Bassac (Charente)

Bassac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Bassac.

Bassac

Mairie de Bassac.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Nicole Roy
2020-2026
Code postal 16120
Code commune 16032
Démographie
Gentilé Bassacois
Population
municipale
516 hab. (2018 )
Densité 68 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 39′ 51″ nord, 0° 06′ 20″ ouest
Altitude Min. 12 m
Max. 38 m
Superficie 7,62 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Jarnac
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Bassac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Bassac
Géolocalisation sur la carte : France
Bassac
Géolocalisation sur la carte : France
Bassac
Liens
Site web www.mairie-bassac.fr

    Ses habitants sont appelés les Bassacois et Bassacoises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Bassac est une commune située à km à l'est de Jarnac et 20 km à l'ouest d'Angoulême, dans la vallée de la Charente.

    Elle est desservie par la D 22, route de Jarnac à Villebois-Lavalette par Châteauneuf qui longe la Charente sur sa rive droite, et la D 18, d'Échallat et Mérignac à Saint-Même et Segonzac, nord-sud, qui passe aussi au bourg et traverse la Charente.

    La route nationale 141 d'Angoulême à Saintes passe à km au nord du bourg[2].

    Bassac est aussi à km de Châteauneuf, 3,5 km de Saint-Même.

    La gare la plus proche est celle de Jarnac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.

    Hameaux et lieux-dits

    Le bourg de Bassac est assez gros. La commune ne comporte que deux hameaux importants : Cheville, dans le nord de la commune, et Bassigeau, près de la route de Jarnac à Châteauneuf au sud-est[2].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Le sol de la commune est calcaire et appartient au Purbeckien, ancienne zone lagunaire de la fin du Jurassique supérieur, qui s'étendait vers l'ouest dans tout le Pays Bas et riche en gypse.

    Au sud de la route de Jarnac à Châteauneuf s'étend la vallée de la Charente, dont la zone inondable est couverte par des alluvions du Quaternaire. Des alluvions moins récentes occupent deux petites zones, entre le bourg et Triac, et au nord de Bassigeau[3],[4],[5].

    Le relief est celui d'une plaine, confondue quasiment avec la vallée de la Charente qui occupe le sud de la commune. Le point culminant est à une altitude de 38 m, situé à Cheville. Le point le plus bas est à 12 m, situé le long du fleuve près du pont de Vinade. Le bourg est à 18 m d'altitude[2].

    Hydrographie

    La commune est limitée au sud par la Charente qui se divise en un grand nombre de bras et, à l'est, par un petit affluent du fleuve, la Guirlande, qui traverse le pied du bourg.

    La Guirlande est un cours d'eau naturel non navigable de 15 km. Elle prend sa source dans la commune de Vaux-Rouillac. Après avoir bordé la commune de Bassac sur sa limite orientale et être gonflée par un bras de la Charente, elle oblique vers l'ouest pour passer au pied du bourg et se jette dans la Charente à proximité du pont de Vinade[6],[2].

    Le village de Bassac est au bord de la Charente, sur la rive droite.

    Climat

    Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.

    Données climatiques
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8
    Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5
    Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,7
    Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9
    Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[7].

    Végétation

    La vallée de la Charente comprend de vastes prairies ; le nord renferme de beaux vignobles du cognac.

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Baciacum en 852 et 923[8], Bacciaco en 1330, Baciaco, Bassiaco en 1265[9], Bassacum, Baciac[10].

    Bacciacum signifie « domaine de Baccius », nom d'origine gauloise, du thème de nom propre Bacco-, avec le suffixe -acum indiquant la propriété[11].

    Histoire

    Dans les premières années du XIe siècle, le seigneur de Jarnac, Wardrade, ayant fait vœu d'édifier sur ses terres un monastère, fixa son choix, d'accord avec son épouse Rixendis, sur le petit bourg de Bassac.

    Les fondements en furent tracés par Islo, évêque de Saintes, et la charte, qui consacra le fondation de l'abbaye Saint-Étienne de Bassac, fut signée par le pape Benoît VIII, Islo, Grimoard, évêque d'Angoulême, Seguin, archevêque de Bordeaux, Guillaume, duc d'Aquitaine, Guillaume IV Taillefer, comte d'Angoulême, et beaucoup d'autres seigneurs.

    Vers le milieu du XIIIe siècle, l'église primitive, devenue insuffisante, fut agrandie et remplacée par un autre monument beaucoup plus vaste.

