Biganos

Biganos [biɡanɔs] (Viganòs[1] en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Biganos

Habitations à Biganos.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Arcachon
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Bassin d'Arcachon Nord
Maire
Mandat
Barthélémy Bosredon
2020-2026
Code postal 33380
Code commune 33051
Démographie
Gentilé Boïens
Population
municipale
10 921 hab. (2018 )
Densité 207 hab./km2
Population
agglomération
19 257 hab. (2018)
Géographie
Coordonnées 44° 38′ 42″ nord, 0° 58′ 38″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 45 m
Superficie 52,70 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Biganos
(ville-centre)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Andernos-les-Bains
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Biganos
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Biganos
Géolocalisation sur la carte : France
Biganos
Géolocalisation sur la carte : France
Biganos
Liens
Site web villedebiganos.fr

    Ses habitants sont appelés les Boïens.

    Géographie

    Carte du bassin d'Arcachon.

    Commune située dans le Pays de Buch au cœur du parc naturel régional des Landes de Gascogne, Biganos est l'une des dix localités qui bordent le Bassin d'Arcachon et se trouve à la croisée des chemins du nord et sud du bassin.

    La ville est desservie par la SNCF avec la Gare de Facture-Biganos qui est située sur la ligne Bordeaux - Irun (services TER Nouvelle-Aquitaine Bordeaux-Arcachon, Bordeaux-Irun et Bordeaux-Tarbes).

    Biganos est située à 36 km de l'aéroport de Bordeaux-Mérignac.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Biganos
    Audenge
    Le Teich Marcheprime
    Mios

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 962 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Barp », sur la commune du Barp, mise en service en 1992[8] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de précipitations de 961,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Le Temple », sur la commune du Temple, mise en service en 1984 et à 26 km[11], la température moyenne annuelle évolue de pour 1981-2010[12] à pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Biganos est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Biganos, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[17] et 19 257 habitants en 2018, dont elle est ville-centre[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20],[21].

    La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,6 %), zones urbanisées (15,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %), zones humides côtières (2,6 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme actuel est attesté sous la même forme depuis 1339 (Sanctus Gervasius de Biganos).

    Auparavant, le quartier de la Mothe était la capitale du pays de Buch, connue sous les noms :

    • Boios[26] ou Boii (du nom du peuple, les boii), Bogium (1307-1317)… ;
    • la Mota de Bugh (1289), La Mothe en Buch, Lamothe

    Le toponyme Biganos est un nom de domaine aquitano-roman, vraisemblablement basé sur le nom de personne *Vicanus (du latin vicanus 'villageois') et le suffixe locatif -otz / -os[27].

    Histoire

    Antiquité et Moyen Âge

    • Plusieurs nécropoles tumulaires du premier âge du fer ont été signalées sur la rive gauche du ruisseau de Tagon par le Dr Peyneau en 1926 : elles jalonnent probablement un chemin protohistorique reliant les vallées de la Garonne et de la Leyre[28]. Des traces d'occupation ont été repérées au lieu-dit Lamothe (dans le delta de l'Eyre entre Biganos et Le Teich). Les Gaulois exploitaient alors l'alios en tant que minerai de fer.
    • Le gentilé Boïen de Biganos est le nom du peuple local (il existe un peuple celtique de même nom en Bohème).
    • Le suffixe -os- de Biganos se retrouve dans une bonne partie de la Gascogne et notamment dans plusieurs lieux situés au bord de la Leyre et jusqu'au bord du bassin d'Arcachon (Biganos, Mios, Caudos, Andernos, Pissos) ; il s'agit du résultat d'un suffixe -otz(e), propre à l'aquitain, langue considérée comme proto-basque, parlée avant la colonisation romaine[29]. Le cas de Lugos, dans la même zone, est cependant analogique.

    Le chemin Bougès, qui reliait Burdigala à La Mothe, passait par les Argenteyres (centré sur l'actuel quartier bas), réécrit aujourd'hui les Argentières.

    Époque moderne

    Pour l'état de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[30].

