La Romieu
La Romieu (L'Arromiu en gascon) est une commune française située dans le département du Gers en région Occitanie.
La Romieu | |||||
Vue aérienne de la commune en 2017. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gers | ||||
Arrondissement | Condom | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Lomagne gersoise | ||||
Maire Mandat |
Thierry Cambournac 2020-2026 |
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Code postal | 32480 | ||||
Code commune | 32345 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Romévien, romévienne | ||||
Population municipale |
571 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 58′ 58″ nord, 0° 29′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 104 m Max. 217 m |
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Superficie | 27,48 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Lectoure-Lomagne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Gers
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Le nom de cet ensemble médiéval, « l'Arroumîu », signifie « le pèlerin » (un « roumieu » désignait à la base un pèlerin pour Rome, mais le terme s'est appliqué à tous les pèlerins).
La commune est membre de l'association Les Plus Beaux Villages de France.
Géographie
Communes limitrophes
Géologie et relief
Plusieurs collines entourent la commune. De nombreux sites préhistoriques et des carrières de sable les jonchent. La Romieu fut habitée à l'époque romaine : une voie antique, la Peyrigne, qui reliait La Motte de Lécussan à Saint-Bertrand-de-Comminges[2], Valcabrère et la Ténarèze, passent par La Romieu.
La Romieu se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[3].
Hydrographie
Le Petit Auvignon prend sa source sur la commune.
La commune était alimentée par la source de Sept Hountas qui est une jonction de 7 sources de grande qualité. À présent, de très nombreux puits, dont la profondeur peut s'étendre à 33 mètres, se trouvent dans le bourg.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Caussens », sur la commune de Caussens, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 646,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, dans le département de Lot-et-Garonne, mise en service en 1941 et à 20 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
La Romieu est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,9 %), zones agricoles hétérogènes (15,7 %), forêts (7,1 %), prairies (5,9 %), cultures permanentes (2,6 %), zones urbanisées (1,7 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le pèlerinage de Compostelle
La Romieu est une ville étape européenne sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, située sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. En 1998, le chemin Lectoure-La Romieu-Condom, soit 33 km, est classé au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO.
Les chemins de Rocamadour (GR 652) et du Puy-en-Velay (GR 65) se rejoignent à La Romieu.
Le , une messe a lieu dans la collégiale Saint-Pierre pour l'année jacquaire. La prochaine est prévue pour 2021.
Le voit l'arrivée à la Romieu de la Vierge Noire de Rocamadour sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Histoire
Un prieuré bénédictin a été fondé par le moine Albert sur les terres des seigneurs de Firmacon, vicomtes de Lomagne.
Une charte du cartulaire de l'abbaye Saint-Victor de Marseille de 1082 indique que le prieuré est donné à l'abbaye par le moine Albert, Odon, seigneur de Firmacon et sa femme Adélaïde. Cet acte fait de La Romieu une « sauveté » avec une charte de franchise qui place la communauté villageoise sous la protection des seigneurs de Firmacon[22].
Les co-seigneurs de la ville étaient le seigneur de Firmacon et le prieur du monastère. Les seigneurs de Firmacon y rendaient la justice.
Après le traité d'Amiens, en 1279, qui reprenait les clauses du traité d'Abbeville de 1259 et cédait l'Agenais au roi d'Angleterre, La Romieu entra dans le domaine du roi d'Angleterre. Ils exercèrent un temps le droit de haute et de basse justice mais les vicomtes de Lomagne conservèrent le droit de juger en cas d'homicide et de vol. Puis les droits de justice furent partagés entre les vicomtes de Lomagne et le chapitre de chanoines. La Romieu ne revint définitivement dans le domaine du roi de France qu'après 1453.
Au XIIIe siècle, la ville devint une commune avec des consuls.
La Romieu dépendait du Parlement de Bordeaux, de la sénéchaussée de Gascogne et du diocèse de Condom à partir de 1318.
