Liste de personnalités liées à Boulogne-Billancourt

Beaucoup de gens célèbres sont nés à Boulogne, sans avoir avec cette ville de liens particuliers, ni vécu ni travaillé à Boulogne, du simple fait que la ville accueillait, rue du Belvédère, dans l'ancien hôtel du Duc de Morny, une maternité de luxe, aujourd'hui remplacée par une clinique spécialisée.

Savants et pédagogues

Chercheurs

Ethnologues et sociologues

Historiens

  • Paul Marmottan (1856-1932), historien et documentaliste autodidacte, fondateur de la Bibliothèque Marmotan à Boulogne, destinée à la conservation et la recherche sur les archives de l'Europe napoléonienne.
  • Salomon Reinach, archéologue qui influença Freud par son histoire des religions. La rue où il habita de 1911 à sa mort porte aujourd'hui son nom.
  • Michel Pastoureau, médiéviste qui a pris sa retraite en 2013 au Parc des Princes.

Ingénieurs

Médecins

Pédagogues

  • Lady Lydia Detterding, née Pavlovna, épouse du magnat du pétrole Henri Deterding et promotrice en France et en Russie d'écoles de jeunes filles, dont le gymnase russe de Boulogne.
  • Princesse Zénaïde Youssoupoff, fondatrice du gymnase[note 1] russe, aujourd'hui collège Dupanloup, dans l'hôtel Chauveau devenu son hôtel particulier en 1917.
  • Marie-Aimée Niox-Chateau (-1987) pédagogue française montessorienne, fondatrice de la Nouvelle école de Boulogne.
  • Gaël de Kerret, professeur d'art lyrique au Conservatoire à Rayonnement Régional de Versailles et directeur du festival de musique "Valloire baroque"

Artistes plasticiens

Cinéastes et photographes

Peintres

Architectes

Sculpteurs

  • Frédéric Auguste Bartholdi, sculpteur parisien dont l'atelier principal était 38 rue Vavin, acquit en 1880, deux ans après l'exposition au Champ de Mars de la tête de la Statue de la Liberté, une résidence au Parc des Princes à Boulogne, 31 rue Gutenberg[11]. Il devint ainsi voisin de Jean-Baptiste Emile Gaget, dans les ateliers parisiens duquel, 25 rue de Chazelles, fut réalisé, de 1875 à 1884, la statue.
  • Paul Belmondo, sculpteur parisien dont les œuvres ont été léguées à Boulogne.
  • Joseph Bernard, sculpteur qui a réalisé la frise intitulée La Danse dont la copie orne le salon d'honneur de l'hôtel de ville et s'installa les dix dernières années de sa vie 24 avenue des Princes, actuelle avenue Robert Schuman, dans une maison construite en 1880 et aménagée dans les années vingt par Ruhlmann, derrière laquelle Charles Plumet a élevé un atelier, propriété de la municipalité depuis 1990.
  • Max Blondat, sculpteur, habitant du Parc des Princes.
  • Siméon Foucault (1884-1923), sculpteur, prix de Rome 1912.
  • Jacques Gestalder, sculpteur dont l'atelier était 8 villa Buzenval.
  • Dora Gordine, sculptrice, dont l'atelier était 21 rue du Belvédère.
  • Akop Gurdjan, sculpteur.
  • Nathan Imenitoff, sculpteur de l'École de Paris, dont l'atelier était 54 rue du Château.
  • Paul Landowski, sculpteur dont l'atelier et la maison était 10 rue Max Blondat.
  • Jacques Lipchitz, sculpteur installé de 1925 à 1940 9 allée des Pins dans un atelier construit à sa demande par Le Corbusier.
  • Marcel Loyeau, sculpteur dont une œuvre, place Denfert Rochereau, marque l'entrée de la rue où il habitait avec sa femme, le peintre Jeanne Morange, et qui porte aujourd'hui son nom.
  • Oscar Miestchaninoff (1886-1956), sculpteur dont l'atelier était 7 rue des Arts.
  • Paul Moreau-Vauthier, sculpteur dont admire le Rire, square Léon Blum, et le monument des Fédérés au Père-Lachaise.
  • Jean-Louis Raina (1929-2019), peintre et sculpteur, élève de Maurice de Bus, auteur de nombreuses œuvres monumentales, installé à Boulogne depuis la fin des années cinquante.
  • Paul Troubetzkoy, sculpteur russe, dont l'atelier était rue Gutenberg.