    Époque contemporaine

    Au début du XXe siècle, la commune était desservie par le chemin de fer. Le lieu-dit Facture voyait la séparation de la ligne Bordeaux-Arcachon et de la ligne Bordeaux-Bayonne-Irun. Il existait encore à Biganos un reste d'industrie métallurgique avec la présence de petites fonderies.

    C'est de Facture que sont parties les locomotives CC 7107 et BB 9004 détentrices des records de vitesse sur rail de 1955 ayant permis de cadrer les problèmes de l'accès à la grande vitesse préalables au développement des futurs TGV.

    La fin du XXe siècle a vu un fort développement démographique de la ville malgré le déclin de ses industries. Au début du XXIe siècle, la métallurgie n'est qu'un souvenir. La Cellulose du Pin, devenue Smurfit Kappa, est toujours la première unité européenne de production de papier kraft base pour cartons, mais celle-ci, désormais très automatisée, n'est plus le premier employeur de la commune (c'est le magasin Auchan). Désormais relativement étendue, la ville englobe ses anciens bourgs disjoints dont Facture et d'autres, maintenant quartiers de la ville.

    Héraldique

    Les armes de Biganos se blasonnent ainsi :

    D'azur à la tour d'argent ouverte et maçonnée de sable sur une terrasse de sinople.

    Le logo de Biganos
    Les gouttes d'eau représentent les sept rivières qui sont sous la ville de Biganos.
    Le vert de la feuille représente l'environnement de la forêt.
    Le orange représente les pinèdes : quand les pins sont coupés, la sève ressort avec cette couleur rouge orangé.
    Le « A » de Biganos représente l'entrée du Bassin et du delta de la Leyre, d'où le nom « Porte du bassin».

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1970 1977 Raymond Labache    
    mars 1977 2005 Lucien Mounaix DVG puis SE Instituteur puis directeur d'école primaire
    2005 2008 Martine Galloux    
    mars 2008 En cours Bruno Lafon SE Sylviculteur
    Président de la communauté d'agglomération

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2018, la commune comptait 10 921 habitants[Note 6], en augmentation de 9,76 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5706147807081 0191 0831 0851 2681 149
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3001 5911 7861 6691 7351 8661 9201 9262 039
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9872 1052 1652 2752 7762 9403 1062 7173 344
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    3 7814 2134 4164 5885 9086 9508 6228 8619 099
    2013 2018 - - - - - - -
    9 95010 921-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Biganos présente un élevage d'esturgeons pour le caviar d'appellation « caviar d'Aquitaine », installé lui aussi sur un moulin, le moulin de la Cassadote, à l'origine un moulin construit sur le ruisseau du Lacanau, qui produisait de la farine. Plus tard, une pisciculture a été installée et la production d'esturgeons. Après plusieurs essais, une variété a été acclimatée avec succès.

    Biganos est aussi connue pour son usine, exploitant la forêt des Landes pour la fabrication de papier kraft, appartenant actuellement à la société internationale Smurfit Kappa après avoir appartenu pendant de longues années à Saint-Gobain. Cette industrie est très ancienne sur le site puisqu'à l'origine, un moulin papetier avait été construit sur le ruisseau du Lacanau de Mios au lieu-dit Pont Nau dont on peut encore voir les vestiges à l'entrée sud de la ville.

    Lieux et monuments

    • Deux ports authentiques conservés à Biganos avec leurs pinasses et leurs cabanes d'ostréiculteurs.
      • Le port de Biganos classé en zone protégée. Il est le seul port placé en pleine forêt.
      • Le port des Tuiles sous protection du conservatoire du littoral et des rivages.
    • Le moulin de la Cassadotte avec la pisciculture et la production de caviar de la Gironde.
    • L'église Saint-Gervais construite en 1866 et qui abrite des fonts baptismaux romains.
    • Le site archéologique de Biganos constitué d'une ville romaine enfouie entre les rivières de l'Eyre et de l'Eyga. Des hommes ont été enterrés à l'époque mérovingienne dans des sarcophages de pierre près de l'église paléochrétienne de Boii ou Boios.
    • L'île de Malprat (mauvais pré), située dans le delta de l'Eyre.

