Université Paris-Dauphine
L’université Paris-Dauphine - PSL est un établissement d’enseignement supérieur d’envergure internationale et une grande école spécialisée dans les sciences des organisations, des marchés et de la décision, établissement-composante de l'université Paris sciences et lettres (PSL).
Créée en 1971 après la scission de l’université de Paris avec le nom d’« université Paris-IX », elle prend en 2004 son nom actuel d'« université Paris-Dauphine », ainsi que le statut de grand établissement, et non d'université. Elle tire son nom du palais Dauphine, porte Dauphine, dans le 16e arrondissement de Paris où est situé le bâtiment principal, l'ancien secrétariat général de l'Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN).
L'université Dauphine est membre de la Conférence des grandes écoles et l'un des membres fondateurs de l'Université Paris sciences et lettres.
Histoire
C'est au palais Dauphine, dit également palais de l’OTAN, qu'est installée l'université Paris-Dauphine. En effet, le Centre universitaire Dauphine a été créé comme une faculté en 1968[1] dans des locaux construits entre 1955 et 1957 afin d'abriter le secrétariat général de l’OTAN qui y siégea de 1959 à 1966, année durant laquelle la France quitte le commandement intégré de l'organisation[2]. D'après l'OTAN, vu du ciel, le bâtiment est en forme de « A », pour signifier « alliance » — ce qui renvoie à l'alliance de l'Atlantique nord[3]. L'architecte de ce palais de l'OTAN est Jacques Carlu dont la réalisation principale est le palais de Chaillot[3],[2], au Trocadéro en face de la tour Eiffel ; ce style est qualifié d' « architecture monumentale contemporaine »[4].
Cet établissement devint l'université Paris IX Dauphine en 1970[5]. C'est un « établissement public à caractère scientifique et culturel » institué par la loi Faure de 1968[2]. Il consacre l'éclatement de l'université de Paris en treize universités autonomes. Paris-IX Dauphine et Paris-VIII Vincennes sont conçues comme des universités expérimentales. Elles doivent mettre en vigueur les principes de la loi Faure, et notamment la rénovation pédagogique et le caractère pluridisciplinaire.
Les conditions de sa naissance ont fortement marqué le caractère singulier de l'université Paris-Dauphine. C'est la rénovation pédagogique voulue par la loi Faure après les événements de mai 1968 ; et c'est la disponibilité dans le 16e arrondissement de Paris des anciens locaux du secrétariat général de l'OTAN. Ils sont libérés avec le retrait de la France du commandement militaire intégré en 1966, puis réquisitionnés par Edgar Faure. Un enseignant de l'époque déclare : « À part le grand amphi de l'état-major, il n'y a que des petites salles... »[6]. Cela permet une pédagogie par petits groupes, et le contrôle continu. Les enseignants viennent du département d'économie de la faculté de droit d'Assas. Ils affirment ainsi l'indépendance, et une nouvelle autonomie de leur discipline. Ces orientations sont notamment formulées par les professeurs Alain Cotta, et Pierre Tabatoni. Il s'agit de s'inspirer des « formules gagnantes » anglo-saxonnes. L'unité de valeur (UV), inventée[7] à partir du credit unit américain, est mise en place. Face à Alain Badiou, Gilles Deleuze et Félix Guattari à Paris-VIII Vincennes, Dauphine propose Jacques Delors et Jacques Attali. Ces derniers interviennent surtout dans l'UER d'économie appliquée ; aux côtés de l'UER de gestion, et de l'UER de mathématiques de la décision. Progressivement, l'économie appliquée est fondue avec la gestion ; et l'informatique de gestion rejoint les mathématiques appliquées.
Attachés à la sélection à l'entrée de leur université, de nombreux étudiants de Dauphine participent au mouvement contre la réforme Savary des universités de 1983 mais d'autres participent à leur tour trois ans plus tard à la contestation du projet de loi Devaquet.
En 2004, l'université abandonne son statut d'université et opte pour celui de « Grand établissement », et devient alors « l'université de technologie en sciences des organisations et de la décision de Paris-Dauphine »[8]. Ce nouveau statut autorise la sélection de ses étudiants et la fixation du coût de ses formations[9].
En 2011, Dauphine devient un membre de la COMUe Paris Sciences et Lettres, aux côtés de 16 partenaires académiques. Elle rejoint en 2014 la Conférence des grandes écoles[10].
Sélection
L'université Paris-IX-Dauphine a le statut de grand établissement depuis 2004 qui lui permet de pratiquer légalement la sélection à l'entrée des étudiants.
