Champmillon

Champmillon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Champmillon

L'église Saint-Vincent.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Jean-Claude Annonier
2020-2026
Code postal 16290
Code commune 16077
Démographie
Gentilé Champmillonnais
Population
municipale
492 hab. (2018 )
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 23″ nord, 0° 00′ 02″ est
Altitude Min. 21 m
Max. 97 m
Superficie 9,51 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val de Nouère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Champmillon
Géolocalisation sur la carte : Charente
Champmillon
Géolocalisation sur la carte : France
Champmillon
Géolocalisation sur la carte : France
Champmillon

    Ses habitants sont les Champmillonnais et les Champmillonnaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Champmillon est une commune située à 12 km à l'ouest d'Angoulême et km au sud d'Hiersac, le chef-lieu de son canton.

    Commune à la fois rurale et résidentielle de l'aire urbaine d'Angoulême, la commune s'étend du sud au nord entre la Charente en aval d'Angoulême et les faubourgs d'Hiersac.

    Champmillon est aussi à km de Châteauneuf-sur-Charente, km de Nersac et de Trois-Palis, km de Roullet-Saint-Estèphe, 14 km de Jarnac[2].

    À l'écart des grandes routes, la commune est traversée du nord au sud par la D 7, route de Brossac à Hiersac par Blanzac, qui se dirige au sud vers Sireuil. La D 72, route de Vibrac à Angoulême passe au sud du bourg, chez Cagnon, et coupe la D 7. À ce même carrefour passe aussi la D 84, qui va au sud-ouest à Châteauneuf en longeant la Charente sur sa rive droite et à l'est aussi vers Trois-Palis et Nersac. La D 14, route d'Hiersac à Châteauneuf, traverse l'ouest de la commune[3].

    La commune est traversée par le méridien de Greenwich, qui passe 40 m à l'est de l'église[2].

    Hameaux et lieux-dits

    Le bourg même de Champmillon est l'assemblage de plusieurs hameaux : au sud on trouve la mairie et l'église, au centre la Pille avec l'école, et le Levraud, le Raynaud, les Basses Chabannes. Au sud, Chez Cagnon est au carrefour des routes d'Angoulême, de Vibrac et d'Hiersac ; à l'ouest, chez Touchard sur la route d'Hiersac à Châteauneuf est en limite de commune, au nord-est la Petite Chapelle et la Grande Chapelle et tout au nord les premières maisons d'Hiersac près du château d'eau[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est sur un plateau calcaire, à la limite du Jurassique qui occupe la moitié nord du département de la Charente et du Crétacé au sud. Le Portlandien (Jurassique supérieur) occupe une partie nord-ouest de la commune et les vallées. Le Cénomanien (Crétacé) occupe le centre de la commune, la limite ouest et la limite sud-est, au-dessus d'une altitude de 60 m environ[4],[5],[6].

    Le relief de la commune est celui d'un plateau d'une altitude moyenne de 80 m traversé en son centre par des combes de direction nord-sud et assez profondes, et limité au sud par la vallée de la Charente. Le point culminant est à une altitude de 97 m, situé à la Grande Chapelle au nord-est du bourg (près de la borne IGN), mais de nombreuses hauteurs dans la commune dépassent les 90 m. Le point le plus bas est à 21 m, situé sur la limite sud le long de la Charente. Le bourg est à environ 60 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    Champmillon est sur la rive droite de la Charente, en aval d'Angoulême et en amont de Châteauneuf, fleuve qui borde la commune à son extrémité sud.

    Des ruisseaux temporaires occupent les vallons à l'ouest et à l'est du bourg ; en particulier le ruisseau des Tapauds à l'ouest. Ces deux ruisseaux se rejoignent chez Cagnon au sud du bourg et le ruisseau temporaire commun se jette dans la Charente au bout de 200 m[3].

