François Athanase Charette de La Contrie
François Athanase (de) Charette de La Contrie, né le à Couffé, près d'Ancenis, et mort fusillé le sur la place Viarme à Nantes, est un militaire français qui a joué un rôle essentiel dans la guerre de Vendée à la tête de l'Armée catholique et royale du Bas-Poitou et du Pays de Retz.
François Athanase Charette de La Contrie | ||
François Athanase Charette de La Contrie par Paulin Guérin, 1819. | ||
Naissance | 2 mai 1763 Couffé |
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Décès | Nantes Fusillé |
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Origine | Français, Breton | |
Allégeance | Royaume de France Vendéens |
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Arme | Marine royale française | |
Grade | Lieutenant général | |
Années de service | 1779 – 1796 | |
Commandement | Armée catholique et royale | |
Conflits | Guerre d'indépendance des États-Unis Guerre de Vendée |
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Faits d'armes | 2e Bataille de Pornic Bataille de Challans Bataille de Saint-Gervais 2e Bataille de Machecoul Bataille de Legé Bataille de Palluau 3e Bataille de Machecoul Bataille de Nantes 3e Bataille de Luçon Bataille de Torfou 2e Bataille de Montaigu Bataille de Saint-Fulgent 1re Bataille de Noirmoutier Bataille de l'île de Bouin Bataille de Gralas Bataille des Brouzils Bataille de Legé Bataille de Saint-Colombin Bataille des Clouzeaux Bataille de Chaudron-en-Mauges Bataille des Naudières Bataille de Fréligné Bataille de Saint-Cyr-en-Talmondais Bataille de La Guyonnière |
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Famille | Charette de La Contrie | |
Biographie
Prélude
François Athanase Charette de la Contrie est le fils de Michel Louis Charette, chevalier, seigneur de La Contrie, et de Marie Anne de La Garde de Monjeu, François Charette naît le [1] à Couffé[2]. Il entre à l'école des Gardes de la Marine en 1779, sert ensuite sous le comte de La Motte-Picquet et l'amiral comte de Guichen. À l'âge de vingt-quatre ans, il obtient en 1787 le grade de lieutenant de vaisseau. Il compte trois ans plus tard onze campagnes à son actif, dont quelques-unes en Amérique. Il est envoyé en mer du Nord, en Russie, puis se bat contre les Barbaresques, et aux côtés des Ottomans contre les Grecs.
Le , à vingt-sept ans, il épouse à Nantes, dans la paroisse de Saint-Denis, Marie-Angélique Josnet de La Doussetière, veuve de son cousin Louis Charette, âgée de quarante et un ans[3], et s'établit au manoir de Fonteclose, à La Garnache, près de Challans en Vendée.
Selon des auteurs du XIXe et du XXe siècle, comme Le Bouvier-Desmortiers, G. Lenotre, Françoise Kermina ou Michel de Saint Pierre, Charette émigre à Coblence entre 1791 et 1792[4]. Cependant pour l'historien Lionel Dumarcet, l'émigration de Charette n'est aucunement prouvée, d'autant que son nom n'apparaît sur aucune liste d'émigrés alors que « se faire inscrire était pourtant l'une des principales obligations quand on arrivait à Coblentz »[4]. Selon Le Bouvier-Desmortiers et d'autres biographes du XIXe siècle, Charette retourne en France et participe à la défense du Palais des Tuileries, lors de la Journée du [5]. Cependant, la présence de Charette à Paris et sa participation à ces événements est également douteuse selon Lionel Dumarcet[5].
