Fontrabiouse
Fontrabiouse (catalan : Font-rabiosa) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.
Fontrabiouse | |||||
Une vue de Fontrabiouse. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Prades | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pyrénées catalanes | ||||
Maire Mandat |
Pierre Bataille 2020-2026 |
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Code postal | 66210 | ||||
Code commune | 66081 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Fontrabiousois | ||||
Population municipale |
126 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 8,1 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 38′ 13″ nord, 2° 05′ 48″ est | ||||
Altitude | 1 460 m Min. 1 438 m Max. 2 547 m |
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Superficie | 15,57 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Pyrénées catalanes | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Fontrabiousois et les Fontrabiousoises.
Géographie
Localisation
La commune de Fontrabiouse se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 66 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à 27 km de Prades[3], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Puyvalador (2,2 km), Formiguères (2,5 km), Réal (3,2 km), Matemale (5,8 km), Les Angles (6,7 km), Quérigut (7,0 km), Sansa (7,4 km), Carcanières (8,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Fontrabiouse fait partie de la région du Capcir, un haut plateau situé à plus de 1 400 m d'altitude, constitué d'une ancienne cuvette glaciaire resserrée entre les massifs granitiques du Carlit et du Madrès[5].
Géologie et relief
L'altitude la commune varie entre 1 438 et 2 547 mètres[7].
La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[8].
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Olette », sur la commune d'Olette, mise en service en 1983[14]et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 571,7 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 66 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[18], à 15,7 °C pour 1981-2010[19], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[20].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22]. Dans ce cadre, la commune fait partie [23]. Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, créé en 2004 et d'une superficie de 139 062 ha, qui s'étend sur 66 communes du département. Ce territoire s'étage des fonds maraîchers et fruitiers des vallées de basse altitude aux plus hauts sommets des Pyrénées-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forêt méditerranéenne[24],[25].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[27].
- « capcir, Carlit et Campcardos », d'une superficie de 39 688 ha, présentent de nombreux habitats naturels alpins (pelouses, landes) et des milieux rocheux majoritairement siliceux. Le site héberge certaines espèces d'intérêt communautaire : Botrychium simplex, Ligularia sibirica pour les plantes, Desman des Pyrénées et Loche pour les animaux[28] et au titre de la directive oiseaux[27]
- « capcir,Carlit etCampcardos », d'une superficie de 39 760 ha, recèle une grande diversité d'habitats naturels se traduiant par un patrimoine ornithologique remarquable puisque le site accueille la plupart des espèces caractéristiques des zones de montagne, que ce soit parmi les rapaces (Gypaète barbu, Circaète Jean-le-Blanc, aigle royal, Faucon pèlerin), les galliformes (Lagopède, grand Tétras) ou les espèces forestières (Pic noir) et de milieux plus ouverts.[29].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[30] :
- les « montagnes et vallées du Donezan centre et ouest » (8 618 ha), couvrant 12 communes dont sept dans l'Ariège, trois dans l'Aude et deux dans les Pyrénées-Orientales[31] ;
- le « val de Galbe » (1 950 ha), couvrant 3 communes du département[32],
- la « vallée et bassin versant de l'Oriège » (8 938 ha), couvrant 9 communes dont six dans l'Ariège et trois dans les Pyrénées-Orientales[33] ;
et quatre ZNIEFF de type 2[Note 6],[30] :
- le « bassin versant de l'Oriège et montagnes orientales d'Ax-les-Thermes » (18 551 ha), couvrant 25 communes dont 18 dans l'Ariège, quatre dans l'Aude et trois dans les Pyrénées-Orientales[34] ;
- les « Capcir » (3 227 ha), couvrant 6 communes du département[35] ;
- la « forêt de pins à crochets de la périphérie du Capcir » (13 788 ha), couvrant 12 communes du département[36];
- le « massif de Quérigut et forêt du Carcanet (Donezan) » (12 107 ha), couvrant 16 communes dont neuf dans l'Ariège, cinq dans l'Aude et deux dans les Pyrénées-Orientales[37].
Urbanisme
Typologie
Fontrabiouse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[38],[39],[40]. La commune est en outre hors attraction des villes[41],[42].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (14,3 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), prairies (2 %)[43].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux et lieux-dits
La commune de Fontrabiouse regroupe deux villages : Espousouille (Esposolla en catalan) et Fontrabiouse. Les habitants d'Espousouille sont appelés les Braves.