Aux débuts de l'université les inscriptions étaient ouvertes à tous, mais le nombre de places limité. Il était conseillé d'avoir une mention au bac, dans la pratique une sélection a été appliquée en fonction des mentions au bac. Toutefois, sa légalité a été contestée par certains devant les tribunaux. Alors, le principe premier arrivé, premier pris a été appliqué. Il était nécessaire de passer la nuit devant les portes avant de pouvoir retirer un dossier. De nouveau l'université est revenue à une sélection sur mention au bac, mais dans un certain flou juridique lié à son « statut » d'université expérimentale. Bernard de Montmorillon, ancien président de l'université a déclaré : « À la rentrée 2002, j'ai trouvé plus de cent recours sur mon bureau. Il y avait deux moyens d'entrer à Dauphine : suivre la procédure sélective ou faire un recours au tribunal administratif, recours que nous étions sûrs de perdre... »[11]. Cette situation a déterminé le passage au statut de Grand établissement en 2004. Par contre, il y a toujours eu une forme de sélection à l'entrée en 2e cycle (graduate) pour les masters.
Pour la mise en œuvre de la sélection, du personnel de Dauphine invente l'acronyme BOLERO pour « Bonne orientation des lycéens et réussite de l'opération Ravel ». Il s'agissait notamment de s'opposer à l'ancien système d'orientation postbac RAVEL ; celui-ci privilégiait notamment une sectorisation géographique. BOLERO est l'ancêtre du système de sélection actuel[12],[13],[14],[15].
Il n'existe pas de barre d'admission à proprement parler à l'université Paris-Dauphine, puisque de nombreux critères entrent en compte dans l'évaluation de la candidature d'un bachelier.
Toutefois, sur la base des six cents admis en première année de DEGEAD en , 99,81 % ont obtenu une mention bien ou très bien au baccalauréat (dont 94,07 % de mentions très bien)[16].
Campus et partenariats internationaux
Campus de la Porte Dauphine : Dauphine occupe l’ancien palais de l’OTAN (1959-1966) situé dans le XVIe arrondissement, libéré par le départ du siège de l’organisation. Le bâtiment a été conçu dans un style monumental par l’architecte Jacques Carlu, qui réalisa également le palais de Chaillot[17].
Campus de La Défense : Dauphine dispose de six salles de 50 places, une dizaine de salles de 28 places et une dizaine de bureaux au Pôle universitaire Léonard-de-Vinci[18]. En 1990, un projet de déménagement intégral de l’établissement vers La Défense avait été envisagé, mais avait rencontré une vive opposition[19]. La question de l’implantation à La Défense s’est finalement concrétisée dans le cadre du projet du Grand Paris, évoqué par le président de la République Nicolas Sarkozy le : « Il faut faire de la Défense ‘la City’ de la France. On a besoin que Dauphine ne reste pas coincée dans les locaux de l’Otan »[20].
Campus de Londres : Dauphine dispose depuis 2014 d'un campus à Londres où les étudiants peuvent passer le Global Bachelor Dauphine qui est l'équivalent du DEGEAD à Paris. La sélection s'opère parmi les bacheliers des lycées français à l'étranger, les détenteurs d'un bac international ou les A level britanniques. Pour la 3e année, les étudiants peuvent décider de poursuivre leurs études à Paris ou dans un programme international de Paris-Dauphine.
Campus de Madrid : Dauphine ouvre l'équivalent de son programme DEGEAD à Madrid pour la rentrée 2016. Ce cursus est pensé pour des bacheliers attestant d'un excellent niveau académique mais aussi linguistique. Dauphine collabore ainsi avec l'université Charles-III de Madrid.
Institut pratique du journalisme : Depuis le , c'est l'une des 14 écoles reconnues en France par la profession, via le dispositif prévu par la Convention collective nationale de travail des journalistes. L'établissement a été reconnu par l'État le . Son diplôme de journalisme est visé par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche depuis 2004. En , IPJ est intégré par décret à l'université Paris-Dauphine 4 et devient l'Institut pratique du journalisme de l'université Paris-Dauphine et délivre à ses étudiants un double diplôme : un master de journalisme de l'université Paris-Dauphine, ainsi qu'un diplôme propre à IPJ (Institut pratique du journalisme). Elle accueille 96 étudiants par an pour un cursus de deux ans en master. Ce diplôme est reconnu depuis 1991 par la convention collective des journalistes.
Bibliothèque
La bibliothèque de Dauphine, située au 6e étage du bâtiment historique de l'université, offre un panorama tant sur le bois de Boulogne que sur le quartier d'affaires de La Défense. Elle se répartit en une bibliothèque d'étude et une bibliothèque de recherche.
