Unterseeboot

Le terme U-Boot (abréviation d'Unterseeboot qui signifie sous-marin en allemand, au pluriel U-Boote selon la graphie allemande, ou U-Boots selon la réforme de l'orthographe de 1990) désigne les sous-marins allemands des deux guerres mondiales. Ils sont surtout célèbres pour leurs campagnes d'attaques de convois de ravitaillement partant des États-Unis et du Canada pour l'Europe.

U-36, photo de 1936.

Le terme d'U-Boot est généralement utilisé en français pour désigner :

Les marines de guerre allemandes successives ont appelé leurs sous-marins par une dénomination commençant par un U suivi d'un nombre.

Première Guerre mondiale

Les U 52 et U 35 en surface en 1916.
Construction du SMS Vulkan en 1907. Ce navire de surface servit de bâtiment de soutien aux U-Boots durant la Première Guerre mondiale.

Dans la marine impériale allemande, le premier sous-marin (U-1) a été livré en . Lorsque la guerre éclate en , elle en aligne 28.

Les U-Boots[1] furent lancés dans une guerre sous-marine « totale » (sans distinction de la nationalité du navire, et sans faire de différence entre navires civils et militaires) au début de la guerre. Le , le U-9 torpille trois croiseurs britanniques en mer du Nord. En , le U-20 coula le paquebot RMS Lusitania. Des 1 195 personnes qui périssent à la suite de ce torpillage, 123 étaient des civils américains (les chiffres donnés sur la page Lusitania sont légèrement différents), dont un célèbre producteur de théâtre et un membre de la famille Vanderbilt. Parmi les victimes, se trouve aussi Marie Depage, épouse du docteur Antoine Depage, médecin-chef de l'hôpital militaire belge de l'Océan et infirmière dans les services médicaux de l'armée belge luttant sur le front de l'Yser. Elle venait de faire une tournée de conférences dans plusieurs villes des États-Unis où la cause belge suscitait les sympathies depuis les massacres subis par les civils belges lors de l'invasion allemande de 1914. La personnalité de plusieurs victimes et aussi le fait que de nombreux civils américains soient morts dans le torpillage, alors que les États-Unis sont encore neutres en 1915, sont les causes d'un fort ressentiment dans l'opinion publique américaine envers l'Allemagne. Le président américain Woodrow Wilson menace l'Allemagne et exige réparation. Pour éviter que les États-Unis n'entrent en guerre aux côtés des alliés, l'Allemagne suspend ses attaques sous-marines contre les bateaux neutres.

Toutefois, l'Allemagne annonce, près de deux ans plus tard, le , que ses U-Boots vont engager à nouveau une guerre sous-marine totale. L'opinion américaine ayant entre-temps évolué dans un sens plus favorable à l'entrée en guerre des États-Unis, cette décision est prise comme une déclaration de guerre par les Américains. C'est un facteur déterminant dans l'entrée en guerre des États-Unis aux côtés des alliés le suivant.

En 1918, la technologie a fait des progrès importants et les sous-marins ont atteint un niveau qui les rapproche de celui qu'ils auront en 1940. La classe U-139 fait ainsi 2 000 tonnes et plonge à 75 mètres.

Sur les 375 U-Boots opérant durant la Première Guerre mondiale, 274 U-Boots coulèrent 6 394 navires marchands représentant 12 800 733 tonneaux et une centaine de navires de guerre représentant 366 490 tonnes.

229 ont été perdus dont 178 en opérations et sur 13 000 officiers et matelots ayant servi dans les U-Boots, 515 officiers et 4 849 marins ont trouvé la mort au combat, soit 40 % des effectifs[2].

La Kaiserliche Marine utilisa plusieurs types de U-Boots suivant les évolutions technologiques :

Le nombre de U-Boots construits est donné entre parenthèses.

  • U-Boote construit pour l'exportation
    • U 66 (5), UA (1)
  • U-Boote avec motorisation essence
  • U-Boote océanique d'attaque avec motorisation Diesel
  • U-Boote de croisière et marchands
    • U 151 (7), U 139 (3), U 142 (1)
  • U-Boote côtiers UB d'attaque
  • U-Boote côtiers UC mouilleurs de mines
  • U-Boote océanique UE mouilleurs de mines

Au total, de 1906 à 1918, dix chantiers navals dans cinq villes furent sollicités pour la construction des U-Boots.