Arnaud d'Aux, né en 1270 à la Romieu, fut chargé de plusieurs missions diplomatiques par son cousin Bertrand de Got (qui devint le pape Clément V). Il fut promu évêque de Poitiers, puis camérier du pape (ministre des Finances). Il eut la charge du problème des Templiers. En 1312, il devint évêque d'Albano et cardinal. Vers 1312, Arnaud d'Aux a acheté aux consuls et aux habitants de La Romieu un terrain situé contre les fossés de la ville qu'il a fait combler pour en creuser d'autres plus loin. En 1314, le roi Édouard II d'Angleterre en fit son consul privé. C'est à cette époque, c'est-à-dire au faîte de sa gloire, qu'il décida d'établir une fondation religieuse dans son village natal, La Romieu. Pour construire la collégiale, il a racheté le prieuré à l'abbaye Saint-Victor de Marseille. Le , le pape Jean XXII a donné son accord pour cette transaction dans une bulle. Au cours d'une messe dans l'église Notre-Dame-du-Prieuré, en , le cardinal d'Aux annonça le rattachement du prieuré à la collégiale Saint-Pierre. L'acte de fondation de la collégiale date du . Raymond de Galard, évêque de Condom a approuvé la fondation le [23].
À l'époque médiévale, le village dépendait de l'Angleterre. L'amitié d'Arnaud d'Aux pour Édouard II facilita grandement les choses, d'autant plus que le roi anglais reversait la totalité des impôts collectés localement pour qu'il puisse édifier sa fondation. Elle fut achevée vers 1320. Le cloître fut construit peu après l'église. Arnaud d'Aux est mort en à Avignon et son corps a été transporté dans la collégiale où il a été placé dans un enfeu. Le cardinal d'Aux avait prévu dans son testament daté du que les descendants mâles de la famille d'Aux devaient porter le titre de Patron du chapitre de la collégiale. Ce titre est resté dans la branche aînée de la famille d'Aux jusqu'en 1790[24].
En 1569, les protestants commandés par Montgommery prirent la ville et la pillèrent. La collégiale Saint-Pierre et l'église paroissiale Notre-Dame ont été saccagées. Le cloître fut incendié et ses étages partiellement détruits.
Le chapitre de la collégiale disparaît au début de la Révolution. Les villageois choisirent la collégiale comme église paroissiale ce qui a entraîné la démolition de l'église Notre-Dame.
Depuis 1901, la collégiale et son cloître, exceptionnel exemple d'architecture gothique méridionale, sont classés monuments historiques.
La Collégiale
Saint-Pierre.Le cloître de la Collégiale Saint-Pierre. La place de la Collégiale Saint-Pierre.
Héraldique
Blasonnement :
De gueules aux deux tours d'argent maçonnées de sable, ouvertes et ajourées du champ, rangées en fasce, accompagnées de trois étoiles d'or, ordonnées deux en chef et une en abîme, d'une étoile de six rais du même en chef et d'une lettre A capitale aussi d'argent en pointe[25].
Commentaires : Le Blason, qui était celui du chapitre de la Collégiale, représente les étoiles de Compostelle ainsi que la molette de Notre-Dame de la Romieu, les tours de la Collégiale de la Romieu et la première lettre de la famille "Aux", fondatrice de la commune. Ce blason est celui de la ville depuis la Révolution Francaise. |
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28]. En 2018, la commune comptait 571 habitants[Note 4], en diminution de 0,17 % par rapport à 2013 (Gers : +0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
Culture locale et patrimoine
Le village fait partie de l'association « Les Plus Beaux Villages de France »[31].
Collégiale Saint-Pierre de La Romieu[32],[33]
Influencée à la fois par le gothique méridional et l'art du Nord, la collégiale se signale par son vaisseau unique de quatre travées, long de 36 mètres, haut de 15 mètres et étroit de 9 mètres et qui s'achève par une abside polygonale. Elle se caractérise par sa voûte gothique et abside à pans coupés. Dans le chœur, on trouve les tombeaux du prélat et de ses neveux, profanés à la Réforme, banalement refaits.
