André Girard (peintre)

André Marcel Georges Girard, né le à Chinon[1], en Indre-et-Loire, et mort le à Nyack aux États-Unis, est un écrivain, résistant, peintre, illustrateur, caricaturiste et affichiste français.

Pour les articles homonymes, voir André Girard et Girard.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, il fonde et dirige, avec pour pseudo « Carte » le réseau de résistance du même nom[2] qui se veut indépendant de la France libre[3] et obtient pour cette raison le soutien du Special Operations Executive (section F du SOE).

Biographie

Jeunesse

Fils aîné de Marcel Girard, distillateur à Chinon, et d'Eva Neveu[4], il perd son père, mort de maladie, et se retrouve orphelin en 1915.

André Girard intègre l'École nationale supérieure des arts décoratifs puis en 1916 l'École des Beaux-Arts. Fuyant les bombardements la famille se réfugie en 1918 à Saumur chez les grands-parents d'André. C'est là qu'il rencontre le peintre Georges Rouault dont il devient l'élève et l'ami. Il sera également inscrit dans l'atelier de Pierre Bonnard. Il dessine déjà régulièrement, [5].

Il effectue son service militaire sur la rive gauche du Rhin, alors occupée, avant d'être affecté à la bibliothèque de Saint-Cyr.

Premiers succès

Libéré en 1923, il exerce les métiers de peintre, caricaturiste, décorateur de théâtre et affichiste publicitaire. En 1925 il est lauréat du concours pour l'affiche de l'Exposition internationale des arts décoratifs[6].

Il réalise, entre autres, les affiches publicitaires de Duco (1928-29), Peugeot (1930)[7], Mercier Frères (1930)[8], les cigarettes Gitanes (1930)[8], Marconi (1935)[8], Dubonnet[9], The Capehart[10],[11], Shell[12]. Dans les années 1930, il est l'un des affichistes en vogue à Paris.

Il se marie le à Asnières-sur-Seine avec Andrée Jouan[1] et s'installe à Levallois-Perret, ou naissent ses deux premières filles, Évie et Gabrielle dite Danièle (qui deviendra célèbre sous le nom de Danièle Delorme), puis à Neuilly. Il commence également une longue collaboration avec Columbia dont il illustrera de nombreuses pochettes de disque[13] et dont il dessine le logo[14]. Ami de Zino Francescatti il décore (gouache) la pochette de son premier disque[15].

Paris-Midi, ancien journal

Dès l'arrivée d'Hitler au pouvoir en Allemagne, il publie de nombreux dessins politiques dans la presse, Les Échos, Paris-Midi, Paris-Soir, Match, Marianne, Le Rire[16], ceux-ci sont republiés en 2005 sous le titre Hitler Staline et compagnie, Dessins politiques de 1934 à 1942[17].

Il voyage en France et dans toute l’Europe, il multiplie les voyages en Italie et tombe sous le charme de Venise. En 1937, il embarque à destination de New York et sa carrière de peintre décolle. En 1938, il expose à la galerie Sullivan sur Park Avenue, c'est son maître et ami Georges Rouault qui signe la préface du catalogue de l'exposition[18].

La même année, à l'occasion de la foire internationale de San Francisco, il fait connaissance, et se lie d'amitié, avec le député Max Hymans.

Début de la guerre

Zone libre et zone occupée.

Père de quatre enfants, il n'est pas mobilisé, en 1940. Refusant de voir l'armée allemande dans Paris, il part en zone libre et s'installe à Antibes, où il loue deux appartements mitoyens au 10, boulevard du Cap, et s'installe avec ses quatre filles, Evie, Danièle, Théote et Marguerite qu'il prend souvent comme modèles[19]. En zone libre, il retrouve et fréquente Georges Rouault (Golfe-Juan) et Pierre Bonnard (villa Le Bosquet au Cannet), il vend des toiles dans une galerie située rue des Belges à Cannes tenue par Aimé Maeght, il sympathise avec ce dernier et enfin, il fonde le réseau Carte.

Le réseau Carte

Le , il dîne avec un ami de Paris, Henri Frager, architecte alsacien, dans un restaurant d’Antibes. Girard veut développer l’action locale. Frager se prépare à joindre Londres via l'Algérie en décembre.

