Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes

Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes (catalan : Angostrina i Vilanova de les Escaldes) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Angoustrine et Villeneuve.

Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes

Vue générale du village.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Cerdagne
Maire
Mandat
Christian Pallares
2020-2026
Code postal 66760
Code commune 66005
Démographie
Gentilé Angoustrinois(es)
Population
municipale
562 hab. (2018 )
Densité 6,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 28′ 43″ nord, 1° 57′ 12″ est
Altitude Min. 1 235 m
Max. 2 921 m
Superficie 87,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Pyrénées catalanes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes
Géolocalisation sur la carte : France
Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes
Géolocalisation sur la carte : France
Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes
Liens
Site web angoustrine.info

    Ses habitants sont appelés les Angoustrinois.

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 81 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à 41 km de Prades[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Dorres (1,4 km), Ur (2,2 km), Enveitg (3,7 km), Estavar (3,7 km), Targassonne (4,4 km), Bourg-Madame (4,9 km), Latour-de-Carol (5,4 km), Égat (5,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes fait partie de la région de la Cerdagne, une haute plaine à une altitude moyenne de 1 200 m d'altitude, qui s'étend d'est en ouest sur une quarantaine de kilomètres entre Mont-Louis et Bourg-Madame[5].

    Paysages et relief

    La superficie de la commune est de 8 787 hectares. L'altitude varie entre 1 235 et 2 921 mètres[7]. Le centre du village est à une altitude de 1 337 m[8].

    Le sommet du pic Carlit, point culminant du département (2 921 mètres), est situé sur la commune[6].

    La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[9].

    Hydrographie

    La commune se trouve sur deux bassins versants.

    L'Angoustrine sous-affluent de l'Èbre par le Sègre, prend sa source sur la commune.

    La Têt, fleuve passant à Perpignan, prend sa source dans la commune et en arrose le nord-est, en traversant le lac des Bouillouses qui est en limite avec Les Angles.

    Le lac de Lanoux se trouve aussi sur le territoire communal, au nord-ouest, et ses eaux s'écoulent vers le Carol, autre affluent du Sègre.

    Il y a également de nombreux autres petits lacs appelés localement lacs du Carlit[10], parmi lesquels l'Estany de Castellà ou l'Estany de la Comassa.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 8,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 11,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 666 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[11].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste Léocadie », sur la commune de Sainte-Léocadie, mise en service en 1981[16]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 9,7 °C et la hauteur de précipitations de 567,3 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 81 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[20], à 15,7 °C pour 1981-2010[21], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[22].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[23],[24]. Dans ce cadre, la commune fait partie [25].

    Deux espaces protégés sont présents sur la commune :

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[30].

    • « capcir, Carlit et Campcardos », d'une superficie de 39 688 ha, présentent de nombreux habitats naturels alpins (pelouses, landes) et des milieux rocheux majoritairement siliceux. Le site héberge certaines espèces d'intérêt communautaire : Botrychium simplex, Ligularia sibirica pour les plantes, Desman des Pyrénées et Loche pour les animaux[31] et au titre de la directive oiseaux[30],
    • « capcir,Carlit etCampcardos », d'une superficie de 39 760 ha, recèle une grande diversité d'habitats naturels se traduiant par un patrimoine ornithologique remarquable puisque le site accueille la plupart des espèces caractéristiques des zones de montagne, que ce soit parmi les rapaces (Gypaète barbu, Circaète Jean-le-Blanc, aigle royal, Faucon pèlerin), les galliformes (Lagopède, grand Tétras) ou les espèces forestières (Pic noir) et de milieux plus ouverts.[32].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Douze ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[33] :