L'église et le cloître sont classés au titre des Monuments historiques par arrêté du [34].
Une tour octogonale s'appuie sur le côté oriental de l'abside. Composée de trois salles voûtées (une par niveau) et cent-soixante-huit marches, elle s'achève sur une pièce très ajourée au sommet. Le rez-de-chaussée sert de sacristie ornée de peintures du XIVe siècle (seize anges chanteurs ou musiciens escortés de la famille d'Aux). Elle possède un clocher de 33 mètres.
Au nord de l'église, dont il jouxte les deux premières travées extérieures, le cloître carré à quatre galeries de huit arcades gothiques géminées est une œuvre majestueuse, bâti probablement au XIVe siècle. En dépit de restaurations maladroites, on distingue encore quelques traces d'un très riche décor sculpté de feuilles de chêne, de vigne et de lierre mêlées à des figures humaines et animales. Du cloître, une arcade à mâchicoulis conduit à l'église. Il soutenait l'étage disparu des bâtiments conventuels.
- L'ancien couvent des religieuses franciscaines de Montpellier jusqu'à l'après guerre, qui est ensuite devenu le couvent des religieuses de la Providence, est aujourd'hui l'accueil des pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, géré par une association privée. C'est une œuvre des vicomtes de Saint-Gresse-de-Merens pour la mémoire du vicomte mort en 1870 à Paris.
Parmi les autres édifices religieux, on trouve :
- la chapelle du hameau de Saint-Caprais à 5 km de la Romieu ;
- la chapelle Saint-Jean-De-Rouède (qui ne se visite pas) ;
- l'église Saint-Caprais ;
- l'ancien hôpital Saint-Jacques devenu couvent des clarisses (propriété privée) ;
- la croix dite de Sainte-Lucie avec l'emplacement de la relique réalisée en pierre, située à l'arrivée du chemin de Rocamadour.
- les ruines de la chapelle de l'église (Belmont).
- Édifices civils
Le village de La Romieu comporte plusieurs bâtiments intéressants :
- La Tour du Cardinal d'Aux est classée au titre des monuments historiques en 1928[35]. C'est, avec un morceau de mur d'enceinte, le seul élément subsistant du palais cardinalice que s'était fait construire le cardinal d'Aux au sud-ouest de la collégiale. L'entrée occidentale du Palais se trouvait rue du Puits.
- La Porte du Château de Madirac : Construit en 1582 par Bernard du Bousquet, magistrat de Condom, deux atlantes encadrent la porte du château de Madirac ; une inscription en latin résume les circonstances de la construction. Ce château est inscrit au titre des Monuments historiques par arrêté du [36] ;
- le château de Saint-Aignan, berceau de la famille de Saint Gresse de Merens, avec son allée de cèdres classée monument Historique (propriété privée) ;
- l'ancien hôpital de la famille de Galard de Terraube, qui est devenu au XVIIIe siècle la gendarmerie nationale.
- le lavoir de la Fontaine, ancien site romain avec sa source et son ancien lavoir gothique.
Patrimoine naturel
- les grottes de Broutés ;
- les grottes de Cavet blanc ;
- les grottes de Sinaie ;
- la grotte de Mathurin ;
- la source de Sept Hountas.
- Légende des chats
Plusieurs sculptures représentant des chats figurent autour de la place. Elles sont l’œuvre d’un sculpteur animalier d’origine orléanaise, Maurice Serreau, qui s’était installé à La Romieu pour sa retraite. Au début des années 1990, il commence à sculpter des chats, qu’il offre à divers commerçants de la commune. Il explique ensuite avoir été inspiré par une légende selon laquelle une jeune orpheline, Angéline, aurait sauvé un couple de chats lors d’une terrible famine, où la population avait dû se résoudre à manger tous les chats. La prospérité revenue, les récoltes étaient dévorées par les rats et souris qui avaient proliféré. C’est alors qu’Angéline libéra les chats issus du couple qu’elle avait enfermé, et elle sauva le village d’une nouvelle famine. Elle finit par ressembler elle-même à un chat. Cette légende est une création contemporaine de toutes pièces, car elle n’est attestée par aucun document antérieur à la fin du XXe siècle, mais elle connaît un grand succès auprès des visiteurs.