En 1941, après plusieurs tentatives infructueuses de se rendre à Londres, Frager retourne à Antibes et reprend contact avec André Girard qui le recrute comme officier d'état-major du réseau Carte. Il prend comme pseudonyme « Louba »[20]. Avec André Gillois et le colonel Jean-Émile Vautrin (responsable du 2e bureau)[21], Girard et Frager vont recruter pour le réseau Carte qui se développe et en septembre c'est la première rencontre de Girard avec un agent du SOE, Francis Basin dit « Olive »[22], il lui réclame des armes[23].

André Girard recrute également André Gillois (Maurice Diamant-Berger). Ils utilisent leur relations pour renforcer les effectifs du réseau : Germaine Sablon[24] et son amant Joseph Kessel alias « Pascal »[25] ainsi que son neveu resté dans l'armée d'armistice Maurice Druon[25], le polémiste Gaston Charon (Jean Nocher), les acteurs Jean Wall, Jean Nohain dit « Jaboune » et son frère Claude Dauphin, le sculpteur Jean Matisse (fils du peintre), Geneviève Rouault (fille de Georges), le député et secrétaire d'état socialiste Max Hymans, André Gillois (Maurice Diamant-Berger), Georges Bauret alias « Jean Bardanne », Jean Guignebert, René Lefèvre[26], Charles Delaunay[26], Armel Guerne et sa femme[27], le cinéaste Marc Allégret, le général Cochet, Joseph Imbert[28]...

En 1942, le SOE envoie des fonds au réseau[29] et réclame la présence à Londres de Girard, ou à défaut d'un membre du réseau. Pour cette mission, André Girard désigne Henri Frager. Le , le chalutier polonais Tarana embarque Frager et l'amène à Gibraltar, d'où il rejoint Londres par avion et rencontre les responsables de la French Section du SOE à Orchard Court : Maurice Buckmaster et son adjoint Nicolas Bodington, et probablement Charles Hambro et Colin Gubbins. Henri Frager leur explique les besoins du réseau en soutiens, en moyens de communication, en armement, etc. Le SOE, qui veut en savoir plus, le renvoie en France, accompagné de Nicolas Bodington, pour étudier de près les possibilités de travailler avec Carte. Dans la nuit du 29 au , la felouque Seadog débarque quatre agents au Cap d'Antibes : Frager Architect, Bodington Professor, Despaigne Magnolia, Yvonne Rudellat Soaptree.

De nouveaux membres rejoignent le réseau : Walthère Marly[23], Pierre Geelen[23], Pierre de Bénouville. Le , Bodington, rentré en Angleterre, remet un rapport très favorable au réseau Carte, qui sera entériné par le SOE[23] et à l'automne 1942, Radio-Patrie est créé par le SOE avec des membres de Carte[2],[30]. À partir de cette date, on utilisera les deux termes réseau Radio-Patrie ou réseau Carte pour définir la même structure. C'est André Gillois et Jean Gandrey-Réty qui seront les premiers speakers de Carte sur Radio-Patrie en .

En , c'est le début de la débâcle du réseau. Les Allemands ayant envahi la zone libre, le SOE veut revoir ses plans avec Carte et ordonne à Girard de venir à Londres (message du à Adolphe Rabinovitch opérateur radio de SPINDLE). S'ensuit une série de ramassages (pick-up) ratés. C'est le début de dissensions importantes entre Girard et Frager.

Le même mois, c'est l'affaire dite Marsac qui met l'Abwehr puis la Gestapo aux trousses du réseau Carte : l'Abwehr récupère un porte-documents contenant une liste - entre 50 et 200 noms[31] - non codée de noms et d'adresses de membre du réseau.

C'est André Marsac, un adjoint de Frager, qui aurait égaré ou se serait fait voler ce porte-documents dans un train à destination de Paris ou en gare de Marseille. Les versions varient suivant les sources sur l'auteur de la liste et de son acheminement ainsi que sur les circonstances de sa perte et de sa récupération.

