Sorède

Sorède [sɔʁɛd] ou Sureda (catalan) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.

Sorède
Sureda

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Céret
Intercommunalité Communauté de communes des Albères, de la Côte Vermeille et de l'Illibéris
Maire
Mandat
Yves Porteix
2020-2026
Code postal 66690
Code commune 66196
Démographie
Gentilé Sorédiens, Sorédiennes
Population
municipale
3 315 hab. (2018 )
Densité 96 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 31′ 53″ nord, 2° 57′ 27″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 1 241 m
Superficie 34,54 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Cyprien
(banlieue)
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vallespir-Albères
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Sorède
Sureda
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Sorède
Sureda
Géolocalisation sur la carte : France
Sorède
Sureda
Géolocalisation sur la carte : France
Sorède
Sureda

    Ses habitants sont appelés les Sorédiens.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Sorède se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Catalogne)[1].

    Elle se situe à 19 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à 17 km de Céret[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Laroque-des-Albères (2,2 km), Saint-André (2,7 km), Saint-Génis-des-Fontaines (3,1 km), Villelongue-dels-Monts (4,4 km), Palau-del-Vidre (4,7 km), Argelès-sur-Mer (5,8 km), Brouilla (5,9 km), Ortaffa (6,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Sorède fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[5] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[6].

    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    Le territoire de Sorède comporte 3 460 hectares dont 850 de plaine entre 38 et 120 mètres d'altitude, ainsi que 2 610 hectares de montagne entre 120 et 1 241 m d'altitude (soit les deux tiers du territoire global).

    La montagne dessine trois chaînons qui enclavent deux vallées principales : la vallée de la Fargue, plus connue comme « vallée Heureuse » à l'ouest ; et la vallée de Lavail à l'est. Le point culminant de la commune est à proximité du pic du Néoulous (1 257 mètres).

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].

    Hydrographie

    On compte deux cours d'eau : la rivière de Sorède : le Tassio, et la Massane.

    Le village est bâti en piémont de la montagne de part et d'autre du Tassio.

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10],[11].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le « Moixoses », une réserve biologique dirigée, d'une superficie de 698,6 ha[12].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[14].

    • le « massif des Albères », d'une superficie de 6 978 ha, accueille une série remarquable d'étages de végétation, du thermo méditerranéen (parties abritées proches du littoral) au montagnard (hétraies, milieux rocheux, nardaies), en passant par le méditerranéen (maquis, chênaies).[15] et au titre de la directive oiseaux[14]
    • le « massif des Albères », d'une superficie de 7 113 ha, se trouve sur l'axe migratoire majeur de la partie orientale des Pyrénées et inclut les principaux cols fréquentés lors des passages migratoires de printemps et d'automne[16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[17] :

    • les « crêtes de pic Neoulos » (366 ha), couvrant 3 communes du département[18] ;
    • la « forêt de la Massane » (359 ha), couvrant 2 communes du département[19] ;
    • le « ravin de la Massane » (1 332 ha), couvrant 2 communes du département[20] ;
    • le « ravin des Mouchouses » (485 ha)[21] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[17] : le « massif des Albères » (10 837 ha), couvrant 10 communes du département[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Sorède est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[23],[24],[25]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Cyprien, une agglomération intra-départementale regroupant 14 communes[26] et 60 792 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[27],[28].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[29],[30].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (67,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,7 %), zones urbanisées (6,2 %), cultures permanentes (4,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,6 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Les lignes 550 (Céret - Argelès-sur-Mer) et 553 (Saint-Génis-des-Fontaines - Gare de Perpignan) du réseau régional liO assurent la desserte de la commune.

    Toponymie

    En catalan, le nom de la commune est Sureda[32]. Le nom de Sorède vient du latin suber : liège, auquel s'est ajouté le suffixe -eta, donnant subereta : « forêt de chênes-lièges ». On trouve de nombreux toponymes ayant la même origine dans tout le Roussillon. Sorède est mentionnée dès le IXe siècle sous l'appellation Suvereda, laquelle donna Sureta, puis Sureda, francisé en Sorède au XVIIIe siècle.

    Histoire

    Les origines du village sont difficiles à dater. Il semblerait que le site ait été occupé depuis le Néolithique.

    Le village est mentionné pour la première fois en l'an 898 dans un registre juridique où il est désigné sous le nom de locum Sunvereta. Le château seigneurial fut bâti aux alentours de l'an 950.

    En 1175 le roi Alphonse II d'Aragon désigne le comte Durban comme seigneur de Sorède, sa lignée se perpétua jusqu'en 1264. Ensuite Jacques Ier d'Aragon donne la seigneurie à Arnaud de Castelnou, à sa mort son épouse Béatrice de Château-Roussillon en hérite, mais en 1344 Pierre IV d'Aragon dépossède Jacques II de Majorque de son royaume et nomme Rocasalva seigneur de Sorède.

    La seigneurie passe à plusieurs familles jusqu'en 1598, avant de passer à Gaston de Foix et Béarn, damoiseau de Perpignan. Son épouse, Jeanne de Vilaplana, lui succède et est à l'origine de la destruction du vieux château d'Ultrère en 1675. La seigneurie passe ensuite à la famille d'Oms par le mariage de la fille de Jeanne de Vilaplana avec Jean d'Oms. François-Xavier d'Oms sera le dernier seigneur de Sorède à la Révolution française.

