Audenge

Audenge est une commune du Sud-Ouest de la France, située sur le bassin d'Arcachon en région Nouvelle-Aquitaine.

Audenge

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Arcachon
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Bassin d'Arcachon Nord
Maire
Mandat
Nathalie Le Yondre
2020-2026
Code postal 33980
Code commune 33019
Démographie
Gentilé Audengeois
Population
municipale
8 336 hab. (2018 )
Densité 102 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 41′ 05″ nord, 1° 00′ 43″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 59 m
Superficie 82,09 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Biganos
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Andernos-les-Bains
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Audenge
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Audenge
Géolocalisation sur la carte : France
Audenge
Géolocalisation sur la carte : France
Audenge
Liens
Site web www.mairie-audenge.fr

    Géographie

    Carte du parc naturel régional des Landes de Gascogne.

    Audenge est située sur le bassin d'Arcachon, entre Biganos et Lanton. Elle fait partie du Pays de Buch et des communes du parc naturel régional des Landes de Gascogne.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes en sont Saint-Jean-d'Illac au nord-nord-est, Cestas à l'extrême nord-est, en quadripoint (point de la surface de la Terre qui touche quatre régions distinctes), Marcheprime à l'est, Biganos au sud et Lanton au nord-ouest.
    Le bassin d'Arcachon se situe en limite sud-ouest du territoire communal.

    Communes limitrophes d’Audenge[1]
    Lanton                Saint-Jean-d'Illac

     
                   Cestas

    (quadripoint)
                   Marcheprime
    Bassin d'Arcachon
    Biganos

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 960 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Barp », sur la commune du Barp, mise en service en 1992[9] et qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de précipitations de 961,6 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984 et à 22 km[12], la température moyenne annuelle évolue de pour 1981-2010[13] à pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Audenge est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Biganos, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[18] et 19 257 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21],[22].

    La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[23]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16,6 %), terres arables (12,9 %), zones urbanisées (6,4 %), zones humides côtières (4,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %), prairies (1,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %), mines, décharges et chantiers (0,5 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom Audenge (1299) dérive du nom de personne Aldingus, vraisemblablement par une formation du type *Aldingia villa[27], dont la prononciation devient /awˈdendjə/.

    En gascon, le nom de la commune est Audenja.

    Histoire

    Le château de Certes
    • à l'époque gallo-romaine, au lieu-dit Maignan, une zone d'artisanat de la poix est révélée par une fouille archéologique réalisée en 2009[28] et 2012[29].
    • En 1500, le « captalat de Certes » naît de la scission du captalat de Buch. Deux villages cohabitent : Certes et « Vieux-Bourg » (Audenge).
    • En 1620, Jean Castaing dit le « Broy » (le « Joli »), marchand de la Teste, achète la baronnie d'Audenge[30].
    • La maison Civrac remplace, vers 1766, le château de l'ancienne motte féodale ; puis elle est démolie à son tour vers 1866 pour être remplacée par le château de Certes, par Ernest Valeton de Boissière[31].
    • Au XVIIIe siècle, le captalat de Certes devient Audenge[32].

    Pour plus d'information sur la situation de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[33].

    À la Révolution, la paroisse Saint-Paul d'Audenge forme la commune d'Audenge[34].

    • 1800 : naissance du canton d’Audenge (Biganos, Mios, Lanton, Andernos et Lège).
    • 1836 : Jean Frix Numa Bezian maire d'Audenge (1800-1879, cousin germain par alliance de Pierre aîné fils de Jean Duvigneau, dit Caudéran, grand-père de Jacques Duvigneau) unifie Certes et Audenge.
    • Les frères Duvigneau, Jacques dit « Chéri » et son frère Armand, entreprennent successivement à partir de 1870 et jusqu'en 1922, l'aménagement d'Audenge. Ils urbanisent le centre, créant les voies bordées de platanes. Ils font construire la Mairie, les écoles, l'église, le port, la gare et le jardin public qui sera plus tard baptisé de leur patronyme.

    Politique et administration

    Liste des maires

    (sources[35],[36]).