Chantier naval Ville Nbre d'U-Boote construits
AG WeserBrême81
Atlas WerkeBrême1
Blohm & VossHambourg89
Bremer Vulkan-Vegesacker WerftBrême-Vegesack8
Flensburger Schiffbau-GesellschaftFlensbourg2
GermaniawerftKiel84
Kaiserliche WerftDanzig46
Reiherstiegw.Hambourg3
H. C. Stülcken SohnHambourg1
VulcanHambourg69
Chantiers inconnus ??27

La production des 375 U-Boote œuvrant dans la Kaiserliche Marine s'est étalée comme suit :

Année Nbre d'U-Boote construits
19061
19081
19092
19104
19115
19125
19136
191415
191551
1916108
191787
191890

Seconde Guerre mondiale

Les U-Boots furent une composante majeure de la seconde bataille de l'Atlantique, qui dura jusqu'à la fin de la guerre. La stratégie de l'amiral Dönitz, Befehlshaber der U-Boote (BdU - commandant des U-Boots) était d'étrangler le Royaume-Uni qui continuait le combat contre l'Allemagne nazie, en coulant les navires qui traversaient l'Atlantique pour la ravitailler.

Les premiers mois de la guerre virent les U-Boots accumuler les succès. Fin 1939, l'U-47 commandé par Günther Prien, se jouant de toutes les défenses, pénétrait dans la baie de Scapa Flow (au nord de l'Écosse), base navale de la Home Fleet britannique, et coulait le cuirassé Royal Oak. Le public découvrit, outre Prien, les autres as de cette guerre sous-marine, dont Churchill dit, plus tard, qu'il fut le seul péril qu'il redouta réellement pendant la guerre : Kretschmer, Schepke, Endrass…

En quittant, après et l'occupation de la France, leur base de Wilhelmshaven pour cinq bases sur le littoral atlantique français : Brest, Lorient, Saint-Nazaire, La Pallice (La Rochelle) et Bordeaux, les U-Boots accrurent également considérablement leur rayon d'action, tout en évitant la mer du Nord et la Manche, zones à la fois dangereuses et pauvres en cibles.

À la tactique des convois mise en œuvre par l'amirauté pour protéger les cargos, Dönitz répliqua en groupant ses « Loups gris » en meute. Lorsqu'un sous-marin ou un avion de reconnaissance (Condor) avait repéré un convoi, il indiquait sa position au BdU qui lançait alors à la poursuite du convoi les sous-marins présents dans la zone. Une fois réunis, ils lançaient alors des attaques meurtrières sur des convois insuffisamment protégés.

Immédiatement après l'entrée en guerre des États-Unis, l'opération Paukenschlag coup de timbale ») marqua l'apogée des succès des sous-mariniers allemands : la zone au large des côtes nord-américaines sous juridiction américaine, où les cibles étaient jusque-là non menacées parce que les U-Boots n'y entraient pas, devint, entre la fin 1941 et le printemps 1942, un champ de tir aux pigeons pour les sous-mariniers. Les navires qui naviguaient sans protection, ou protégés par des escortes aux équipages inexpérimentés, furent coulés par centaines. En effet, les navires américains naviguaient de manière isolée et non en convoi comme leur avaient pourtant recommandé les autorités britanniques[3]. Bilan : sur la seule période des 6 premiers mois de l'année 1942, le tonnage des navires alliés coulés atteint 2,5 millions de tonnes dont 800 000 tonnes pour le seul mois de . Or les Alliés estimaient ne pouvoir compenser que 700 000 tonnes par les constructions nouvelles[3].

Ces temps heureux pour la Kriegsmarine prirent fin au milieu de 1942. Sur le plan technique, les Alliés utilisaient mieux l'asdic (ancêtre du sonar). Ils découvrirent ensuite la machine à chiffrer Enigma (M3) et ses codes, en capturant le , le sous-marin U-110 que son commandant n'avait pas réussi à saborder après avoir été mis hors de combat. Les progrès du radar rendirent possibles les repérages, de jour comme de nuit, des sous-marins en surface, et, plus tard, de leur schnorchel (invention néerlandaise) ou de leur périscope lorsqu'ils étaient en navigation sous-marine. Le rayon d'action des avions et hydravions de patrouille maritime et leur armement anti-sous-marin allait toujours s'améliorant, couvrant progressivement la totalité de l'Atlantique nord. Sur le plan militaire, les chantiers navals et les usines américaines rendirent disponibles toujours plus de liberty ships, d'escorteurs et d'avions ; l'organisation et la protection des convois croissaient constamment ; des porte-avions d'escorte accompagnaient les convois, ou, constitués en groupes de chasseurs de sous-marins, les chassaient des routes maritimes.