En tant que paroisse, Fontrabiouse avait pour annexes Puyvalador et Rieutort (aujourd'hui sur la commune de Puyvalador). Espousouille disposait de sa propre église paroissiale[44].
Voies de communication et transports
- En bus ou avec « Le Train Jaune » de Perpignan (via Mont-Louis).
- En train de Paris ou Toulouse, par Latour-de-Carol.
- 1 h 30 en automobile de Limoux ou de Perpignan.
Toponymie
En catalan, le nom de la commune est Font-rabiosa[45].
Le sens du nom, la source rageuse en traduction mot à mot, est dû à une résurgence à débit variable proche du village.
En français, on rencontre Fonrabiouze (1793) et Fontrabiouse (1801)[7].
Politique et administration
Liste des maires
Rattachements administratifs et électoraux
- Canton
En 1790, la commune de Fontrabiouse est intégrée dans le district de Prades et le canton de Formiguères. Celui-ci est dissous en 1801 et Fontrabiouse est alors rattachée au canton de Mont-Louis, dont elle fait partie jusqu'en 2015[44],[7].
À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Pyrénées catalanes.
- Intercommunalité
La commune fait partie de la Communauté de communes Pyrénées catalanes.
Population et société
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[49].
En 2018, la commune comptait 126 habitants[Note 8], en diminution de 6,67 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[51] | 1975[51] | 1982[51] | 1990[51] | 1999[51] | 2006[52] | 2009[53] | 2013[54] |
Rang de la commune dans le département | 171 | 153 | 159 | 180 | 176 | 173 | 174 | 167 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement
Il n'y a pas d'école à Fontrabiouse.
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
Fontrabiouse a la particularité de ne pas posséder de monument aux morts sur son territoire[56].
- La grotte de Fontrabiouse[57], découverte en 1958, à la suite d'un tir de mine dans la carrière de marbre, abrite des concrétions façonnées par l'eau dans le calcaire depuis des millénaires (spéléothèmes). Cette grotte est située en dessous de l'ancienne carrière d'onyx totalement épuisée depuis. L'onyx extrait de cette carrière a, entre autres, été utilisé pour le revêtement des escaliers du palais de Chaillot de Paris ainsi que pour celles du palais des Rois de Majorque à Perpignan. Ouverte au public depuis 1983, elle est riche de concrétions : stalactites, stalagmites, colonnes, disques, aragonites, lac souterrain, sur un parcours aménagé de près d'un kilomètre.
- L’église paroissiale Saint-Sébastien de Fontrabiouse est dédiée à saint Sébastien. Elle contient un tabernacle du XVIIe siècle ainsi qu’une statue de saint Sébastien du XVIe siècle. Cette église a été remaniée au début du XVIIIe siècle. C’est un édifice roman à nef unique.
- Église de la Nativité-de-Notre-Dame d'Esposolla ou d'Espousouille.
- Le bourg, le Torrent et l'église Saint-Sébastien.
- Une des fontaines de Fontrabiouse.
- Église de la Nativité-de-Notre-Dame d'Esposolla ou d'Espousouille
- La vallée du Galbe à Espousouille.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Fontrabiouse », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Fontrabiouse sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Fontrabiouse sur le site de l'histoire du Roussillon
- Fontrabiouse sur le site de Jean Tosti
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Fontrabiouse », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Fontrabiouse et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Fontrabiouse et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Fontrabiouse », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 183-184.
- Carte IGN sous Géoportail
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Olette - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Fontrabiouse et Olette », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Olette - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le Mois invalide (olette)).
- « Orthodromie entre Fontrabiouse et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
- « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Parc national des Pyrénées - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Le Parc naturel régional des Pyrénées catalanes - le territoire. », sur https://www.parc-pyrenees-catalanes.fr (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Fontrabiouse », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101471 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112024 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Fontrabiouse », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « montagnes et vallées du Donezan centre et ouest » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « val de Galbe » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée et bassin versant de l'Oriège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « bassin versant de l'Oriège et montagnes orientales d'Ax-les-Thermes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « Capcir » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « forêt de pins à crochets de la périphérie du Capcir » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
- (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
- Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
- [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
- Collectif (club cartophile catalan), Les Monuments aux morts des Pyrénées-Orientales : un devoir de mémoire, Rivesaltes, L'Agence, , p. 127, 130.
- Site officiel, « Grotte de Fontrabiouse », (consulté le ).
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