Jean-Pierre Coffe

Jean-Pierre Coffe, né le à Lunéville (Meurthe-et-Moselle) et mort le à Lanneray (Eure-et-Loir), est un animateur de radio et de télévision, critique gastronomique, écrivain, cuisinier et comédien français.

À la radio, il est sociétaire des Grosses Têtes sur RTL entre 1990 et 2010, puis à nouveau à partir de 2014. Entre-temps, il rejoint pour une saison On va s'gêner sur Europe 1. Par ailleurs, de 1998 à 2008, il anime Ça se bouffe pas, ça se mange, une émission gastronomique hebdomadaire sur France Inter.

Biographie

Enfance et formation

Jean-Pierre Coffe naît le à Lunéville en Meurthe-et-Moselle[1],[2],[3]. Fils unique[4] de Pierre, Victor Coffe, coiffeur[1], et de son épouse Gilberte dite Betty[5], il passe une grande partie de son enfance dans sa ville natale. Son père ne peut assister à sa naissance pour cause de service militaire[6]. Mobilisé en 1937, il est affecté au 3e régiment de dragons portés[7]. Alors qu'il participe à la bataille de France[7], il meurt au combat[1],[3],[7],[8] le à Pont-Remy dans la Somme[6],[7],[9]. À 2 ans, Jean-Pierre Coffe devient ainsi pupille de la Nation[3]. Il est élevé par sa mère qui reprend le salon de coiffure familial[3]. Sa grand-mère, Marie, est cuisinière et son grand-père paternel, Victor, est jardinier et maraîcher[1] à Lunéville.

Sa mère, tondue à la Libération[6], quitte la Lorraine pour Paris où Jean-Pierre poursuit sa scolarité dans un pensionnat.

En juin 1945, Jean-Pierre, qui a passé des moments difficiles en raison du manque de nourriture, a l'occasion d'améliorer ses conditions de vie lors d'un séjour en Suisse, grâce à la Croix-Rouge suisse qui permet à des petits orphelins français de venir passer deux mois de vacances dans ce pays qui a été préservé de la guerre. Il prend pour la première fois le train à la gare de Lunéville pour se rendre à Berne, où des familles d'accueil de toutes conditions sociales attendent les enfants pour les emmener dans leur maison. Pour lui, ce sera la rencontre avec M. et Mme Fleury, qui marquera profondément ses souvenirs par l'accueil chaleureux dont il a bénéficié et de son séjour dans leur ferme à Montmelon-Dessous, village qui se trouvait encore dans le Canton de Berne, avant l'indépendance en 1979 du Canton du Jura.

Dans la ferme des Fleury, il découvre les tartines beurrées, la bonne soupe de légumes, les vaches, les cochons, le chocolat et plus particulièrement le Toblerone, le comble pour lui de la gourmandise, de la sensualité et du péché absolu. Il y apprend aussi à nourrir les poules et les lapins, à traire, à atteler la carriole avec les juments pour porter le lait à pasteuriser à la laiterie voisine. Son chouchou parmi la ménagerie est un verrat, très connu dans tout le canton et pour lequel on amène des truies de loin pour la reproduction. Après ces deux mois, il retourne chez sa mère où il tombe malade. Il n’a alors qu’une idée en tête, retourner en Suisse. Sa mère finit par appeler le médecin, qui décrète qu'il est anémique et qu’il lui faut le grand air, ce qui lui permet de retourner en Suisse chez les Fleury pendant encore deux ans. Il considérera plus tard que même s'il n'a pas été à l'école en Suisse, c'est chez les Fleury et dans leur ferme qu'il a tout appris[10].

À l'âge de 13 ans, il se prend de passion pour le théâtre, où sa mère l'emmène de temps en temps. Ses études terminées, il s'inscrit au Cours Simon[3] et exerce des petits boulots de nuit pour subvenir à ses besoins.

Débuts

Pendant la guerre d'Algérie[1], il effectue trois années de service militaire[1],[3] à la Météorologie nationale[1] et au fort de Saint-Cyr[1], où il côtoie notamment Max Gallo[1]. Il crée un journal antimilitariste intitulé Le Temps, qui sera interdit de parution à la troisième édition.