Dessinateurs et autres plasticiens

Artistes de la scène

Instrumentistes

Compositeurs

Chefs d'orchestre

Rappeurs

DJ

Chanteurs

Comédiens

Magicien

Humoristes

Écrivains et journalistes

Poètes

Romanciers

Philosophes

Musicologue

Journalistes

Personnalités politiques

Souverains fondateurs

  • Adélaïde, reine de France, seigneur de Montmartre, ayant obtenu en 1134 la séparation du village des Menuls, futur Boulogne, du bourg d'Auteuil et initié sa vocation viticole.
  • Constance de Castille, reine de France, vraisemblablement donatrice de la première église du village des Menuls[16].
  • Sainte Isabelle, fondatrice de l'abbaye de Longchamp sur le terrain communal du futur Boulogne (approprié en 1860 par Paris) et instigatrice de la première charte reconnaissant la communauté villageoise, accordée en 1260 par son frère Saint Louis.
  • Philippe le Long, fondateur de Notre Dame de Boulogne et de la paroisse de Boulogne La Petite en 1330 où il est décédé deux ans plus tard.
  • Henri II, constructeur des portes du Bois de Boulogne et de l'enceinte séparant définitivement le village du bois jusqu'alors exploité par les boulonnais.
  • Louis XIV, constructeur du premier axe du village (actuel avenue Jean Baptiste Clément), du premier pont de Sèvres et de la route y conduisant (actuelle rue du Vieux Pont de Sèvres).
  • Marie Antoinette, constructeur sur sa cassette personnelle d'un des principaux axes actuels, qui porte son titre (route de la Reine).
  • Napoléon Ier, constructeur, sur son décret, du nouveau pont de Sèvres, en pierre.
  • Napoléon III, fit exécuter par son préfet Haussmann en 1860 la spoliation de Longchamp, la réunification de Boulogne et de Billancourt et la construction d'un axe les reliant (actuel boulevard Jean Jaurès, principale rue de la ville).

Personnages historiques

Politiciens contemporains

Entrepreneurs

Financiers

  • Pierre Deschiens, principal traitant sous Louis XIV et, semble-t-il, premier propriétaire foncier privé de Boulogne en son temps, à l'origine des prémisses de l'urbanisation de village.
  • Joseph Fleuriau, seigneur d'Armenonville, secrétaire (ministre) aux finances de Louis XIV, fit construire vers 1702 à l'emplacement de l'actuel hôpital Ambroise Paré, sa résidence à l'origine du parc Rothschild et des lotissements alentour.
  • Marthe Hanau, la Banquière, promotrice associée à Émile de Girardin de la cité Georges Sorel derrière la poste centrale, habitante de la rue de la Tourelle.
  • Albert Kahn, banquier et collectionneur philanthrope.
  • Nicolas Mollien, contrôleur des finances sous Louis XVI, ministre du Trésor Public sous Napoléon, promoteur d'une comptabilité nationale en partie double, résident en villégiature dans son domaine de quatre hectares autour de l'actuelle rue Mollien qu'il céda à la veuve Fessart.
  • Jacob Rothschild, banquier, acquéreur des terrains d'Armenonville (futur château Rothschild) et de ceux à l'origine du stade Le Gallo et alentours.

