Triac-Lautrait

Triac-Lautrait est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Triac-Lautrait

La mairie de Triac-Lautrait.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Sébastien Bretaud
2020-2026
Code postal 16200
Code commune 16387
Démographie
Gentilé Trilautins
Population
municipale
451 hab. (2018 )
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 41′ 26″ nord, 0° 07′ 31″ ouest
Altitude Min. 12 m
Max. 49 m
Superficie 6,40 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Jarnac
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Triac-Lautrait
Géolocalisation sur la carte : Charente
Triac-Lautrait
Géolocalisation sur la carte : France
Triac-Lautrait
Géolocalisation sur la carte : France
Triac-Lautrait
Liens
Site web www.triac-lautrait.fr

    Ses habitants sont les Trilautins et les Trilautines[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Triac-Lautrait est une commune située à km à l'est de Jarnac et 23 km à l'ouest d'Angoulême, sur la rive droite de la Charente.

    Triac-Lautrait est aussi à 10 km à l'est d'Hiersac, 11 km au sud-ouest de Rouillac, 12 km au nord-ouest de Châteauneuf et 16 km à l'ouest de Cognac[2].

    La commune est limitée, au sud, par la Charente et au nord par l'ancienne route nationale 141 d'Angoulême à Saintes, renumérotée en N 2141[3] depuis l'ouverture de la déviation de Jarnac en 2006 qui passe plus au nord, maillon de la route Centre-Europe Atlantique. La commune est aussi traversée, d'est en ouest mais plus au sud, par la D 22, route de Châteauneuf à Jarnac longeant la Charente par la rive droite, et qui passe par le bourg de Triac. La D 18 de Bassac à Rouillac limite la commune à l'est.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Hameaux et lieux-dits

    Le bourg de Triac et son église.

    Le bourg de Triac, à six kilomètres est de Jarnac, groupe ses maisons autour de l'église et du château.

    Le centre de population le plus important est le gros village de Lautrait, qui s'élève près de l'ancienne route nationale 141. C'est là que se trouvent la mairie et l'école.

    Les autres hameaux sont Lantin et la Rente.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Le sol de la commune est calcaire et appartient au Purbeckien, ancienne zone lagunaire de la fin du Jurassique, qui s'étendait vers l'ouest dans tout le Pays Bas et riche en gypse. Le Portlandien (Jurassique supérieur) occupe la limite nord de la commune, entre Bourras et Lautrait.

    Au sud de la route de Jarnac à Châteauneuf s'étend la vallée de la Charente, dont la zone inondable est couverte par des alluvions du Quaternaire. Des alluvions moins récentes occupent la petite zone de la pyramide du Prince de Condé[4],[5],[6].

    Le relief de la commune est celui d'une vaste plaine d'une altitude moyenne de 30 m, légèrement inclinée vers la Charente qui borde la commune au sud, plantée de vignobles de cognac.

    La vallée de la Charente forme une vaste prairie, qui se prolonge, d'un côté, jusqu'à Bassac et, de l'autre, jusque près de Jarnac.

    Le point culminant est à une altitude de 49 m, situé sur la limite de commune sur l'ancienne route nationale entre Lantin et le Grand Bourras. Le point le plus bas est à 12 m, situé au bord de la Charente dans la prairie de Triac. Les bourgs de Triac et Lautrait sont à environ 20 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    Fontaine-lavoir à Triac.

    La commune est bordée au sud par la Charente. À l'ouest la commune est limitée par la Belloire, minuscule affluent de la Charente.

    On peut trouver quelques fontaines, dont celle de Lautrait qui alimente la Belloire et celle de Triac, sur un autre petit affluent de la Charente qui irrigue le parc du château[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Triac-Lautrait est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Jarnac, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[10] et 4 856 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (48,9 %), zones agricoles hétérogènes (20 %), terres arables (13,5 %), forêts (9,4 %), zones urbanisées (7,2 %), prairies (1 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Triaco en 852[16], villa Trilliaco en 904[17].

    L'origine du nom de Triac remonterait à un nom de personne gallo-romain Trius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Triacum, « domaine de Trius »[18],[19]. Tri- est un terme de nom propre gaulois[20].

    Créée Triac en 1793 à partir du nom de la paroisse, le nom de la commune est devenu Triac-Lautrait en 1932[21].

    À la suite d'une consultation citoyenne et de l’organisation d’un scrutin par la municipalité, les habitants de Triac-Lautrait qui n’avaient pas de gentilé ont pu se prononcer fin 2017. Le gentilé Trilautine et Trilautin qu’ils ont choisi vient d’une composition des trois principaux hameaux, Triac, Lautrait et Lantin[22],[1].

