Charles François Dumouriez
Charles François du Perrier du Mouriez, dit Dumouriez (né le à Cambrai, mort le à Turville-Park, près de Londres), est un général français, vainqueur avec Kellermann de la bataille de Valmy, qui devient par la suite opposant à la Première République française et la trahit au profit de l'Autriche.
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Biographie
Famille et enfance
Les Dumouriez sont issus d’une ancienne famille de Provence qui portait le nom de Duperrier. Dumouriez vient de Mouriez, nom de la femme du bisaïeul du général. Dumouriez était le fils d'un commissaire des guerres et le petit-fils de François Dumouriez du Perrier, comédien de la troupe de Molière, également considéré comme le premier pompier professionnel de France[n 1]. Son père est un militaire qui réside longtemps à Cambrai, où naît son fils. Charles François perd sa mère assez jeune, mais il reçoit une éducation soignée auprès des jésuites du collège Louis-le-Grand de Paris[1].
Sous l'Ancien Régime
Dumouriez entre à 19 ans dans la carrière des armes sous la conduite de son père qui est alors commissaire des armées et qui l'entraîne avec lui sur les divers terrains d'opération de la guerre de Sept Ans[1]. Il fait sa première campagne à 19 ans, comme cornette de cavalerie dans le régiment d’Escars et il accède au grade de capitaine. Officier de l’Ancien Régime, il sert comme capitaine pendant la campagne de Westphalie durant laquelle il reçoit vingt-deux blessures[1].
En 1763, une fois la paix signée, son régiment est réformé. Il se retrouve alors dans une situation délicate, n’ayant recueilli de ses sept années de service qu’un brevet de pension de 600 livres qui ne lui fut jamais payé et la croix de Saint-Louis (il est fait chevalier de Saint-Louis le ).
Il a un projet de mariage avec l'une de ses cousines auquel son père s'oppose[1]. Dans cette situation précaire, il décide de voyager. Il offre ses services à la république de Gênes qui fait la guerre en Corse. Il est refusé. Il va trouver Paoli, qui le repousse également. Il tente alors de révolutionner la Corse au profit de la démocratie sans plus de succès. Enfin, n’ayant été agréé ni par les uns ni par les autres, il va présenter au duc de Choiseul un plan pour la conquête de l’île : le secrétaire d’État à la Guerre et à la Marine le repousse durement.
Mais le beau-frère de la comtesse du Barry le fait rentrer en grâce. Le duc de Choiseul accorde à Dumouriez une gratification de 18 000 livres, et lui confie un emploi d’agent secret pour une mission à la cour de Madrid.
Au retour de cette mission, il reçoit un brevet d’aide-major général pour aller faire la guerre en Corse, sous MM. de Chauvelin et de Vaux. En 1768, on l’envoie participer à l'occupation de la Corse qui venait d’être achetée par Louis XV, roi de France, à la république de Gênes et qui se soulève contre la nouvelle tutelle française. Il participe à la bataille de Ponte-Novo[1].
En 1770, on le charge d’une autre mission secrète en Pologne pour soutenir militairement la confédération de Bar auprès des chefs du parti de l’indépendance, réunis à Eperies en Hongrie. Sur ces entrefaites, le duc de Choiseul tombe en disgrâce et il se trouve sans instructions. Il se place alors à la tête d’un parti de confédérés, attaque 5 000 Russes commandés par Souvorov, qui le bat et disperse sa troupe à la bataille de Lanckorona. D'Aiguillon, successeur du duc de Choiseul, le rappelle en 1772.
Il va alors aider Gustave III de Suède dans sa lutte contre l’aristocratie suédoise. Cette mission lui avait été donnée par le duc de Broglie, ministre de la Correspondance secrète de Louis XV. D’Aiguillon, qu’on n’avait point informé, le fait arrêter à Hambourg et enfermer près de 6 mois à la Bastille[1], puis au château de Caen, d’où il ne sort qu’à la mort du roi, sans doute pour avoir détourné une partie des fonds destinés à ses missions d’agent secret pour payer ses dettes.