Les débuts de la guerre de Vendée (mars-septembre 1793)
Le (24 ventôse an I), dans la région de Machecoul où des républicains ont été massacrés, Charette accepte de se mettre à la tête de paysans du Marais breton venus chercher son commandement au manoir de Fonteclose. Ces hommes viennent de subir la défaite de Pornic, et ont perdu leur chef, Louis-Marie de La Roche Saint-André, rendu responsable de leur échec. Ils auront du mal à le convaincre de les commander car Charette s'était caché sous son lit en espérant les lasser. Lorsqu'il se décida enfin à sortir, il dit aux hommes qui se trouvaient là : « Soit, mais je commande et l'on m'obéit ». Ceux-ci ne sont armés que de piques et de fusils de chasse et sont peu disciplinés. Au nombre de 4 000, ils retournent ensemble à Pornic et prennent la ville ; Charette fera broder son écharpe d'une devise en lettres d'or : « Combattu : souvent. Battu : parfois. Abattu : jamais. »[6] Il parvient ensuite à commander de meilleurs éléments dont des déserteurs républicains, et une cavalerie d’élite composée de nobles et de bourgeois équipés à leurs frais. Le (11 floréal an I), il parvient à empêcher les républicains de prendre Legé.
Après la prise de Saumur en , il se joint à l'armée catholique et royale et Lescure lui demande de participer à la prise de Nantes. Le , il arrive le premier avec ses troupes dans les faubourgs de la ville. Il lance l'assaut seul aux aurores sans attendre les renforts de Charles de Bonchamps. Il est le dernier à quitter Nantes ; le lendemain, après la retraite de l'armée catholique et royale et voyant que tout était perdu, il aurait fait un pas de danse par dérision. Deux semaines plus tard, il est de nouveau présent sans les autres groupes, tandis que l'attaque devait être combinée. Ses pertes sont élevées et après la perte de quatre canons, les Bleus contre-attaquent.
Le , il participe à la victoire de Bataille de Torfou, mais désobéit avec Lescure dans la poursuite de Kléber.
Le (9 vendémiaire an II), le canon dans l'île de Noirmoutier fait reculer ses troupes. Mais douze jours plus tard, il les fait entrer par la chaussée du Gois à la marée montante pour les forcer à avancer. Les 800 hommes de la garnison sont rapidement capturés et, malgré ses ordres, un sous-chef en fait fusiller 200.
La guérilla dans le pays de Retz (-)
Se sentant dédaigné, il se sépare du gros de l'armée vendéenne qui va subir un désastre au cours de la Virée de Galerne, notamment à Savenay en . Il poursuit la lutte par une guérilla autonome.
En , Charette réorganise son armée et confirme Pierre Rezeau comme commandant de la division de Montaigu.
En 1794, il s'empare du camp républicain de Saint-Christophe, près de Challans, mais moins d'un mois plus tard, le général Nicolas Haxo avec six mille hommes le force à s'enfuir. Il prend sa revanche peu de temps à la bataille des Clouzeaux, où Haxo est tué.
Le traité de la Jaunaye et ses suites (février-)
Manquant de munitions, le , Charette, ainsi que plusieurs autres chefs vendéens, signe avec les représentants de la Convention le traité de La Jaunaye. Ce traité, signé au manoir de La Jaunaye, à Saint-Sébastien[7], près de Nantes, établit la liberté religieuse et exempte les insurgés du service armé. Quelques jours plus tard, Charette peut défiler à Nantes aux côtés du général Canclaux et du représentant en mission Albert Ruelle.
Mais la paix ne dure que cinq mois. En , Charette reprend les armes au moment du débarquement de Quiberon, reçoit de la poudre, des armes et des fonds des Britanniques à Saint-Jean-de-Monts les 10, 11 et , mais est défait par Hoche.
En juillet, le futur roi Louis XVIII lui écrit qu'il lui confère le grade de général de l'armée catholique et royale. Ses faits d'armes dépassent de loin le cadre de la guerre de Vendée : il reçoit les félicitations d'Alexandre Souvorov et Dumouriez tente de le débaucher pour rallier la cause de Louis-Philippe d'Orléans.
Attendant l’aide des émigrés et des Anglais, Charette se rend sur la côte avec une armée de 10 000 hommes, un débarquement devant avoir lieu depuis le pertuis breton le . Celui-ci ne se produisant pas, il doit rebrousser chemin le 25. Le , la flotte anglaise vient mouiller près de l’île d’Yeu[8].
En , il tente d'organiser la venue du comte d'Artois, second frère de Louis XVI en Vendée et se porte sur la côte avec 15 000 hommes lorsque le prince se trouve à l'Île d'Yeu. Le futur Charles X ne rejoint pas le continent et Charette est peu à peu abandonné par ses troupes.
