Mérignac (Charente)

Mérignac est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Mérignac (homonymie).

Mérignac

L'église.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Jean-Christophe Cor
2020-2026
Code postal 16200
Code commune 16216
Démographie
Gentilé Mérignacais
Population
municipale
842 hab. (2018 )
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 41′ 59″ nord, 0° 04′ 45″ ouest
Altitude Min. 23 m
Max. 101 m
Superficie 18,51 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Jarnac
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Mérignac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Mérignac
Géolocalisation sur la carte : France
Mérignac
Géolocalisation sur la carte : France
Mérignac

    Ses habitants sont les Mérignacais et les Mérignacaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Mérignac est une commune de l'ouest du département de la Charente située à km à l'est de Jarnac et à 19 km à l'ouest d'Angoulême.

    Mérignac est aussi à km à l'ouest d'Hiersac, km au sud de Rouillac, 11 km au nord de Châteauneuf et 19 km à l'est de Cognac[2].

    Cette importante commune est la plus orientale de son canton et la seconde en superficie.

    La principale voie de communication est la route nationale 141 d'Angoulême à Cognac et Saintes, maillon occidental de la route Centre-Europe Atlantique, qui parcourt tout le sud de la commune. La D 18, route de Bassac à Échallat coupe cette dernière voie par un échangeur à l'important hameau de Bourras et traverse le bourg de Mérignac[3].

    La gare la plus proche est celle de Jarnac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.

    Hameaux, lieux-dits, et écart

    Le bourg de Mérignac est un gros village.

    L'important hameau de Villars, aussi appelé Villars-Marange, se trouve à l'extrémité orientale de la commune. Une partie de ce hameau appartient même à la commune voisine d'Échallat mais sa partie la plus importante est située sur la commune, autour du château.

    Les autres hameaux sont Bourras et le Grand Bourras, Orlut (entre le bourg de Mérignac et Villars), Bois Renard (à l'est du bourg), Chatouflat (dans le sud de la commune, près de Bourras).

    Les lieux-dits et fermes sont Moulin de Rambaud, le mon Garni, Montedoux, le Logis de Lafont, la Moufias, les Renardières, Grande Plante, les Crochettes[3].

    Ecart : le Peu (touchant le bourg), la Lichère (touchant le bourg).

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Mérignac
    Fleurac Échallat
    Foussignac
    Triac-Lautrait Bassac Moulidars

    Géologie et relief

    Le sol de la commune est calcaire et appartient au Portlandien (Jurassique supérieur). Sur la bordure sud-ouest (sud de Bourras et de Chatouflat), on trouve le Purbeckien, ancienne zone lagunaire de la fin du Jurassique, marquant le début du Pays Bas à l'ouest, et riche en gypse[4],[5],[6].

    La commune de Mérignac occupe une vaste plaine légèrement inclinée vers le sud-ouest. Le pays est peu boisé. Le point culminant est à une altitude de 101 m, situé sur la bordure nord-est. Le point le plus bas est à 23 m, situé sur la Guirlande en limite sud. Le bourg est à environ 45 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La commune est parcourue du nord au sud, par le ruisseau la Guirlande qui arrose le bourg de Mérignac, affluent de la Charente à Bassac[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Mérignac est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (58,5 %), zones agricoles hétérogènes (21,5 %), terres arables (12,5 %), prairies (3,2 %), zones urbanisées (2,3 %), forêts (2,1 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom est attesté sous les formes anciennes Matriniaco, Meyrinhac, Merinhac, Merignaco en 1405[13].

    Le second élément est le suffixe gallo-roman *-ACU. Le premier élément semble être le nom de personne gallo-roman Matrinius, comme l'indiquent clairement les formes anciennes des autres Mérignac (cf. Gironde, Mairinaco 1102), avec une graphie occitane Mayrinhac-Lentour (Lot, Madriniacum 930) et les formes d'oïl comme Margny-les-Compiègne (Oise, Matriniacus 917) et Margny-sur-Matz (Oise, Matriniaco 917)[14].

    L'évolution phonétique est parallèle à celle du latin mater « mère », à la base du surnom Matrinius, attesté en français sous les formes medre au Xe siècle et madre au XIe siècle, etc. Occitan maire [maʲre].

    Histoire

    Un fossé circulaire double, d'origine protohistorique, est situé juste à l'ouest du village de Mérignac[15].

    Selon Auguste Lièvre, le ruisseau de la Guirlande s'appelait autrefois l'Aigurande, nom qui comme Ingrandes dans le Poitou marque la limite entre deux anciennes provinces. En effet, ce ruisseau marque encore la limite entre les diocèses de Saintes et d'Angoulême, correspondant aux territoires des anciennes cités gallo-romaines, et sans doute auparavant des peuples gaulois des Santons et de celui resté anonyme occupant l'Angoumois[16]. L'ancienne forêt de Marange marquait aussi cette limite.