La bibliothèque d'étude, rénovée en 2006, met à la disposition des étudiants 620 places de lectures et 17 salles de travail en groupe. La bibliothèque de recherche est réservée aux étudiants de master 2, aux doctorants et aux enseignants chercheurs ; créée en 1994 et rénovée en 2012, elle rassemble 126 places de lecture[21]. La bibliothèque dans son ensemble conserve environ 180 000 livres, dont 60 000 en libre accès dans les deux bibliothèques et 120 000 dans ses magasins. Elle met également à la disposition de ses lecteurs 3 600 revues au format papier et 30 000 au format numérique. La bibliothèque fournit en effet à ses usagers l'accès à une quarantaine de bases de données, accessibles depuis son catalogue, Odyssée.
Bénéficiant du statut de CADIST pour l'économie et la gestion, la bibliothèque de Dauphine est le principal centre de ressources documentaires dans ces domaines en France. Elle est également pôle associé de la Bibliothèque nationale de France.
Formation et Recherche
Enseignement
Dauphine délivre des diplômes nationaux et des diplômes universitaires.
L'université offre un large choix de formation : management, finance, économie, droit, sciences sociales, mathématiques, informatique ou journalisme.
L'université propose des diplômes de doctorat par le biais de son école doctorale (no 543), divisée en cinq programmes (économie, gestion, mathématiques, informatique, sciences sociales).
Classements et reconnaissance
L'université a fait l'objet d'une évaluation par l'AERES en 2009[22]. Les points forts sont la qualité du corps enseignant et des équipes de recherche, la pédagogie avancée, et la formation continue. Il y a eu des critiques sur la gouvernance, le campus jugé relativement inadapté, et l'internationalisation jugée trop limitée au monde francophone
L'établissement a reçu le label European Quality Improvement System (EQUIS), renouvelé en 2015[23], puis en 2020.
- Classement Times Higher Education 2022 : 40ème institution mondiale et 1ère institution française du classement (en tant que membre fondateur de Paris Sciences & Lettres (PSL))[24].
- QS World University Rankings 2022 : 44ème institution mondiale et 1ère institution française du classement (en tant que membre fondateur de Paris Sciences et Lettres (PSL))[25].
- QS World University Rankings 2021 : 52ème institution mondiale et 1ère institution française du classement (en tant que membre fondateur de Paris Sciences et Lettres (PSL))[26].
- QS World University Rankings 2020 : 53e institution mondiale et 1re institution française du classement (en tant que membre fondateur de Paris Sciences & Lettres (PSL))[27].
- Classement Shanghai 2020 : 36e place mondiale et 2ème institution française du classement (en tant que membre fondateur de Paris Sciences & Lettres (PSL))[28].
- QS Graduate Employability Ranking 2017 : 2e institution française en termes d'employabilité[29].
- Classement Times Higher Education 2013 : 36e institution formant le plus de millionnaires dans le monde[30].
- Classement L'Étudiant-Stratégies 2011 : 5e formation française en marketing derrière Essec, HEC, EM Lyon et ESCP (2011)[31].
Vie étudiante
Personnalités liées
Présidents
Le président de l’université est élu par les trois conseils centraux : conseil d’administration, conseil des études et de la vie universitaire et conseil scientifique[33]. Son mandat est de cinq ans, non renouvelable immédiatement. Le changement de statut de l'établissement a entraîné une exception : Bernard de Montmorillon a assuré la présidence de Dauphine pendant huit années consécutives.
Identité | Période | |
---|---|---|
Début | Fin | |
Jean-Paul Gilli | ||
Henri Tézenas du Montcel | ||
Brigitte Berlioz-Houin (d) | ||
Ivar Ekeland[34] | ||
Élie Cohen | ||
Bernard de Montmorillon | ||
Laurent Batsch | ||
Isabelle Huault | ||
E.M. Mouhoud | En cours |
Enseignants
- Jean-Claude Marin, Procureur général de la Cour de cassation de 2011 à 2018
- Norbert Alter, professeur de sociologie
- Vladimir Arnold, professeur de mathématiques appliqués, auteur du théorème KAM et récipiendaire des prix Lénine, Crafoord, Heineman, Wolf et Shaw
- Jacques Attali, économiste et homme politique
- Laurent Batsch, professeur de gestion
- Anton Brender, professeur associé d'économie - directeur de la recherche économique à Dexia Asset Management
- Philippe Chalmin, professeur d'économie
- Alain Cotta
- Jacques Delors, ancien président de la Commission européenne et ancien ministre des Finances
- Hélyette Geman (en), professeur de mathématique appliquée financière
- Jean-Pierre Jouyet, ancien ministre, président de l'Autorité des marchés financiers
- André Lévy-Lang, ancien président de Paribas
- Jean-Hervé Lorenzi, président du Cercle des économistes
- Pierre-Louis Lions, médaille Fields 1994
- Dominique Méda, professeure de sociologie
- Yves Meyer, prix Carl-Friedrich-Gauss 2010 et prix Abel 2017
- Christian de Perthuis, professeur d'économie, fondateur de la Chaire économie du climat
- Bernard Roy, professeur de mathématiques appliquées aux sciences de gestion
- Christian Schmidt, professeur de sciences économiques
- Helmut Siekmann (de), professeur de l'université de Cologne et professeur invité à l'université de Berkeley et à Paris-Dauphine
- Melchior Wathelet, ministre d’État (Belgique)
Docteurs honoris causa
- Quartet du dialogue national tunisien en 2017, prix Nobel de la paix en 2015.