La fin de Charette (-)
Charette fait alors le projet de faire jonction avec les bandes de Jean-Nicolas Stofflet qui se battent encore en Anjou. Mais les colonnes républicaines viennent quadriller la région et il finit par être capturé par le général Jean-Pierre Travot le dans les bois de la Chabotterie (commune de Saint-Sulpice-le-Verdon) alors qu'il n'est plus suivi que par 32 derniers fidèles. Pour sa défense, il prétendra qu'il était en pourparlers pour se rendre.
Condamné à mort, Charette est fusillé le sur la place Viarme (alors nommée « Place des Agriculteurs ») à Nantes[9],[10]. Il retire son bras blessé de son écharpe et refuse de se mettre à genou ou de se faire bander les yeux[9],[A 1]. Il tombe à cinq heures et quatorze minutes de l'après-midi[9],[A 2]. Une croix, à l'angle de la place et de la rue Félibien, commémore cette exécution.
Sa devise était « Combattu souvent, battu parfois, abattu jamais ». Son souvenir est encore très vivace en Vendée.
Franc-maçonnerie
Charette a été initié à la franc-maçonnerie[12][source insuffisante]. Son assiduité lui a permis de s'élever au grade de Chevalier Kadosch[13]. Lisible dans sa correspondance[réf. nécessaire], cette démarche initiatique, assez commune chez les aristocrates du XVIIIe siècle, constituait en outre une « assurance » pour les officiers qui, quand ils étaient fait prisonniers, notamment par les Anglais, jouissaient d'un traitement de faveur s'ils étaient francs-maçons[14].
Cette appartenance supposée est toutefois disputée et semble avoir été établie par erreur à la suite de la confusion avec Gabriel Charette de Boisfoucaud né à Saint-Mesme le [14].
Jugements des contemporains
« J'ai lu une histoire de la Vendée, si les détails, les portraits sont exacts Charette est le seul grand caractère, le véritable héros de cet épisode marquant de notre révolution, lequel, s'il présente de grands malheurs, n'immole pas du moins notre gloire. On s'y égorge, mais on ne s'y dégrade point, on y reçoit des secours de l'étranger, mais on n'a pas la honte d'être sous sa bannière et d'en recevoir un salaire journalier pour n'être que l'exécuteur de ses volontés. Oui, Charette me laisse l'impression d'un grand caractère, je lui vois faire des choses d'une énergie, d'une audace peu communes, il laisse percer du génie. »
— Napoléon Ier, cité par Emmanuel de Las Cases, Le Mémorial de Sainte-Hélène, tome VII, p. 237
« Cet ennemi, l'espoir des contre-révolutionnaires qu'il a trompé, le cheval de bataille des émigrés qu'il déteste et qu'il n'accueillera jamais, fut-il puissant, a un pouvoir absolu sur tout le païs où il commande. Les lois draconniennes qu'il a données aux contrées qu'il occupe l'ont en quelque sorte fait déifier par une multitude ignorante que son seul nom fait trembler. Son caractère est féroce et singulièrement défiant. Son ambition est de gouverner le païs féodalement. Il n'a point d'amis, pour être un chef de parti vraiment redoutable il lui faudrait la loyauté de Bonchamps, les talents de d'Elbée et la témérité de Stofflet, il n'a ni l'un, ni l'autre[15]. »
— Lazare Hoche, compte-rendu au gouvernement, 10 novembre 1795.
« On a dit de M. Charette beaucoup de bien et beaucoup de mal ; ses partisans et ses ennemis ont également outré dans leurs rapports. On ne peut pas avancer qu'il fut un grand homme, mais il serait injuste de nier que dans sa disposition il montra quelques qualités remarquables[16]. »
— Pierre-Suzanne Lucas de La Championnière, Mémoires.
Hommages
- Nantes : monument à la mémoire de Charette (croix) située sur la place Viarme, lieu de son exécution ; la croix n'a cependant pas été placée au lieu précis de l'évènement. Sur la place, entre les places de parking, un pavé, marqué d'une croix indique « l'endroit » de l'exécution.