Rendu à la vie civile, il passe une petite annonce dans Le Figaro : « Ne sait rien faire, mais plein de bonne volonté[11] ». Il travaille comme représentant pour la marque de papier à cigarette JOB, puis devient directeur de publicité aux Éditions Robert Laffont[12]. Il a alors un grave accident de la route et sa convalescence durera deux ans.

Une fois rétabli, il fonde sa propre agence de relations publiques ainsi que l'association « Les Grand-mères au pair » au début des années 1970, qui a pour but de placer des personnes âgées dans des familles pendant les vacances. Cette initiative permet de placer environ cinq mille personnes âgées. Malgré cela, son agence fait faillite et Jean-Pierre Coffe se retire dans sa maison de campagne.

En 1976, il ouvre successivement à Paris le restaurant La Ciboulette, rue Saint-Honoré, puis Le Modeste qui devient un lieu prisé de la nuit parisienne. Certains de ses clients sont célèbres, comme Jean Poiret ou Jean Carmet. Il est victime d'escroquerie par un homme d'affaires libanais en 1985 et fait faillite à nouveau, avec plus de trois millions de francs de dettes. Il travaille alors comme meneur de revue à l'Alcazar de Paris[13].

En 1978, il s'associe avec un homme d'affaires qui fait construire un hôtel de luxe, Le Hamack, à Saint-François en Guadeloupe et dont il devient le chef cuisinier du restaurant, qu'il nomme La Ciboulette Guadeloupe. Selon ses mémoires, il aurait été à l'origine du choix de cet hôtel au détriment de l'hôtel Méridien[14] de l'île comme lieu pour la conférence de la Guadeloupe, une réunion informelle de trois jours en de quatre chefs d’État : les présidents français Valéry Giscard d'Estaing, américain Jimmy Carter, le Premier ministre britannique James Callaghan et le chancelier ouest-allemand Helmut Schmidt. Alors que le président américain prolonge son séjour dans l'hôtel avec sa femme et sa fille après la conférence, il aurait refusé de lui servir les hamburgers demandés, indiquant ne faire que de la cuisine française[15].

À la radio

En septembre 1990, il rejoint l'équipe des Grosses Têtes de Philippe Bouvard sur RTL, émission à laquelle il participe assez fréquemment. Il la quitte en , date à laquelle il intègre l'émission On va s'gêner sur Europe 1, présentée par Laurent Ruquier, qu'il quitte après une saison en 2011. En 2014, il revient dans Les Grosses Têtes sur RTL après l'arrivée à la présentation de Laurent Ruquier.

De 1998 à juin 2008, il anime l'émission Ça se bouffe pas, ça se mange sur France Inter, tous les samedis de midi à 13 heures. À la fin de l'émission du , il annonce sa mise à la retraite par la direction de France Inter[16].

Ses « coups de gueule » à la radio et à la télévision restent mémorables, notamment le jour où il a jeté de la charcuterie « industrielle » au visage de Jean-Luc Delarue. Dans une émission des Grosses Têtes, après avoir défendu ses opinions, Philippe Bouvard et Olivier de Kersauson s'amusent à le contrarier afin d'amplifier ses colères devenues la cible des imitateurs. Olivier de Kersauson se met alors à l'imiter, tout comme le feront ensuite Guy Montagné, Laurent Gerra, Laurent Ruquier, Jean-Éric Bielle ou encore Les Guignols de l'info. De plus, Jean-Pierre Coffe exprime ses plaisirs gustatifs parfois de manière grivoise, ce qui accentue encore les plaisanteries, surtout dans l'émission des Grosses Têtes, chez Laurent Gerra et chez Laurent Ruquier (On n'est pas couché). Ainsi, sa célèbre phrase « Mais c'est d'la merde ! » est devenue aussi célèbre que ses lunettes rondes colorées.

À la télévision

Jean-Pierre Coffe au salon de l'agriculture 2009.