    Ayant réussi à franchir sans dommages la première période de la guerre de Cent Ans, elle fut malheureusement ruinée par une troupe d'Anglo-Gascons, commandée par le maire de Bordeaux, en 1434, alors que tout le pays environnant était également saccagé. Les moines se tournèrent alors vers Henri de Courbon, prieur de Jarnac pour reconstruire le monastère et les cloîtres et rebâtir la maison abbatiale; il fit également fortifier l'église et entourer l'abbaye d'un mur d'enceinte percé de meurtrières. C'est sous sa direction que fut commencé le cartulaire de l'abbaye de Bassac.

    Il eut à soutenir deux procès contre Renaud Chabot, seigneur de Jarnac. Grâce à ces procès, nous avons une description de Bassac : « Bassac est une ville fortifiée, close de remparts et de portes avec un fossé profond. Elle est peuplée de 300 à 400 habitants ».

    Pendant la sanglante bataille dite de Jarnac, le , Bassac et son abbaye furent saccagées alternativement par les deux partis, des moines et des habitants furent massacrés et d'autres emmenés prisonniers; la reconstruction dura plus d'un siècle.

    Le dernier abbé de Bassac fut Green de Saint-Marsault. À la Révolution, l'abbaye subit le sort des autres monastères : les moines en furent expulsés et leurs biens, saisis[12].

    Cette abbaye de bénédictins de l'ordre de saint Maur avait droit de justice sur Bassac[13].

    Au cours du Moyen Âge, Bassac se trouvait sur un itinéraire secondaire est-ouest fréquenté par les pèlerins au sanctuaire de Saint-Jacques-de-Compostelle et aux reliques de saint Eutrope à Saintes depuis le Limousin et le Périgord, itinéraire longeant de la Charente par Angoulême et Cognac[14].

    Bassac possédait, à l'entrée de la ville, une église paroissiale dédiée à saint Nicolas. C'était une construction remarquable du XIIIe siècle, dominée par un beau clocher à deux étages. Elle a été vendue comme bien national puis détruite. Il ne reste plus que le mur nord de l'église[12].

    Après la déclaration de guerre de la France à l'Allemagne le , Bassac comme de nombreux villages charentais accueillit des réfugiés de la zone frontalière à l'Allemagne. Ainsi des habitants de Rimling (Moselle) furent réfugiés pendant près d'un an à Bassac.

    Administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2008 Gérard End    
    2008 En cours Nicole Roy SE Viticultrice
    Les données manquantes sont à compléter.

    Bassac est rattachée au code postal 16120 de Châteauneuf-sur-Charente alors qu'elle appartient au canton de Jarnac voisin.

    Fiscalité

    La fiscalité en 2007 est d'un taux de 17,85 % sur le bâti, 48,69 % sur le non bâti, et 8,44 % pour la taxe d'habitation.

    La communauté de communes de Jarnac prélève la taxe professionnelle au taux 10,26 %.

    Urbanisme

    Typologie

    Bassac est une commune rurale[Note 1],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Les 221 logements de la commune sont 217 logements individuels et seulement 4 dans un immeuble collectif, répartis en 173 résidences principales soit 78,3 %, 26 résidences secondaires, 2 logements occasionnels et 20 logements vacants

    Les 173 résidences principales ont pour 115 été construites avant 1949. Seulement 11 ont été construites de 1949 à 1974, 29 de 1975 à 1989 et 18 de 1990 à 1999.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (28,5 %), zones agricoles hétérogènes (27,5 %), terres arables (21 %), forêts (11,7 %), zones urbanisées (4,8 %), prairies (4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

    En 2018, la commune comptait 516 habitants[Note 2], en diminution de 4,27 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    819862835863806793815808747
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    774760738714690735669720705
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    661649536512508493471489504
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    509513478464461521533545539
    2018 - - - - - - - -
    516--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Bassac en 2007 en pourcentage[25].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,4 
    7,5 
    75 à 89 ans
    10,0 
    14,6 
    60 à 74 ans
    11,4 
    21,1 
    45 à 59 ans
    17,0 
    24,0 
    30 à 44 ans
    21,0 
    16,0 
    15 à 29 ans
    15,1 
    16,7 
    0 à 14 ans
    25,1 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[26].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Remarques

    Bassac qui s'est créée autour de l'abbaye a vu sa population baisser continuellement durant un siècle de 1850 à 1950 puis se stabiliser mais avec 46 % de moins qu'en 1800.