    La commune de Lavail est rattachée à celle de Sorède le [33].

    Politique et administration

    Canton

    En 1790, la commune de Sorède est incluse dans le canton d'Argelès au sein du district de Céret. Elle est rattachée au canton de Laroque en 1793 puis revient au canton d'Argelès en 1801, dont elle a fait partie depuis[33]. À compter de , la commune est incluse dans le nouveau canton de Vallespir-Albères.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Joseph Gri    
    André Cavaillé    
    En cours Yves Porteix[34],[35],[36] UDF puis MoDem
    puis LREM
    Pharmacien
    3e vice-président de la CC Albères Côte Vermeille Illibéris (2017 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1378 1470 1515 1553 1643 1720 1730 1767 1774
    22 f18 f21 f15 f24 f78 f84 f495 H84 f
    1789 - - - - - - - -
    172 f--------
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

    En 2018, la commune comptait 3 315 habitants[Note 7], en augmentation de 6,69 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4156898399391 0501 2001 2181 2661 283
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3181 3031 3381 2731 3911 5601 6171 5521 504
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5851 6091 5831 4521 3741 3551 3181 1031 075
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 1381 1641 4911 8962 1602 6992 9263 0503 246
    2018 - - - - - - - -
    3 315--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Note : À partir de 1826, le recensement inclut la population de La Vall, annexée à Sorède en 1822.

    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[41] 1975[41] 1982[41] 1990[41] 1999[41] 2006[42] 2009[43] 2013[44]
    Rang de la commune dans le département 43 41 37 36 31 34 38 40
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Enseignement

    Sorède dispose d'une école maternelle publique, avec un effectif de 71 élèves en 2014[45], ainsi que d'une école élémentaire publique, avec un effectif de 130 élèves en 2014[46] répartis sur cinq classes[47].

    Manifestations culturelles et festivités

    Sports

    Les sites d'escalade du Château d'Ultrera et du Rocher Saint Michel (Puig Sant Miquel), proche de la chapelle Notre-Dame et accessible par une piste depuis Sorède, mais administrativement sur la commune d'Argelès-sur-Mer, sont les principaux sites d'escalade du Massif des Albères. Un arrêté municipal du interdit la pratique de l'escalade sur l'ensemble du site[réf. nécessaire].

    Au sommet du Puig Naud (Puig Nalt), se trouve un site de vol libre (parapente et deltaplane)[49].

    Il y a plusieurs itinéraires de randonnée.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 26 988 [50].

    Entreprises et commerces

    Sorède détient la dernière fabrique mondiale de fouet en micocoulier[51].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Personnalités liées à la commune

    • Le père Manuel António Gomes, dit « Padre Himalaya », scientifique d'origine portugaise qui élabora à Sorède (à Notre-Dame du Château) le premier four solaire des Pyrénées-Orientales en 1900.
    • Jean Carbonne dit « mousquit », « el ninou » ou « el ninot », né le à Sorède et décédé le . Joueur de rugby à XV. Champion de France de rugby à XV avec l'U.S.A.P. en 1925 et finaliste en 1924 et 1926. Une sélection en équipe de France de rugby à XV en 1927. Demi de mêlée (1,60 m, 60 kg).

    Héraldique

    Blason
    D'or au chêne au naturel[54].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Léon Conill, « Esquisse d'une monographie scientifique de Sorède et de Lavall », Bulletin de la Société agricole, scientifique et littéraire des Pyrénées-Orientales, Perpignan, no 52,

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Sorède », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Sorède et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Sorède et Céret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Sorède », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 362-363.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Institut cartographique de Catalogne, « Visualisateur cartographique Vissir » (consulté le ).
    9. « Plan séisme » (consulté le ).
    10. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    11. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    12. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sorède », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « site Natura 2000 FR9101483 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9112023 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sorède », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF les « crêtes de pic Neoulos » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF la « forêt de la Massane » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF le « ravin de la Massane » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « ravin des Mouchouses » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « massif des Albères » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Unité urbaine 2020 de Saint-Cyprien », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    27. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    28. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    29. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    32. (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
    33. Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
    34. Yves Porteix fit partie des 500 élus qui ont parrainé la candidature de François Bayrou à l'élection présidentielle de 2002.cf. Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002.
    35. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
    36. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    42. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    43. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    44. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    45. Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, école maternelle publique André Cavaille de Sorède
    46. Annuaire du Ministère de l'Éducation nationale, école élémentaire publique André Cavaille de Sorède
    47. « Rentrée : des tensions dans les villages catalans », L'Indépendant, (lire en ligne, consulté le ).
    48. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
    49. site de vol libre.
    50. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    51. Sureda fa temps par Geroni & Francesc Margail, ed.Terra Nostra, Prades mai 1987
    52. L'Indépendant, Sorède à l'heure solaire, 9 septembre 2013
    53. Ouillade, Sorède : Capitale du soleil… malgré la pluie !, 8 septembre 2013
    54. http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=5762
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