Avec les avancées des Alliés dans la lutte anti-sous-marine, les Loups gris, toujours moins nombreux et aux équipages toujours moins expérimentés, cédèrent du terrain et coulèrent toujours moins d'unités adverses. Dönitz avait succédé à Erich Raeder à la tête de la Kriegsmarine, les U-Boots aussi profitèrent de quelques améliorations techniques (torpilles acoustiques, détecteur de radar, etc.), mais, cela ne permit pas de redresser la situation. Arrivé trop tard à la fin de la guerre, le type U XXI, remarquable à de nombreux égards, ne put rien changer à la guerre sous-marine.

À la fin de la guerre, la probabilité pour un U-Boot de se faire repérer et couler était beaucoup trop élevée dans les zones utiles. Les grands capitaines avaient péri en mer (Prien, Endrass et Schepke) ou avaient été fait prisonniers. Leurs successeurs Rasch, Cremer ou Hardegen se retrouvèrent bientôt acculés dans la mer du Nord et la Baltique, à protéger les navires allemands qui évacuaient le matériel et les populations des territoires de l'Est où l'Armée rouge avançait. Le nouveau sous-marin Walter (U-Type XXVI), que Dönitz avait appelé de ses vœux dès avant la guerre, avait des performances qui faisaient de lui un sous-marin de nouveau redoutable, mais la capitulation survint alors que les premières unités venaient d'entrer en service.

Pour les militaires appelés à servir dans l'armée de leur pays, l'arme sous-marine fut incontestablement la plus dangereuse de la Seconde Guerre mondiale : 743 U-Boote furent perdus sur les 1 154 mis en service et 30 000 des 40 000 sous-mariniers qui servirent durant le conflit périrent en mer. Corps d'élite dans une Kriegsmarine déjà élitiste, regroupés dans 31 flottilles, les sous-mariniers formaient une corporation à part, avec ses règles et ses traditions. L'amiral Dönitz, qui avait été commandant de sous-marin pendant la Première Guerre mondiale, veilla à entretenir parmi ses équipages un esprit de camaraderie affranchi d'une trop pesante rigueur hiérarchique : les sous-mariniers ne portaient par exemple pas d'uniforme à bord, ils portaient la barbe, ce qui est commode dans les espaces clos du sous-marin.

La Kriegsmarine produisit plusieurs types de U-Boote suivant les évolutions technologiques :

Au total, de 1933 à 1945, 19 chantiers navals dans 11 villes furent sollicités pour la construction des U-Boots.

Chantier naval Ville Nbre d'U-Boote construits
AG WeserBrême162
Blohm & VossHambourg224
Bremer Vulkan-Vegesacker WerftBrême-Vegesack74
Danziger Werft AGDanzig42
Deutsche Schiff- und MaschinenbauBrême16
Deutsche Werft AGHambourg113
Deutsche Werke AGKiel69
F Schichau GmbHDanzig94
F. Krupp Germaniawerft AGKiel131
Flender Werke AGLübeck42
Flensburger Schiffbau-GesellschaftFlensbourg28
H. C. Stülcken SohnHambourg24
Howaldtswerke AGKiel31
Howaldtswerke Hamburg AGHambourg33
Kriegsmarinewerft (KMW)Wilhelmshaven27
Neptun Werft AG (en)Rostock10
NordseewerkeEmden30
Oderwerke AG (en)Stettin2
Stettiner Maschinenbau AGStettin1

La production des 1 156 U-Boote opérant dans la Kriegsmarine s'est étalée comme suit :

Année Nbre d'U-Boote construits
193514
193621
19371
19389
193918
194050
1941199
1942238
1943286
1944229
194591

Après-guerre

Menace écologique

Parmi les 743 U-Boote perdus ou coulés, dont 121 sabordés par les Alliés lors de l'Opération Deadlight, certains représentent aujourd'hui une menace écologique au fond des océans en raison de leur cargaison dangereuse immergée ou de la présence de fioles de mercure en cours de dispersion et à l'origine de contaminations toxicologiques du milieu marin. On peut citer l'exemple médiatisé[4],[5] du U-864, le seul cas connu de sous-marin coulé en immersion par un autre sous-marin en immersion.

L'enfouissement sous une chape de sable a été proposé comme solution pour circonscrire la propagation des substances toxiques et contaminantes[6].

Constructions allemandes de la période

U-15, un Unterseeboot type 206, de la Marine allemande sur un quai de Kiel en 2007.

