Ortaffa
Ortaffa est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Ortaffanencs.
Ortaffa | |||||
Vue générale du village | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Céret[1] | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Albères et de la Côte Vermeille | ||||
Maire Mandat |
Raymond Pla 2020-2026 |
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Code postal | 66560 | ||||
Code commune | 66129 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 537 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 181 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 34′ 51″ nord, 2° 55′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 19 m Max. 90 m |
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Superficie | 8,49 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | La Plaine d'Illibéris | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation
La commune d'Ortaffa se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[2].
Elle se situe à 13 km à vol d'oiseau de Perpignan[3], préfecture du département, à 17 km de Céret[4], sous-préfecture, et à 4 km d'Elne[5], bureau centralisateur du canton de la Plaine d'Illibéris dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Cyprien[2].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[6] : Brouilla (2,3 km), Palau-del-Vidre (3,1 km), Montescot (3,2 km), Bages (3,7 km), Saint-Génis-des-Fontaines (4,3 km), Elne (4,4 km), Saint-Jean-Lasseille (4,8 km), Banyuls-dels-Aspres (5,0 km).
Sur le plan historique et culturel, Ortaffa fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[7] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[8].
Géologie et relief
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[10].On peut y voir le Canigou car il est très proche
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[11].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tresserre », sur la commune de Tresserre, mise en service en 1983[16]et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[17],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,9 °C et la hauteur de précipitations de 649,4 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 13 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[20], à 15,7 °C pour 1981-2010[21], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[22].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « le Tech »[24], d'une superficie de 1 467 ha, hébergeant le Barbeau méridional qui présente une très grande variabilité génétique dans tout le bassin versant du Tech. Le haut du bassin est en outre colonisé par le Desman des Pyrénées[25].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[26] : la « vallée du Tech de Céret à Ortaffa » (611 ha), couvrant 10 communes du département[27] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[26] : la « rivière le Tech » (933 ha), couvrant 14 communes du département[28].
Urbanisme
Typologie
Ortaffa est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[29],[30],[31].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[32],[33].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (43,5 %), zones agricoles hétérogènes (32,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,1 %), zones urbanisées (7,5 %), forêts (4,5 %), terres arables (1,8 %)[34].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
En catalan, le nom de la commune est Ortafà[35].
Le nom de Ortafà est cité pour la première fois dans un acte du [36].
Histoire
Le , la Communauté de communes du secteur d'Illibéris est dissoute et intégrée dans la Communauté de communes des Albères et de la Côte Vermeille, intégrant de fait Ortaffa. À Ortaffa vous trouverez aussi son clocher qui le symbolise, mais aussi son château.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].
En 2018, la commune comptait 1 537 habitants[Note 9], en augmentation de 23,45 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[44] | 1975[44] | 1982[44] | 1990[44] | 1999[44] | 2006[45] | 2009[46] | 2013[47] |
Rang de la commune dans le département | 87 | 77 | 83 | 78 | 72 | 72 | 68 | 73 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Manifestations culturelles et festivités
- Fêtes patronales : et [48].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 28 385 €[49].
Culture locale et patrimoine
Monument et lieux touristiques
- L'église paroissiale Sainte-Eugénie remonte au XIIe siècle. Elle présente d'importants éléments d'architecture romane : fenêtre en plein cintre sur la façade ouest, dominée par un clocher-mur, et une abside semi-circulaire ornée de grands arcs aveugles. Elle se dresse à côté du cimetière, sur une petite colline dominant le village et faisant face au château[52]. L'Extérieur de l'abside a été inscrite au titre des monuments historiques en 1964[53].
- L'église paroissiale Sainte-Eugénie
- Porche
- La Tour Eiffel, clocher (1898-1900)
- Le clocher civil, inspiré de la tour Eiffel, fut construit entre 1898 et 1900 et reste l'emblème du village.
Héraldique
Blason | Fascé d'or et de sable la 1ère fasce chargée de trois losanges du même. |
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Détails | Armes adoptées par la famille seigneuriale d'Ortaffa. |
Ces armes adoptées par la famille d'Ortaffa sont celles combinées des familles d'Oms et Perapertusa précédemment et successivement seigneurs du fief.
- Fascé d'or et de sable. Armes des seigneurs de Montescot de la famille d'Oms.
- D'or au chef du même chargé de trois losanges de sable. Armes des vicomtes de Joc, de la famille de Perapertusa.
Les trois fasces de sable tout comme les trois losanges symbolisent les trois rois Maures vaincus par Arnald de Ulmis, revendiqué par chacune des familles comme leur ancêtre, lors de la bataille des Cluses à la fin du VIIIe siècle.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Modification des limites territoriales des arrondissements », Préfet des Pyrénées-Orientales.
- « Métadonnées de la commune d'Ortaffa », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ortaffa et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ortaffa et Céret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ortaffa et Elne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Ortaffa », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 362-363.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Tresserre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ortaffa et Tresserre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Tresserre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ortaffa et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Ortaffa », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101478 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Ortaffa », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée du Tech de Céret à Ortaffa » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « rivière le Tech » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Perpignan », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
- Jean Rifa, L'histoire de nos villages, Saint-Estève, Alliance éd., 174 p. (ISBN 978-2-916666-10-5), p.99.
- Liste des maires sur MairesGenWeb
- Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
- [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 1999, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- MWc : mégawatt-crête. Le Wc est l'unité de mesure de la puissance maximale d'un dispositif.
- « Ortaffa (Pyrénées-Orientales, 1 300 hab.) : requalifier des exploitations agricoles grâce à un projet photovoltaïque », La gazette, (lire en ligne).
- Géraldine Mallet, Églises romanes oubliées du Roussillon, Montpellier, Presses du Languedoc, , 334 p. (ISBN 978-2-85998-244-7), p. 148.
- « Eglise paroissiale Sainte-Eugénie », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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