    Square des Frères-Duvigneau à Audenge.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1791 avril 1791 novembre Guillaume Bernard   de Certes, cultivateur
    1792 avril 1792 juillet Amant Vielleville   d'Audenge, chirurgien
    1793 janvier 1796 janvier Jean Caupos   de Certes, chirurgien
    1796 janvier 1796 juin Philippe Masson   Agriculteur
    1796 juin 1798 avril Pierre Thérèze Lizée   Cultivateur
    1798 avril 1798 juin Jean Duvigneau dit « Caudéran » (1772-1851)[37] NC Marchand de poisson
    1798 juin 1798 septembre Pierre Thérèze Lizée    
    1798 septembre 1799 septembre Jean Duvigneau dit « Caudéran » NC  
    1799 septembre 1800 Jean Deligey   Marchand
    1800 1803 Pierre Thérèze Lizée   Cultivateur
    1803 1806 Joseph Verdier   Officier de santé
    1806 1810 Philippe Masson   Notaire d'Audenge
    1811 1812 Jean Baptiste Jautard   Notaire d'Audenge
    1812 1813 Guillaume Darles   Pharmacien, propriétaire du domaine de Certes
    1813 1821 Pierre Pomade   Notaire d'Audenge
    1821 1822 Pierre Dierx   Propriétaire
    1823 1825 Jean Barreau   Marin
    1826 1830 Pierre Pomade   Notaire d'Audenge
    1830 1845 Jean Frix Numa Bézian (1800-1879) NC Cousin germain du maire suivant, Pierre Duvigneau
    Officier de santé (chirurgien), puis juge de paix à Audenge
    1845 1847 juin Pierre Duvigneau (1801- ) NC Fils de l'ancien maire Jean Duvigneau dit « Caudéran »
    Marchand de poisson, receveur buraliste
    1847 juin 1848 Jean Benays   Lieutenant des douanes
    1848 1852 Pierre Hazera   Marchand de Poisson
    1852 1861 Jean Certain Mesple NC Gendre de l'ancien maire, Pierre Duvigneau
    Officier de santé
    1861 1865 Achille Gerard   Notaire d'Audenge
    1865 1869 Pierre Taris   Commerçant
    1869 1870 Gaston Douillard dit « de Mahaudière »   Propriétaire du Graveyron
    1870 1874 Jacques « Chéri » Duvigneau (1833-1902) Union républicaine Conseiller général de 1871 à 1901 et député de 1892 à 1898
    Fils de l'ancien maire, Pierre Duvigneau ; éleveur de sangsues et_marchand
    1874 1877 Jacques Castelbon   Artisan
    1876 1877 Jacques « Chéri » Duvigneau Union républicaine  
    1877 1877 Gaston Douillard    
    1877 1885 Jacques « Chéri » Duvigneau Union républicaine  
    1885 1922 Armand Duvigneau (1843-1928) NC Frère de Jacques « Chéri » Duvigneau ; industriel
    1922 1925 Jean Morel NC Huissier
    1925 1944 Roger Descas NC Négociant, propriétaire du domaine de Certes
    1944 1947 Jean-Ariste Dagreou NC Commerçant
    1947 1951 Jean Verdier DVD Docteur en médecine
    1951 1953 Pierre Dubern   Commerçant
    1953 1965 Roger Cousseau   Ostréiculteur
    1965 1967 André Devert   Avocat
    1967 1971 Paul Vergez   Officier
    1971 1983 Roger Scriban   Retraité, expert
    1983 1995 Claude Verdier DVD Retraité CGM
    1995 2008 Francis Gadou PS Cadre, retraité
    2008 En cours Nathalie Le Yondre[38] PS Fonctionnaire territoriale au Conseil général de la Gironde jusqu'en 2015, conseillère régionale

    Jumelages

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Audengeois[40].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].

    En 2018, la commune comptait 8 336 habitants[Note 6], en augmentation de 20,83 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7328008428701 1481 0921 0781 1131 124
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1331 1731 2251 0711 1741 2201 2881 2971 366
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3641 3761 3441 4331 5401 6521 7811 7721 964
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    2 0012 2342 5292 6752 9813 9485 2255 8137 177
    2018 - - - - - - - -
    8 336--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le port et le domaine de Graveyron.
    • La double motte féodale de l'ancien château d'Audenge, dans le domaine de l'Escalopier[45].
    • Le domaine de Certes appartient au Conservatoire du littoral, il a été classé « espace naturel sensible ». Géré par le conseil général de la Gironde depuis 1994, il comprend 396 ha dont 150 ha de bassins, des prairies humides, des terres agricoles, des bois de feuillus et de résineux.
    • La plage sauvage de Graveyron.
    • Les « allées Boissière » du nom du bienfaiteur de la commune, Ernest de Boissière. Ces allées ombragées se caractérisent par leurs 150 platanes classés.
    • L'élevage des sangsues existe à Audenge depuis le XIXe siècle. Un seul éleveur exporte dans toute la France. Ces annélidés sont utilisés à des fins thérapeutiques grâce à leurs vertus anticoagulantes. Aujourd'hui, l'entreprise est le seul élevage français de sangsues médicinales et est détenue par une société qui exploite les bassins d'Audenge et exporte partout dans le monde.
    • Les piscines d'Audenge sont trois piscines remplies à l'eau de mer.