Le 4 novembre 1984, il entre à Canal+ pour assurer un certain nombre de chroniques jusqu'en 1990 dans les émissions que présentait Michel Denisot (Le 7-9, Zénith, Direct). Sa chronique se poursuit dans La Grande Famille, animée par Michel Denisot puis Jean-Luc Delarue. Elle est complétée par la séquence "du marché", où il parcourt les marchés en compagnie d'une personnalité, avec pour seule règle de préparer 4 repas pour 4 personnes dans un budget de 200 francs[17].

Il entre dans le service public en où il présente sur France 3 une émission à l'intention des enfants, Comment c'est fait ?, suivie en 1994 de C'est tout Coffe avec Jonathan Lambert dans le rôle du candide, sur France 2.

Il passe à TF1 en 1999 et présente Bien jardiner, produit par Jean-Luc Delarue. La décision de ce dernier d'y mettre fin rapidement enterre leur amitié : « Delarue, on ne le mange pas. On le vomit ! Nous n'avons plus rien à nous dire[18]. »

À partir de 2003, il rejoint Michel Drucker à France 2 où il est chroniqueur culinaire dans l'émission Vivement dimanche prochain. Le , il annonce qu'il quitte l'émission afin de se consacrer à l'écriture[19].

À partir du , il devient chroniqueur dans Jusqu'ici tout va bien, émission de France 2 présentée par Sophia Aram, qui est confrontée à de faibles audiences[20]. Il quitte le poste après deux numéros, déçu du manque de concept de l'émission[21].

Auteur

Il écrit un monologue de théâtre, Descente aux plaisirs[22], mis en scène en 1997 par Pierre Mondy et interprété par Annie Girardot, qui fut un cinglant échec commercial en raison de la maladie d'Annie Girardot[23], et une saynète Dieu et le Diable[24] mise en scène en 2012 par Stéphanie Tesson et interprétée par Frédéric Almaviva et Jean-Christophe Lecomte.

En 2012, il préface le livre Adoptez la Slow Cosmétique du journaliste belge Julien Kaibeck, paru aux éditions Leduc, dans lequel il dénonce avec l'auteur la présence d'ingrédients sujets à caution dans les cosmétiques conventionnels.

Publicité

Jean-Pierre Coffe lors du salon « Le livre sur la Place », en 2015.

En 1997, Jean-Pierre Coffe apparaît dans les spots publicitaires pour le fabricant d’électroménager Siemens[25].

En 2001, il apparaît dans un spot publicitaire pour les produits de régime Weight Watchers[26].

En 2009, le défenseur des aliments sains et naturels devient la vedette d'une campagne d'affichage pour l'enseigne française Leader Price. Critiqué pour cette campagne, il certifie, dans un courriel adressé à ses détracteurs qui s'étaient exprimés par le biais de son site, avoir voulu « améliorer la qualité » de cette enseigne, s'engageant à proposer bientôt des kits à bas prix, contenant tout le nécessaire pour réaliser des « plats complets à prix exceptionnels ». « Ne portez pas de jugement hâtif et violent sans m'avoir mis à l'épreuve », conclut-il.

Vie privée

Jean-Pierre Coffe à la Foire du livre de Bruxelles en 2012.

Durant sa jeunesse, Jean-Pierre Coffe a un grave accident de voiture, qui l'a longtemps laissé handicapé et obligé à se mouvoir avec des cannes[27].

Jean-Pierre Coffe se déclare bisexuel[28], notamment en 2011 au micro de MFM Radio[29] et en 2013 dans l'émission La Parenthèse inattendue de France 2[27].

Marié trois fois à des femmes, Jean-Pierre Coffe vit ses dernières années avec un homme - avec lequel il s'est pacsé[30] - et déclare en 2013 être prêt à se marier avec lui[31].

Jean-Pierre Coffe a eu un fils, mort peu après sa naissance[1], et une belle-fille, morte à 35 ans[1]. Il a par ailleurs un fils adoptif[32].

En , il laisse entendre qu'il est atteint d'une grave maladie[33], en déclarant à François-Régis Gaudry être « en phase terminale »[34].