  • La version Frager : Girard veut transmettre la liste à Francis Suttill, arrivé en octobre pour diriger le réseau Prosper-PHYSICIAN et hébergé, à la demande de Nicolas Bodington, par Girard avenue de Suffren à Paris chez ses anciennes secrétaires Germaine Tambour et Madeleine Tambour. Il confie à André Marsac le soin de l'acheminer de Marseille à Paris[23].
  • La version Girard : Girard a démenti être l'auteur de cette liste, ce qui correspond, d'après Thomas Rabino, à sa prudence « maladive ». Cependant il reconnaît avoir chargé André Marsac, désigné par Frager comme étant digne de confiance, de remettre un pli important au capitaine Bartoli de Mandres, parti prendre la direction des groupes du sud-est. Peu de temps avant, il avait refusé un modèle de fiche proposé et inventé par le même Marsac, qui contenait de nombreux renseignements sur les membres du réseau, ainsi que les noms et adresses, ce qui lui semblait inadmissible[31].

« Je n'avais pas eu le temps de coder les ordres principaux, reconnaît Girard, [Il] avait perdu le courrier en question, plus les fiches dont j'avais refusé le modèle[31]. »

 André Girard « Carte »

On ne connaît pas les conditions exactes par lesquelles cette liste passe des mains de Marsac à celles de l'Abwehr mais le commissaire de police Dubois, membre du réseau, est informé - ou aurait récupéré la liste[23] - et les personnes concernées sont prévenues rapidement.

Frager prépare un rapport pour Londres, critiquant Girard et demandant sa tête[31]. Ce dernier le découvre et constate également la bonne entente, à ses dépens, entre Henri Frager et Peter Churchill « Raoul », chef du réseau SPINDLE.

Au début de 1943, Girard refuse une fusion dans Combat, qu'il estime trop proche du gaullisme. Il repousse sans cesse son départ pour Londres demandé avec insistance par le SOE. À la suite d'un ultimatum du SOE, qui le menace de fermer l'émission Radio-Patrie, il cède et se rend en Angleterre dans la nuit du 20 au , ramassé (pick-up) par un Hudson, près d'Arles[32]. Le SOE s'oppose à son retour en France, ayant eu la confirmation que depuis l'origine les effectifs réels du réseau étaient beaucoup moins importants que ne le prétendaient Girard et Frager[33].

Après son départ, c'est Jean-Paul Méjean alias « Mesnard » qui prend la tête des restes du réseau au niveau local[34]. Le réseau Prosper-Physician du SOE, dirigé par Francis Suttill, prend également le relais du réseau Carte, notamment en s'appuyant sur son important fichier.

En , il apprend l'arrestation de sa femme Andrée en avril, qui sera déportée en à Ravensbrück. Libérée en avril 1945, elle rejoindra André à New York en septembre 1945.

Il rompt avec le SOE et après de longues négociations entre Américains et Anglais - qui se terminent par un accord secret qui comporte l'interdiction d'utiliser des installations radiophoniques et l'interdiction de se rendre en Afrique du Nord[35] - il obtient son Exit Permis et s'exile aux États-Unis en , où il restera jusqu'à sa mort.

Aux États-Unis

Aux États-Unis, il rencontre Alexis Leger (Saint-John Perse) en [35] et s'active au sein du courant antigaulliste. Il y donne également des conférences et écrit des articles et des livres, où il manifeste son opposition à la fois aux Britanniques et aux Gaullistes.

À New York, il peint des toiles d'inspiration religieuse (chemins de croix, apocalypse...) et en 1947, il publie Peut-on dire la vérité sur la Résistance ?, dans lequel il conteste certains points du livre de Bénouville, Le Sacrifice du matin.

Le , il est décoré de la Legion of Merit[36],[37] par Roscoe Hillenkoeter, le directeur de la CIA.

En 1950, il invente une technique qu'il nomme peinture sur lumière[38], il peint alors directement sur de la pellicule[39]. Il utilise cette technique dans The Story of the Nativity pour Hallmark Hall of Fame: A Christmas Festival en 1959[40] et dans le film d'animation Sermon on the Mount (29 minutes) qu'il réalise dans les années 1960.

En 1952, il réalise la décoration de plusieurs églises à New-York, dans le Vermont, chapelle du Mont Mansfield[41], et en Californie, la Saint Ann Chapel à Palo Alto[42],[41],[38] dont il peint les vitraux.

George Stevens lui commande 352 toiles de scènes bibliques pour utiliser dans le scénario du film La Plus Grande Histoire jamais contée qui sort au début de 1965[43],[44].

