Couffé

Couffé est une commune française de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Avant la Révolution française, c'était une paroisse bretonne, située dans le Pays nantais, un des pays historiques de Bretagne.

Couffé

L'église Saint-Pierre.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes du pays d'Ancenis
Maire
Mandat
Daniel Pageau
2020-2026
Code postal 44521
Code commune 44048
Démographie
Population
municipale
2 556 hab. (2018 )
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 23′ 31″ nord, 1° 17′ 29″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 73 m
Superficie 39,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ancenis
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Couffé
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Couffé
Géolocalisation sur la carte : France
Couffé
Géolocalisation sur la carte : France
Couffé
Liens
Site web http://www.couffe.fr/

    Ses habitants sont appelés Coufféens et Coufféennes.

    Géographie

    Situation

    Situation de la commune de Couffé dans le département de la Loire-Atlantique.

    Couffé est située à km au nord-ouest d'Ancenis (commune nouvelle d'Ancenis-Saint-Géréon) et 35 km au nord-est de Nantes.

    Les communes limitrophes sont Mouzeil, Mésanger, Ancenis-Saint-Géréon, Oudon, Le Cellier et Ligné.

    Géographie physique

    Situé sur les sols acides du massif armoricain, Couffé possède des paysages de bocage (bocage de chêne pédonculé et de frêne, essentiellement) dont les principaux reliefs sont dus à la vallée du Hâvre et à ses affluents : le Donneau, affluent principal qui prend sa source au nord-est de Pannecé et traverse Teillé avant de rejoindre Couffé ; la Beusse, plus réduite et qui prend sa source à Mésanger à l'est ; ces deux cours d'eau se rejoignent dans le bourg de Couffé pour former le Hâvre ; la Loge au Moine et sa vallée encaissée qui rejoint le Hâvre par l'ouest, juste avant la commune d'Oudon.

    Cette vallée encaissée offre des paysages préservées et une mosaïque d'habitats (boisements, coteaux secs, prairies inondables et autres milieux humides) qui abritent une grande richesse floristique et faunistique. La vallée du Hâvre est d'ailleurs reconnue comme une zone naturelle d'intérêt écologique et floristique et est intégrée dans le périmètre Natura 2000 de la Loire et de ses vallées annexes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 738 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ancenis », sur la commune d'Ancenis-Saint-Géréon, mise en service en 1964[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 781,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Couffé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

    Morphologie urbaine

    La commune est composée d'un bourg principal et d'autres lieux-dits, hameaux et écarts listés ci-dessous[19] :

    • Bas Mauregard
    • Bel-Air
    • Bottereau
    • Bougon
    • Charbonneau
    • Château de la Ville Jégu
    • Haut Mauregard
    • Ker Esther
    • l'Aubrière
    • l'Ousselière
    • la Basse Poussaudière
    • la Belorderie
    • la Bénerie
    • la Bézinière
    • la Bigotière
    • la Bitière
    • la Boissenotière
    • la Bourgonnière
    • la Brosse
    • la Butte
    • la Chapellerie
    • la Chaufferie
    • la Chevalerie
    • la Contrie
    • la Coudraie
    • la Coutume
    • la Cribotière
    • la Croix
    • la Daudinière
    • la Dorée
    • la Favrie
    • la Forge
    • la Fournerie
    • la Gallière
    • la Galotinière
    • la Gaubergère
    • la Gazillardière
    • la Gerbauderie
    • la Grande Corbière
    • la Gravelle
    • la Grée
    • la Gruère
    • la Guillardière
    • la Guinière
    • la Haie Moreau
    • la Hardetenière
    • la Haute Poussaudière
    • la Jounière
    • la Lande
    • la Landrouillère
    • la Marière
    • la Meslière
    • la Métellerie
    • la Monie
    • la Noue
    • la Pauvardière
    • la Pérauderie
    • la Pichaudière
    • la Pinetière
    • la Ramée
    • la Renaudière
    • la Richevardière
    • la Rillouse
    • la Rinière
    • la Rivière
    • la Roche
    • la Roseraie
    • la Rougeaudière
    • la Route des Crêtes
    • la Simonetière
    • la Simonière
    • la Taunière
    • la Tessaudière
    • la Tonduère
    • la Tonneries
    • la Tricotière
    • la Veillarderie
    • la Verdière
    • la Véronnière
    • Launay
    • le Bas Cuette
    • le Bas Vieux Couffé
    • le Bois Brillant
    • le Bois Brûlé
    • le Bois de la Motte
    • le Châtelier
    • le Chêne Pierre
    • le Chêne Tiennot
    • le Haut Cuette
    • le Haut Vieux Couffé
    • le Jarrier
    • le Moulin de la Tessaudière
    • le Moulin de Saint-Philbert
    • le Moulin du Pas
    • le Pas
    • le Rondier
    • le Vigneau
    • les Bernardières
    • les Brousses
    • les Champs Amelin
    • les Chesneaux
    • les Haies
    • les Landreaux
    • les Mazeries
    • les Noues
    • les Plantes
    • les Sables
    • les Thivières
    • Moulin des Rochettes
    • Saint-Joseph
    • Saint-Philbert

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47 %), zones agricoles hétérogènes (25,3 %), prairies (22 %), forêts (3,2 %), zones urbanisées (2,3 %), cultures permanentes (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Coffe en 1287[22].

    Koufeg en breton[22].

    Couffé semble de l'agglutination du nom de personne gallo-romain cofius et du suffixe acum qui signifie : « la terre de cofius » .Cofius, nom dérivé de kufia : « sous casque ». Ce terme, au Moyen Âge, indiquait la partie de tissus ou de peau qui séparait la tête de la cotte de mailles ou du heaume. En français, ce mot débouchera sur notre terme académique "coiffe".
    Le nom de Couffé viendrait peut-être aussi du mot couffe, sorte de panier circulaire plat utilisé pour le transport de marchandises (« cabas porté à l'épaule »)[23].