- Edmund Phelps, professeur à l'université Columbia et auteur de la règle d'or de Phelps
- Henry Mintzberg, professeur de management à l'Université McGill
- John Campbell, professeur d'économie à l'université Harvard
- Oliver Hart, professeur d'économie à l'université Harvard
- Paul Joskow (en), professeur d'économie au Massachusetts Institute of Technology
- Myron Scholes, économiste et auteur de la formule d'évaluation d'options Black-Scholes et prix Nobel d'économie
- Ehud Kalai, professeur de l'université Northwestern et auteur de la solution Kalai-Smorodinsky
- Helmut Siekmann (de), professeur de l'université de Cologne et à l'université de Berkeley
- Robert Shiller, professeur de finance à Yale School of Management
- Melchior Wathelet, ministre d’État (Belgique).
- Joseph Eugene Stiglitz prix Nobel d’économie, ancien économiste en chef de la Banque mondiale
- Fred S. Roberts (en), professeur à l'université Rutgers.
Anciens étudiants
- Jacques Attali : conseiller spécial du président Mitterrand, conseiller ponctuel du président Sarkozy et premier président de la Banque européenne de développement (BERD)
- Thierry Bolloré, directeur général du groupe Renault
- Nicolas Dupont-Aignan : député de l'Essonne, président du parti politique Debout la France
- Florian Philippot : conseiller régional, président du parti politique Les Patriotes
- Bernard Ramanantsoa : ancien directeur général d'HEC Paris
- Jean Tirole : économiste, prix Nobel d'économie 2014
- Cédric Villani : mathématicien, médaille Fields 2010, et député de La République en Marche (LREM)
- Marc Lévy, écrivain, auteur de best-sellers
- Boni Yayi : président de la République du Bénin
- Olivier Blanchard : chef économiste du FMI
- Arnaud Lagardère : président-directeur général de Lagardère
- Hervé Mariton : député et ancien ministre
- Hervé Novelli : député et ancien ministre
- Raymond Ndong Sima : Premier ministre du Gabon
- François Pierson : membre du directoire d'Axa
- Christophe Chenut : ancien directeur général de Lacoste
- Philippe Oddo : associé-gérant d'Oddo & Cie
- Thierry Morin : ancien président-directeur général de Valeo
- Jacques Aigrain : ancien PDG de Swiss Re
- Nassim Nicholas Taleb : écrivain et philosophe, spécialiste de l'épistémologie des probabilités
- Régis Arnoux : fondateur et président-directeur général de Catering International Services
- Diane Barrière-Desseigne : ancienne présidente-directrice générale du Groupe Lucien Barrière
- Frédéric Bedin : président du directoire de Public Système Hopscotch
- Yannick Bolloré : directeur général de Bolloré Média
- Bruno Bonnell : cofondateur d'Infogrames
- François-Xavier Clédat : ancien président-directeur général et actuel président du conseil de surveillance du groupe Spie Batignolles
- Élie Cohen : économiste
- Michel Combes : ancien président-directeur général de TDF, directeur général d'Alcatel-Lucent à compter du
- Édouard Courtial : député-maire, ancien secrétaire d’État
- Claude Czechowski : ancien président de CSC EMEA Sud & Ouest
- Philippe Dupont : ancien président du Conseil de BPCE
- Stéphanie Fontugne : dirigeante d'entreprise franco-suisse
- Bertrand Lemennicier : économiste
- Roland Minnerath : archevêque de Dijon
- Albéric de Montgolfier : avocat et sénateur
- Alain Orsoni : homme politique, président de l'AC Ajaccio depuis 2008
- Pierre Rosanvallon : historien, professeur au Collège de France
- Geoffroy Roux de Bézieux : entrepreneur, président du Medef
- Alain Salzman : président de Marques Avenue
- Frédéric Sautet : économiste
- Jean-Michel Severino : gérant, ancien directeur général de l’Agence française de développement
- Jean-Marc Sylvestre : journaliste économique
- Faure Gnassingbé : président du Togo
- Faten Kallel : femme politique tunisienne
- Florent Menegaux : gérant associé commandité du groupe Michelin
- Sihem Amer-Yahia, informaticienne algérienne, médaille d'argent du CNRS en 2020
- Célestin Tawamba : Dirigeant d'entreprise camerounais
Notes et références
- Décret du , Légifrance.
