Bolquère

Bolquère (catalan : Bolquera) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.

Bolquère

Bolquère vu depuis Font-Romeu.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées catalanes
Maire
Mandat
Jackie Coll
2020-2026
Code postal 66210
Code commune 66020
Démographie
Gentilé Bolquérois
Population
municipale
813 hab. (2018 )
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 30′ 14″ nord, 2° 04′ 40″ est
Altitude Min. 1 478 m
Max. 2 099 m
Superficie 17,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Pyrénées catalanes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Bolquère
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Bolquère
Géolocalisation sur la carte : France
Bolquère
Géolocalisation sur la carte : France
Bolquère
Liens
Site web mairiedebolquere.com

    Ses habitants sont appelés les Bolquérois.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Bolquère se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 70 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à 31 km de Prades[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : La Cabanasse (3,1 km), Eyne (3,3 km), Saint-Pierre-dels-Forcats (3,5 km), Mont-Louis (3,5 km), Font-Romeu-Odeillo-Via (3,6 km), La Llagonne (4,4 km), Égat (5,0 km), Planès (5,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Bolquère fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[5].

    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    Le sol de la commune est composé principalement de granit (avec gneiss et diorite), qui occupe la zone axiale du massif pyrénéen. La partie orientale de la commune, couverte par la forêt, est composée de formations glaciaires datant du Pléistocène supérieur (glaciation de Würm), en particulier des moraines, ainsi que des alluvions au Pla de la Borde[7],[8],[9].

    Le relief du territoire communal est celui d'une crête basse et allongée qui descend du nord-ouest au sud-est. Le bourg est construit sur le versant sud, côté Cerdagne, à km à l'ouest du col de la Perche qui sépare la Cerdagne du Conflent et où passe la route nationale.

    La superficie de la commune est de 1 761 ha. Les altitudes s'échelonnent entre 1 478 et 2 099 mètres[10],[11]. Le point le plus bas est au sud, le long de la route nationale et du ruisseau de Bolquère, et le point culminant est au nord-ouest sur un des pitons rocheux entourant les lacs des Esquits. Le bourg est à une altitude de 1 630 m et Pyrénées 2000 à 1 790 m environ[6].

    La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[12].

    Hydrographie

    La commune est traversée du nord-ouest au sud-est par la ligne de partage des eaux entre les bassins de la Têt (Conflent, au nord) et de l'Èbre (Cerdagne, au sud).

    La Têt, qui descend vers Prades et Perpignan, arrose le nord et l'est de la commune.

    Le Rec de Bolquera (ruisseau de Bolquère), descend du col del Pam (commune de Font-Romeu) où il prend sa source, traverse la station de Pyrénées 2000 puis le bourg, et descend au sud-ouest en direction du ruisseau d'Eyne dans lequel il se jette, lui-même affluent du Sègre.

    Plusieurs lacs sont situés dans la commune. Au nord-ouest, on trouve :

    Ces deux derniers lacs sont aussi appelés lacs ou étangs des Esquits, et ils sont situés dans la forêt de Llivia.

    Plus près du bourg, l'étang du Ticou (Estany del Tico en catalan[6]) est aussi un lieu de promenade, et il est fourni en eau grâce à une bifurcation du ruisseau de Bolquère.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 11,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 715 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[14].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[15]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[13].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[16] complétée par des études régionales[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste Léocadie », sur la commune de Sainte-Léocadie, mise en service en 1981[18]et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[19],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 9,7 °C et la hauteur de précipitations de 567,3 mm pour la période 1981-2010[20]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 70 km[21], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[22], à 15,7 °C pour 1981-2010[23], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[24].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[25],[26]. Dans ce cadre, la commune fait partie [27]. Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, créé en 2004 et d'une superficie de 139 062 ha, qui s'étend sur 66 communes du département. Ce territoire s'étage des fonds maraîchers et fruitiers des vallées de basse altitude aux plus hauts sommets des Pyrénées-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forêt méditerranéenne[28],[29].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[31].

    • « capcir, Carlit et Campcardos », d'une superficie de 39 688 ha, présentent de nombreux habitats naturels alpins (pelouses, landes) et des milieux rocheux majoritairement siliceux. Le site héberge certaines espèces d'intérêt communautaire : Botrychium simplex, Ligularia sibirica pour les plantes, Desman des Pyrénées et Loche pour les animaux[32] et au titre de la directive oiseaux[31],
    • « capcir,Carlit etCampcardos », d'une superficie de 39 760 ha, recèle une grande diversité d'habitats naturels se traduiant par un patrimoine ornithologique remarquable puisque le site accueille la plupart des espèces caractéristiques des zones de montagne, que ce soit parmi les rapaces (Gypaète barbu, Circaète Jean-le-Blanc, aigle royal, Faucon pèlerin), les galliformes (Lagopède, grand Tétras) ou les espèces forestières (Pic noir) et de milieux plus ouverts.[33].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[34] : la « forêt de Llivia et ruisseau de la Têt » (992 ha), couvrant 5 communes du département[35] et le « ruisseau de l'Angoustrine et ses prairies humides » (137 ha), couvrant 3 communes du département[36] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[34] :

    • la « forêt de pins à crochets de la périphérie du Capcir » (13 788 ha), couvrant 12 communes du département[37] ;
    • la « Haute Cerdagne » (5 477 ha), couvrant 12 communes du département[38].