Industriels

  • Ernest Archdeacon, fondateur de l'Aéro-Club de France qui inventa à Boulogne l'aéromotocyclette, l'hydravion (avec Gabriel Voisin) et le hors-bord et y fit sur la Seine les premiers essais des deux derniers.
  • Denis Auboyer, inventeur en 1984 du sous-titrage laser, gérant du groupe de post-production Monal (CMC, LVT, RGB - Rive Gauche Broadcasting, Elude, Digimage etc.)
  • Marcel Dassault, dont la première usine, ouverte en 1914 à l'angle de la rue Danjou et de la rue du vieux Pont de Sèvres (actuelle rue Marcel Dassault) pour fournir des hélices en bois aux usines Kelner, prototypa en 1950 le premier avion à réaction français, l'Ouragan.
  • Bernard Decré, patron d'une compagnie d'hélicoptères et fondateur du Tour de France à la voile.
  • Robert Esnault-Pelterie, physicien, inventeur de l'aileron d'avion, du manche à balai, du moteur en étoile, du réacteur de propulsion et de la fusée à combustible liquide dans son laboratoire REP rue Brégère, aujourd'hui Esnault-Pelterie.
  • Dick, Henri et Maurice Farman, fondateurs de la Société générale des transports aériens rue de Silly, qui fusionnera pour donner Air France.
  • Joseph Frantz, pilote d’essai, premier à abattre un avion allemand en 1914, fondateur en 1920 au 25 avenue des Moulineaux (aujourd'hui angle de la rue de Seine et de l'avenue Pierre-Grenier) d'un atelier de réparation de moteurs d’avions devenu en 1924 usine de traitement de surface des métaux, dédoublé au début des années 1960 au 7 rue Nationale.
  • Jean-Baptiste Emile Gaget, repreneur avec Gauthier en 1875 des établissements parisiens Monduit et Béchet, première chaudronnerie (25 000 mètres carrés de couverture par an), habitait rue Gutenberg. Il réalisa en particulier la Statue de la Liberté dont les miniatures, distribuées à l'inauguration, sont à l'origine de la diffusion du terme, prononcé à l'anglaise, de gadget[18], dont l'étymologie elle-même reste cependant méconnue[19].
  • Marcel Hanriot (et non Henriot, 1894-1986), constructeur aéronautique dont l'usine, 84 rue d'Issy, produisit, de 1909 à 1939, soixante modèles d'avions.
  • Henry Kapférer, pionnier de l'aéronautique fit sa carrière à Boulogne et y mourut.
  • Georges Kellner, immigré autrichien qui ouvre en 1906 à Billancourt, 185 avenue Édouard-Vaillant, une usine ultramoderne de 20 000 mètres carrés pour son atelier parisien de carrosserie de prestige.
  • Jacques Kellner, fils du précédent et habitant du XVIe, constructeur aéronautique rue du vieux Pont de Sèvres de 1915 à 1937 qui bénéficia de la collaboration de Guynemer pour lequel il réalisa le SPAD avec des hélices Dassault puis cofondateur en 1931 avec son ingénieur Louis Béchereau de l’avionneur Kellner-Béchereau, chef du réseau de résistance Alibi en 1940, fusillé au Mont Valérien avec son ami Georges Paulin.
  • Louis Renault, industriel qui eut une influence décisive sur l'économie française et la ville de Boulogne.
  • Colonel Charles Renard, meudonnais fondateur à Boulogne, rue de Bellevue, avec son frère, le commandant Paul Renard, de la société des trains Renard. Le savoir-faire technique de cette usine est une des principales origines de l'industrialisation des autres ateliers boulonnais.
  • Emile Salmson, ingénieur mécanicien dont les usines, détruites lors de la Seconde Guerre mondiale, étaient aux Longs Prés.
  • Armand Seguin chimiste, fondateur d'une manufacture de tannage sur l'île Madame, anciennement de Sève, qui a pris son nom depuis
  • Paul-Adolphe Souriau, ingénieur fondateur de l'entreprise d'électronique Souriau, devenue filiale de Framatome.
  • Édouard Surcouf, aérostier qui transféra en 1900 les Ateliers du Champ de Mars rue de Bellevue, première industrie aéronautique à Boulogne, où Gabriel Voisin se formera au dessin industriel et qui deviendra la Société Astra de Constructions Aéronautiques.
  • Gabriel Voisin, inventeur, avec Ernest Archdeacon, de l'hydravion et fondateur avec son frère Charles de la société Automobiles Avions Voisin, rue de la Ferme.
  • Michel Wibault, ingénieur aéronautique, concepteur des avions de chasse modernes et en particulier de la poussée vectorielle, avait entre 1919 et 1931 son bureau d'études puis atelier, la SAMW, à Billancourt.

Hommes d'affaires

Cuisiniers

Sportifs

Pilotes

Cyclistes

Coureurs à pied

  • Ahmed Boughéra El Ouafi, marathonien, champion olympique en 1928, décolleteur chez Renault qui s'entrainait au COB, le club de son employeur.
  • Michel Jazy, plusieurs fois champion du monde à la course sur longues distances, formé initialement au COB, Club Olympique de Billancourt.

Escrime

  • Romain Cannone, épéiste, champion olympique à Tokyo en 2021, né à Boulogne-Billancourt en 1997.