À partir de 1955, la Marine de l'Allemagne de l'Ouest (RFA), Bundesmarine, a été autorisée à avoir une petite flotte maritime. Initialement, deux U-Boote de type XXIII et un de type XXI ont été renfloués et réparés. Dans les années 1960, la RFA est rentrée dans l'activité sous-marine. Parce que l'Allemagne était initialement bloquée à une limite de déplacement de 450 tonnes, la Bundesmarine a axé ses efforts sur les petits sous-marins côtiers pour se protéger contre la menace soviétique dans la mer Baltique. Les Allemands ont cherché à utiliser des techniques de pointe pour compenser le faible déplacement, tels que l'acier amagnétique pour se protéger contre les mines navales et des détecteurs d'anomalies magnétiques.

Le premier type 201 a été un échec en raison de la fissuration de la coque ; le suivant de type 205, avec une première mise en service en 1967 a été un succès, et 12 U-Boote ont été construits pour la marine allemande. Pour continuer la tradition des U-Boote allemands, les nouveaux sous-marins ont reçu la désignation du U en commençant par le U-1.

Avec l'achat du gouvernement danois de deux sous-marins de type 205, le gouvernement allemand a réalisé le potentiel pour ce type de sous-marin à l'exportation. Trois type 206 ont été vendus à la marine israélienne devenant la classe Gal. Le sous-marin Diesel-électrique allemand type 209 devient le plus populaire sous-marin à la vente à l'exportation dans le monde à partir de la fin des années 1960 jusque dans les premières années du XXIe siècle. Avec un déplacement de plus de 1 200 à 1 850 tonnes, la classe 209 était très personnalisable et a vu le service dans 14 marines dans le monde avec 51 exemplaires construits à partir de 2006.

Unterseeboot type 212 avec propulsion anaérobique pneumatique de la Bundesmarine sur le quai du chantier de HDW à Kiel.

L'Allemagne a fait passer le nom de U-boot dans le XXIe siècle avec le nouveau type 212. Le type 212 dispose d'un système de propulsion pneumatique indépendant utilisant des piles à combustible à hydrogène. Ce système est plus sûr que les moteurs Diesel en circuit fermé utilisés précédemment et des turbines à vapeur, moins cher qu'un réacteur nucléaire et plus silencieux que ces deux systèmes. Bien que le type 212 ait été également acheté par l'Italie, le type 214 a été conçu comme le modèle pour l'exportation et a été vendu à la Grèce, la Corée du Sud et la Turquie.

En , l'Allemagne a commandé son nouveau sous-marin, le U-34 de type 212.

Dans la culture

L'U-Boot apparait dans diverses œuvres de fiction :

Jeux vidéo

Jeu de plateau

  • U Boot, jeu de plateau coopératif pour 1 à 4 joueurs conçu par Iron Wolf Studio et publié par Phalanx.

Films

  • Das Boot (Le Bateau) film de Wolfgang Petersen (1981) sans doute le plus réaliste des films sur la guerre sous-marine. Il retrace l'odyssée du sous-marin allemand U-96 pendant la Seconde Guerre mondiale.
  • Torpilles sous l'Atlantique film de Dick Powell, 1957; racontant le duel dans l'Atlantique sud entre un u-boot et un destroyer américain.
  • La Guerre de Murphy (Murphy's War). Film de guerre américain réalisé par Peter Yates en 1971 avec Peter O'Toole et Philippe Noiret. Basée sur la loi de Murphy, dite aussi loi de l'emmerdement maximum, sur les exceptions dans le contexte statistiques des probabilités, racontant comment l'unique rescapé d'un croiseur coulé par un U-Boot décide de le retrouver et le couler afin de venger la mort de ses compagnons, et cela, malgré l'annonce de la fin de la guerre.
  • U-571, film de Jonathan Mostow, 2000. Les Américains s'emparent d'un U-boot et de sa machine à coder Enigma.
  • U-234: Hitler's Last U-Boat, documentaire de Andreas Gutzeit, 2001
  • USS Greyhound : La Bataille de l'Atlantique, film de Aaron Schneider (2020).

Bande dessinée

  • Dimitri, Kaleunt, Paris, L'Echo des savanes A. Michel, coll. « L'ECHO DES SAVANNES », , 46 p. (ISBN 978-2-226-03172-3, OCLC 418934050)
  • Pierre Dupuis, U-boote, Dargaud, 1985
  • Nicolas Juncker, Immergés, Glénat, 2009, (ISBN 978-2-723-46949-4)
  • Hugo Pratt, La Ballade de la mer salée, Casterman
  • Gerardo Balsa, Nicolas Caniaux, U-47, Le Taureau de Scapa Flow, Éditions Zéphyr, 2011, (ISBN 978-2-361-18018-8)
  • Hergé, Coke en stock, 1958, Le Manitoba ne répond plus, 1952
  • Jean Van Hamme, La malédiction des trente deniers, tome 2, les éditions Blake et Mortimer, 2010,