    Des sources nombreuses ont permis l'implantation de lavoirs dans chaque lieu-dit ou presque. Dans les années 2010, l'association Les amis du Patrimoine de Champmillon a œuvré, en collaboration avec le conseil municipal, à leur rénovation[7].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Champmillon est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,4 %), cultures permanentes (24,2 %), forêts (22,1 %), zones urbanisées (6,3 %), terres arables (6 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Camelon (ou Camilon) en 852[14], Campomilone (non daté), Campo Milonis au XIVe siècle[15], Campo Milonis en 1597[16].

    L'origine du nom de Champmillon remonterait au latin campus et à un personnage franc Milon[17], ce qui correspondrait au « champ de Milon »[18]. Un campus est un champ d'honneur, un terrain où deux chefs ennemis se rencontrent et engage le duel, ou plus simplement un terrain cultivé, suivi du nom du propriétaire[19].

    Dans le registre paroissial de 1667 apparaît la phrase énigmatique « Avant le siège de Milon, la paroisse de Champmillon se serait appelée Andoury ». Andoury (écrit Andanny en 1691) apparaît en effet à quelques reprises dans les registres paroissiaux, en 1669, 1692 et 1695. Cette hypothèse de Milon, capitaine anglais, qui a alimenté la légende locale, ne peut être acceptée, le nom ancien de Champmillon étant attesté bien avant la guerre de Cent Ans[20]. Andouri apparaît aussi dans l'histoire de la seigneurie de Moulidars[21].

    Histoire

    Au XIXe siècle on a retrouvé des tombeaux de pierre, des caveaux taillés dans le rocher et un silo, comblés aujourd'hui par leurs propriétaires, des vestiges d'une muraille appelée par les habitants couvent des Ursulines et enfin des médailles trouvées lors de la construction de la route qui mène au bourg[22].

    Les habitants de Champmillon devaient donner une fois par an un repas au comte d'Angoulême et à sa suite. Hugues X de Lusignan et sa femme Isabelle Taillefer, par une charte de l'an 1240, changèrent ce droit féodal en rente annuelle de 60 sous, rente qui fut cédée plus tard à l'abbaye de Saint-Cybard. La paroisse fut donnée en partie à cette abbaye par le comte Geoffroy au XIe siècle, et restera en sa possession jusqu'aux guerres de Religion[22].

    La terre de Champmillon était divisée en plusieurs fiefs, dont les plus importants étaient Pontlevin, la Chapelle et la Pile.

    Le fief de Pontlevin (aujourd'hui Pont-Levain[3]), situé dans un vallon, a appartenu jusqu'au XVIIe siècle par les seigneurs du lieu, qui en avaient pris le nom. En 1602, Paul de Pontlevin alla habiter chez sa femme Léa de Lestang, dont la famille étaient seigneurs de Saint-André, et il laissa le domaine aux Guy de Ferrière, seigneurs de Ferrière près de Champniers, qui le gardèrent jusqu'à la Révolution. Pontlevin fut alors donné en ferme puis vendu, et une vaste maison a remplacé le logis.

    Le maine de la Pile (aujourd'hui la Pille[3]) est connu pour avoir donné naissance à l'auteur de l'Histoire de l'Angoumois, François Vigier de la Pile, en 1687. Ce domaine a en effet appartenu au XVIe siècle à son ancêtre Jacques Vigier, avocat au parlement de Paris.

    La terre de la Chapelle appartenait au XIIIe siècle à Gerdrat de la Chapelle, qui en fit don à l'abbaye de Saint-Cybard. En 1583, le maine de la Chapelle fut inféodé et anobli en faveur de Jean Faligon, procureur fiscal de l'abbaye. Au début du XVIIe siècle, la Chapelle passa par mariage aux Maron, puis par vente en 1737 aux Marchais, négociants à l'Houmeau à Angoulême, en 1835 aux Labrousse. Au début du XXe siècle le logis de la Chapelle appartient à Monsieur Fougerat, riche Parisien, qui en a fait le centre d'un important vignoble et qui a œuvré pour la viticulture en Charente.

    Les registres de l'état civil de Champmillon remontent à 1616[20].

    Administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1898 1913 Michel Mercier SE  
    1913 1919 Hippolyte Nalbert SE  
    1920 1923 Fernand Tardy SE  
    1923 1937 Marc Grazillier SE  
    1937 1947 Anatole Robert SE  
    1947 1947 Alphonse Benoit SE  
    1947 1959 Roger Pignon SE  
    1959 1979 Louis Aubinaud SE  
    1979 1991 Claude Grazillier SE  
    1991 1994 Daniel Renéaume SE  
    1994 1995 Claude Grazillier SE  
    1995 2008 Thérèse Savarit SE  
    2008 En cours Bernard Popelard SE
    -Progressiste[23]
    Enseignant en histoire et géographie
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

    En 2018, la commune comptait 492 habitants[Note 3], en diminution de 7,69 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    464563555604578575559520518
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    542518474456473430403373395
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    408394318325313286307317320
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    302346358449493528533526501
    2018 - - - - - - - -
    492--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Champmillon en 2007 en pourcentage[28].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90  ans ou +
    0,4 
    3,8 
    75 à 89 ans
    4,4 
    9,1 
    60 à 74 ans
    11,5 
    24,3 
    45 à 59 ans
    22,2 
    24,7 
    30 à 44 ans
    26,3 
    17,9 
    15 à 29 ans
    15,2 
    19,4 
    0 à 14 ans
    20,0 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[29].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Remarques

    Concernant l'évolution de la population, nous savons que la peste a sévi en 1636 et a fait de nombreux ravages. En 1789, il y avait 525 habitants pour 104 feux (foyers). En 1914 elle est descendue à 394 habitants[30] (286 avant la Seconde Guerre mondiale en 1936). Au début du XXIe siècle, la population croît et dépasse dorénavant les 500 habitants.

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[31].

    Équipements, services et vie locale

    Ancienne maison au bourg.

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Champmillon et Trois-Palis. Trois-Palis accueille l'école primaire, et Champmillon l'école élémentaire, nommée les Granges[32].

    Lieux et monuments

    • L'église paroissiale Saint-Vincent, romane, date du XIIe siècle. Elle est classée monument historique depuis 1904[33].
    Le château de la Chapelle

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Fougerat (1883-1932), pharmacien et viticulteur français, propriétaire du château de la Grande Chapelle[35]

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Les Amis du Parimoine », (consulté le )
    8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 129
    15. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 234,283
    16. Jean Nanglard, « Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. I », dans Bulletin et mémoires de la société archéologique et historique de la Charente, t. II-IV, Angoulême, imprimerie Chasseignac, 1892-1894, 683 p. (lire en ligne)
      Publié sur trois années ; en 1892: p. 1-324, lire en ligne sur Gallica ; en 1893: p. 1-291, lire en ligne sur Gallica ; en 1894: p. 1-66, lire en ligne sur Gallica.
    17. Foerstemann, Altdeutsches Namenbuch, Berlin, 1856, p.929
    18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 140.
    19. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    20. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 112,113
    21. Gabriel Tricoire, Le Château d'Ardenne et la seigneurie de Moulidars en Angoumois, N.Texier, , 458 p. (lire en ligne)
    22. Alcide Gauguié, La Charente communale illustrée, t. I (arrondissement d'Angoulême), Bruno Sépulchre (Paris, 1982), , 411 p., p. 245-247
    23. « CDC de Châteauneuf : Jean-Paul Zucchi vainqueur au finish face à Bernard Popelard », sur charentelibre.fr, (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. « Evolution et structure de la population à Champmillon en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    29. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    30. Recherches de S.Maillet-Pigeau et JC.Annonier
    31. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    32. Site de l'inspection académique de la Charente, « Les regroupements pédagogiques intercommunaux » (consulté le )
    33. « L'église Saint-Vincent », notice no PA00104279, base Mérimée, ministère français de la Culture
    34. « Château de la Chapelle », notice no PA00104278, base Mérimée, ministère français de la Culture
    35. Gilles Bernard, Le cognac: À la conquête du monde, Presses universitaires de Bordeaux, , 414 p. (ISBN 2-867816548, lire en ligne), p. 242

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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