Il meurt à Nyack aux États-Unis le [45]. Il y est enterré.

Œuvres

Peintures et dessins

Les filles d'André Girard ont répertorié et documenté une grande partie de son œuvre. Un fonds de plus de deux mille numéros est conservé à l'atelier André Girard dans le 14e arrondissement de Paris[5].

  • Trois voiliers venant du Lido allant à Venise[46]
  • Palais des Doges à Venise[47]
  • Quai des Esclavans à Venise[48]
  • Chanteuse à Harlem[49]
  • Visions de l'Apocalypse : le Cheval[50]
  • vers 1945 - Au Concert, dessin, Art Institute of Chicago[51]
  • vers 1948 - Peinture pour la collection De Beers, reproduite dans Life du [52]
  • vers 1950 - Chemin de Croix, collection de la Galerie Madaba rue Bergère à Paris, 14 panneaux préparatoires pour la décoration de la Saint Ann Chapel à Palo Alto[53]

Livres

  • Bataille secrète en France, Brentano's, New York, 1944[54],[55],[56].
  • Peut-on dire la vérité sur la Résistance ?, Éditions du Chêne, 1947[57]
  • Hitler Staline et compagnie, Dessins politiques de 1934 à 1942, Buchet-Chastel, 2005
    Préface de Danièle Delorme, Chronologie et commentaires historiques de Pascal Imaho[58]
  • Venise, Seuil : Ateliers An. Girard, 2002[59]

Illustrations

  • Le Scarabée d'Or et La Chute de la Maison d'Usher, nouvelles d'Edgar Allan Poe[5]
  • La Complainte du vieux Marin, un poème de Samuel Taylor Coleridge[5]
  • Heraclite d'Ephèse illustré par André Girard, Éditions Lipton, 1949[60]
  • Sayings of Jesus : the Sermon on the mount and the Instructions to the disciples illustré par André Girard, Chi Rho Press, Marquette University, 1956[61]?
  • Nohain - Mireille - Tabet - Sauvat - Rivière - Delettre - Pills - Les Chansons de Pills & Tabet - Illustrations de André Girard, Paris, éditions Raoul Breton

Affiches

  • 1925 - Ministère du commerce et de l'industrie. Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, Paris 1925[62]
  • 1936 - Lucienne Boyer, palais des fêtes de Roanne[63]
  • 1937 - Film Le chanteur de minuit de Léo Joannon[64]
  • 1937 - Tino Rossi, collection privée[65]
  • Mireille, vedette des disques Columbia, collection privée[66]
  • Marianne Oswald, Les soutiers, artiste Columbia[67]

Pochettes de disques

Cinéma

Scénariste
Acteur

Films

André Girard a peint 35 films[16]

  • The Story of the Nativity pour Hallmark Hall of Fame: A Christmas Festival en 1959[40],[72]
  • Sermon on the Mount (29 minutes) dans les années 1960
  • Abraham, film en couleur de 75 minutes projeté au Queensborough Community College in Bayside, Queens en [73] et au Royal Albert Hall, à Londres, accompagné d'un orchestre symphonique et de 150 choristes en 1969[16]

Voir aussi

Sources et bibliographie

  • Michael R. D. Foot, Des Anglais dans la Résistance. Le Service Secret Britannique d'Action (SOE) en France 1940-1944, annot. Jean-Louis Crémieux-Brilhac, Tallandier, 2008[74],[75]
  • Hugh Verity, Nous atterrissions de nuit..., 5e édition revue et augmentée, éditions Vario, 2004[76]
  • Peter Churchill, Missions secrètes en France, 1941-1943, Presses de la Cité, 1967[77]
  • Thomas Rabino, article « André Girard », in Dictionnaire historique de la Résistance, Robert Laffont, 2006.
  • Thomas Rabino, Le Réseau Carte : histoire d'un réseau de la Résistance antiallemand, antigaulliste, anticommuniste et anticollaborationniste, Paris, Perrin, , 398 p. (ISBN 978-2-262-02646-2).
  • Thomas Rabino, Entretien avec Danièle Delorme, in « Histoires(s) de la dernière guerre [1939-45, au jour le jour] », bimestriel, no 09, janvier-, p. 4-7.
  • Michel Roger Augeard, Melpomène se parfume à l'Héliotrope, Jean-Claude Lattès, [78]

