Université Stanford
La Leland Stanford Junior University, plus connue sous le nom d'université Stanford, est une université américaine privée, située au cœur de la Silicon Valley au sud de San Francisco, séparée de Palo Alto par l'avenue El Camino Real. Elle a notamment participé à l'élaboration d'Internet. Elle tire son nom du fils de ses fondateurs, Leland et Jane Stanford : Leland Stanford Junior. Leland Stanford était un homme d'affaires et homme politique américain du XIXe siècle. Sa devise est « Die Luft der Freiheit weht », qui peut être traduite de l'allemand par « Le vent de la liberté souffle »[1].
Parmi ses professeurs et chercheurs, on compte 20 prix Nobel en 2015[2]. Dans le domaine sportif, le Cardinal de Stanford défend les couleurs de l'université Stanford. Comme professeurs francophones célèbres, on compte notamment Michel Serres (1930-2019), membre de l’Académie française, qui a pris la suite de René Girard (professeur émérite) à son décès en 2015.
Elle est classée parmi les meilleures universités au monde. Pour 2019, le classement mondial des universités QS (QS World University Rankings) place Stanford à la 2e place, pour la troisième année consécutive derrière le MIT et devant Harvard.
En 2015, Stanford est devenue l’université la plus sélective des États-Unis, devant Harvard, avec 5 % seulement d’admis.
Histoire
L'université a été fondée à la fin du XIXe siècle par le magnat des chemins de fer, gouverneur et sénateur de Californie Leland Stanford et sa femme, Jane Stanford. Elle doit son nom à leur enfant unique, Leland Stanford Junior, mort de la typhoïde en 1884 juste avant son seizième anniversaire. Le jour de la mort de son fils, Leland Stanford aurait déclaré à sa femme « Les enfants de Californie seront nos enfants » (« The children of California shall be our children »), phrase qui est généralement considérée comme l’acte fondateur symbolique de l’université.
Le campus est parfois surnommé « The Farm » par les étudiants en référence au fait qu'il a été fondé sur l'ancien site de la ferme des Stanford, la Palo Alto Stock Farm qui accueillait des chevaux[3]. L'acte de fondation est daté du et l'université ouvre officiellement ses portes le à 559 étudiants en tant qu'établissement mixte.
Le séisme de 1906 à San Francisco détruit des parties du « Main Quad » (Main quadrangle, le cœur de l'université, partie la plus ancienne), la bibliothèque et la Stanford Memorial Church, ainsi que le portail qui marquait l'entrée de l'université. Les bâtiments sont rapidement rénovés mais certains ne retrouvent pas leur aspect d'origine, comme l'église, dont le clocher n'est pas reconstruit. Le séisme de Loma Prieta en 1989 inflige de nouveaux dégâts au campus.
Campus
L'université Stanford s'étend sur 32 km2. Son principal campus est bordé par El Camino Real, Stanford Avenue, Junipero Serra Boulevard et Sand Hill Road, dans la région nord-ouest de la vallée de Santa Clara, dans la péninsule de San Francisco.
C'est durant l'été 1886 que Stanford consulte le président du Massachusetts Institute of Technology, Francis Amasa Walker, et l'architecte-paysagiste Frederick Law Olmsted de Boston pour décider des plans du campus. Olmsted est à l'origine de l'idée générale du campus, de ses bâtiments et du lieu adapté à la construction. Charles Allerton Coolidge choisit le style romanesque richardsonien et l'allie au style Mission Revival (inspiré du style colonial des missions espagnoles de Californie) pour les édifices. Cependant ce campus originel est grandement atteint par le séisme de 1906, qui n'épargne que le Quad, le vieux Chemistry Building et Encina Hall.
L'université comprend également un second campus, Jasper Ridge Biological Preserve, un terrain de 5 km2 situé à Portola Valley, et la Hopkins Marine Station située à Pacific Grove.
Les principaux édifices du campus principal sont le Main Quad et Memorial Church, le Cantor Center for Visual Arts et art gallery, le Stanford Mausoleum et le Angel of Grief, Hoover Tower, le Rodin sculpture garden[4], le Papua New Guinea Sculpture Garden, le Arizona Cactus Garden, le Stanford University Arboretum, la Green Library et the Dish. La Hanna-Honeycomb House de Frank Lloyd Wright (1937) et la Lou Henry and Herbert Hoover House (1919) sont toutes deux des National Historic Landmarks.