Atteint de la maladie de Parkinson[35], il meurt dans la nuit du 28 au , à l'âge de 78 ans, d'une crise cardiaque dans sa demeure de Lanneray[36],[37]. De nombreuses personnalités lui rendent hommage. Il est incinéré et ses cendres sont dispersées dans le jardin de sa dernière demeure[38].

Décorations

Le , sur proposition du ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, Stéphane Le Foll, Jean-Pierre Coffe est nommé chevalier de la Légion d'honneur pour ses « trente-sept ans de services » en tant que « journaliste gastronomique »[39]. Le , le président de la République française, François Hollande, lui en remet les insignes lors d'une cérémonie officielle[40].

Politique

Lors des élections municipales de 2014 à Paris, il soutient la candidate PS Anne Hidalgo[42].


Publications

Il est l’auteur d’une trentaine de livres (guides culinaires, livres de recettes, conseils de jardinage, essais) :

Autobiographie

  • Une vie de Coffe, éd. Stock, 2015.

Recueil de nouvelles

  • Ces messieurs-dames de la famille, éd. Plon, 2011.

Livre d'histoire

  • La véritable histoire des jardins de Versailles, éd. Plon, 2007.

Livres destinés aux enfants

  • Ce que nous mangeons, éd. Seven 7, 2005.
  • Les Recettes inratables de Jean-Pierre Coffe, éd. Jungle. 2007.

Livres de cuisine

  • Comme à la maison, Tome 1, éd. Plon, 1993.
  • Comme à la maison, Tome 2, éd. Plon, 1994.
  • Au bonheur des fruits, éd. Balland, 1996.
  • À table en famille avec 15 euros par jour, éd. Plon, 2002.
  • Mon Marché Gourmand, éd. Plon, 2003.
  • Les recettes de cuisine de Vivement dimanche prochain, éd. Plon, 2006.
  • SOS Cuisine, éd. Stock, 2006.
  • Le plaisir à petit prix : Bien manger en famille pour moins de 9 euros par jour, éd. Plon, 2008. Livre de cuisine.
  • Recevoir vos amis à petit prix, éd. Plon, 2010.
  • Toutes les recettes de Vivement dimanche, éd. Flammarion, 2013.

Livres de jardinage

  • Le Potager Plaisir, éd. Plon, 1998.
  • Fleur Bonheur, éd. Plon, 1999.
  • Le Verger Gourmand, éd. Plon, 2000.
  • Les Arbres et arbustes que j'aime, éd. Plon, 2007. Guide de Jardinage.

Guides d'achat

  • Le Marché, éd. Plon, 1998.
  • Le Guide Coffe des pépinières, éd. Plon, 2000. .
  • Mes vins préférés à moins de 10 euros édition 2003, éd. Plon, 2002.
  • Mes vins préférés à moins de 10 euros, édition 2004, éd. Plon, 2003.
  • Mes vins plaisirs à moins de 10 euros, éd. Plon, 2005.
  • Le Coffe Malin, éd. Stock, 2005.

Guides gourmands, bonnes adresses

  • À vos paniers, éd. Balland, 1993.
  • Coffe 1995, éd. Balland, 1995.

Essais

  • Gourmandise au singulier, éd. Le Pré aux Clercs, 1979.
  • Le bon vivre, éd. Le Pré aux Clercs, 1989.
  • Le vrai vivre, éd. Le Pré aux Clercs, 1989.
  • Au secours le goût, éd. Le Pré aux Clercs, 1992.
  • De la vache folle en général et de notre survie en particulier, éd. Plon, 1997.
  • CONSsommateurs révoltons-nous, éd. Plon, 2004.
  • Arrêtons de manger de la merde !, éd. de Noyelle, 2013.

Théâtre

Filmographie

Cinéma

Télévision

Pour Pierre Tchernia, Jean-Pierre Coffe coécrit avec Catherine Grello le documentaire Jean Carmet, la liberté d'abord[45], hommage à l'acteur Jean Carmet diffusé le en ouverture de la Nuit Jean Carmet de Canal+[46] et un cinquante-deux minutes consacré à Depardieu vigneron.

