Sansa

Sansa (en catalan Censà) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Sansa (homonymie).

Sansa

Vue générale
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées catalanes
Maire
Mandat
Antoine Tahoces
2020-2026
Code postal 66360
Code commune 66191
Démographie
Gentilé Sansanencs
Population
municipale
20 hab. (2018 )
Densité 0,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 36′ 11″ nord, 2° 10′ 27″ est
Altitude Min. 1 155 m
Max. 2 469 m
Superficie 22,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Pyrénées catalanes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Sansa
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Sansa
Géolocalisation sur la carte : France
Sansa
Géolocalisation sur la carte : France
Sansa

    Ses habitants sont appelés les Sansanencs.

    Géographie

    Sansa est un village montagnard du Haut Conflent, situé à 1444 mètres d’altitude, dans la petite région naturelle des Garrotxes, laquelle comprend également Caudiès-de-Conflent, Railleu, Ayguatébia et Oreilla.

    Localisation

    La commune de Sansa se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 60 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à 20 km de Prades[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Railleu (1,9 km), Ayguatébia-Talau (3,4 km), Caudiès-de-Conflent (4,0 km), Réal (4,5 km), Matemale (4,8 km), Formiguères (6,0 km), Puyvalador (6,6 km), Fontrabiouse (7,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Sansa fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[5].

    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[7].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, créé en 2004 et d'une superficie de 139 062 ha, qui s'étend sur 66 communes du département. Ce territoire s'étage des fonds maraîchers et fruitiers des vallées de basse altitude aux plus hauts sommets des Pyrénées-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forêt méditerranéenne[10],[11].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[13].

    • le « massif de Madres-Coronat », d'une superficie de 21 363 ha, offre une multitude de faciès de végétation avec aussi bien des garrigues supra-méditerranéennes, des pinèdes à Pin sylvestre ou à Pin à crochet, que des hêtraies pures ou des hêtraies-sapinières, des landes à Genêt purgatif ou à Rhododendron, ou encore des pelouses alpines[14] et au titre de la directive oiseaux[13]
    • le « massif du Madres-Coronat », d'une superficie de 21 396 ha, présente un fort intérêt écologique pour 17 espèces inscrites à l'annexe I de la directive oiseaux, dont le Gypaète barbu[15].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[16] :

    • la « Coume de Ponteils » (558 ha)[17] ;
    • « Llabanère, Lloumet et serre de Palme » (1 443 ha), couvrant 3 communes du département[18] ;
    • les « Pics de la Pelade et d'Escoutou » (578 ha), couvrant 3 communes du département[19] ;
    • les « Pla des gourgs et Clos Rodon » (215 ha), couvrant 4 communes du département[20] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[16] :

    • le « massif du Madres » (8 031 ha), couvrant 10 communes dont quatre dans l'Aude et six dans les Pyrénées-Orientales[21] ;
    • le « versant sud du massif du Madres » (27 267 ha), couvrant 27 communes du département[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Sansa est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[23],[24],[25]. La commune est en outre hors attraction des villes[26],[27].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (49,3 %), forêts (44,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (6,4 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est Censà[29].

    Histoire

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    La première trace écrite de Sansa date de 1189 et concerne l'église. Il s'agit de l’acte de vente d'un mas au prieur de Corneilla, Bérenger pour en faire une église. Les vendeurs sont Arnaud et Guillaume, de Llugols. Dédiée à Jean-Baptiste, l’église est petite, avec une voûte en berceau brisé. La nef est rallongée plus tard, lors du remplacement de la voûte de bois par une voûte en pierre. En 1866, une seconde église sera construite, mais le village conservera l'église initiale. Le retable actuel du maître-autel date du 18e siècle. Il présente Jean Baptiste accompagné de Saints Pierre et Paul, surmontés d'une vierge à l'enfant.

    En 1263, Sansa est connu sous la forme "Villa de Censiano", désignation utilisée par le roi d'Aragon qui reconnaît sa possession via le prieur de Corneilla. En 1304 les hautes et basses justices sont accordées au prieur Raymond puis à ses successeurs. Toutes la seigneurie de Sansa est, dès lors, sous la coupe du prieur, qui tire aussi la moitié de ses revenus du pasquier de Conflent qu'il partage avec le roi, les pasquiers étant propriété royale.

    Au 1438, Sansa est touché de plein fouet par la peste, comme à peu près tout le Conflent. Puis les protestants, fuyant les exactions faites à leurs encontres en France, viennent dans les Garrotxes piller les villages. Sansa est complètement détruit, y compris le château et l'église, comme l’est également Caudiès-de-Conflent.