Stanford Memorial Church
Située au milieu du campus, la Stanford Memorial Church (aussi connue sous le nom de « MemChu ») a été construite par Jane Stanford à la mémoire de son mari Leland Stanford. Construite au début des années 1900 en grès rose, dans un style « roman-byzantin », l'église a accueilli approximativement 7 500 mariages depuis son achèvement en 1903. Elle possède quatre orgues et une façade décorée de mosaïques, les plus grandes d'Amérique à l'époque, qui nécessitèrent le travail de douze hommes durant deux ans pour être achevées[5]. Le coût de la construction s'éleva à 1 million de dollars de 1900, dont 97 000 dollars pour les mosaïques à elles seules. Trois architectes participèrent au projet : Charles A. Coolidge, Clinton Day et Charles Hodges. La façade mesure plus de 62 mètres de long et 28 mètres de haut. L'intérieur de l'église est long d'environ 50 mètres et 1 250 places assises y sont disponibles.
L'église n'est pas vouée à un culte particulier, mais les services quotidiens et du dimanche sont généralement protestants. Des messes catholiques ont également lieu. Le Reverend Scotty McLennan supervise la vie religieuse à Stanford à la tête de l'Office for Religious Life.
Cet édifice est également connu pour avoir été le théâtre du meurtre d'une jeune femme nommée Arlis Perry en 1974.
Hoover Tower
La Hoover Tower, appelée « HooTow » par les étudiants, est une tour d'environ 86 mètres située dans le campus[6]. Elle fait partie de la Hoover Institution, un centre de recherche fondé par l'ancien président des États-Unis Herbert Hoover sous le nom de « Hoover Institution on War, Revolution and Peace ». Achevée en 1941, l'année du 50e anniversaire de l'université, la tour possède un carillon de 48 cloches[6]. Ses neuf premiers étages sont dédiés à des rayonnages de bibliothèque et ses trois derniers étages à des bureaux. Une plateforme d'observation panoramique se trouve au quatorzième étage[6], à 76 mètres au-dessus du sol, et offre une vue sur tout le campus et la région environnante. La bibliothèque abrite des documents d'un intérêt exceptionnel : des collections complètes de journaux de la Révolution française (Le Père Duchesne, Le Vieux Cordelier), des ordres du jour de Mao Zedong pendant la Longue Marche, ainsi qu'un des exemplaires originaux du traité de Versailles de 1919. Le centre de recherches, en particulier du fait de l'intérêt qu'il a porté depuis 1945 aux phénomènes révolutionnaires (et, par voie de conséquence, à la recherche sur les techniques de contre-révolution), a acquis, notamment à l'époque de la guerre du Viêt Nam, la réputation d'être une « officine réactionnaire », dénoncée lors des nombreuses manifestations qui se sont déroulées sur le campus à la fin des années 1960 et au début des années 1970.[réf. souhaitée]
Bibliothèques
La Cecil Howard Green Library est la bibliothèque principale du campus. Elle fait partie des Stanford University Libraries and Academic Information Resources (SULAIR). On y compte plus de deux millions de volumes, dont la plupart concernent les humanités et les sciences sociales. Construite dans les années 1910, dotée d'une annexe en 1980, elle est nommée en l'honneur du géophysicien Cecil Howard Green qui a contribué à sa construction. Elle rend aussi hommage à Peter Bing qui a permis la rénovation de l'édifice après le séisme de Loma Prieta, en 1989.
Au total, les dix-neuf bibliothèques de l'université possèdent une collection de plus de huit millions d'ouvrages. Meyer Library possède de nombreux documents concernant l'Asie de l'Est. Les autres bibliothèques sont Lane Medical Library, Jackson Business Library, Falconer Biology Library, Cubberley Education Library, Branner Earth Sciences Library, Swain Chemistry and Chemical Engineering Library, Jonsson Government Documents collection, Crown Law Library, la Stanford Auxiliary Library (SAL), la SLAC Library, la Hoover library, la Miller Marine Biology Library à Hopkins Marine Station, la Music Library, et les collections spécialisées de l'université.