Discographie

  • 2009 : chanson Hymne à l'asperge.

Notes et références

  1. Entrée « Coffe, Jean-Pierre » dans Jean-Louis Beaucarnot et Frédéric Dumoulin (avec l'aide de l'étude Coutot-Roehrig et de la Revue française de généalogie), Dictionnaire étonnant des célébrités (monographie), Paris, First, [1re éd.], 362 p., 24 cm (ISBN 2-7540-7052-4 et 978-2-7540-7052-2, OCLC 919038086, notice BnF no FRBNF44372636) [lire en ligne (page consultée le 30 mars 2016)].
  2. Jean-Louis Le Touzet, « Jean-Pierre Coffe, le repas du guerrier » [html], sur next.liberation.fr, Libération, publié le 5 mai 2015 et mis à jour le 30 mars 2016 (consulté le ).
  3. « Jean-Pierre Coffe » [html], sur gala.fr, Gala (consulté le ).
  4. Jérôme Ivanitchtenko, « Qui était vraiment Jean-Pierre Coffe ? » [html], sur europe1.fr, Europe 1, publié le 30 mars 2016 (consulté le ).
  5. Virginie Picat, « Jean-Pierre Coffe : “À 12 ans, je me suis inscrit au Cours Simon” » [html], sur gala.fr, Gala, publié le 16 décembre 2014 (consulté le ).
  6. Ludovic Perrin, « Jean-Pierre Coffe : “la mort de mon père a été pour moi une chance” », sur lejdd.fr, Le Journal du dimanche, publié le 3 mai 2015 et mis à jour le 4 mai 2015 (consulté le ).
  7. Entrée « Coffe, Pierre », dans Francis Piekarski, Le tableau d'honneur du 3e régiment de dragons : Seconde Guerre mondiale - Campagne de France, Amicale du 3e régiment de dragons et de l'escadron d'éclairage divisionnaire no 3, , 36 p. (lire en ligne), p. 12.
  8. « Jean-Pierre Coffe est mort », sur purepeople.com, (consulté le )
  9. Rédaction, « Jean-Pierre Coffe est mort » [html], sur lesoir.be, Le Soir, publié le 30 mars 2016 (consulté le ).
  10. Je n'ai plus crevé de faim. Par Jean-Pierre Coffe, Paris Match, 9 juillet 2007
  11. Renaud Machart, « Jean-Pierre Coffe, le pourfendeur de la malbouffe » [html], sur lemonde.fr, Le Monde, publié le 30 mars 2016 (consulté le ).
  12. « La biographie de Jean-Pierre Coffe », sur jeanpierrecoffe.com/ (consulté le )
  13. Paris-Match, Jean-Pierre Coffe, ses tragédies secrètes.
  14. Jean-Pierre Coffe, Une Vie de Coffe, Paris, Stock, (lire en ligne).
  15. Ocala Star Banner 22 janvier 1979 rapportant dépêche AP citant Newsweek et ancienne interview diffusée sur BFM TV le 30 mars 2016
  16. France Inter remercie Jean-Pierre Coffe sur soirmag.be « Copie archivée » (version du 30 avril 2019 sur l'Internet Archive)
  17. CHAGUY PROD, « la grande famille le 100éme marché », (consulté le )
  18. « Biographie », sur labandearuquier.com/, (consulté le )
  19. Coffe arrête "Vivement dimanche", Le Figaro, 5 septembre 2012.
  20. Alexandre Le Drollec, « Jean-Pierre Coffe épaule Sophia Aram », in nouvelobs.com, 30 septembre 2013.
  21. « Jean Pierre Coffe balance sur jusqu'ici tout va bien »,
  22. Mélanie Croubalian, « Jean-Pierre Coffe, plaisir des papilles », Entre nous soit dit, Radio télévision suisse, (résumé, écouter en ligne)
    « À l'occasion de l'édition 2013 du Livre sur les quais à Morges, Jean-Pierre Coffe présentait Descente aux plaisirs, souvenirs d'une bouteille au théâtre Beausobre. Dans ce monologue ponctué de moments musicaux, il raconte l'histoire d'amour entre une bouteille et le vin prestigieux qu'elle abrite. »
