Les Angles (Pyrénées-Orientales)

Les Angles (catalan : Els Angles) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Les Angles.

Les Angles

Les Angles en hiver.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées catalanes
Maire
Mandat
Michel Poudade
2020-2026
Code postal 66210
Code commune 66004
Démographie
Gentilé Anglois, Anglesins ou Anglesencs
Population
municipale
558 hab. (2018 )
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 34′ 42″ nord, 2° 04′ 30″ est
Altitude Min. 1 531 m
Max. 2 808 m
Superficie 43,20 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Pyrénées catalanes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Les Angles
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Les Angles
Géolocalisation sur la carte : France
Les Angles
Géolocalisation sur la carte : France
Les Angles
Liens
Site web www.les-angles.fr

    Ses habitants sont appelés les Anglois, Anglesins ou Anglesencs.

    Géographie

    Localisation

    La commune des Angles se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 68 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à 29 km de Prades[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Matemale (3,8 km), Formiguères (4,6 km), Fontrabiouse (6,7 km), La Llagonne (6,9 km), Caudiès-de-Conflent (7,2 km), Réal (7,6 km), Bolquère (8,3 km), Puyvalador (8,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Les Angles fait partie de la région du Capcir, un haut plateau situé à plus de 1 400 m d'altitude, constitué d'une ancienne cuvette glaciaire resserrée entre les massifs granitiques du Carlit et du Madrès[5].

    Géologie

    La superficie de la commune est de 4 320 hectares. L'altitude varie entre 1 531 et 2 808 mètres[7]. Le centre du village est à une altitude de 1 650 m[8].

    La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[9].

    Hydrographie

    La commune borde le lac de Matemale (230 ha), traversé par le fleuve de l'Aude qui prend sa source dans la commune, au lac d'Aude. La Têt, autre fleuve se jetant dans la mer Méditerranée en aval de Perpignan, borde aussi la commune à l'ouest avec le lac des Bouillouses.

    Le lac de Balcère (Vallsera en catalan), plus petit, se trouve aussi dans la commune.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 7,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 10,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 836 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Olette », sur la commune d'Olette, mise en service en 1983[15]et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 571,7 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 68 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[19], à 15,7 °C pour 1981-2010[20], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[21].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[22],[23]. Dans ce cadre, la commune fait partie [24].

    Deux espaces protégés sont présents sur la commune :

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[29].

    • « capcir, Carlit et Campcardos », d'une superficie de 39 688 ha, présentent de nombreux habitats naturels alpins (pelouses, landes) et des milieux rocheux majoritairement siliceux. Le site héberge certaines espèces d'intérêt communautaire : Botrychium simplex, Ligularia sibirica pour les plantes, Desman des Pyrénées et Loche pour les animaux[30] et au titre de la directive oiseaux[29],
    • « capcir,Carlit etCampcardos », d'une superficie de 39 760 ha, recèle une grande diversité d'habitats naturels se traduiant par un patrimoine ornithologique remarquable puisque le site accueille la plupart des espèces caractéristiques des zones de montagne, que ce soit parmi les rapaces (Gypaète barbu, Circaète Jean-le-Blanc, aigle royal, Faucon pèlerin), les galliformes (Lagopède, grand Tétras) ou les espèces forestières (Pic noir) et de milieux plus ouverts.[31].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Six ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[32] :

    • la « forêt de la Matte » (260 ha), couvrant 3 communes du département[33] ;
    • la « forêt de Llivia et ruisseau de la Têt » (992 ha), couvrant 5 communes du département[34] ;
    • les « lac d'Aude et zones humides adjacentes » (23 ha)[35] ;
    • les « prairies humides du lac de Matemale » (79 ha), couvrant 2 communes du département[36] ;
    • la « vallée de Balcère » (609 ha), couvrant 2 communes du département[37] ;
    • la « vallée de la Têt en Amont des Bouillouses » (88 ha), couvrant 2 communes du département[38] ;

    et trois ZNIEFF de type 2[Note 6],[32] :

    • les « Capcir » (3 227 ha), couvrant 6 communes du département[39] ;
    • la « forêt de pins à crochets de la périphérie du Capcir » (13 788 ha), couvrant 12 communes du département[40] ;
    • le « massif du Carlit » (11 838 ha), couvrant 7 communes du département[41].

    Urbanisme

    Typologie

    Les Angles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[42],[43],[44]. La commune est en outre hors attraction des villes[45],[46].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,7 %), prairies (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), zones urbanisées (2,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,6 %), eaux continentales[Note 8] (2,1 %)[47].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies routières

    Transports

    La gare la plus proche est la gare de Mont-Louis - La Cabanasse.

    La ligne 561 du réseau régional liO relie la commune à la gare de Perpignan depuis Puyvalador, et la ligne 562 relie la commune à Puyvalador et à Latour-de-Carol.

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est Els Angles[48].

    Le nom de la localité peut faire référence à la forme du village en coin pointu (comme le coin servant à fendre du bois)[49].

    Le lieu est mentionné, pour les premières fois, sous les noms de sanctus Salvador de Angulis en 908 puis alodium de Angulas en 965[8].

    L'ancien hameau de Balcère (Vallsera en catalan, Vallserra sur la carte IGN) aujourd'hui disparu, est mentionné pour la première fois en 1011 : vallem Ursariam, ou la vallée des ours. La forme s'est ensuite contractée en Valsera, Vallsera, parfois Valserola[50].