    On voit encore, au bourg de Mérignac, un ancien logis. C'était le siège d'une seigneurie qui, au XVIe siècle, appartenait à la famille de Livenne. En 1661, Marie de Livenne épousa son cousin, Louis de Sainte-Hermine, sieur de Chenon et lui porta la seigneurie de Mérignac en dot. Les Saint-Hermine conservèrent Mérignac jusqu'à la Révolution. Le dernier représentant de cette branche, René-Louis de Saint-Hermine, mourut à Londres pendant « l'émigration ».

    Au hameau de Villars-Marange, on remarque un logis de la période Renaissance, dont le propriétaire était, au XVIe siècle, Girard Dussault, écuyer et seigneur de Birac et de Villars, qui épousa Claire Méhée, fille de François Méhée et de Claire de la Guirande en 1556. La famille Dussault conserva Villars jusque vers le milieu du XVIIe siècle. À cette époque, le logis fut acquis par la famille de La Charlonnie. Au XIXe siècle, il passa entre les mains de M. Prévost du Las, qui avait épousé une demoiselle de La Charlonnie, ce dernier l'a vendu dans le dernier quart du XIXe siècle.

    Le logis de la Font était au début du XVIIe siècle une maison forte protégée par des fossés et un pont-levis. Ce logis formait une dépendance de la seigneurie de Hautemoure à Saint-Simon et relevait de l'abbaye de Bassac.

    Il fut acquis, au XVIIe siècle, par François Aigron de Combizan, vice sénéchal d'Aunis, Saintonge et Angoumois, dont la fille, Françoise, épousa, le , Louis Bernard, écuyer, conseiller du roi et lieutenant particulier au présidial d'Angoulême[17],[18].

    Par contrat du , les héritiers de Louis Bernard vendirent La Font à Pierre Navarre, sieur de Boisderet, maître de poste à Villars-Marange, qui ne conserva pas longtemps cette terre : il la revendit dès le à Jean Fé de Ségeville, écuyer, conseiller du roi et lieutenant général au siège de Cognac.

    La petite-fille de ce dernier, Louise Marie-Anne Catherine Fé, épousa le , Jean Philippe André Guillet des Fontenelles, dont la fille Marie Marguerite se maria avec M. Robin de Cognac.

    Bourras, sur la route nationale, était, avant l'arrivée du chemin de fer d'Angoulême à Saintes, un relais de poste important[17].

    Route de la Poste

    Chemin de la Poste près du château de Villars.

    Le hameau de Villars était aussi situé avant le XVIIIe siècle sur l'ancienne route de la Poste entre Paris et Bordeaux, directe entre Chaunay et Barbezieux par Villefagnan, Aigre, Moulidars et Châteauneuf, avant que celle-ci ne soit déviée pour desservir Angoulême par Turgot, intendant de la généralité de Limoges[19],[20],[21],[3].

    Il y avait un relais de poste, situé au sud du hameau près de la limite communale avec Moulidars, mentionné Poste de Villars sur la carte de Cassini, aujourd'hui totalement disparu[3].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1792 1993 J. Melier    
    1793 1794 Compte    
    1794 1797 C. Souillard    
    1797 1799 Martin    
    1799 1803 Jean Tallon-Larente    
    1803 1804 Matignon    
    1808 1816 Gentis    
    1953 1981 Maurice Lapeyronnie SE  
    1981 1989 Georges Virollaud SE  
    1989 1995 Henri Chambaud SE Viticulteur
    1995 2014 Guy Rougier SE Viticulteur
    2014 En cours Jean-Christophe Cor SE Viticulteur

    Fiscalité

    La fiscalité en 2007 est d'un taux de 21,53 % sur le bâti, 40,61 % sur le non bâti, et 9,33 % pour la taxe d'habitation.

    La communauté de communes de Jarnac prélève la taxe professionnelle au taux 10,26 %.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

    En 2018, la commune comptait 842 habitants[Note 2], en augmentation de 11,38 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 1111 2901 2971 3851 3021 2211 2901 2491 309
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 3321 3141 2121 1331 0881 008938860859
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    843847832828830844735783763
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    747806728751717691738760842
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Mérignac en 2007 en pourcentage[26].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    0,6 
    9,9 
    75 à 89 ans
    11,3 
    15,5 
    60 à 74 ans
    16,4 
    26,5 
    45 à 59 ans
    28,0 
    17,7 
    30 à 44 ans
    17,9 
    16,3 
    15 à 29 ans
    13,7 
    13,8 
    0 à 14 ans
    12,2 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[27].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une partie importante de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[28].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Mérignac possède une école primaire publique comprenant trois classes (une maternelle, deux élémentaires). Le secteur du collège est Jarnac[29].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    L'église paroissiale Saint-Pierre, ancienne dépendance du chapitre cathédral, n'est datée par aucun texte. Elle a été remaniée à des époques diverses. La partie ancienne de l'église, à décor géométrique, a été édifiée au cours du troisième quart du XIIe siècle. Diverses additions et restaurations ont été menées en 1578, 1644 et 1734.