- Clotilde Ravel, « Lieux oubliés: l’université Paris-Dauphine, «Sous les cahiers, l’héritage ?» », RFI, (consulté le ).
- (en) OTAN, « NATO's homes », sur www.nato.int, (consulté le ).
- « Visite virtuelle de la galerie Carlu », sur Cité de l'architecture & du patrimoine (consulté le ).
- Décret du 17 décembre 1970.
- Anne-Marie Charles, maître de conférences honoraire en maths.
- par Jean-Baptiste Duroselle cité par Rémi Faucherre dans atypie-utopie Vincennes, Naissance d'une université - mai 1968-Janvier 1969.
- Décret n° 2004-186 du 26 février 2004 portant création de l'université Paris-Dauphine.
- Pierre Merlin, L'Université assassinée : Vincennes (1968-1980), , 292 p. (ISBN 978-2-402-04203-1, lire en ligne), p. 139.
- L'université Paris-Dauphine rejoint le cercle des grandes écoles - L'Étudiant, .
- Christian Bonrepaux et Brigitte Perucca, Un rêve, deux facs, Le Monde, .
- « Dauphine, la fac d'élite », Le Parisien, (lire en ligne).
- « HEC ou Dauphine ? Grande école contre fac d'élite », L'Etudiant, (lire en ligne).
- Camille Stromboni, « Paris Sciences et Lettres chahutée pour son élitisme », (consulté le ).
- Cordélia Bonal, « Dauphine explose le prix de ses masters », Libération, (lire en ligne).
- Stéphanie Condis, « Les facs d’éco-gestion, sérieuses concurrentes des écoles de commerce », L'Obs (consulté le ).
- « Faculté de gestion de Paris-Dauphine », sur www.insecula.com.
- « Des formations Dauphinoises à la Défense », sur www.dauphine.fr.
- « Dauphine, ça déménage » Le Quotidien de Paris, 11 mai 1990.
- Cité in Nicolas Sarkozy souhaite que le « cœur de l’activité » de Dauphine s’installe à la Défense, Caroline France, AEF.
- Bibliothèque de l'université Paris-Dauphine, Rapport d'activité 2012.
- http://www.aeres-evaluation.fr/Etablissements/UNIVERSITE-DE-TECHNOLOGIE-EN-SCIENCES-DES-ORGANISATIONS-ET-DE-LA-DECISION-DE-PARIS-DAUPHINE Rapport d'évaluation AERES 2009.
- « EQUIS accredited schools », sur efmdglobal.org (consulté le ).
- (en) « World University Rankings », sur Times Higher Education (THE), (consulté le )
- (en) « QS World University Rankings 2022 », sur Top Universities (consulté le )
- (en) « QS World University Rankings 2021 », sur topuniversities.com (consulté le )
- « PSL dans les classements internationaux », sur Université PSL, (consulté le ).
- « PSL dans les classements internationaux | Université PSL », sur www.psl.eu (consulté le ).
- « QS Graduate Employability Rankings 2017 ».
- « World's top 100 universities for producing millionaires », sur Times Higher Education (THE), (consulté le ).
- « Formations en marketing : hors des grandes écoles, point de salut ? », sur letudiant.fr (consulté le ).
- Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur janvier 2011, p. 43.
- Décret no 2004-186, article 5.
- « http://www.rfi.fr/france/20180815-lieux-oublies-sous-cahiers-heritage-le-passe-diplomatique-universite-da »
Annexes
Articles connexes
Bibliographie
- Paris-Dauphine, vingt-cinq ans de sciences d'organisation, Claude Le Pen, Masson, 1995.
- Histoire de l'université Paris Dauphine (1968-2008), Alain Bienaymé et Dominique Roux, revue Commentaire, numéro 122/été 2008.
- Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur, Analyses régionales des évaluations réalisés entre 2007 et 2011, Région Île-de-France, académies de Paris, Créteil et Versailles, Paris, , 122 p.
- Paris-Dauphine : quand l'Université fait École, Laurent Batsch, Denis Jeambar, .
Liens externes
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