    Histoire

    La présence de tessons de poterie recueillis lors de travaux de construction du lotissement de La Solana prouve l'occupation du territoire à une époque préhistorique ou protohistorique[8].

    Le territoire des Angles est donné en 965 par Sunifred II de Cerdagne, comte de Cerdagne, au monastère de Saint-Michel de Cuxa[8].

    En 1181, le roi d'Aragon autorise l'abbé de Saint-Michel de Cuxa à fortifier ses possessions. Les habitants abandonnent alors l'ancien village, construit autour de l'église Saint-Sauveur, pour venir s'installer dans l'enceinte des fortifications du château. C'est le lieu du village actuel, situé sur une légère éminence et à 300 mètres de l'ancien village[51].

    Le château est construit à partir d'une ferme forte, le mansus de Podio, transformée et fortifiée (castrum de Podio Angulorum in parochia Sancti Salvatoris)[51].

    L'ancienne église Saint-Sauveur est située à 400 m au nord-est de l'église actuelle, construite dans les années 1860 à partir d'elle.

    Le hameau de Balcère (Vallsera en catalan), situé au pied de sa petite église Sainte-Marie, appartenait depuis 1011 à l'abbaye Saint-Michel de Cuxa. En 1312, les troupes du comte d'Armagnac pillent le Capcir et en particulier Balcère, mais c'est surtout entre 1347 et 1350 que la peste noire emporte toute la population du village. Celui-ci se repeuplera un peu, et en 1701 l'abbaye de Cuxa cède le territoire aux Angles pour la somme de 450 écus. Le village n'est plus habité du tout à partir du XVIIIe siècle[52].

    Le , la commune intègre la Communauté de communes Capcir Haut-Conflent[53].

    Politique et administration

    Canton

    En 1790, la commune des Angles est intégrée dans le canton de Formiguères. Celui-ci est dissous en 1801 et Les Angles est alors rattachée au canton de Mont-Louis, qu'elle ne quitte plus par la suite[54],[7]. À compter des élections départementales de 2015, la commune des Angles rejoint le nouveau canton des Pyrénées catalanes.

    Administration municipale

    La mairie.

    Le budget de la mairie est de 15 millions d'euros[55].

    L'équipe municipale comprend le maire, quatre adjoints et dix conseillers. Le conseil municipal se réunit une dizaine de fois par an[56].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
             
    mars 2001 mars 2014[57] Christian Blanc DVD Ancien conseiller général
    mars 2014 En cours Michel Poudade[58]    

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1358 1365 1378 1424 1470 1515 1553 1709 1720
    46 f44 f17 f7 f4 f14 f8 f48 f32 f
    1767 1774 1788 1789 - - - - -
    537 H107 f565 H110 f-----
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Notes :

    • 1358 : dont 15 feux pour Vallsera ;
    • 1365 : dont 13 feux pour Vallsera ;
    • 1378 : dont 3 feux pour Vallsera.

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[60].

    En 2018, la commune comptait 558 habitants[Note 9], en augmentation de 5,68 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    350573624666697730728725730
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    696705674694574576583501524
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    507515510518511508517341328
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    255277351475528590568565561
    2013 2018 - - - - - - -
    528558-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[61].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[62] 1975[62] 1982[62] 1990[62] 1999[62] 2006[63] 2009[64] 2013[65]
    Rang de la commune dans le département 121 114 88 95 96 105 106 108
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal à Matemale. Toutes les classes de la PS jusqu’à la CM2. Mais avant 2019, de la PS à la MS se situait à Matemale. De la GS à la CE1 aux Angles et du CE2 au CM2 à Formiguères

    Le secteur du collège-lycée est Font-Romeu[66].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale : [67] ;
    • Fête communale : [67] ;
    • Feu de la saint Jean : 23 juin[réf. nécessaire].

    Santé

    Une pharmacie est présente aux Angles.

    Une maison de santé aussi

    Sports

    Les Angles accueille chaque année, au début du mois de juillet, le triathlon Altriman, considéré comme l'un des plus exigeants au monde. Il rassemble plus de 1200 participants.[réf. nécessaire]

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 22 260 [68]. En 2011, ce revenu est de 22 522 [69].

    Entreprises et commerces

    La station créée en 1964 par Paul Samson est devenue une des plus performantes des Pyrénées après quatre décennies.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Personnalités liées à la commune

    • Paul Naudo (1794-1848) : religieux né aux Angles.

    Culture populaire

    Chanson
    • Adieu, chère ville des Angles, chanson populaire[70]

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune des Angles », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Les Angles et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Les Angles et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches des Les Angles », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 183-184.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    8. Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
    9. « Plan séisme » (consulté le ).
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. « Station Météo-France Olette - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Les Angles et Olette », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Olette - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Les Angles et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
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    25. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    28. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    29. « Liste des zones Natura 2000 de la commune des Angles », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « site Natura 2000 FR9101471 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « site Natura 2000 FR9112024 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    34. « ZNIEFF la « forêt de Llivia et ruisseau de la Têt » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    35. « ZNIEFF les « lac d'Aude et zones humides adjacentes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    36. « ZNIEFF les « prairies humides du lac de Matemale » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    37. « ZNIEFF la « vallée de Balcère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    38. « ZNIEFF la « vallée de la Têt en Amont des Bouillouses » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    39. « ZNIEFF les « Capcir » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    40. « ZNIEFF la « forêt de pins à crochets de la périphérie du Capcir » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    41. « ZNIEFF le « massif du Carlit » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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