En , il épouse sa cousine germaine Marie Marguerite Eléonore Estienne de Broissy[2] en l'église Saint-Ouen de Pont-Audemer.
Louis XVI lui rend son grade de colonel et l'envoie à Lille enseigner l'exercice à la prussienne, puis, peu après, le fait gouverneur de Cherbourg, où il dirige pendant onze ans, avec talent et activité, les travaux du nouveau port.
Il a été nommé pendant ce temps brigadier en 1787, maréchal de camp le , et commandant de la garde nationale de Cherbourg. Il devient ensuite en 1789 gouverneur du château de Caen où il avait été enfermé quinze ans plus tôt.
Ministre de Louis XVI sous la Révolution
Comme bien des membres de la noblesse, il attend une réforme de la monarchie absolue. Dès 1789, il s'enthousiasme pour les principes de la Révolution française et écrit en leur faveur. Mais ce militaire qui joue d'importantes sommes, échoue à se faire élire aux États généraux de 1789. Quand le 18 juillet 1789, le château de Caen est pris d'assaut par les bourgeois et le peuple de la ville, le commandant arbore la cocarde tricolore, ramenant ainsi sans incident majeur le calme dans la ville[n 2]. Il quitte alors Caen pour s'établir à Paris, où il se lie avec Armand Gensonné, La Fayette ou Mirabeau, et se fait connaître au club des Jacobins en 1790.
Il obtient un commandement en Vendée en 1791, et est nommé lieutenant-général le puis général en chef le suivant et commandant de la garde nationale de Cherbourg en . Avec l'appui des Girondins, il est ministre des Affaires étrangères le , pousse à la guerre contre l’Autriche, fait licencier la Garde constitutionnelle du roi Louis XVI et opère le renvoi des ministres Roland, Servan et Clavière. Au mois d'avril, La Fayette, inquiet du sort du Roi, envoie un de ses aides de camp, le lieutenant-colonel de Langlais, auprès de Dumouriez, avec une lettre. Le , Dumouriez lui répond et l'assure de leur confiance mutuelle. Le , Dumouriez annonce à l'Assemblée législative la déclaration de guerre au roi de Hongrie et de Bohème[1].
Il est chargé un moment du ministère de la Guerre, mais, disgracié, il se retire du ministère en démissionnant le , et reprend du service. C'est à cette époque qu'il réprimera le deuxième soulèvement indépendantiste belge, après l'avoir alimenté en 1789 contre l'Autriche.
Général des armées de la République
Il va commander à l’armée du Nord, sous les ordres de Luckner, la division du camp de Maulde. Les troupes sont engagées dans les Pays-Bas autrichiens selon un plan qu'il a conçu, mais à Mons et à Tournai, les soldats paniquent et se débandent[1]. Pendant ce temps, les troupes prussiennes du duc de Brunswick ont pénétré dans le territoire national et assiègent Verdun.
Après le 10 août, grâce à l'influence de Danton, son ami, il prend le commandement de l'armée des Ardennes que La Fayette vient de quitter. Dumouriez a seulement quelque 28 000 hommes à opposer aux 60 000 de Brunswick : il conduit la campagne de l'Argonne et s'empare des défilés de l'Argonne, seul moyen d'arrêter la marche des Prussiens[n 3].
L’armée prussienne, retardée par plusieurs causes, donne le temps à Kellermann de rejoindre Dumouriez le , avec 27 000 hommes, et à Beurnonville de lui amener 10 000 hommes. Le , il arrête les progrès de l’ennemi : les Prussiens sont attaqués et se retirent après la bataille de Valmy qui est davantage un échange de longues canonnades qu'une véritable bataille[1],[3]. La bataille fait moins de 500 victimes (300 chez les Français, 184 chez les Prussiens)[3]. Dumouriez ne harcèle pas cette armée en retraite, il ne fait que la suivre sans l’inquiéter, ne voulant pas enlever à Louis XVI, dont il n’a jamais été l'ennemi, tout espoir d'être protégé à l'extérieur. Il fait même prévenir secrètement le roi de Prusse que Custine va envahir ses États. Au reste, son intérêt personnel est dans la balance : la Prusse lui abandonne la Belgique, qu'il doit posséder avec le titre de duc de Brabant. Dans la mémoire nationale, son nom est néanmoins associé à la bataille de Valmy à laquelle la proclamation de la République dans les heures qui suivent prête une importance considérable[1].