    • le « chaos granitique de Targasonne » (86 ha), couvrant 2 communes du département[34] ;
    • les « chaos granitiques et mouillères de la Coma Armada » (61 ha), couvrant 2 communes du département[35] ;
    • l'« étang du Racou de la Grave » (52 ha)[36] ;
    • la « forêt de Llivia et ruisseau de la Têt » (992 ha), couvrant 5 communes du département[37] ;
    • la « Haute vallée de la Grave » (227 ha)[38] ;
    • le « ruisseau de l'Angoustrine et ses prairies humides » (137 ha), couvrant 3 communes du département[39] ;
    • le « système lacustre du Carlit » (657 ha)[40] ;
    • la « vallée de la Têt en Amont des Bouillouses » (88 ha), couvrant 2 communes du département[41] ;
    • la « vallée du Lanoux » (2 067 ha), couvrant 3 communes du département[42] ;
    • la « vallée et bassin versant de l'Oriège » (8 938 ha), couvrant 9 communes dont six dans l'Ariège et trois dans les Pyrénées-Orientales[43] ;
    • le « vallon de la Llosa » (310 ha)[44] ;
    • le « versant en rive droite de la haute vallée de l'Ariège » (6 237 ha), couvrant 7 communes dont cinq dans l'Ariège et deux dans les Pyrénées-Orientales[45] ;

    et cinq ZNIEFF de type 2[Note 6],[33] :

    • le « bassin versant de l'Oriège et montagnes orientales d'Ax-les-Thermes » (18 551 ha), couvrant 25 communes dont 18 dans l'Ariège, quatre dans l'Aude et trois dans les Pyrénées-Orientales[46] ;
    • la « forêt de pins à crochets de la périphérie du Capcir » (13 788 ha), couvrant 12 communes du département[47] ;
    • le « massif de l'Aston et haute vallée de l'Ariège » (38 862 ha), couvrant 24 communes dont 22 dans l'Ariège et deux dans les Pyrénées-Orientales[48];
    • le « massif du Carlit » (11 838 ha), couvrant 7 communes du département[49];
    • le « Serrat des Loups » (9 330 ha), couvrant 9 communes du département[50];

    Urbanisme

    Typologie

    Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[51],[52],[53]. La commune est en outre hors attraction des villes[54],[55].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (46,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (38,8 %), forêts (6 %), eaux continentales[Note 8] (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %), zones humides intérieures (1,3 %), prairies (0,7 %), zones urbanisées (0,6 %)[56].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    La commune est traversée par la D 618 reliant Ur (route nationale 20) et Font-Romeu puis Mont-Louis (route nationale 116).

    La ligne 560 du réseau régional liO relie la commune à la gare de Perpignan depuis Porté-Puymorens.

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est Angostrina i Vilanova de les Escaldes[57].

    Angoustrine est citée pour la première fois, en tant que paroisse, en 839 (parrochia Angustrina)[8]. En 1801, le Bulletin des lois cite la commune sous le nom d'Angustrina[7].

    Villeneuve-des-Escaldes est citée pour la première fois en 925 (Villanova)[8].

    La commune est issue de la fusion des communes d'Angoustrine et Villeneuve-des-Escaldes en 1973.

    Histoire

    Avant 1973 :

    Par arrêté préfectoral du , la commune de Villeneuve-des-Escaldes est rattachée à celle d'Angoustrine pour former la nouvelle commune d'Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes[58].

    Politique et administration

    La mairie, située à Villeneuve-des-Escaldes.

    Canton

    En 1790, la commune d'Angoustrine devient le chef-lieu du canton d'Angoustrine, dont fait alors également partie la commune de Villeneuve-des-Escaldes[58]. Ce canton est dissous vers 1793 et les deux communes rejoignent le canton d'Ur. Dissous lui aussi en 1801, elles sont alors rattachées au canton de Saillagouse qu'elles ne quittent plus par la suite, y compris après la fusion des deux communes[7],[59]. À compter des élections départementales de 2015, la commune d'Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes rejoint le nouveau canton des Pyrénées catalanes.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs à partir de 1973[60]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1973 1989 Louis Clerc    
    1989 1995 Jacques de Maury    
    1995 réélue en 2008[61],[62] Hélène Josende DVD Conseillère départementale

    Avant 1973 :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[64].

    En 2018, la commune comptait 562 habitants[Note 9], en diminution de 21,29 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    416219394430468506490514487
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    454464448488518458412414420
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    403410393285340375355295261
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    223218573556600549632637643
    2013 2018 - - - - - - -
    714562-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[65].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Avant 1975, la population recensée ne concerne que la commune d'Angoustrine.