- Saint-Sébastien-sur-Loire : rue François-Athanase-de-Charette-de-La-Contrie, tout près du manoir de la Jaunaie, où fut signé le traité de paix de 1795.
- La Roche-sur-Yon, chef-lieu de la Vendée : une rue porte son nom.
- Couffé : une des rues principales de sa paroisse natale porte le nom du Général Charette de la Contrie.
- La Garnache comporte une place au nom du général Charette et Challans une rue sous la même dénomination.
- Legé : la chapelle Notre-Dame-de-Pitié ou « chapelle Charette » est édifiée en son honneur, et une rue porte son nom en hommage.
- Grand Parc du Puy du Fou (Les Epesses) : un spectacle nommé 'Le Dernier Panache[17]' lui est dédié, ouvert au public depuis le .
- "Charette, ou la Victoire des Vaincus" : comédie musicale de Jacques Raveleau-Duparc (créée au Puy du Fou en 2003).
- Bellevigny (Belleville sur vie) : QUARTIER GENERAL CHARETTE[18]
Pendant l'année 1793, Belleville (Belleville sur vie 85170) aujourd'hui BELLEVIGNY fut la plaque tournante des armées vendéennes. Le Général Charette, sous la terreur (1794 - 1795) y avait établi son quartier général d'où il mena une guerre impitoyable aux "bleus" les acculant à des pourparlers de paix qui aboutiront au "traité de la Jaunaye". Son quartier général devint par la suite un couvent puis l’école privée Ste Anne. La commune a récemment acquis l’ensemble pour mettre en place un centre culturel et associatif. Les officiers étaient logés dans le mess, en face, rue Jean Moulin. Ce bâtiment qui fut pour un temps la mairie et l’école publique est désormais réhabilité en logements.
La caserne et les écuries étaient, elles, situées entre la rue de l’Océan et la rue De Gaulle ; ce qui correspond aujourd’hui au village de la Bordinière.
Pendant son séjour à Belleville, Charette fit construire une demeure pour accueillir le jeune roi Louis XVII, proclamé par les immigrés après la mort en 1793 de Louis XVI, son père. Enfermé à la prison du Temple où il mourut le 8 juin 1795 à l’âge de dix ans, il n’y viendra donc jamais. La demeure, qui est aujourd’hui une résidence privée, gardera le nom de « palais royal ».
Autres personnalités de la famille de Charette
- Athanase de Charette de La Contrie (1832-1911), son petit-neveu, fait une carrière militaire en Italie et en Autriche avant de commander les zouaves pontificaux de 1860 à 1870, puis de participer comme général de brigade à la défense de la France contre les Prussiens en 1870.
- Hervé de Charette, ancien député-maire de Saint-Florent-le-Vieil (Maine-et-Loire) et ancien ministre, est un descendant de son frère, comme tous les membres actuels de la famille de Charette.
Notes
- D'après Urbain-René-Thomas Le Bouvier-Desmortiers, Charette aurait eu une parole en faveur du général Jacob, emprisonné après sa défaite la bataille de La Roullière[11]. Le vicomte Walsh affirme que Charette aurait déclaré au peloton en portant la main vers son cœur : « Soldats ajustez bien, c'est ici qu'il faut frapper un brave »[11]. D'autres auteurs affirment que Charette aurait fait un signe de tête pour commander le feu du peloton[11]. Selon l'historien Lionel Dumarcet, aucun des deux témoins oculaires ayant relaté l'exécution ne font mention de tels faits[11].
- Selon Pitre-Chevalier, avant d'expirer Charette s'appuie sur son coude « comme pour retarder la chute »[11]. Ce récit est faux selon Lionel Dumarcet, Charette s'effondre en arrière[11].
Références
- Thérèse Rouchette, Charette, Centre vendéen de recherches historiques, 2007, p. 9-10.
- acte de naissance, p. 7.
- acte de mariage, p. 7.
- Dumarcet 1998, p. 105-108.
- Dumarcet 1998, p. 109-120.
- Émile Boutin, Pays de Retz, Noirmoutier, île d'Yeu, Éditions France-Empire, coll. « Histoire et terroirs », , 510 p. (lire en ligne)
- Et non pas : « près de Vertou », même si ce n'est pas faux !