Parcs
Le Stanford University Arboretum est un arboretum où l'on peut trouver plus de 350 espèces de plantes, dont des eucalyptus, des Washingtonia filifera, des dattiers des Canaries, des Quercus agrifolia, des cèdres de l'Himalaya, sapins de Sainte-Lucie. Il comprend également le Arizona Cactus Garden, un jardin botanique spécialisé dans les cactus et les plantes succulentes. Il a été planté à l'origine entre 1880 et 1883 par les Stanford et organisé par l'architecte paysagiste Rudolph Ulrich. On peut y trouver des arbres de Jade et des aloès.
Le Stanford Mausoleum est situé dans cet ensemble, au Nord-Est du campus. Leland Stanford, Jr. et ses parents Leland and Jane Stanford y reposent. À l'origine, les Stanford désirent construire sur le site une résidence, mais ils changent d'avis après le décès de leur fils et font ériger le mausolée actuel, ainsi qu'un mémorial, lequel est une copie de 1908 de la statue de 1894 du sculpteur américain William Wetmore Story, Angel of Grief; dédié au frère de Jane, Henry Clay Lathrop.
Classements
L'université Stanford figure dans le peloton de tête des classements des meilleures universités dans le monde. Le classement académique des universités mondiales par l'université Jiao Tong de Shanghai classe ainsi l’université Stanford à la 2e place mondiale pour l’année 2017.
Le classement mondial des universités QS (QS World University Rankings) place Stanford à la 2e place en 2019 pour la troisième année consécutive, derrière le MIT et devant Harvard[7].
Le classement de référence américain U.S. News classe également, depuis de nombreuses années, l'université Stanford et ses différentes écoles dans le peloton de tête des universités américaines.
Rang | |
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Classement de Shanghai | 2e (2017) |
Classement du Times | 3e (2018) |
Classement Quacquarelli Symonds | 2e (2019) |
Rang | |
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Stanford Graduate School of Business | 1er |
Stanford Law School | 2e |
Stanford School of Engineering | 2e |
Stanford University School of Education | 3e |
Stanford University School of Medicine | 2e |
Innovations et découvertes
De nombreuses grandes entreprises ont été fondées par des étudiants et professeurs de Stanford :
- Hewlett-Packard, 1939, cofondateurs William Hewlett (B.S, PhD) et David Packard (M.S).
- Silicon Graphics, 1981, cofondateurs James H. Clark (professeur associé) et plusieurs de ses étudiants diplômés.
- Sun Microsystems, 1982, cofondateurs Vinod Khosla (M.B.A), Andy Bechtolsheim (PhD) et Scott McNealy (M.B.A).
- Cisco Systems, 1984, cofondateurs Leonard Bosack (M.S) et Sandy Lerner (M.S)
- Yahoo!, 1994, cofondateurs Jerry Yang (B.S, M.S) et David Filo (M.S).
- Google, 1998, cofondateurs Larry Page (M.S) et Sergey Brin (M.S).
- LinkedIn, 2002, cofondateurs Reid Hoffman (B.S), Konstantin Guericke (B.S, M.S), Eric Lee (B.S), et Alan Liu (B.S).
- Instagram, 2010, cofondateurs Kevin Systrom (B.S) et Mike Krieger (B.S).
- Snapchat, 2011, cofondateurs Evan Spiegel and Bobby Murphy (B.S).
- Coursera, 2012, cofondateurs Andrew Ng (professeur associé) et Daphne Koller (professeur, PhD).
Le professeur Vijay S. Pande y dirige Folding@home, un projet de calcul distribué à l'échelle mondiale portant sur la recherche sur le repliement des protéines.