Dumouriez se rend à Paris et obtient le commandement de l'armée du Nord. Il fait paraître le , à Valenciennes, une proclamation incitant les Belges à se soulever contre l'Autriche. Il entre en Belgique le . Il se dispose, le , à attaquer l’armée autrichienne sur les hauteurs fortifiées de Jemappes ; mais ce sont les Autrichiens eux-mêmes qui l’attaquent. Avec l'aide du général Ferrand qui commande l'aile gauche de l’armée du Nord, il bat les Autrichiens sous les ordres du duc Albert de Saxe-Teschen à Jemappes le , et la Belgique est conquise. En soutenant l’idée d'une république indépendante en Belgique, Dumouriez s’oppose à la Convention.
Le putsch manqué
Dumouriez repart fin , pour Paris, pour essayer de sauver Louis XVI dont le procès, juge-t-il, a été précipité. Impuissant à sauver le monarque, il veut s’assurer de faire ratifier certains marchés avec les Belges. Mal reçu des Montagnards et notamment du ministre de la Guerre Jean-Nicolas Pache, qu'il accuse de désorganiser l'approvisionnement des troupes, il se lie aux Girondins. Eux comptent sur lui, lui espère d’eux.
Il quitte Paris le . Arrivé à Amiens, il y apprend la rupture de la France avec l’Angleterre, et conséquemment avec la Hollande. Pour prendre de vitesse les armées de la coalition, il entreprend l’invasion de cette république avec 13 500 hommes mal équipés et mal nourris, la faute en incombant à l'administration de Pache. Bréda et Berg-op-Zoom tombent en son pouvoir. Il repousse le prince Frédéric Josias de Saxe-Cobourg, et livre la bataille de Neerwinden (), où les troupes françaises, tout en restant maîtresses du champ de bataille, éprouvent un véritable échec. Cette bataille, qui a pour lui toutes les conséquences de la défaite la plus complète, renverse tous ses projets.
Après ce revers, il se voit en butte à de virulentes attaques de la part de ceux-là même qui avaient favorisé la défaite. La Convention, au sein de laquelle une foule d’accusations s’étaient élevées contre lui, décrète qu’il serait traduit à sa barre. Se voyant menacé d’être traduit à la barre de l'Assemblée, décrété d'arrestation puis traduit au Tribunal révolutionnaire nouvellement établi, il accepte les ouvertures qui lui sont faites par le prince de Cobourg qui lui propose de se joindre à lui pour rétablir la constitution donnée par l'Assemblée nationale constituante, sortir Marie-Antoinette et ses enfants de la prison du Temple, dissoudre la Convention et rétablir une monarchie constitutionnelle.
Mais ses projets ayant transpiré, la Convention envoie () à son quartier général au bourg de Saint-Amand-les-Eaux, le ministre Beurnonville et les députés Armand-Gaston Camus, Jean Henri Bancal des Issarts, François Lamarque et Nicolas-Marie Quinette pour le suspendre et lui ordonner de venir rendre compte de sa conduite. Dès leur arrivée, Dumouriez les fait arrêter, puis livrer aux Autrichiens[n 4]. Ils seront prisonniers à Olmütz pendant trente mois.
Le , le général Dumouriez, qui a promis aux Autrichiens de livrer la place-forte de Condé, est contraint de rebrousser chemin, les troupes de la garnison ayant eu vent de la trahison, tout en envoyant un aide-de-camp avec ordre au général Neuilly de faire sortir le 18e régiment de cavalerie. Se dirigeant alors vers Valenciennes, il croise 3 bataillons de volontaires de l'Yonne dont l'un était commandé par le chef de bataillon adjoint Louis-Nicolas Davout, et leur enjoint de rebrousser chemin. Une partie de la colonne s'avance alors vers lui d'un air menaçant. Effrayé, il s'enfuit à travers champs, avec son escorte vers Bruille, sous les coups de feu des volontaires, qui connaissaient la trahison de leur général en chef.
