Puyvalador

Puyvalador (catalan: Puigbalador) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie.

Puyvalador

Vue du bourg et du lac de Puyvalador
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées catalanes
Maire
Mandat
Daniel Marin
2020-2026
Code postal 66210
Code commune 66154
Démographie
Gentilé Puyvaladorois
Population
municipale
67 hab. (2018 )
Densité 3,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 38′ 50″ nord, 2° 07′ 14″ est
Altitude Min. 1 351 m
Max. 2 363 m
Superficie 19,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Pyrénées catalanes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Puyvalador
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Puyvalador
Géolocalisation sur la carte : France
Puyvalador
Géolocalisation sur la carte : France
Puyvalador

    Ses habitants sont appelés les Puyvaladorois et Puyvaladoroises.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Puyvalador se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 64 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à 25 km de Prades[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Réal (2,1 km), Fontrabiouse (2,2 km), Formiguères (3,8 km), Quérigut (6,1 km), Sansa (6,6 km), Matemale (6,6 km), Carcanières (7,6 km), Le Puch (8,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Puyvalador fait partie de la région du Capcir, un haut plateau situé à plus de 1 400 m d'altitude, constitué d'une ancienne cuvette glaciaire resserrée entre les massifs granitiques du Carlit et du Madrès[5].

    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[7].

    Hydrographie

    Le territoire de la commune abrite une partie d'un lac artificiel de 90 ha, le lac de Puyvalador, formé par une retenue de l'Aude et son affluent le Galbe grâce à un barrage hydroélectrique construit en 1932[réf. nécessaire].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 7,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 9,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 692 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Olette », sur la commune d'Olette, mise en service en 1983[13]et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 571,7 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 64 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[17], à 15,7 °C pour 1981-2010[18], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[19].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[20],[21].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, créé en 2004 et d'une superficie de 139 062 ha, qui s'étend sur 66 communes du département. Ce territoire s'étage des fonds maraîchers et fruitiers des vallées de basse altitude aux plus hauts sommets des Pyrénées-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forêt méditerranéenne[22],[23].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Trois sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[25] :

    • le « massif de Madres-Coronat », d'une superficie de 21 363 ha, offre une multitude de faciès de végétation avec aussi bien des garrigues supra-méditerranéennes, des pinèdes à Pin sylvestre ou à Pin à crochet, que des hêtraies pures ou des hêtraies-sapinières, des landes à Genêt purgatif ou à Rhododendron, ou encore des pelouses alpines[26] ;
    • « capcir, Carlit et Campcardos », d'une superficie de 39 688 ha, présentent de nombreux habitats naturels alpins (pelouses, landes) et des milieux rocheux majoritairement siliceux. Le site héberge certaines espèces d'intérêt communautaire : Botrychium simplex, Ligularia sibirica pour les plantes, Desman des Pyrénées et Loche pour les animaux[27] ;
    • la « haute Vallée de l'Aude et Bassin de l'Aiguette », d'une superficie de 17 055 ha, particulièrement intéressant pour ses milieux aquatiques. Il comprend des populations de Desmans des Pyrénées, Barbeau méridional, d'Écrevisse à pattes blanches ainsi que des chabots[28]

    et deux au titre de la directive oiseaux[25]

    • le « massif du Madres-Coronat », d'une superficie de 21 396 ha, présente un fort intérêt écologique pour 17 espèces inscrites à l'annexe I de la directive oiseaux, dont le Gypaète barbu[29] ;
    • « Capcir, Carlit et Campcardos », d'une superficie de 39 760 ha, recèle une grande diversité d'habitats naturels se traduiant par un patrimoine ornithologique remarquable puisque le site accueille la plupart des espèces caractéristiques des zones de montagne, que ce soit parmi les rapaces (Gypaète barbu, Circaète Jean-le-Blanc, aigle royal, Faucon pèlerin), les galliformes (Lagopède, grand Tétras) ou les espèces forestières (Pic noir) et de milieux plus ouverts.[30].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[31] :

    • les « montagnes et vallées du Donezan centre et ouest » (8 618 ha), couvrant 12 communes dont sept dans l'Ariège, trois dans l'Aude et deux dans les Pyrénées-Orientales[32] ;
    • le « plateau de Quérigut, gorges de l'Aude et forêt du Carcanet » (3 215 ha), couvrant 7 communes dont cinq dans l'Ariège, une dans l'Aude et une dans les Pyrénées-Orientales[33] ;
    • les « prairies de Pinata » (69 ha), couvrant 2 communes du département[34] ;
    • le « val de Galbe » (1 950 ha), couvrant 3 communes du département[35] ;

    et quatre ZNIEFF de type 2[Note 6],[31] :