    Couffé possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Cófaé (écriture ELG, prononcé [ku.fə])[24].

    Histoire

    Antiquité

    Durant l’Antiquité , une voie romaine reliant Nantes à Angers passait par Couffé : « elle servait probablement de limite entre Couffé et Oudon. » Et d’ailleurs, au XVIIIe siècle, un berger à découvert dans un terrier, six jarres et une poterie qui contenaient quelques pièces de monnaie en argent et en bronze datant du IIIe siècle.

    Moyen Âge et XVIe siècle

    La première église a été construite, au VIe siècle au lieu-dit « la cure », bourg de l’époque entre le port Rayon, et le Vieux Couffé. L’église, dédiée a saint Pierre, et saint Paul s’appellera Saint-Pierre de Couffé. Et au XVIe siècle, les châtelains de la Roche, et de La Contrie décidèrent de déplacer le bourg et l’église entre les deux propriétés : c’est ainsi que naquit le bourg actuel de Couffé

    La chapelle Saint-Symphorien est l'une des plus anciennes constructions de la commune datant du XVe siècle. Elle avait été construite par des moines pour une communauté de lépreux. Elle possède un chevet plat qui date du Xe siècle.

    XIXe et XXe siècles

    C’est Mme Mathilde de Yrigoyen, qui, la première, importa les premiers appareils, photographie, téléphone, et automobile au sein du village de Couffé, au début du XXe siècle. L’inauguration de l’éclairage électrique à la mairie, sur la voie publique, et dans certaines maisons a eu lieu le , au cours de la remise des prix du Comice Agricole Cantonal

    En 1944, l'équipe de football est encadrée par l'abbé Tourneux. Dans les années 1970, M. Bernard de la Rochemacé est à l'origine de la mise en place d'un stade sportif.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    vers 1662  ? Louis Macé   Châtelain
    vers 1871 vers 1891 Henry Poupet    
    vers 1894   Urbain de Charette    
    vers 1930  ? Henri Poupet   Architecte
    Les données manquantes sont à compléter.
    Maire en 1973 mars 1983 Bernard Levoyer[Note 6]    
    mars 1983[25] mars 1989 Bernard Quignon   Entrepreneur
    mars 1989 janvier 2007[26]
    (démission)
    Louis Colas[Note 7]    
    janvier 2007[27] mars 2014 Fernand Pageau[Note 8]    
    mars 2014 2020 Martine Corabœuf UDI Enseignante retraitée
    2020 En cours Daniel Pageau   Retraité[28]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Couffé fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie d'Ancenis. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[29]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 92 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 8 % dans des zones « très peu denses »[30].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2018, la commune comptait 2 556 habitants[Note 9], en augmentation de 6,81 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5031 6802 0651 6811 9101 7501 7511 8741 880
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8631 9852 0322 0082 0412 0602 0772 1032 060
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9421 9071 7731 5871 5491 4791 3791 2461 237
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 2671 3181 2621 4691 8051 7902 0902 2902 518
    2018 - - - - - - - -
    2 556--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (15 %) est en effet inférieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[35],[36],[37]. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,4 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %)[35],[36],[37].

    Pyramide des âges à Couffé en 2013 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ans ou +
    0,4 
    3,0 
    75 à 89 ans
    5,5 
    11,2 
    60 à 74 ans
    9,8 
    20,4 
    45 à 59 ans
    18,8 
    24,7 
    30 à 44 ans
    24,2 
    15,0 
    15 à 29 ans
    14,3 
    25,7 
    0 à 14 ans
    27,0 
    Pyramide des âges de la Loire-Atlantique en 2013 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,3 
    5,8 
    75 à 89 ans
    9,1 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,6 
    19,6 
    45 à 59 ans
    19,2 
    20,8 
    30 à 44 ans
    19,6 
    19,4 
    15 à 29 ans
    17,7 
    20,5 
    0 à 14 ans
    18,5 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le passage à gué du Pont Noyer
    • L'église Saint-Pierre
    • La chapelle Saint-Symphorien
    • Le pont de la Gravelle
    • La Roche
    • Le rocher des Mainsberthes
    • Château de la Villejégu
    • Château de la Contrie
    • Château de la Roche
    • Domaine de la Loge aux Moines
    • 7 Moulins

    Héraldique

    Blasonnement :
    Taillé de sinople à une couffe d'or et de gueules à deux clefs d'or passées en sautoir, une divise en barre ondée d'argent brochant sur la partition ; au chef cousu d'azur à la croix cannelée d'argent.
    Commentaires : Armes parlantes (la couffe, panier de pêcheur, rappelle le nom de la ville). Blason conçu par Olivier Cruau.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Réélu en 1977.
    7. Réélu en 1995 et 2001.
    8. Réélu en 2008.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ancenis - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Couffé et Ancenis-Saint-Géréon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ancenis - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Couffé et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Couffé(44) », sur Géoportail (consulté le )
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    23. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Couffé ».
    24. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    25. « Un nouveau maire : M. Bernard Quignon », Ouest-France, .
    26. « Louis Colas démissionne de son poste de maire », Ouest-France, .
    27. « Fernand Pageau, nouveau maire de la commune », Ouest-France, .
    28. « Municipales. Couffé. Daniel Pageau conduira une liste aux municipales de 2020 », Ouest-France, .
    29. « Commune de Couffé (44048) », Insee (consulté le ).
    30. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Couffé - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    36. « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
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