    La nef est voûtée d'ogives à trois travées égales qui auraient été rehaussées en 1733-1734. La quatrième travée, beaucoup plus longue, a une voûte sensiblement de même date. On y remarque les restes de deux colonnes romanes et leurs chapiteaux sculptés. Toute la partie est de l'édifice date de 1578. Les travées de la nef ont des fenêtres à colonnettes et chapiteaux en forme de télescope sur les deux faces. Le chœur carré, en ogives, est éclairé à l'est par une fenêtre à réseau flamboyant. Au sud, a été construite une petite chapelle voûtée en berceau et au nord, le rez-de-chaussée du clocher forme le bras de transept. Il est surmonté d'une coupole sur pendentifs. La façade est très déformée par deux contreforts obliques appliqués sur ses angles au XVIe siècle. Le chevet est surmonté d'un pignon.

    Le clocher rectangulaire a un premier étage dont les baies gothiques ont été bouchées et un second à trois baies jumelles dont celle du centre est plus large. Cet étage a été ajouté au XVIIIe siècle[30],[31].

    L'église est inscrite monument historique depuis 1925[32].

    Château de Villars

    Le château de Villars, appelé aussi de Villars-Marange, présente un châtelet d'entrée du XVe siècle et un logis en retour d'équerre du XVIIe siècle. Le corps de logis le plus ancien comporte une bretèche et des fenêtres ornées de pinacles du XVIe siècle[33],[34]. Il est inscrit monument historique depuis le [35].

    Château de Mérignac

    Le château de Mérignac, qui a appartenu à la famille de Livenne, a été bâti au XVIe siècle. Il a passé par mariage en 1661 aux Sainte-Hermine qui le conservèrent jusqu'à la Révolution, puis fut acquise en 1834 par la famille Sabouraud[36]. Il a été remanié au fil des siècles et forme désormais un corps de logis rectangulaire à un étage couvert de tuiles plates et encadré de quatre tours rondes. Il est ouvert sur une terrasse côté jardin[37],[38].

    Logis de Lafont

    Le logis de Lafont (ou la Font), situé au sud de la commune, a été reconstruit au XIXe siècle et seul les fossés en eau datent du XVIIe siècle[39].

    Fermes et maisons

    Les maisons charentaises typiques sont nombreuses le long de la route du cognac[40].

    Héraldique

    Les armoiries de Mérignac se blasonnent ainsi :

    Tranché : au 1er d'azur à l'écusson losangé d'or et de gueules, au 2e de gueules à l'écusson cousu d'azur chargé d'une mitre d'argent accompagnée de trois fleurs de lis d'or ; au filet ondé en bande d'argent brochant sur la partition.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 79
    14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 435.
    15. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 137
    16. Auguste-François Lièvre, Les chemins gaulois et romains entre la Loire et la Gironde, Niort, L.Clouzot, , 2e éd., 127 p. (présentation en ligne, lire en ligne), p. 10
    17. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 237,238
    18. Frédéric Chassebœuf, Châteaux en Poitou-Charentes, Prahecq, Patrimoines et Médias, coll. « Belles visites », , 173 p. (ISBN 2-910137-91-0, OCLC 71887670)
    19. Atlas de Trudaine - 1745 ; généralité de La Rochelle - vol. II, base Mistral, Ministère de la Culture
    20. Georges Reverdy, Histoire des routes de France du Moyen Âge à la Révolution, Presses de l'École nationale des ponts et chaussées, , 271 p. (ISBN 2-85978-280-X, lire en ligne), p. 231
    21. Société archéologique et historique de la Charente, Documents historiques sur l'Angoumois, Aubry, (lire en ligne), p. 236-237
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. « Evolution et structure de la population à Mérignac en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    27. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    28. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    29. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    30. Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1862, p. 293.
    31. Jean Nanglard, « Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. I », dans Bulletin et mémoires de la société archéologique et historique de la Charente, t. II-IV, Angoulême, imprimerie Chasseignac, 1892-1894, 683 p. (lire en ligne)
      Publié sur trois années ; en 1892: p. 1-324, lire en ligne sur Gallica ; en 1893: p. 1-291, lire en ligne sur Gallica ; en 1894: p. 1-66, lire en ligne sur Gallica.
    32. « Église Saint-Pierre », notice no IA00049618, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. « Château de Villars (notice) », notice no IA00042592, base Mérimée, ministère français de la Culture
    34. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 465-466
    35. « Château de Villars-Marange », notice no PA16000037, base Mérimée, ministère français de la Culture
    36. Robert Dexant, Châteaux de Charente, Paris, Nouvelles Éditions latines, , 30 p., p. 19
    37. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne)
    38. « Château de Mérignac », notice no IA00042572, base Mérimée, ministère français de la Culture
    39. « Logis de Lafont », notice no IA00042584, base Mérimée, ministère français de la Culture
    40. « Mérignac », base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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