Blanzaguet-Saint-Cybard

Blanzaguet-Saint-Cybard est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Blanzaguet.

Blanzaguet-Saint-Cybard

Église de Blanzaguet.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Nathalie Selin
2020-2026
Code postal 16320
Code commune 16047
Démographie
Population
municipale
294 hab. (2018 )
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 28′ 15″ nord, 0° 19′ 16″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 164 m
Superficie 11,95 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Blanzaguet-Saint-Cybard
Géolocalisation sur la carte : Charente
Blanzaguet-Saint-Cybard
Géolocalisation sur la carte : France
Blanzaguet-Saint-Cybard
Géolocalisation sur la carte : France
Blanzaguet-Saint-Cybard

    Géographie

    Localisation et accès

    Blanzaguet-Saint-Cybard est située au sud-est de la Charente et en limite du département de la Dordogne. Elle se trouve à mi-chemin entre Villebois-Lavalette et La Rochebeaucourt.

    Elle est située à 24 km au sud-est d'Angoulême, 3,5 km à l'est de Villebois et km à l'ouest de La Rochebeaucourt. Elle est aussi à 24 km de Ribérac, 41 km de Périgueux[1].

    Située à 3,5 km au sud-ouest de la D 939, route d'Angoulême à Périgueux, la commune est traversée par la D 5 d'est en ouest qui va de La Rochebeaucourt à Barbezieux par Villebois et Blanzac, route qui passe entre les bourgs de Blanzaguet et Saint-Cybard.

    La D 16 de Montmoreau à Confolens par Villebois et Montbron traverse le nord de la commune au Peyrat. La D 23 de Villebois à Champagne-et-Fontaine (qui arrive de Champniers, Ruelle et Dignac) limite la commune au sud-ouest. Une route communale remonte la vallée du Voultron et relie Blanzaguet à Saint-Cybard[2].

    La gare la plus proche est celle de Montmoreau, à 16 km, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux ; celle d'Angoulême est à 25 km. L'aéroport d'Angoulême est à 30 km, celui de Bordeaux-Mérignac à 106 km.

    Communes limitrophes

    Carte de Blanzaguet-Saint-Cybard et des communes avoisinantes.

    Blanzaguet-Saint-Cybard est limitrophe de sept autres communes, dont deux dans le département de la Dordogne (Champagne-et-Fontaine et La Rochebeaucourt-et-Argentine), et trois par des quadripoints (La Rochebeaucourt-et-Argentine (lieu-dit gué de Pompeigne) au sud-est, Magnac-Lavalette-Villars (lieu-dit Moulin Redeuil) au nord-ouest, et Gurat (lieu-dit les Quatre Croix) au sud-ouest.

    Géologie et relief

    Corniches calcaires à la Challerie, vallée du Voultron.

    La commune occupe un plateau calcaire datant du Crétacé, composé de Coniacien en grande partie et quelques zones de Santonien, en bordure sud-ouest et au nord-est.

    La vallée du Voultron offre des petites corniches calcaires du Coniacien moyen.

    Au nord-est de la commune (Maine du Bost), on trouve une zone couverte par des dépôts du Quaternaire, sous forme de sables argileux. La vallée du Voultron est occupée par des alluvions récentes, et ses combes affluentes par des colluvions[3],[4],[5].

    Le relief de la commune est celui d'un plateau d'une altitude moyenne de 130 m, traversé du nord au sud par la vallée du Voultron et bordé au sud par celle de la Lizonne. Le point culminant de la commune est à une altitude de 164 m, situé à l'est de Saint-Cybard près de Maine du Bost. Le point le plus bas est à 82 m, situé le long de la Lizonne en limite sud près du Pas de Fontaine. Le bourg de Blanzaguet, construit au bord du Voultron, est à environ 100 m d'altitude. Celui de Saint-Cybard, construit aussi au bord de la vallée mais plus en hauteur et en amont, est à la même altitude[2].

    Hydrographie

    La commune de Blanzaguet-Saint-Cybard est traversée du nord au sud par le Voultron, qui se jette dans la Lizonne, qui arrose le sud de la commune. La Lizonne est un affluent de la Dronne. La commune est dans le bassin versant de la Dordogne comme une partie du Sud Charente.

    Le ruisseau intermittent de l'Espérande qui descend de Gardes se jette dans le Voultron en rive gauche entre le Peyrat et Saint-Cybard[2].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    ZNIEFF

    Selon l'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), le site « Marais alcalins de la vallée de la Nizonne »[6] concerne la commune de Blanzaguet-Saint-Cybard. Dans les faits, les communes du département de la Charente mentionnées par la fiche ne font que tangenter cette zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), intégralement comprise dans le département de la Dordogne, comme le montre la carte du site[7]. Ces communes de Charente, dont Blanzaguet-Saint-Cybard, sont traitées dans une autre ZNIEFF décrite ci-dessous.

    À Blanzaguet-Saint-Cybard, la vallée de la Nizonne fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[8],[9].

    Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[8] :

    Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[8].

    Natura 2000

    Dans leur traversée de la commune, la Lizonne et sa vallée[10] font partie d'une zone du réseau Natura 2000 « Vallée de la Nizonne » avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne[11] :

    Urbanisme

    Typologie

    Blanzaguet-Saint-Cybard est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,9 %), prairies (15,7 %), forêts (7,1 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Hameaux et lieux-dits

    Le bourg de Blanzaguet est situé au sud de la commune alors que celui de Saint-Cybard est situé plus au nord, sur la rive droite du Voultron.