Liens externes

Notes et références

  1. « Archives d'Indre-et-Loire », sur touraine.fr (consulté le ).
  2. « Notice », sur www.fondationresistance.org
  3. Thomas Rabino, Le Réseau Carte : histoire d'un réseau de la Résistance antiallemand, antigaulliste, anticommuniste et anticollaborationniste, Paris, Perrin, , 398 p. (ISBN 978-2-262-02646-2), p. 14
  4. Mairie de Chinon, service de l'état civil, registres des naissances
  5. En mars 2009 la galerie Thierry Mercier a exposé 58 de ses dessins datés de 1920 (Exposition André Girard)
  6. « Girard 1925 Expo Poster », sur www.modernism.com
  7. « A. N. Girard category », sur www.allposters.com
  8. « An. Girard », sur hprints.com
  9. « affiche Dubonnet », sur www.atelier.angirard.com
  10. (en) « Radio/Phono/TV Advertising Art 1918-1974 », sur www.grillecloth.com
  11. (en) Capehart, a luxury home radio-phonograph popular in the 1930s and 1940s
  12. « Publicité Shell », sur www.atelier.angirard.com
  13. « Zino Francescatti (1902-1991): le chant du violon Par Charles de Couëssin,Gaëtane Prouvost », sur books.google.fr
  14. Thomas Rabino, Le Réseau Carte : histoire d'un réseau de la Résistance antiallemand, antigaulliste, anticommuniste et anticollaborationniste, Paris, Perrin, , 398 p. (ISBN 978-2-262-02646-2), p. 48
  15. « Zino Francescatti (1902-1991) : le chant du violon Par Charles de Couëssin,Gaëtane Prouvost », sur books.google.fr
  16. « Traits noirs par Thierry Gandillot (L'Express), publié le 27 juin 2005 », sur www.lexpress.fr
  17. « Série BD Hitler Staline et Compagnie », sur www.bdnet.com
  18. « Les Fauves: a sourcebook - Numéro 17 de Art reference collection », sur books.google.fr
  19. « 1940-41 Antibes, les nus.... », sur www.atelier.angirard.com
  20. Louba est le prénom de sa femme
  21. « Mémoires du chef des services secrets de la France libre Par Passy (colonel),Colonel Passy,Jean-Louis Crémieux-Brilhac (p. 417) », sur books.google.fr
  22. (en) « SOE Archives », sur home.ca.inter.net
  23. « Le réseau Carte par Jean-Pierre HUSSON », sur www.cndp.fr
  24. [PDF]« Germaine Sablon (1899-1985) », sur www.lehall.com
  25. « Joseph KESSEL (1898-1979) », sur www.academie-francaise.fr
  26. « Nous n'avons pas joué: l'effondrement du réseau Prosper 1943 Par John Vader », sur books.google.fr
  27. « UN POÈTE DANS LA RESISTANCE », sur www.moncelon.com
  28. « Imbert, Joseph », sur www.patrimoine.ville-arles.fr
  29. Olivier Wieviorka, « Le désastre Carte », Une histoire de la Résistance en Europe occidentale, Paris, Perrin, 2017, p. 141-144.
  30. (en) « Radio London and resistance in occupied Europe : British political warfare 1939-1943 par Michael Stenton », sur books.google.fr
  31. Thomas Rabino, Le Réseau Carte : histoire d'un réseau de la Résistance antiallemand, antigaulliste, anticommuniste et anticollaborationniste, Paris, Perrin, , 398 p. (ISBN 978-2-262-02646-2), p. 278-279
  32. Opération : STEWARD ; appareil : Hudson ; pilotes : wing commander Pickard, plt Off Taylor, flg Off Figg ; terrain : 11 km SE d'Arles, Les Chanoines ; personnes amenées (1) : Claude Lamirault ; personnes remmenées (7) : André Girard, Cl. Malagutti, Maroselli (père et fils), Jean Nohain « Jaboune », Pierre Vautrin, Sydney Jones. [Source : Verity, p. 261]
  33. O. Wieviorka, op. cit., p. 144.
  34. « Arles et la résistance », sur www.centre-resistance-arles.fr
  35. Thomas Rabino, Le Réseau Carte : histoire d'un réseau de la Résistance antiallemand, antigaulliste, anticommuniste et anticollaborationniste, Paris, Perrin, , 398 p. (ISBN 978-2-262-02646-2), p. 310-311