    Personnalités liées à la commune

    • Robert Paul (né le à Biganos - mort le ), athlète français qui a remporté 12 titres nationaux dans quatre disciplines différentes, de sprint et de saut. Il a été essentiellement licencié au CA Bègles à la fin des années 1920, au Racing club de France au milieu des années 1930, et de nouveau à Bègles durant la guerre. Il a participé aux Jeux olympiques d'été de 1936. Son palmarès est riche de 25 sélections en équipe de France A, de 1929 à 1937, 7 records de France du saut en longueur, vice-champion d'Europe du relais 4×400 m en 1934, champion de Grande-Bretagne du saut en longueur en 1934 et 1935, champion de France du 100 m, champion de France du 200 m, 6 titres de champion de France de saut en longueur, champion de France de triple-saut.

    Équipements et services

    Sports

    À Biganos, il y a trois stades de football, un stade de rugby et deux salles polyvalentes multisports.

    À l'aube de la saison 2008/2009, le club de football, l'Association Sportive Facture Biganos Boïen section football remonte en Promotion de Ligue après trois années de purgatoire en « District ». Ayant connu les hautes sphères du football aquitain pendant les années 1990, l'ASFBB voulait retrouver le bon niveau. Après deux montées en deux saisons, les joueurs du club des Papetiers retrouvent la Ligue d'Aquitaine. Début 2009, on apprend la signature surprise de l'ancien international français Jean-Pierre Papin comme joueur au sein de ce club. Le club évolue aujourd’hui[Quand ?] en Division Honneur Régionale (DHR).

    En handball féminin, l'« Entente Mios-Biganos » participe au championnat de France de Division 1 de 2003 à 2013, côtoyant régulièrement l'élite et, de temps en temps, le niveau européen. En 2011, l'équipe de handball féminine a gagné une coupe d'Europe.

    En rugby à XIII, l'équipe de rugby de Facture XIII gagne la Coupe Nationale Amateurs devenue depuis "Coupe Falcou" à cinq reprises, avec un dernier titre en 1962. En 2009, le rugby à XIII redémarre sur le bassin d'Arcachon. Une équipe féminine participe au championnat régional en 2009-2010, puis accède à l'Elite et remporte magnifiquement le titre national à quatre reprises. Cette équipe féminine rejoint en 2019 la section rugby à XIII des Girondins de Bordeaux, dans le cadre d'une entente entre les deux clubs.

    Une équipe masculine participe au championnat régional en 2016-2017. En 2009, le public du stade municipal de Biganos a vu se dérouler la première finale de la "Super Coupe" de rugby à XIII organisée par le club local et Orange TV.

    Culture et loisirs

    • Canoë et/ou kayak sur la Leyre ;
    • Piste cyclable intégrée dans un circuit faisant le tour du bassin d'Arcachon ;
    • Salle de cinéma et théâtre ;
    • Une bibliothèque municipale ;
    • Associations présentes sur le territoire communal.
    • Piste de karting Top Gun Evasion.
    • Trampoline, à côté du Lidl.

    Enseignement

    • Trois groupes scolaires publics :
      • École maternelle Marcel Pagnol
      • École élémentaire Jules Ferry
      • École primaire du Lac Vert qui accueille les enfants du quartier du Lac-Vert et des alentours
    • Collège public Jean Zay
    • Lycée public de la Côte d'Argent

    Ligne de bus

    Liaisons régulières :

    • Andernos/Mios par autocar CITRAM Aquitaine no 610, pour le transport des enfants vers les établissements scolaires.

    Jumelages

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Biganos, sur Gasconha.com (consulté le 9 février 2010).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Le Barp - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Biganos et Le Barp », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Le Barp - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Biganos et Le Temple », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Le Temple - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Biganos », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    23. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. Itinéraire d'Antonin
    27. Bénédicte Boyrie-Fénié, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5), p. 71..
    28. « Vingt siècles d'incertitude ».
    29. Bénédicte Boyrie-Fénié, Dictionnaire toponymique des communes, Gironde, éd. CAIRN, Pau, 2008, p. 71
    30. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), articles 6.XXVIII et 6.XXIX, p. 375-381
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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