    La commune comporte de nombreux petits hameaux ou fermes : le Peyrat, le Mas, la Ville, la Grange du Tillet, le Vivier, Chauzier, la Grande Dénerie, etc.[2].

    Toponymie

    Une forme ancienne est Blanzagueto en 1275[18].

    Le nom de Blanzaguet signifie « le petit Blanzac »[19], le suffixe -et marquant le diminutif en occitan.

    Blanzaguet-Saint-Cybard est situé dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et se nomme aussi Blanzaguet en dialecte limousin[20].

    Histoire

    L'église et le château de Blanzaguet.

    Au Moyen Âge, l'histoire de la commune est principalement celle de son château. Blanzaguet a été le fief de la famille Poitevin, puis de celle de Galard de Béarn jusqu'en 1757.

    La commune actuelle est formée de la réunion de trois villages ; d'abord les deux paroisses de Saint-Cybard et Le Peyrat en 1790 pour former la commune de Saint-Cybard-Le Peyrat fusionnée en 1862 avec celle de Blanzaguet pour former la commune de Blanzaguet-Saint-Cybard-Le Peyrat, ultérieurement appelée Blanzaguet-Saint-Cybard[21].

    Pendant la Révolution, la commune de Saint-Cybard-Le Peyrat s'est appelée provisoirement Cibard-Le Peyrat[22].

    Le Peyrat était le siège d'un archiprêtré et d'un prieuré conventuel de l'ordre de Saint-Benoît. Son église romane avait deux coupoles, et son transept avait été voûté en style ogival au XVe siècle.

    Au début du XXe siècle, on récoltait encore dans la commune des truffes en quantité relativement importante. La commune comportait alors comme industrie le moulin à cylindres de Périne, sur le Voultron[21].

    Politique et administration

    Mairie de Blanzaguet-Saint-Cybard.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1989 mars 2014 Guy Vautour UDF Retraité du commerce
    mars 2014 mai 2020 Sébastien Selin[23]   Agriculteur
    mai 2020 En cours Nathalie Selin    

    Démographie

    Évolution démographique


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

    En 2018, la commune comptait 294 habitants[Note 2], en augmentation de 6,91 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    347341365355341313329363346
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    577566503499482415441403390
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    419391389362362371362364304
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    280255252223216238264298294
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Blanzaguet-Saint-Cybard en 2007 en pourcentage[28].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9 
    90  ans ou +
    0,0 
    6,2 
    75 à 89 ans
    11,1 
    19,6 
    60 à 74 ans
    16,7 
    24,1 
    45 à 59 ans
    23,8 
    25,0 
    30 à 44 ans
    15,9 
    12,5 
    15 à 29 ans
    14,3 
    11,6 
    0 à 14 ans
    18,3 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[29].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Remarques

    Blanzaguet a absorbé Saint-Cybard-le-Peyrat en 1862[26].

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[30].

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Pierre

    L'église paroissiale Saint-Pierre de Blanzaguet date de la seconde moitié du XIIe siècle. Elle est classée monument historique depuis 1920[31].

    Église de Saint-Cybard

    L'église Saint-Cybard, d'origine romane, était l'église paroissiale de Saint-Cybard d'Ayras (ou d'Eyrat). C'était à l'origine un prieuré-cure dépendant du prieuré conventuel du Peyrat. Sans grand caractère, cet édifice à travée unique possède un clocher-porche en façade. Une plaque commémore près des fonts baptismaux le baptême en 1744 de Pierre-Louis de La Rochefoucauld, né au logis du Vivier non loin de l'église, devenu évêque de Saintes et béatifié en 1926 par le pape Pie IX[32].

    Ancien prieuré du Peyrat

    Il s'agissait au départ d'un prieuré conventuel fondé et construit en 1065. Le Peyrat devint par la suite une paroisse et l'église Saint-Étienne fut en 1382 le siège d'un archiprêtré, qui était avant cette date situé à l'église Saint-Romain de Villebois. Cette église, aujourd'hui disparue, avait deux coupole et son transept refait au XVe siècle. Elle fut ruinée au XIXe siècle et sa cloche de 1704 transportée à l'église de Villebois-Lavalette. Le prieuré, quant à lui, a été restauré au XXe siècle par son propriétaire, et il en reste le logis actuel situé au lieu-dit « l'Abbaye ». L'église était située entre cet endroit et Maison Neuve[32].

    Patrimoine civil

    Le château, mairie actuelle.
    • Château du XIe siècle, modifié en grande partie par les Galard de Béarn en 1741.

    Patrimoine environnemental

    • Parc arboretum du château, le long du Voultron

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le )
    6. [PDF] 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    7. Carte de la ZNIEFF 720008181, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    8. [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    9. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    10. Carte du site FR7200663, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    11. [PDF] FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 226
    19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 87.
    20. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    21. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 84
    22. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, Bulletins et mémoires, Société archéologique et historique de la Charente, , « Toponymie révolutionnaire en Charente », p. 272-278 [lire sur le site d'André J.Balout (page consultée le 19 juillet 2012)] [PDF]
    23. « Ils s’engagent pour l’avenir », sur sudouest.fr, (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. « Evolution et structure de la population à Blanzaguet-Saint-Cybard en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    29. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    30. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    31. « Église Saint-Pierre », notice no PA00104251, base Mérimée, ministère français de la Culture
    32. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 76-77
    33. « Docteur Léon HENRI MARTIN (annuaire des Sociétés savantes de France) », Comité des Travaux historiques et scientifiques (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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