  36. Information à vérifier. Rabino a écrit : Medal of Merit.
  37. « Special Forces - Roll Of Honour », sur www.specialforcesroh.com
  38. (en) « Saint Ann Chapel - Chapel History », sur www.saintannchapel.org
  39. « La peinture en mouvement », sur www.atelier.angirard.com
  40. « HALLMARK HALL OF FAME: A CHRISTMAS FESTIVAL (TV) », sur www.paleycenter.org
  41. (it) « Grandi amicizie: i Maritain e i loro contemporanei Par Piero Viotto », sur books.google.fr
  42. « Œuvres complètes, Volume 10 Par Jacques Maritain,Raïssa Maritain », sur books.google.fr
  43. The Hollywood hall of shame : the most expensive flops in movie history, Perigree Books, 1984 - (ISBN 0399507140) (ISBN 9780399507144)
  44. (es) « Jesucristo en el cine Par Alfonso Méndiz », sur books.google.fr
  45. (en) « Archives New York Times September 4, 1968, Wednesday », sur select.nytimes.com
  46. « Trois voiliers venant du Lido allant à Venise », sur www.atelier.angirard.com
  47. « Palais des Doges à Venise », sur www.atelier.angirard.com
  48. « Quai des Esclavans à Venise », sur www.atelier.angirard.com
  49. « Chanteuse à Harlem », sur www.atelier.angirard.com
  50. « Visions de l'Apocalypse : le Cheval », sur www.atelier.angirard.com
  51. (en) « The Art Institute of Chicago - About This Artwork », sur www.artic.edu
  52. (en) « Life du 8 novembre 1948 », sur books.google.com
  53. « Chemin de Croix », sur www.galeriemadaba.fr
  54. [PDF]« François Côté, libraire Supplément au Catalogue 39 – Automne 2009 – Transat (p. 4) », sur www.bibliopolis.net
  55. (notice BnF no FRBNF32168325)
  56. Note de l'éditeur signée : Robert Tenger
  57. (notice BnF no FRBNF34190549)
  58. (notice BnF no FRBNF39956193)
  59. (notice BnF no FRBNF39123512)
  60. (en) « The Library of Congress - Notice », sur lccn.loc.gov
  61. (en) « The Library of Congress - Notice », sur lccn.loc.gov
  62. (notice BnF no FRBNF39837930)
  63. (en) « Bridgeman - Poster advertising a performance by Lucienne Boyer (1901-83) at the Palais des Fetes de Roanne, 1936 (colour litho) », sur www.bridgemanart.com
  64. « Notice », sur www.cineressources.net
  65. (en) « Bridgeman - Tino Rossi », sur www.bridgemanart.com
  66. (en) « Bridgeman - Poster advertising 'Columbia Records' depicting Mireille (1906-96) (colour litho) », sur www.bridgemanart.com
  67. « Marianne Oswald », sur www.atelier.angirard.com
  68. « L'Express, Numéros 1421-1433 », sur books.google.fr
  69. « Revue historique vaudoise, Volume 109 », sur books.google.fr
  70. (notice BnF no FRBNF39837928)
  71. IMDB
  72. (en) « Archives New York Times December 13, 1959, Sunday », sur select.nytimes.com
  73. (en) « Archives New York Times November 11, 1968, Monday », sur select.nytimes.com
  74. (notice BnF no FRBNF41218078)
  75. Traduction en français par Rachel Bouyssou de (en) SOE in France. An account of the Work of the British Special Operations Executive in France, 1940-1944, London, Her Majesty's Stationery Office, 1966, 1968 ; Whitehall History Publishing, in association with Frank Cass, 2004.
    Ce livre présente la version officielle britannique de l’histoire du SOE en France. Une référence essentielle sur le SOE en France.
  76. (notice BnF no FRBNF39251250)
  77. (notice BnF no FRBNF32950930)
  78. (ISBN 978 2 7096 3573 8)
  • Portail de l’histoire de l’art
  • Portail de la peinture
  • Portail de la Résistance française
  • Portail des États-Unis
  • Portail de l’animation
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.