  23. Cf. Jean-PierreCoffe, Une vie de Coffe, 2015, chapitre 19, p. 349-366.
  24. publiée à L'Avant-scène Théâtre, Fantaisies gourmandes, 2012.
  25. « · Jean-Pierre Coffe cuisine avec Siemens », sur lsa-conso.fr, (consulté le )
  26. « Panzani recrute Ornella Muti et Weight Watchers embauche Jean-Pierre Coffe », sur strategies.fr (consulté le )
  27. Jean-Pierre Coffe : « J'ai vécu trois fois avec des femmes et deux fois avec des hommes », Public, 23 avril 2013.
  28. « Jean-Pierre Coffe veut épouser son compagnon » Metronews, 30 mai 2013
  29. « Jean-Pierre Coffe évoque sa bisexualité », Voici, 9 mai 2011
  30. Laurent Chignaguet, « Jean-Pierre Coffe : son compagnon a refusé sa demande en mariage » [html], sur tvmag.lefigaro.fr, Le Figaro, publié le 25 janvier 2016 et mis à jour le 30 mars 2016 (consulté le ).
  31. « Jean-Pierre Coffe: « Ça ne me dérangerait pas de me marier avec mon compagnon » », sur Yagg (consulté le ).
  32. Marc Fourny, « Jean-Pierre Coffe : son compagnon raconte ses derniers instants », sur lepoint.fr,
  33. Clara Margaux, « Jean-Pierre Coffe : “Je suis en phase terminale” » [html], sur francedimanche.fr, France Dimanche, publié le 8 mai 2015 et mis à jour le 30 mai 2016 (consulté le ).
  34. François-Régis Gaudry, « Jean-Pierre Coffe : “Derrière le gugusse, il y a un homme” » [html], sur lexpress.fr, L'Express, publié le 28 avril 2015 et mis à jour le 30 mars 2016 (consulté le ).
  35. Marc Fourny, « Jean-Pierre Coffe : son compagnon raconte ses derniers instants », sur lepoint.fr,
  36. « Jean-Pierre Coffe est décédé dans sa maison à Lanneray, en Eure-et-Loir », L'Echo Republicain, 30 mars 2016.
  37. « "Délicat", "amateur d'opéra", Jean-Pierre Coffe n'était "pas du tout comme on l'a vu à la télé" selon son ami Philippe Geluck », sur Franceinfo.fr
  38. Cimetières de France et d'ailleurs : 2016
  39. Décret du portant promotion et nomination [à l'ordre national de la Légion d'honneur] (NOR : PREX1415111D), publié au Journal officiel de la République française no 161 du , texte no 3, p. 11776.
  40. Philippe Gulpilhares, « Le président de la République, François Hollande, a remis à Jean-Pierre Coffe les insignes de chevalier de la Légion d'honneur » [html], sur elysee.fr, Présidence de la République, publié le 12 mars 2015 (consulté le ).
  41. « Jean Pierre Coffe au détecteur INSIDE ALL de l'ITV vérité ! Une pépite ! », sur insideall.fr, 20 janvier 2015 (consulté le 31 mars 2016)
  42. Béatrice Gurrey, « Jean-Pierre Coffe épice la campagne d'Anne Hidalgo », lemonde.fr, 23 septembre 2013.
  43. (en) Monsieur Liszt (1979) sur l’Internet Movie Database (consulté le 31 mars 2016).
  44. (en) Il était un musicien (1978-) sur l’Internet Movie Database (consulté le 31 mars 2016).
  45. (en) Jean Carmet, la liberté d'abord (1997) sur l’Internet Movie Database (consulté le 30 mars 2016).
  46. Michel Grisolia, « Télévision - Le coup de cœur : La Nuit Jean Carmet » [html], publié le 17 avril 1997 (consulté le ).

Liens externes

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