- Dictionnaire des personnages de la Révolution, p. 171.
- Dumarcet 1998, p. 517-518.
- Denis Woronoff, La République bourgeoise : De Thermidor à Brumaire 1794-1799, vol. 3, Points, coll. « Nouvelle histoire de la France contemporaine », , 258 p. (ISBN 978-2-7578-3927-0, lire en ligne), « Tentatives armées »
- Dumarcet 1998, p. 521.
- André Combes, Les Trois Siècles de la franc-maçonnerie française, p. ??
- Émile Boutin, « Madame de la Garnache », in Revue de la Société des Historiens du Pays de Retz.
- Lionel Dumarcet, François Athanase Charette de la Contrie : une histoire véritable, Paris, Le grand livre du mois, , 536 p. (ISBN 2-7028-1849-8, lire en ligne), p. 58
- Dumarcet 1998, p. 479.
- Pierre-Suzanne Lucas de La Championnière, Mémoires d'un officier vendéen, p. 140.
- « Le Dernier Panache | Spectacle Puy du Fou », sur www.puydufou.com (consulté le )
- « Histoire et patrimoine », sur Bellevigny (consulté le )
Annexes
Sources et bibliographie
- Lionel Dumarcet, François Athanase Charette de La Contrie : Une histoire véritable, Les 3 Orangers, , 536 p. (ISBN 978-2912883001).
- Le Bouvier-Desmortiers, Vie du général Charette. Editions Dominique Martin Morin; 1996. 450pp.
- Gilbert Charette (préf. Émile Gabory), Le chevalier Charette : roi de Vendée, Chateaugiron, Yves Salmon, coll. « Présence de l'histoire », , 285 p. (ISBN 978-2-903-41431-3).
- Jacqueline Chauveau, Charette et l'épopée vendéenne : "la vivante histoire, Paris, Nouv. Ed. Latines, (1re éd. 1964), 192 p. (ISBN 978-2-732-30467-0).
- Alain Gérard, Sur les traces de Charette, roi de la Vendée, Fromentine, Etrave, , 52 p. (ISBN 978-2-909-59909-0).
- Michel de Saint Pierre (préf. Maurice de Charette), Monsieur de Charette, chevalier du roi, Paris, La Table ronde Gallimard, coll. « Folio » (no 1409), , 595 p. (ISBN 978-2-070-37409-0 et 978-2-710-30115-8).
- Anne Bernet, Monsieur de Charette, le roi de Vendée, Saint-Quentin-sur-In, Les éditions du python, , 108 p. (ISBN 978-2-911-02013-1).
- Anne Bernet, Charette, Paris, Perrin, , 484 p. (ISBN 978-2-262-01997-6).
- Reynald Secher et René Le Honzec, Vendée (1789-1801).
- Roger Caratini, Dictionnaire des personnages de la Révolution, Éditions du Pré aux Clairs, 1988, p. 170
- Philippe de Villiers, Le roman de Charette, Paris, Albin Michel, , 474 p. (ISBN 978-2-226-24421-5).
- Pierre-Suzanne Lucas de La Championnière, Lucas de La Championnière, Mémoires d'un officier vendéen 1793-1796, Les Éditions du Bocage, .
- Jacqueline Chauveau, "La vivante Histoire" Charrette et l'épopée vendéenne (Les éditions du Scorpion, Paris, 1964).
- G. Lenotre, Monsieur de Charette, Librairie Hachette, collection Figures du passé, 1924, p. 296.
- George J. Hill, The Story of the War in La Vendée and the Little Chouannerie (New York: D. & J. Sadlier & Co. n.d.).
- Jean-Christophe Buisson et Emmanuel Hecht, Les grands vaincus de l'histoire : Hannibal, Vercingétorix, Montezuma, le grand Condé, Charette, le général Lee, Trotski, Nixon, Paris, Perrin, , 408 p. (ISBN 978-2-262-04230-1).
Filmographie
- Gérard Sergues dans Quand flambait le bocage téléfilm de Claude-Jean Bonnardot (1978)
Articles connexes
Liens externes
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