Personnes ayant fréquenté ou fréquentant l'université Stanford
Présidents de l'université
- David Starr Jordan (1891–1913)
- John Casper Branner (1913–1915)
- Ray Lyman Wilbur (1916–1943)
- Donald Bertrand Tresidder (1943–1948)
- J. E. Wallace Sterling (1949–1968)
- Kenneth Sanborn Pitzer (1968–1970)
- Richard Wall Lyman (1970–1980)
- Donald Kennedy (1980–1992)
- Gerhard Casper (1992–2000)
- John L. Hennessy (2000–2016)
- Marc Tessier-Lavigne (depuis 2016)
Professeurs
- Jane Hirshfield, professeure de création littéraire
- Donald Knuth, professeur émérite de l'« art de programmer »
- Moses Abramovitz, professeur d'économie
- Masahiko Aoki, professeur d'économie
- Stephen Krasner, professeur de sciences politiques
- Amos Tversky, professeur de psychologie
- Carol S. Dweck, professeure de psychologie
- Lee Ross, professeur de psychologie
- Philip Zimbardo, professeur de psychologie
- Albert Bandura, professeur de psychologie
- Condoleezza Rice, professeure de sciences politiques
- Paul Romer, professeur d'économie et économétrie
- Jean-Pierre Dupuy, professeur de philosophie
- Michel Serres, professeur d'histoire des sciences[9]
- René Girard, professeur de littérature comparée
- Jean-Marie Apostolidès, professeur de littérature française
- Alejandro Toledo
- Prince Moulay Hicham Al-Alaoui (cousin du roi du Maroc Mohamed VI), chercheur
- Élisabeth Mudimbe-Boyi, professeure de français et de littérature comparative
- Gabriel Almond, professeur de sciences politiques
- Cécile Alduy, professeure de littérature et chercheuse en sémiotique
- William Newsome, neuroscientifique.
- Adrienne Rich, poète, essayiste, théoricienne féministe et LGBT
- Marjorie Perloff, philosophe, critique d'art, essayiste et universitaire
- Jack Spicer, poète, activiste de la cause gay
- Yoseñio V. Lewis, militant pour les droits des personnes transgenres, éducateur et musicien
Entreprises
- Carly Fiorina, ancienne PDG de Hewlett-Packard
- William Hewlett et David Packard, fondateurs de Hewlett-Packard
- Sergey Brin et Larry Page, fondateurs de Google
- David Filo et Jerry Yang, fondateurs de Yahoo!
- Steve Ballmer, ancien PDG de Microsoft
- Philip Knight, PDG de Nike
- Scott McNealy, ancien PDG de Sun Microsystems
- Salar Kamangar, ancien président de YouTube
- Reid Hoffman, fondateur de LinkedIn
- Reed Hastings, PDG de Netflix
- Mike Krieger, co-fondateur d'Instagram
- Acha Leke, cofondateur de l'African Leadership Academy (en) (ALA), puis de l'African Leadership Network (en) (ALN)[10],[11]
- Jacqueline Novogratz, fondatrice et PDG d'Acumen
- Elon Musk, PDG de SpaceX et de Tesla
- Eleni Gabre-Madhin, fondatrice et présidente de la Bourse de marchandises d’Éthiopie
Politique, diplomatie
- Herbert Hoover, ancien président des États-Unis (1929-1933)
- Ehud Barak, ancien premier ministre d'Israël
- Alejandro Toledo, ancien président du Pérou
- William Perry, ancien Secrétaire américain à la Défense de Bill Clinton
- Warren Christopher, ancien Secrétaire d'État américain
- Leslye Obiora, femme politique nigériane
- Carla Anderson Hills, ancienne Secrétaire au Logement américaine
- Yukio Hatoyama, ancien premier ministre du Japon (2009-2010)
- Le roi Philippe de Belgique[12]
Arts et littérature
- John Steinbeck, écrivain américain.
- Michael Cunningham, écrivain américain.
- Richard Zimler, écrivain américain.
- Fanny Howe, poète, essayiste, nouvelliste, romancière et professeure d'université américaine.
- Linda Gregerson, poète, essayiste et professeure d'université américaine.
- Timothy Yu, poète et universitaire.
- Stephanie Syjuco, artiste conceptuelle et éducatrice.
- Gil Fronsdal, écrivain et enseignant bouddhiste.
Sport
- Bob Bryan et Mike Bryan, champions de tennis
- Tierna Davidson, joueuse de football, défenseur, championne du monde en 2019.