    Abandonné, le village reste ainsi jusqu'au 25 septembre 1562, jour où le prieur de Corneilla, Baudire Agullana, propose à quelques habitants des villages alentours de le repeupler. Certains acceptent les conditions proposées : Paul Noliach, prêtre, Gui Fondéra, Raymond Vergès, Jean Salvat, major, Jean Salvat, minor, Jacques Salvat, Barthelemi Teixidor, tous de Matemale, et Jean Pidell et Gaspard Deulofeu d'Eyne s’installent.

    Le prieur leur cède les terres pour une censive de 70 livres pour les herbes et 100 livres pour les fruits, et ils leur inféodent les herms et bois communs à l'exception des pasquiers royaux. Il leur donne également possibilité de construire un moulin à farine, un autre à scie contre une rente annuelle de 100 livres. Le curé reçoit 3 journaux de terre (surface équivalent à 3 journées de travail de la terre), même si l'église n’est toujours pas reconstruite. Les nouveaux habitants promettent de reconstruire le château en guise de protection. Par ailleurs ils récupèrent l’ensemble du territoire d'avant l'abandon du village, y compris les pasquiers dont ils partageaient l'usage avec les habitants de Réal et Villeneuve de Formiguères.

    Les revenus de Sansa montent jusqu'à 35 doubles d'or en 1677, et sa part de la rente des pasquiers royaux atteint de 100 à 125 écus de France en 1683 et 1687.

    On a une autre trace du village en 1767 où André Cases, d'Olette, afferme les revenus de Sansa pour 450 livres et 3 mesures de seigle.[30]

    La commune adhère à la Communauté de communes Capcir Haut-Conflent par arrêté préfectoral du [31].

    Politique et administration

    À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Pyrénées catalanes.

    Liste des maires

    La mairie, près de l'église
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
             
        Robert Rivière[32]    
      mars 2014 Pierre Franch[33],[34]    
    mars 2014 En cours Antoine Tahoces[35] La République en marche ! pour les Élections législatives de 2017 dans les Pyrénées-Orientales[36]  

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1358 1365 1378 1424 1709 1720 1767 1774 1789
    14 f12 f9 f3 f27 f17 f212 H17 f40 f
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

    En 2018, la commune comptait 20 habitants[Note 6], en diminution de 28,57 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    253240237231248246231240235
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    209208185191204196181171171
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    171158123959070565420
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    15145677172824
    2018 - - - - - - - -
    20--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[41] 1975[41] 1982[41] 1990[41] 1999[41] 2006[42] 2009[43] 2013[44]
    Rang de la commune dans le département 225 218 224 225 223 222 221
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale et communale : Saint-Jean-Baptiste, le 24 juin[45].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    • L'ancienne église Saint-Jean-Baptiste, de style roman (XIIIe siècle).
    • La nouvelle église paroissiale Saint-Jean-Baptiste, du XIXe siècle.
    • Cortal Delcasso, bergerie en pierre sèche (fin XIXe siècle), au lieu-dit « Pla et Ribes de l'Orri ».

    Personnalités liées à la commune

    • Marie Salvat, née à Sansa, mère du catalaniste, archéologue et auteur Roger Grau (1915-1988).

    Culture populaire

    Cinéma

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Christian Lassure et Claude Gendre, Couvertures de lauses et systèmes porteurs (XVIIe – XIXe siècles) [à Sansa], dans G. Wursteinsen et al., L'architecture traditionnelle sur la soulane du haut Conflent, revue Conflent, 1984, Nos 131-132, 98 p., pp. 70-75

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Sansa », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Sansa et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Sansa et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Sansa », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 194-195.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Plan séisme » (consulté le ).
    8. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    9. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    10. « Le Parc naturel régional des Pyrénées catalanes - le territoire. », sur https://www.parc-pyrenees-catalanes.fr (consulté le )
    11. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sansa », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « site Natura 2000 FR9101473 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « site Natura 2000 FR9112026 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sansa », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF la « Coume de Ponteils » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF « Llabanère, Lloumet et serre de Palme » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF les « Pics de la Pelade et d'Escoutou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF les « Pla des gourgs et Clos Rodon » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « massif du Madres » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « versant sud du massif du Madres » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
    30. « Sansa », sur www.les-pyrenees-orientales.com (consulté le ).
    31. Site officiel, section Statuts
    32. Robert Rivière a parrainé la candidature de Jean Saint-Josse à l'élection présidentielle de 2002, cf. Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002.
    33. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
    34. Pierre Franch a parrainé la candidature d'Arlette Laguiller à l'élection présidentielle de 2007, cf. Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007.
    35. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
    36. « Profession de foi de Laurence Gayte pour les élections legislatives de 2017 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    42. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    43. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    44. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    45. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
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