Dumouriez, abandonné par une grande partie de ses soldats, poursuivi comme traître, n’échappe qu’avec peine à la mousqueterie très vive qui l'accompagne presque jusqu’aux retranchements de l’armée autrichienne, et est rejoint peu de jours après par environ 1 500 hommes, que le prince Frédéric Josias de Saxe-Cobourg prend à la solde de l’Autriche. Parmi les officiers qui le suivent se trouve le duc de Chartres, futur roi Louis-Philippe.
Dumouriez quitte le camp autrichien. À partir de cette époque, il mène une vie errante : mal vu de l'émigration ultra qui le rejette comme « constitutionnel », il voyage à travers l’Europe. Il se rend en Franconie, d’où il est durement éconduit par l’électeur de Cologne, puis à Stuttgart, où il n’est pas mieux accueilli, puis sous un nom d’emprunt, en Suisse, en Italie, en Angleterre ; mais tout séjour lui est interdit dès qu’il est reconnu. Enfin, il se fixe à Nériss, près de Hambourg, sur le territoire danois.
Sous le Consulat et le Premier Empire
Sous le Consulat et le Premier Empire, à aucun moment Napoléon n'accepte de revenir sur la proscription qui le frappe[1].
En 1800, il se rend en Russie offrir au tsar Paul Ier ses services contre la France, mais Paul se prononce tout à coup pour la France contre l'Angleterre. En 1800, il finit par se fixer au Royaume-Uni, dont le gouvernement lui octroie une pension pour prix des conseils qu’il lui donne. En 1803, à l’époque du camp de Boulogne, il va habiter l’Angleterre pour laquelle il fait de l’espionnage. En 1805, il fait un voyage en Prusse. En 1807, il se lie avec Gustave de Suède, et il était question de lui donner le commandement de l’armée suédoise, lorsque la paix de Tilsitt le force à retourner en Angleterre.
En 1808, il offre ses services au Portugal menacé par la France. Il parcourt l’Espagne, donne aux Espagnols le système des guérillas, et leur fournit des instructions et des directives qui, traduites sous le titre de Pardidas de guerillas, dont les plans ont beaucoup contribué à l’efficacité des guérilleros lors de la guerre d'Espagne. Largement distribué, cet ouvrage a longtemps servi de manuel à ces derniers[4].
De 1812 à 1814, il est le conseiller du ministère Castlereagh et de Wellington, qu’il conseilla avant son invasion de la France en 1814[5].
Sous la Restauration
Ses activités de conseiller auprès du futur duc de Wellington lui ont valu de se voir refuser l'autorisation de revenir en France par les Bourbons[5]. Il reste en Angleterre et continue à recevoir une pension de 1 200 livres sterling et une somme annuelle de 40 000 francs, qu'un de ses anciens amis lui fait remettre jusqu'à sa mort.
Au mois de , il quitte sa résidence de Little-Ealing et va demeurer à Turville-Park, dans le comté de Buckingham. On lui achète un troupeau, des vaches.[réf. nécessaire] Il avait 84 ans.
Il meurt, le , dans l'indifférence générale, selon son biographe Jean-Pierre Bois[1]. Ses restes sont déposés dans l'église de Henley-on-Thames.
Son nom figure sur l’arc de triomphe de l'Étoile à Paris.
Publications
Dumouriez a beaucoup écrit sur la Révolution. Il a publié ses Mémoires sous ce titre : Vie et ouvrages du général Dumouriez, Hambourg, 1795. Il existe également 2 tomes reliés en un seul volume publié à Londres en 1794 sous le titre : Mémoires du général Dumouriez, écrits par lui-même.