- John Elway, joueur de football américain, quarterback, vainqueur du Super Bowl à deux reprises
- Zach Ertz, joueur de football américain, tight end, vainqueur du Super Bowl
- Julie Foudy, joueuse de football (soccer), championne de la Coupe du monde féminine de la FIFA en 1999
- Katie Ledecky, nageuse, championne olympique en 2012 (1 médaille d'or) et 2016 (4 médailles d'or)
- Brook Lopez et Robin Lopez, basketteurs américains
- Andrew Luck, joueur de football américain, quarterback, premier choix de la draft 2012 de NFL
- Catarina Macario, joueuse de football (soccer)
- Christian McCaffrey, joueur de football américain, running back pour les Panthers de la Caroline.
- John McEnroe, champion de tennis
- Daniel Naroditsky, GMI joueur d'échecs américain, 16e joueur américain et le 235e joueur mondial avec un classement Elo de 2 621 points.
- Nneka Ogwumike, joueuse de basket-ball, premier choix de la draft 2012 de la WNBA
- Chiney Ogwumike, joueuse de basket-ball, premier choix de la draft 2014 de la WNBA
- Kelley O'Hara, joueuse de football, attaquante, puis défenseur, vice-championne du monde en 2011 et championne olympique en 2012. Championne du monde en 2015 et 2019
- Christen Press, joueuse de football, attaquante, championne du monde en 2015 et 2019
- Richard Sherman, joueur de football américain, cornerback, vainqueur du Super Bowl 2013
- Kerri Walsh Jennings, championne olympique de beach-volley
- Tiger Woods, champion de golf
Technologie
- Marcian Hoff, inventeur du premier microprocesseur chez Intel
- Vinton Cerf, « père » de l'internet, coauteur du protocole TCP/IP
- Ray Dolby, fondateur de Dolby
Sciences dures
- Sally Ride, première américaine dans l'espace
- Julie Hlavacek-Larrondo, astrophysicienne canadienne
- Donald Knuth, mathématicien
Justice et droit
- William Rehnquist, président de la Cour suprême des États-Unis de 1986 à 2005
- Sandra Day O'Connor, première femme à siéger à la Cour suprême des États-Unis
Sciences sociales
- Chelsea Clinton
- Anna Tsing, anthropologue américaine
Musique et cinéma
- Reese Witherspoon, actrice, productrice
- Sigourney Weaver, actrice
- David Chase, scénariste et réalisateur de la série Les Soprano
- Daniel Armand Lee (Tablo), rappeur, chanteur de hip-hop, membre du groupe sud-coréen Epik High
Notes et références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Stanford University » (voir la liste des auteurs).
- Sa devise, d'origine latine, vient d'une expression d'Ulrich von Hutten (1488-1523), un humaniste réformiste du Saint-Empire romain. C'est au premier président de Stanford, David Starr Jordan qu'en revient la parternité en 1891. Jordan a vu dans la formule de Hutten, auquel il s'était beaucoup intéressé, un symbole approprié au projet pédagogique du nouvel établissement. L'allemand était la langue de la philosophie et comme les États-Unis n'avaient jamais été en guerre avec l'Allemagne, cette devise fut adoptée.
- (en) History of Stanford : The Birth of the University - Site officiel
- Y figurent deux groupes de bronzes de Rodin : Les Bourgeois de Calais et La Porte de l'enfer.
- (en) « Memorial Church History Overview »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) - Stanford Office for Religious Life
- (en) Hoover Tower - Site officiel
- (en) « QS World University Rankings 2019 », Top Universities, (lire en ligne, consulté le )
- (en) America's Best Graduate Schools 2016 - U.S. News & World Report
- (en) Michel Serres : Professor of French, Emeritus - Site officiel
- « Acha Leke, ou l’ambition d’un jeune père de l’Afrique », Le Monde, (ISSN 1950-6244, lire en ligne)
- Christophe Le Bec, « Acha Leke, mentor d'élite chez McKinsey », Jeune Afrique, (lire en ligne)
- Famille royale : le Roi - Site officiel de la monarchie belge
Annexes
Articles connexes
Lien externe
- (en) Site officiel
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