle), Méhée d'Anqueville , de Terrasson de Montleau (XVIIIe siècle), et Hine (célèbres négociants de cognac à Jarnac) en furent les principaux propriétaires[39].

    Plusieurs de ses parties, sa façade et ses toitures, la grande terrasse sud, sa balustrade ainsi que le grand escalier, sa rampe en fer forgé et l'escalier à vis de la tour nord-ouest ont été inscrits monument historique par arrêté du [40].

    Le pigeonnier, qui faisait autrefois partie du domaine d'Ardenne, est construit à flanc de coteau et offre une vue magnifique vers l'ouest sur les vignobles alentour. C'était la fuie du château, et elle fut construite dans les années 1720 par Pierre Méhée alias d'Ardenne (1677-1760), mousquetaire plus connu par son surnom « d'épée du roi ». Ce pigeonnier possède 850 boulins[39].

    En 1999, la tempête Martin qui a traversé le Sud-Ouest a abîmé la toiture et l'association "le Pigeonnier d'Ardenne" a été créée afin de restaurer l'édifice[41].

    Logis de la Cour

    Le logis de la Cour, situé près du bourg, fut probablement le premier château de la seigneurie de Moulidars construit aux XIIe et XIIIe siècles. Il est particulièrement intéressant grâce à ses souterrains-refuges. L'actuel corps de logis est du XVe siècle car le château fut rebâti après la guerre de Cent Ans. Il deviendra par la suite la métairie du château d'Ardenne[42],[39]. C'est aussi un domaine viticole.

    Autre patrimoine

    La commune possède aussi un riche patrimoine bâti et un lavoir.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Abbé Gabriel Tricoire, Le Château d'Ardenne et la seigneurie de Moulidars en Angoumois, Kessinger Publishing (réimpr. 2010) (1re éd. 1890), 468 p. (ISBN 978-1-160-66537-7 et 1-160-66537-0, présentation en ligne), p. 333
    14. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 284
    15. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 471.
    17. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 129
    18. François Marvaud, Étude historique sur l'Angoumois, Cognasse, (lire en ligne), p. 48
    19. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 247
    20. François Corlieu, Recueil en forme d'histoire, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 81 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 6
    21. Le Grand Fossé, la Combe du Fossé, voir « Carte 1/25.000 » sur Géoportail.
    22. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 156-157
    23. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 253-255
    24. AD 16, abbaye de Saint-Cybard : Copies et extraits des actes les plus précieux du trésor abbatial, par Berthé. Art. Moulidars. - Cité dans Le Château d’Ardenne - Abbé Tricoire - 1890
    25. G. Mascuzelli, « 1476 - Saisie du château de Moulidars (16) par l’abbé de Saint-Cybard », Histoire Passion (consulté le )
    26. Abbé Gabriel Tricoire, Le Château d'Ardenne et la seigneurie de Moulidars en Angoumois, N. Texier, , 458 p. (présentation en ligne)
    27. Atlas de Trudaine - 1745 ; généralité de La Rochelle - vol. II, base Mistral, Ministère de la Culture
    28. Georges Reverdy, Histoire des routes de France du Moyen Âge à la Révolution, Presses de l'École nationale des ponts et chaussées, , 271 p. (ISBN 2-85978-280-X, lire en ligne), p. 231
    29. Société archéologique et historique de la Charente, Documents historiques sur l'Angoumois, Aubry, (lire en ligne), p. 236-237
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Evolution et structure de la population à Moulidars en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    35. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    36. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    37. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    38. « Église de Moulidars », notice no PA00104434, base Mérimée, ministère français de la Culture
    39. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 497-499
    40. « Château d'Ardenne », notice no PA00104433, base Mérimée, ministère français de la Culture
    41. Panneau d'information sur le site
    42. Moulidars, mille ans d'histoire

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    Liens externes

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