Personnalités liées à la commune
- Fortius de Auxio ou Fort d'Aux de Lescout, évêque de Poitiers en 1312, succède au cardinal d'Aux, son oncle, premier patron du chapitre de la collégiale.
- Le vicomte de Saint-Gresse de Merens, né à La Romieu, zouave pontifical, s'est illustré et est mort au siège de Paris de 1870.
- Le marquis de Lally-Thollendal fit, pour le mariage de son fils en 1845, restaurer la collégiale de La Romieu en la faisant orner d'une frise et doter de calices.
- Gilbert Cours-Darne, né à La Romieu (1909-2001), est un botaniste, ingénieur agronome, inspecteur général de la recherche scientifique Outre Mer, fondateur de l'arboretum de La Bordette.
- Le chevalier de Romegas de Mansonville ou Mathurin d'Aux de Lescout général des galères fit réparer la collégiale de la Romieu.
- L'abbé Felix Maupomé, chevalier de la Légion d'honneur, né à la Romieu, résistant était prisonnier de guerre ; on le nomme aussi le curé mousquetaire inhumé à Dému.
- Adrien Larribeau, chevalier de la Légion d'honneur, né à la Romieu, fut archevêque de Séoul, présent au concile Vatican II. Il est mort en 1975 et est inhumé à Montbeton en Tarn-et-Garonne.
- Étienne Bouet, officier de la Légion d'honneur, héros des deux guerres, résistant, fut tué au maquis de Meilhan dans le Gers en 1944 au côté de son petit-fils Jean Seguin et auprès du commandant Louis Marcellin.
- Sœur Jeanne Boyer, religieuse de la Providence de La Romieu (+ en 1995), est reconnue par le mérite national pour son rôle dans la Résistance.
- Jean Laboubée, tombé au champ d'honneur en Indochine, est chevalier de la Légion d'honneur et Croix de guerre.
- Jarry Pailler, ancien sous-préfet de Condom, est inhumé au cimetière de la Romieu.
- Alain Leclère, facteur d'orgue, est créateur de l'orgue de Terraube ; il est inhumé à La Romieu.
- Gabriel de San Mateo, directeur de lycée et ancien maître des chœurs de l'Armagnac, est inhumé à La Romieu.
- Christine Boisson, aquarelliste, co-fondatrice en 2012 du festival l'Art au Mieux
Voir aussi
Bibliographie
- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. II : Arrondissement de Condom, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 469 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF39919209)
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Plan séisme
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Caussens - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Orthodromie entre La Romieu et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- GUÉRARD (M.). – Cartulaire de l’abbaye de Saint-Victor de Marseille. Paris : Lahure, 1872. Tome premier, charte 150.
- Marcel Durliat, La Romieu, p. 181-193, dans Congrès archéologique de France. 128e session. Gascogne. 1970, Société française d'archéologie, Paris, 1970
- Evelyne Ugaglia, La collégiale Saint-Pierre. La Romieu, Office du tourisme de La Romieu, La Romieu, 2003 (ISBN 2-9513405-8-3) ; p. 32
- Banque du blason.
- http://www.annuaire-des-mairies.com/32/la-romieu.html
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « La Romieu », sur le site de l'association Les Plus Beaux Villages de France, consulté le 7 juillet 2021.
- Jacques Gardelles - Aquitaine gothique - pp. 96-101 - Picard - Paris - 1992 - (ISBN 2-7084-0421-0).
-
- Marcel Durliat, La Romieu, pp. 181-193, dans Congrès archéologique de France. 128e session. Gascogne. 1970, Société française d'archéologie, Paris, 1970
- « Église et cloître », notice no PA00094900, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Tour dite du Cardinal d'Aux », notice no PA00094901, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de Madirac », notice no PA00094899, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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