Patineurs sur glace

Joueurs de balle

Héros

Guerre de 70

  • Capitaine Couchot (1847-1871), jeune boulonnais, père de famille sans fortune[20], engagé volontaire pendant le siège de Paris en novembre 1870 comme officier des gardes nationaux dans le 72e bataillon de marche, aussitôt envoyé au front dans les tranchées de Bondy, vainqueur d'une tranchée ennemie le pendant la bataille de Buzenval, mort sabre au clair avec deux de ses lieutenants de dix sept ans et leurs sections le sur les hauteurs dominants sa ville natale après avoir reçu l'ordre de retraite. L'ensemble du bataillon eut quatre-vingts morts ou blessés. Leur vaillance força l'admiration des officiers d'active prussiens qui le dirent au cours des pourparlers. Cet exemple, parmi d'autres, de courage donné par les « citoyens soldats » provoquera un espoir de résistance et un sentiment d'unité nationale qui détermineront les Fédérés à refuser l'armistice en vigueur à partir du , entrainant l'insurrection de le Commune initialement soutenue par le maire d'Auteuil Henri Martin et conduite militairement par le général Dombrowski au Point du Jour. Il sera célébré par la municipalité chaque année jusqu'en 1914 au cours d'un cortège commémoratif à la Colonne Buzenval et en 1881 par le nom de deux rues, la rue de Buzenval, renommée Anna Jaquin en 1938, et la rue Couchot[21].

Membres de réseaux de Résistance

  • Constant Le Maître, salarié chez Renault, un des organisateurs de la Résistance dans les usines, arrêté en 1942, déporté à Mauthausen où il est décédé dans l'année, laissant une veuve, un fils et une fille.
  • Marcel Bontemps (1913-1992) mécanicien automobile chez Renault, prisonnier évadé en 1940 entre en résistance dès 1941 par des actions de sabotage. Lieutenant, résistant à titre militaire, il organise le maquis dans le morvan en 1944. Il fait passer dans la clandestinité des réfractaires au STO pendant que son épouse, Simone héberge des évadés. En 1944, il livrait à un maquis du morvan une auto-mitrailleuse volée à la sortie des usines Renault, au nez et à la barbe des autorités allemandes. Médaille de la résistance, Légion d'honneur . Conseiller municipal pendant 2 mandats à la Mairie de Boulogne-Billancourt[22].
  • Raymond Delbeke (1911-1961), Combattant et Résistant 1939-1945, assassiné par un terroriste le à Boulogne-Billancourt.
  • Georges Libert, pilote de la Croisière Noire puis d'Air Bleu, affecté en 1941 à l'admninistration civile de l'aviation à Vichy, il se sert de sa position pour transmettre des renseignements à la Résistance puis rejoint en juillet 1943 par avion la France Libre à Londres, d'où il conduira des missions consistant à déposer en avion des agents de renseignement en zone ennemie. Il habitait Boulogne après guerre.
  • Maurice Brasdu, curé de la paroisse de Saint Thérèse de l'Enfant Jésus durant l'Occupation, déclaré le Juste parmi les nations pour avoir contribuer avec Monseigneur Brache et le pasteur Henri Roser au sauvetage de six personnes persécutées par le régime de Vichy édictant le statut des Juifs

Fusillés au Mont Valérien

FTP & FFI morts les armes à la main

Plaque commémorative à Robert Pères, quai du Quatre septembre.
  • Maurice Péan, trouvé en possession d'une arme parmi les otages arrêtés en par les Allemands en représailles d'une attaque contre l'l'arsenal de l'île Saint-Germain, brutalisé, tué, puis jeté à la Seine[24].
  • Monsieur Domont, idem.
  • Raymond Musset, idem.
  • Pierre Mazabraut, tué dans les mêmes circonstances par le prêtre sous-officier Aloys Bauer sur ordre du major Balzer et du feldwebel Ross.
  • Robert Pères, chef du groupe Libération-Nord de Boulogne-Billancourt, tué sur le pont de Saint-Cloud.
  • Michel Farkas, tué le les Allemands ou la Milice[24].
  • Jacques Héros, tué à une date incertaine.
  • Roger Hadoux, idem.
  • Emile Pelletier, idem.
  • Henri Riant, idem.
  • Pierre Hofberger, 17 ans, membre des FTP des HBM de l'Avre, tué dans la matinée du avenue des Moulineaux, actuelle avenue Pierre Grenier, par une patrouille allemande.
  • Pierre Lorrain, 54 ans, directeur des ateliers et services d'entretien des usines Renault depuis 1929 et ex lieutenant de vaisseau, tué au petit matin du sur le navire de maintenance de l'île Seguin par une rafale de mitraillette au moment où il fait envoyer le pavillon tricolore[24].
  • Henri Bizet, 21 ans, FFI tué le à l'entrée du pont d'Issy alors qu'à dix heures le sous groupe Massu de la 2e DB franchit le pont de Sèvres.
  • Pierre Poli, tué le alors que son groupe harcèle depuis les HBM de l'Avre la garnison de l'arsenal de l'île Saint-Germain.
  • Louis Lazennec, tué le dans les mêmes circonstances au bas de la rue de Seine.
  • André Carof, 44 ans, tué le en ville.