    Personnalités liées à la commune

    • Mademoiselle Théodore (1760-1798), danseuse, décédée à Audenge
    • Le marquis de Civrac Captal de Certes, hérite en 1757 et aménage le domaine de Certes pour l'exploitation du sel [46]. Il y construit une grande demeure seigneuriale (il meurt ruiné en 1773).
    • Ernest Valeton de Boissière (1811-1894) hérite de Certes, construit le château en 1836 et organise la pisciculture. Il crée une école à Audenge et lègue ses biens à la collectivité d'Audenge et de Lanton[47].
    • Léopold Javal (1804-1872), banquier, homme politique, conseiller général d'Audenge (1851-1859). Il est le père de Sophie Wallerstein qui a créé l'Aérium d'Arès (Gironde).
    • Jacques Duvigneau (1833-1902), homme politique, maire d'Audenge (1871-1885), conseiller général d'Audenge (1871-1892), puis président du conseil général de la Gironde (1893-1901), député de la Gironde (1892-1898).
    • Pierre-Ambroise Bosse, athlète français
    • André Labat, sportif français

    Héraldique

    Les armes d'Audenge se blasonnent ainsi :

    D'azur à la pinasse contournée d'argent voguant sur une mer du même, surmontée d'un soleil d'or mouvant du trait du chef, au chef parti au premier cousu de sable chargé d'un pin parasol d'or et au deuxième cousu de gueules chargé d'une tête de chèvre contournée d'or.

    Commune de football

    Audenge est historiquement une ville de football. Depuis toujours, les rencontres de son petit club amateur l’Étoile Sportive Audenge (ESA) attirent un public important et très varié pour un club de ce niveau.

    Lors de la saison 2014-2015 le club affiche de belles couleurs et se voit promu en Régional 4 (R4), avant de l'être à nouveau une deuxième année consécutive en mai 2016, cette fois en R3 (ancienne Promotion Honneur - PH) et ce, au terme d'un match épique. En effet, le 15 mai 2016 les Audengeois reçoivent Morcenx, et doivent obligatoirement sortir victorieux de cette rencontre pour être promus. Menés 0-3 à la mi-temps, les joueurs de l'ESA créent l'exploit et l'emportent finalement 4-3 sous le regard ébloui d'un public nombreux. Cela faisait 33 ans (depuis 1983) que l'ESA n'avait pas évolué en PH. Mais l'équipe « A » n'est pas la seule à profiter de cette belle dynamique, puisque l'équipe réserve (B) se voit elle aussi promue en Division 2 (D2) en mai 2016 puis en D1 en mai 2017. Lors de la saison 2017-2018, l'équipe première s'offre une nouvelle promotion, cette fois donc en R2, creusant un écart important avec son équipe réserve qui connaît le sort inverse et rétrograde en D2.

    La ferveur de son stade est due, en plus d'une passion ancrée dans l'âme Audengeoise, au positionnement géographique particulier de son terrain d'honneur. En effet ce dernier est l'un des rares terrains d'honneurs toujours situé en plein cœur de la ville. Entre habitations et voie principale menant au centre, ce stade a tout pour être fréquenté. Jeunes et anciens, hommes et femmes ont pour coutume de se retrouver, le plus souvent le dimanche après-midi, pour un moment de plaisir et de convivialité,et ce pour le plus grand plaisir des joueurs qui ont l'occasion d’honorer les couleurs de leur ville de cœur. Aujourd'hui, l'ESA, pourtant club de l'une des communes les moins peuplées du Bassin d'Arcachon, pointe comme le troisième meilleur club de football, derrière Lège-Cap-Ferret (USLCF) et Arcachon (FCBA).


    Voir aussi

    Bibliographie

    • François Thierry (sous la dir.), Histoire d'Audenge, La Teste, Société historique et archéologique d'Arcachon et du pays de Buch, coll. « Regards sur le pays de Buch », , 232 p. (ISBN 978-2-9545607-0-0, présentation en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Audenge sur Géoportail, consulté le 3 novembre 2015.
    2. Audenge sur Géoportail, consulté le 3 novembre 2015.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Le Barp - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Audenge et Le Barp », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Le Barp - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Audenge et Le Temple », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Biganos », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    24. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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