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[27].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Triac-Lautrait et Bassac. Triac-Lautrait accueille l'école élémentaire et Bassac l'école primaire[28].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'abbaye Saint-Étienne de Bassac est une ancienne abbatiale du diocèse de Saintes, fondée en 1002 par Wardrade Lorichès, comte de la Marche et premier seigneur connu de Jarnac ; il gît encore, ainsi que son épouse Rixendis dans l'église de Bassac[29]. Elle fut consacrée vers 1015 par Grimoard, évêque d'Angoulême, et son frère Iso, évêque de Saintes. rattachée en 1092 à l'abbaye de Saint-Jean-d'Angély ; elle redevient libre en 1246.

    Église en grande partie reconstruite sous Guillaume de Vibrac, abbé de 1247 à 1286.

    Pillée par les troupes anglo-gasconnes en 1434 elle est restaurée et fortifiée sous Henri de Courbon, abbé de 1451 à 1476 qui reconstruit également le logis de l'abbé et le cloître.

    Pillée par les Protestants en 1564.

    Assiégée et pillée par les Catholiques au moment de la bataille de Jarnac en 1569.

    Reconstruction des voûtes de l'abbatiale : en 1677 et 1688. Bâtiments conventuels construits de 1677 à 1716.

    Destruction du cloître en 1820[30].

    Le clocher possède un rez-de-chaussée couvert d'une petite coupole très élevée du XIIe siècle ; il présente, au-dessus de la souche, quatre étages en retraite les uns sur les autres, soulignés par un cordon, avec colonnettes aux angles, et est surmonté d'une flèche conique à imbrications, accostée à son départ par quatre pinacles en pyramide triangulaire.

    On peut lire sur sa façade romane une inscription de la phrase de Robespierre : « Le peuple français reconnait l'être suprême et l'immortalité de l'âme ».

    On trouve, entre autres, une chapelle du XIIIe siècle percée d'une baie et couverte d'une voûte d'ogives avec liernes, suivie d'une autre chapelle du XVe siècle, voûtée seulement sur ogives, ayant une baie à trois meneaux et réseau flamboyant[31],[32].

    L'abbaye est classée monument historique depuis 1880[33],[30].

    Patrimoine civil

    Les fortifications du XIe siècle ne comportaient plus au XVIe siècle que trois portes : Saint-Benoît, Saint-Nicolas et la porte Barrière et en 1844, il ne restait que les fossés aujourd'hui comblés.

    Le manoir des Plantes porte l'inscription : « 20 MAY 1716 » sur la porte du logis et « 1723 » sur le portail. Il a été remanié et la partie centrale du logis a été surélevée[34].

    Un ancien moulin à eau sur la Guirlande a été récemment remis en activité.

    Patrimoine environnemental

    Le GR 4 qui va de Royan à Grasse passe à l'ouest de la commune et franchit le fleuve.

    Personnalités liées à la commune

    • Eusèbe Castaigne.
    • Louis Plantevigne-Dubosquet, maire de Bassac de 1832 à 1848.
    • Cuneo d'Ornano, gendre de Louis Plantevigne-Dubosquet, député du canton de Segonzac, ardent défenseur des viticulteurs du canton de Segonzac.


    Héraldique

    Blason
    Coupé ondé: au 1er d'azur à trois fermaux d'argent rangés en fasce et surmontés d'un lambel à trois pendants renversé du même, au 2e losangé de gueules et d'or, à la volute de crosse de sable brochante[35].
    Détails
    Adopté le 24 novembre 2014.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Carte du BRGM sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
    6. Sandre, « Fiche cours d'eau - la Guirlande (R3070510) »
    7. « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
    8. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 26,130
    9. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 98,130,232
    10. Cartulaire de Saint-Jean-d'Angély
    11. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    12. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 74-75
    13. Histoire de Cognac, Jarnac, Segonzac, abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (ISBN 2-84618-496-8)
    14. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne), p. 9,172
    15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « Evolution et structure de la population à Bassac en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    26. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    27. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    28. Site de l'inspection d'académie de la Charente
    29. Le château de Jarnac, ses barons et ses comtes, P. Lacroix, Aux Librairies Historiques, Paris, 1875.
    30. « Abbaye de Bassac (notice) », notice no IA00049629, base Mérimée, ministère français de la Culture
    31. Bull. Soc. arch. Charente; 1881-1881, p. 3.
    32. Congrès arch. d'Angoulême, t.1, 1912, p. 398.
    33. « Abbaye de Bassac », notice no PA00104242, base Mérimée, ministère français de la Culture
    34. « Manoir des Plantes », notice no IA00042495, base Mérimée, ministère français de la Culture
    35. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=19599

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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