    Urbanisme

    Typologie

    Bolquère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[39],[40],[41]. La commune est en outre hors attraction des villes[42],[43].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,4 %), prairies (16,8 %), zones urbanisées (10,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %)[44].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Hameaux et lieux-dits

    La station de ski Pyrénées 2000 est située à 1,5 km au nord-ouest du bourg, et les chalets s'étagent dans la forêt de façon quasiment continue entre la station et le bourg dans un secteur dénommé Superbolquère[6].

    Voies routières

    La commune est traversée d'est en ouest par la D.618 entre Mont-Louis et Font-Romeu, ainsi que la D 10 en provenance du col de la Perche et de La Cabanasse, au sud et sud-est, et qui dessert le bourg.

    La RN 116 entre Mont-Louis et Bourg-Madame et qui mène à Prades et Perpignan longe le sud de la commune.

    La D 10c relie le village à Pyrénées 2000[6].

    Transports

    Le petit Train jaune, entre Villefranche-de-Conflent et Latour-de-Carol, dessert Bolquère qui possède un arrêt. Cette gare SNCF est la plus haute de France, culminant à 1 593 m.

    La ligne 560 du réseau régional liO relie la commune à la gare de Perpignan depuis Porté-Puymorens, et la ligne 562 relie la commune à Puyvalador et Latour-de-Carol.

    À 1793 mètres d’altitude. La gare de Bolquère - Eyne (1592 m) est la plus haute gare exploitée par la SNCF.

    Toponymie

    Les premières mentions du nom de Bolquère sont Bolcharia en 885, villa Vulcaria en 968, Volchera en 1037 et rivum de les Bullqueres en 1166[45].

    En catalan, le nom de la commune est Bolquera[46].

    Histoire

    Le , la commune intègre la Communauté de communes Capcir Haut-Conflent[47].

    Politique et administration

    Canton

    En 1790, la commune de Bolquère est rattachée au canton de Saillagouse puis, dès 1793, intégrée au nouveau canton de Mont-Louis, qu'elle ne quitte plus par la suite[48],[11].

    À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Pyrénées catalanes.

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
     ? juin 1815 Pierre Patau[49]    
    juin 1815  ? Jean Inbern[49]    
             
    1977 1983 Guy Malé UDF Conseiller général du canton de Mont-Louis, élu maire de Prades en 1983
    1983 1989 Raymond Guinovart[50] DVD  
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 (décès)[51] Jean-Pierre Abel[52],[53]    
    2019 En cours Jean-Pierre Ingles    

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1365 1378 1515 1553 1709 1720 1767 1774 1788
    22 f18 f11 f9 f50 f49 f350 H313 H337 H
    1789 - - - - - - - -
    75 f--------
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Note :

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[55].

    En 2018, la commune comptait 813 habitants[Note 8], en augmentation de 2,91 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    270278288318339338378380390
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    403415463406456433423411397
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    368352322311306302275271250
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    215249373503617730779779799
    2018 - - - - - - - -
    813--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[11] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[57] 1975[57] 1982[57] 1990[57] 1999[57] 2006[58] 2009[59] 2013[60]
    Rang de la commune dans le département 131 99 96 87 85 86 89 93
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    L'école.

    Bolquère possède une école primaire publique, située au bourg. En 2012, l'école compte quatre classes dont une classe de maternelle, et accueille près d'une centaine d'élèves[61].

    Le secteur du collège est Font-Romeu[62].

    Manifestations culturelles et festivités

    La salle des fêtes.
    • Fête patronale : 10 décembre[63].

    Sports

    La station de sports d'hiver Bolquère - Pyrénées 2000 est située sur la commune. Le sentier de grande randonnée 10 y passe et elle a été arrivée d'étape du Tour de France en 1973 et 1976.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 26 852 , ce qui plaçait Bolquère au 19 797e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[64].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    L'église.

    La commune ne contient ni monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques ni lieu ou monument répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[65].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[30].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Bolquère », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Bolquère et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Bolquère et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Bolquère », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 194-195.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    8. Carte du BRGM sous Géoportail
    9. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mont-Louis », sur Infoterre, .
    10. Répertoire géographique des communes de l'IGN, accessible par Géoportail
    11. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    12. « Plan séisme » (consulté le ).
    13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    14. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    15. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    16. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    17. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    18. « Station Météo-France Ste Léocadie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    19. « Orthodromie entre Bolquère et Sainte-Léocadie », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station Météo-France Ste Léocadie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    21. « Orthodromie entre Bolquère et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    25. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
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    29. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    31. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bolquère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « site Natura 2000 FR9101471 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « site Natura 2000 FR9112024 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    34. « Liste des ZNIEFF de la commune de Bolquère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    35. « ZNIEFF la « forêt de Llivia et ruisseau de la Têt » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    36. « ZNIEFF le « ruisseau de l'Angoustrine et ses prairies humides » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    37. « ZNIEFF la « forêt de pins à crochets de la périphérie du Capcir » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    38. « ZNIEFF la « Haute Cerdagne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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