Criminels

  • Renée Colonnier, assassin en 1934 de sa tante, avec laquelle elle habite 46 avenue Victor Hugo, au cours d'une bouffée délirante aigüe[25].
  • Jacques Mesrine, qui fut arrêté après plusieurs saisons de braquages internationaux le à son domicile de Boulogne.
  • Jocelyne Deraiche, sa compagne arrêtée en même temps et relâchée cinq jours plus tard. Amoureuse passionnée et trompée, elle finira par le rejoindre dans des crimes d'évasion[26].
  • Nordahl Lelandais, né à Boulogne Billancourt en 1985.

Notes

Remarques

  1. Ensemble scolaire allant de la maternelle au lycée
  2. L'établissement, aujourd'hui fermé, se prolonge dans ceux de ses élèves, L’École Internationale de Mimodrame de Paris Marcel Marceau dans le Xe arrondissement, Le Théâtre de l'Ange Fou à Londres, L'Atelier de Belleville dans le XXe arrondissement.

Sources

  1. M. Gorboff, Premiers contacts: des ethnologues sur le terrain, p. 156, L'Harmattan, Paris, 2003, (ISBN 2-7475-4810-4).
  2. J. Simon, Répertoire des bibliothèques publiques et privées contenant des manuscrits éthiopiens in Revue de l'Orient Chrétien 1931-1932 sous la direction de R. Graffin, v. 28, p. 119, Bureau des Œuvres de l'Orient, Paris, 1932.
  3. « Sternfeld Marcel», Yad Vashem, 2005.
  4. Boulogne-Billancourt Information, p. 61, Boulogne-Billancourt, décembre 2018.
  5. Isabelle Choko, Mes Deux vies, Coll. Témoignage, Caractères, Paris, février 2005, 224 p. (ISBN 978-2-85446-374-3).
  6. G. Szwec, Association Institut de Psychosomatique Pierre Marty « Hommage au professeur Léon Kreisler »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?)
  7. Hanhart Joel, Haffkine, une esquisse : biographie intellectuelle et analytique de Waldemar Mordekhaï Haffkine., oai:serval.unil.ch:BIB_F2AF8A55848A .
  8. D. Couvreur, Bruxelles ville lumière, Le Soir, Bruxelles, 2 décembre 1993.
  9. Fiche sur le site de la Cité Montmartre.
  10. A. Crassat, Oléolé' exposition à l'Espace Landowski, Service culturel de la Mairie, Boulogne-Billancourt, janvier-mars 2011.
  11. BBI, p. 29, Archives municipales, Boulogne-Billancourt, octobre 2004 BBI 10/2004.
  12. Propos recueillis par Eliane Azoulay, « Ravi Shankar, le maître du sitar, est mort », Télérama, (lire en ligne, consulté le ).
  13. L. Pierre-Quint, André Gide, I 3 & III Avec Édouard Ducoté, Stock, Paris, 1952.
  14. « Histoire du Club », sur acbb.org (consulté le )
  15. J. Noettinger, Air & Cosmos no 1263, 16 décembre 1989.
  16. Cf. Chapelle Saint Gemme in Histoire détaillée de Boulogne
  17. FAIVRE (Mario) Nous avons tué Darlan, La Table Ronde, (1975)
  18. H. Demory, La liberté éclairant le monde in Le Village d'Auteuil et de Passy no 553, Bibliothèque Historique de la Ville de Paris, Paris, février 2003, Site d'Hubert Demory.
  19. gadget - Wiktionnaire
  20. Conseil municipal, Compte rendu des délibérations du 14 novembre, Archives municipales, Boulogne Billancourt, 1881.
  21. E. Couratier, Les rues de Boulogne Billancourt, Chapitre Chemin de la Madeleine, Société historique de Boulogne-Billancourt (dépôt Archives municipales de Boulogne-Billancourt), 1962.
  22. Archives Mairie de Boulogne-Billancourt, Musée de la résistance nationale à Champigny.
  23. E. Couratier, Les rues de Boulogne Billancourt, Chapitre Avenue Pierre Grenier, Société historique de Boulogne-Billancourt (dépôt Archives municipales de Boulogne-Billancourt), 1962.
  24. G. Primout, La libération de Paris, 2013-2015.
  25. A. M. Garagnon & J. Zinetti, L'Affaire de Boulogne, L'Harmattan, Paris, juillet 2019 (ISBN 978-2-343-16313-0).
  26. J. Deraiche, J'ai tant aimé Mesrine, Stanké, Montréal, 1979.
  • Portail des Hauts-de-Seine
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.