    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[66] 1975[66] 1982[66] 1990[66] 1999[66] 2006[67] 2009[68] 2013[69]
    Rang de la commune dans le département 146 84 94 89 99 96 99 95
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Angoustrine et Dorres. Angoustrine accueille l'école primaire de la maternelle au CE2, et Dorres l'école élémentaire avec le CM1 et CM2[70]. L'école communale Louis-Clerc est située à Angoustrine à l'ancienne mairie.

    Le secteur du collège est Bourg-Madame[71].

    La garderie des Escaldes a été fermée en 2012[72].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale d'Angoustrine : et 1er décembre[73] ;
    • Fête communale d'Angoustrine : Fête-Dieu[73] ;
    • Fête patronale et communale de Villeneuve-des-Escaldes : [73].

    Santé

    Les sources d'eaux chaudes sulfurées des Escaldes sont connues depuis l'Antiquité et sont exploitées par un établissement thermal pour le traitement des rhumatismes et des affections des voies respiratoires[8].

    Sports

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 27 421 [74]. En 2011, ce revenu est de 28 574 [75].

    Entreprises et commerces

    • Épicerie de proximité.

    Tourisme

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Patrimoine environnemental

    Personnalités liées à la commune

    • Henri Clamens (1905-1937) : peintre orientaliste mort aux Escaldes.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[29].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches d'Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 186-187.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    8. Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
    9. « Plan séisme » (consulté le ).
    10. International Geographical Union, Comptes rendus du Congrès international de géographie, Paris, 1931, vol. 2,13, A.Colin, (lire en ligne), p. 894.
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    13. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    16. « Station Météo-France Ste Léocadie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes et Sainte-Léocadie », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Ste Léocadie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    24. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    25. « Parc national des Pyrénées - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    26. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Le Parc naturel régional des Pyrénées catalanes - le territoire. », sur https://www.parc-pyrenees-catalanes.fr (consulté le )
    28. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    30. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « site Natura 2000 FR9101471 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « site Natura 2000 FR9112024 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    34. « ZNIEFF le « chaos granitique de Targasonne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    35. « ZNIEFF les « chaos granitiques et mouillères de la Coma Armada » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    36. « ZNIEFF l'« étang du Racou de la Grave » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    37. « ZNIEFF la « forêt de Llivia et ruisseau de la Têt » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    38. « ZNIEFF la « Haute vallée de la Grave » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    39. « ZNIEFF le « ruisseau de l'Angoustrine et ses prairies humides » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    40. « ZNIEFF le « système lacustre du Carlit » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    41. « ZNIEFF la « vallée de la Têt en Amont des Bouillouses » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    42. « ZNIEFF la « vallée du Lanoux » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    43. « ZNIEFF la « vallée et bassin versant de l'Oriège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    44. « ZNIEFF le « vallon de la Llosa » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    45. « ZNIEFF le « versant en rive droite de la haute vallée de l'Ariège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    46. « ZNIEFF le « bassin versant de l'Oriège et montagnes orientales d'Ax-les-Thermes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    47. « ZNIEFF la « forêt de pins à crochets de la périphérie du Capcir » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    48. « ZNIEFF le « massif de l'Aston et haute vallée de l'Ariège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    49. « ZNIEFF le « massif du Carlit » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    50. « ZNIEFF le « Serrat des Loups » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    51. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    52. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    53. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    54. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    55. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    56. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    57. Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord (ca), Institut d'Estudis Catalans, p. 36.
    58. Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
    59. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Villeneuve-des-Escaldes », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    60. Gen Web
    61. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
    62. Réélection 2014 : « Maires », sur le site de la Préfecture du département des Pyrénées-Orientales (consulté le ).
    63. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    64. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    65. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    66. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    67. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    68. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    69. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    70. [xls] Académie de Montpellier, « Effectifs détaillés par école en 2012 », (consulté le ).
    71. Inspection académique des Pyrénées-Orientales, « Circonscription de Prades », (consulté le ).
    72. Site de la mairie
    73. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
    74. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    75. « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    76. « Ancienne chapelle Saint-Martin d'En Valls », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    77. « Ancienne église paroissiale Saint-André dite aussi "la vieille église" », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    78. « Eglise Saint-Assiscle et Sainte-Victoire de Villeneuve-des-Escaldes », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    • Portail des communes de France
    • Portail des Pyrénées
    • Portail des Pyrénées-Orientales
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.