Notes et références

  1. Gary Sheffield, La première Guerre mondiale en 100 objets : Ces objets qui ont écrit l'histoire de la grande guerre, Paris, Elcy éditions, , 256 p. (ISBN 978 2 753 20832 2), p. 166-169
  2. Jean-Philippe Dallies-Labourdette, Les U-Boote du Kaiser, Histoire et collections, 2009, (ISBN 978-2-913903-95-1)
  3. MEHEUT Philippe, « La Seconde Guerre Mondiale - dossier hos série : Vingt et un millions de tonneaux engloutis », Science et Vie Junior, , p. 84-87
  4. (en) NCA recommends covering wrecked mercury-submarine outside Bergen
  5. (en) Toxic timebomb surfaces 60 years after U-boat lost duel to the death
  6. (en)[PDF] The Norwegian Coastal Administration recommends encasing and covering the wreck of the submarine U-864

Voir aussi

Bibliographie

  • Jacques Alaluquetas, U-Boot VII C : technique, construction, armement, Paris, Grancher, coll. « Témoignages pour l'histoire », , 158 p. (ISBN 978-2-7339-0880-8, OCLC 420001294, notice BnF no FRBNF39288882).
  • Chris Bishop, historien militaire (trad. de l'anglais par Christian Muguet), Les sous-marins de la Kriegsmarine : 1939-1945 : le guide d'identification des sous-marins [« The spellmount submarine identification guide : Kriegsmarine U-boats 1939-1945 »], Paris, Éd. de Lodi, , 192 p. (ISBN 978-2-84690-327-1, OCLC 470721805, notice BnF no FRBNF41298980).
  • Lothar-Günther Buchheim (trad. Bernard Kreiss), Le Styx : roman [« Das Boot »], Paris, Éditions Albin Michel, coll. « Livre de Poche » (no 5429), , 496 p. (ISBN 978-2-226-00417-8, OCLC 31536845, notice BnF no FRBNF34702374).
  • Jean-Philippe Dallies-Labourdette (ill. Stephane Dufrêne), U-Boote, 1935-1945, Paris, Éditions Histoire & Collections, , 144 p. (ISBN 978-2-908182-41-5, OCLC 36987201).
  • Patrick de Gmeline, Sous-marins allemands au combat : document, Paris, Presses de la Cité, , 562 p. (ISBN 978-2-258-06481-2, OCLC 470109182, notice BnF no FRBNF39129723).
  • Franz Kurowski (en), Les loups gris dans la mer bleue, Presses de la Cité, , 241 p..
  • Adolphe Laurens, Histoire de la guerre sous-marine allemande (1914-1918)., Paris, Société d'éditions géographiques, maritimes et coloniales, , 461 p. (OCLC 6718761).
  • Léonce Peillard, Histoire générale de la guerre sous-marine (1939-1945)., Paris, R. Laffont, , 448 p. (OCLC 2152928).
  • Jean Noli, Les loups de l'amiral, Paris, Fayard, Le Livre de Poche, coll. « Grands documents contemporains », , 471 p. (OCLC 5363661).
  • Henri Ortholan, La guerre sous-marine, 1914-1918, Paris, B. Giovanangeli, , 222 p. (ISBN 978-2-7587-0022-7, OCLC 470858452, notice BnF no FRBNF41231479).
  • Jean-Paul Pallud, Les U-Boote! : les sous-marins allemands, Bayeux, France, Éditions Heimdal, (OCLC 21297932).
  • Antony Preston (trad. Monique Vergnie), U-Boote : l'histoire des sous-marins allemands, Paris, Fernand Nathan, , 189 p. (OCLC 461837757, notice BnF no FRBNF34650850, lire en ligne).
  • Heinz Schaeffer (trad. Gilberte Marchegay), U-977 : l'odyssée d'un sous-marin allemand, Paris, J'ai lu (no A15), , 243 p. (OCLC 370044975, lire en ligne).
  • Wolfgang FRANK (trad. Jean VEITH), U-boote contre les marines alliées : 2. vers la défaite 42-45 [« Die wölfe und der Admiral »], Paris, J’ai Lu, coll. « J’ai Lu leur aventure » (no A94/95), (1re éd. 1956), 384 p., poche (OCLC 901499117)
    Après l'entrée en guerre des USA, le panorama de la guerre change jusqu'à la défaite de mai 1945
    .
  • Peter Padfield, Donitz et la guerre des U-Boote, Paris, Pygmalion G. Watelet, , 467 p. (ISBN 978-2-85704-209-9, OCLC 31595262, notice BnF no FRBNF34876604).

Articles connexes

Liens externes

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