    Histoire

    Pigeonnier du château de Triac.

    La commune était autrefois une dépendance de la seigneurie de Lartige, qui elle-même relevait de la châtellenie de Jarnac et Triac, au XIe siècle, faisait partie de la seigneurie de Jarnac.

    On trouve autour de l’église, un ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoît, les fondations du château primitif, un château fort élevé sur la colline qui domine le bourg.

    Ce premier château, ainsi qu’une partie de l’église, fut détruit pendant la guerre de Cent Ans.

    Dès le XIVe siècle, la seigneurie de Lartige appartenait à la famille de Lestang. Du nouveau château plus proche du fleuve, il ne reste qu'une des deux tours qui flanquaient le corps de logis après qu'il a été incendié en 1569 par les protestants après la bataille de Jarnac marquant les guerres de religion.

    C'est dans la prairie que se déroula la phase principale de la bataille de Jarnac en 1569, et que le prince de Condé, commandant l'armée protestante face au duc d'Anjou (le futur roi Henri III) trouva la mort de façon ignominieuse. Blessé durant le combat, Condé tentait de se rendre lorsqu'il fut assassiné d'un coup de pistolet par Joseph-François de Montesquiou, capitaine des gardes du duc d'Anjou appelés les manteaux rouges. Promené sur une ânesse, son cadavre fut l'objet des quolibets de l'armée catholique avant d'être exposé pendant deux jours sur une table au château de Jarnac[23].

    Au XVIe siècle, par suite d'une alliance, une partie de la seigneurie de Triac passa à la famille Le Musnier, qui, au XVIIe siècle, restaura le château. La famille Le Meusnier était originaire d'Angoulême, où elle avait exercé plusieurs charges de judicature ; elle descendait de François Le Meusnier, maire en 1592, 1593 et 1600, qui possédait le fief de Lartige et était président en l'Élection d'Angoulême.

    François Le Musnier, sieur de Lartige, mourut en 1605, laissant plusieurs enfants. L'aînée des filles épousa François Lambert, sieur des Andreaux, et lui porta en dot une partie de la seigneurie de Lartige, qui passa ensuite, par mariage du avec Catherine Lambert, à Samuel Pasquet, écuyer, sieur de Piégut. Le fils de ces derniers, François Pasquet, fut un magistrat du Présidial d'Angoulême, qui se fit appeler Monsieur de Lartige. Il laissa lui-même une fille, Jeanne Pasquet de Lartige, qui épousa Jean Normand, écuyer, sieur de la Tranchade.

    Le fils cadet de François Le Musnier, Clément, conserva le château de Triac qui resta dans la famille jusque vers l'année 1768. À cette époque, Louis Le Musnier, lieutenant-général et seigneur de Raix, vendit Triac à messire Abraham Bonniot, chevalier, seigneur de Fleurac, Salignac et autres lieux. Ce dernier fit édifier de 1773 à 1777 un nouveau château, encore plus près de la Charente.

    En 1802, le château de Triac fut acquis par monsieur Roy d'Angeac, dont la petite-fille épousa Louis-Joseph de Fereire. Vendu de nouveau en 1871, il changea plusieurs fois de propriétaire depuis cette époque et fut encore incendié en 1877. Racheté par un négociant il a été restauré[24].

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988  ? Marc Joubert    
    2001 2014 Michel Gambier SE Employé chais de cognac retraité
    2014 En cours Sébastien Bretaud    

    Triac-Lautrait a toujours appartenu au canton de Jarnac et au district devenu arrondissement de Cognac[21].

    Fiscalité

    La fiscalité en 2007 est d'un taux de 15,67 % sur le bâti, 39,36 % sur le non bâti, et 8,64 % pour la taxe d'habitation.

    La communauté de communes de Jarnac prélève la taxe professionnelle au taux 10,26 %.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2018, la commune comptait 451 habitants[Note 2], en diminution de 0,88 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    447510481488518464504501494
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    508473457457419420410420391
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    406379335329291294334314342
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    344339342401398434450452451
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 54,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,7 %, 15 à 29 ans = 22,2 %, 30 à 44 ans = 19 %, 45 à 59 ans = 22,4 %, plus de 60 ans = 15,7 %) ;
    • 45,4 % de femmes (0 à 14 ans = 18,3 %, 15 à 29 ans = 16,2 %, 30 à 44 ans = 24,9 %, 45 à 59 ans = 22,4 %, plus de 60 ans = 18,3 %).

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,8 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (26,6 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (54,6 % contre 48,4 % au niveau national et 48,5 % au niveau départemental).