    • les « Capcir » (3 227 ha), couvrant 6 communes du département[36] ;
    • la « forêt de pins à crochets de la périphérie du Capcir » (13 788 ha), couvrant 12 communes du département[37] ;
    • le « massif de Quérigut et forêt du Carcanet (Donezan) » (12 107 ha), couvrant 16 communes dont neuf dans l'Ariège, cinq dans l'Aude et deux dans les Pyrénées-Orientales[38];
    • le « massif du Madres » (8 031 ha), couvrant 10 communes dont quatre dans l'Aude et six dans les Pyrénées-Orientales[39].

    Urbanisme

    Typologie

    Puyvalador est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[40],[41],[42]. La commune est en outre hors attraction des villes[43],[44].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,8 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), prairies (3,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,8 %), eaux continentales[Note 8] (0,7 %)[45].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Hameaux et lieux-dits

    Le principal hameau de la commune est Rieutort qui a une mairie annexe. On le rencontre en montant à la station de ski, situé au fond du vallon du riu tort.

    Voies de communication et transports

    Les lignes 561 (Puyvalador - Gare de Perpignan) et 562 (Puyvalador - Latour-de-Carol) du réseau régional liO desservent la commune.

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est Puigbalador[46].

    Histoire

    La station de Puyvalador a ouvert ses remontées mécaniques en 1983[47]. Par suite de problème d'argent, elle n'ouvre pas en 2017-2018 et son avenir est incertain[48].

    La commune adhère à la Communauté de communes Capcir Haut-Conflent par arrêté préfectoral du [49].

    Politique et administration

    Canton

    En 1790, la commune de Puyvalador est intégrée dans le canton de Formiguères. Celui-ci est dissous en 1801 et Puyvalador est alors rattachée au canton de Mont-Louis, dont elle fait partie jusqu'en 2015[50],[51].

    À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Pyrénées catalanes.

    Administration municipale

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Joseph Rous    
    mars 2001 mars 2008 Pierre Féron    
    mars 2008 juillet 2011 Julien Sabarthes[52]    
    juillet 2011 mars 2014 Gérard Andrillo    
    mars 2014 En cours Rolland Gil[53]    

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1355 1359 1365 1378 1424 1515 1553 1709 1720
    83 f80 f83 f22 f40 f16 f17 f38 f31 f
    1767 1774 1788 1789 - - - - -
    465 H44 f410 H108 f-----
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Notes :

    • 1378 : dont 9 f pour Rieutord ;
    • 1515 : dont 4 f pour Rieutord ;
    • 1553 : pour Puyvalador et Rieutord, Odeillo de Capcir et Villeneuve de Capcir ;
    • 1774 : Puyvalador, annexe de Fontrabiutre ;
    • 1789 : Puyvalador et la Châtellenie.

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[55].

    En 2018, la commune comptait 67 habitants[Note 9], en diminution de 8,22 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    545546553554532489481482481
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    476461460438433340329331306
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    348311279234247255149144133
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    81626310882101937373
    2018 - - - - - - - -
    67--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[57] 1975[57] 1982[57] 1990[57] 1999[57] 2006[58] 2009[59] 2013[60]
    Rang de la commune dans le département 201 163 159 180 171 181 192 193
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale et communale : 24 et [61].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 19 753 [62].

    Entreprises et commerces

    Petite station de ski des Pyrénées de la haute vallée de l'Aude : voir Station de Puyvalador.

    Église Saint-Martin de Riutort

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Jean-Baptiste
    Église Saint-Jean-Baptiste de Puyvalador

    L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste est située au bourg. Elle abrite une statue en bois polychrome du XIVe siècle d'une Vierge à l'Enfant, qui est classée monument historique au titre objet depuis 2000[63].

    Église Saint-Martin de Riutort
    Fausse statue-menhir

    En 1992 une pierre gravée, d'abord interprétée comme statue-menhir, a été découverte enfouie dans un champ au lieu-dit Caramat.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Puyvalador », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Puyvalador et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Puyvalador et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Puyvalador », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 183-184.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Plan séisme » (consulté le ).
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Olette - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Puyvalador et Olette », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Olette - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Puyvalador et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    25. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Puyvalador », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « site Natura 2000 FR9101473 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « site Natura 2000 FR9101471 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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