Et aussi : État présent du Royaume de Portugal en l'année MDCCLXVI Lausanne chez François Grasset et Comp., 1775.
Charles-François Dumouriez, Correspondance du général Dumouriez avec Pache, Ministre de la Guerre pendant la Campagne de Belgique en 1792, Paris, Denné libraire, (lire en ligne).
Notes
- D'après C. Mullié.
- Son successeur, Henri de Belzunce, est moins habile et est massacré par la foule le 12 août 1789.
- Le 4 septembre 1792, il écrit à Paris la dépêche suivante : « Verdun est pris, j’attends les Prussiens. Les défilés de l’Argonne sont les Thermopyles de la France ; mais je serai plus heureux que Léonidas. » II s’y maintient en effet.
- Dumouriez, qu’ils trouvent entouré de son état-major, leur demande quelle était leur mission. Les députés refusent de s’expliquer devant un aussi grand nombre d'officiers et demandent à passer dans une pièce voisine. Dumouriez y consent, mais les officiers exigent que la porte reste ouverte. Camus lui lit alors le décret de la Convention. Dumouriez répond qu'il ne peut quitter son armée dans l’état de désorganisation où elle se trouve. Camus déclare que l’ordre est impératif ; Dumouriez répond qu’il ne serait pas assez sot pour se livrer lui-même aux tigres qui brûlent de l’immoler à Paris. Puis il engage les commissaires à prendre un arrêté par lequel ils déclarent que, obéissant à une impérieuse nécessité, ils ont jugé qu’il est dangereux d’enlever un général en chef à une armée battue et en retraite. Il les quitte ensuite, passe avec Beurnonville dans la salle où sont les officiers de son état-major.— Les commissaires s'y présentent un instant après.
- « Voulez-vous obéir à la Convention ? dit Camus.— Non. — Eh bien ! vous êtes suspendu de vos fonctions, vos papiers vont être saisis et votre personne est arrêtée. — C’est trop fort, s'écrie Dumouriez ; à moi ! hussards ! »
Références
- Emma Demeester, « Dumouriez, héros républicain ou « misérable intrigant » ? », La Nouvelle Revue d’histoire, no 88, , p. 34-36.
- Louis Gosselin, « L'île Saint-Jean » Le mois à Caen, octobre 1967, no 58, p. 16.
- « Modeste canonnade à Valmy », herodote.net, 21 janvier 2016.
- (en) John Gorton, A General Biographical Dictionary, t. 4, Londres, Henry G. Bohn, , 4 vol (OCLC 796960363, lire en ligne), p. 233.
- (en) Linda Frey, Linda S. Frey et Marsha Frey, The French Revolution, Westport, Greenwood Publishing Group, , 190 p. (ISBN 978-0-31332-193-1, OCLC 694843934, lire en ligne), p. 89.
Sources
- Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « Charles François Dumouriez » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, (lire sur Wikisource)
- « Charles François Dumouriez », dans Charles Mullié, Biographie des célébrités militaires des armées de terre et de mer de 1789 à 1850, [détail de l’édition]
Bibliographie
- Alfred Barbou, Les généraux de la République, Paris, Jouvet et Cie, coll. « Bibliothèque instructive », , « Dumouriez », p. 136-155
- Jean-Pierre Bois, Dumouriez : héros et proscrit : un itinéraire militaire, politique et moral entre l’Ancien régime et la Restauration, Paris : le Grand livre du mois, 2005. 484 p., 25 cm. (ISBN 2-286-00991-0).
- Arthur Chuquet, Dumouriez, Paris, 1914.
- Isabelle Henry, Dumouriez : Général de la Révolution, Paris, 2002, (ISBN 2-7475-2199-0).
- Sophie de Lastours, Fers croisés sur Dumouriez (1739-1823), Paris, L'Harmattan, 2013, (ISBN 978-2-343-01444-9).
- Tugdual de Langlais, Marie-Étienne Peltier, Capitaine corsaire de la République, Éd. Coiffard, 2017, 240 p. (ISBN 978-2-91933-947-1).
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