    Pyramide des âges à Triac-Lautrait en 2007 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,3 
    90 ans ou +
    0,5 
    5,9 
    75 à 89 ans
    7,6 
    8,5 
    60 à 74 ans
    10,2 
    22,4 
    45 à 59 ans
    22,4 
    19,0 
    30 à 44 ans
    24,9 
    22,2 
    15 à 29 ans
    16,2 
    20,7 
    0 à 14 ans
    18,3 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Remarques

    C'est durant la crise du phylloxéra, à la fin du XIXe siècle que Triac a vu sa population baisser.

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une partie importante de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[30].

    La commune comporte aussi des distilleries. Certains producteurs vendent cognac et pineau des Charentes à la propriété.

    Commerces

    La commune comporte aussi les établissements Tiffon, deux entreprises de travaux viticoles, et quelques artisans (menuisier, pose de stores...).

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Triac-Lautrait et Bassac.

    Triac-Lautrait accueille l'école élémentaire et Bassac l'école primaire. L'école communale, Prince-de-Condé, située près de la mairie à Lautrait, comprend une seule classe. Le secteur du collège est Jarnac[31].

    La MFR de Triac-Lautrait assure un enseignement agricole avec les classes de 4e et 3e en alternance, les BEPA viticulture-œnologie et horticulture, les bac pro horticulture et travaux paysagers et le CAP de fleuriste[32].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Romain.

    L'église paroissiale Saint-Romain est située à Triac. Elle est de l'ancien diocèse de Saintes, commune à la paroisse et au prieuré bénédictin du lieu, qui appartenait à l'abbaye de Saint-Cybard d'Angoulême ; elle a été rebâtie au XIIe siècle. En partie détruite par les Anglais, elle a été restaurée au XVe siècle et sa longueur réduite ; puis ses voûtes se sont écroulées. Elle a été quelque peu réparée en 1898, époque où on lui a appliqué une tribune sur son mur ouest[33],[34],[35].

    Patrimoine civil

    La pyramide de Condé.

    La pyramide de Condé a été érigée sur le lieu où Louis Ier de Bourbon-Condé, prince de Condé, trouva la mort pendant la bataille de Jarnac qui vit, le , la victoire du duc d'Anjou, futur roi Henri III, sur les troupes protestantes[36].

    La traduction de la plaque écrite en latin est[24]

    « En ce lieu, succomba d'une mort déplorable, l'an 1569, Louis de Bourbon, prince de Condé, qui, ne le cédant à personne dans tout ce qui regarde la paix et la guerre, égala par son courage, son génie, son habileté, l'éclat de la naissance, prince digne d'une meilleure fin. »

    L'entrée du château.

    Le château de Triac a été reconstruit au XVIIIe siècle à l'emplacement du château du XVe siècle incendié en 1569 par les protestants, restauré et détruit par un nouvel incendie, reconstruit encore plus près de la Charente, terminé en 1777, incendié en 1877 et rebâti à l'identique. Il comporte un parc, des fossés, un vivier, un pigeonnier et des dépendances agricoles[37].

    Patrimoine environnemental

    Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune.

    Personnalités liées à la commune

    • Emmeline Ragot, championne de France 2006 de descente en VTT, réside dans la commune.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Sébastien Bretaud, « Bulletin communal » [PDF], (consulté le )
    2. Distances orthodromiques (de mairie à mairie) prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 de Jarnac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 130
    17. Jules de La Martinière, Charte de 904,
    18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 686.
    19. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    20. Georges Dottin, La langue gauloise, , 381 p. (lire en ligne)
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Solange Tellier, « Ils votent pour leur gentilé », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )
    23. Hélène Germa-Romann, Du "bel mourir" au "bien mourir": le sentiment de la mort chez les gentilshommes français (1515-1643), Droz, 2001, p. 227-228
    24. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 390-391
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. « Évolution et structure de la population à Triac-Lautrait en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    29. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    30. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    31. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    32. Maisons Familiales Rurales de Charente, « MFR de Triac-Lautrait », (consulté le )
    33. Jean Nanglard, « Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. I », dans Bulletin et mémoires de la société archéologique et historique de la Charente, t. II-IV, Angoulême, imprimerie Chasseignac, 1892-1894, 683 p. (lire en ligne)
      Publié sur trois années ; en 1892: p. 1-324, lire en ligne sur Gallica ; en 1893: p. 1-291, lire en ligne sur Gallica ; en 1894: p. 1-66, lire en ligne sur Gallica.
    34. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p.
    35. « Église Saint-Romain », notice no IA00049627, base Mérimée, ministère français de la Culture
    36. « Pyramide de Condé », notice no IA00042681, base Mérimée, ministère français de la Culture
    37. « Château de Triac », notice no IA00042670, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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