Laroque-des-Albères

Laroque-des-Albères est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Albère.

Laroque-des-Albères

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Céret
Intercommunalité Communauté de communes des Albères, de la Côte Vermeille et de l'Illibéris
Maire
Mandat
Christian Naute
2020-2026
Code postal 66740
Code commune 66093
Démographie
Gentilé Rocatins, Rocatines
Population
municipale
2 128 hab. (2018 )
Densité 104 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 31′ 26″ nord, 2° 55′ 58″ est
Altitude Min. 31 m
Max. 1 245 m
Superficie 20,51 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Cyprien
(banlieue)
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vallespir-Albères
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Laroque-des-Albères
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Laroque-des-Albères
Géolocalisation sur la carte : France
Laroque-des-Albères
Géolocalisation sur la carte : France
Laroque-des-Albères
Liens
Site web http://www.laroque-des-alberes.fr

    Ses habitants sont appelés les Rocatins.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Laroque-des-Albères se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Catalogne)[1].

    Elle se situe à 20 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à 15 km de Céret[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Sorède (2,2 km), Saint-Génis-des-Fontaines (2,2 km), Villelongue-dels-Monts (2,3 km), Montesquieu-des-Albères (4,2 km), Saint-André (4,6 km), Brouilla (5,4 km), L'Albère (5,4 km), Palau-del-Vidre (6,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Laroque-des-Albères fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[5] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[6].

    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    Le territoire de la commune connait deux zones distinctes : au nord, la plaine, zone de cultures fruitières et viticole, et, au sud, la zone montagneuse, qui s'élève jusqu'à 1 252 m (Puig Neulos), essentiellement forestière (chênes-liège, châtaigniers notamment). Le village s'étend sur la zone intermédiaire entre la plaine et la montagne.

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est arrosé par plusieurs rivières prenant leur source dans le massif des Albères[10] :

    • Ribera de la Roca, affluent du Tech et ses affluents de l'amont vers l'aval :
      • Còrrec del Roc dels Tres Termes (rg) ;
      • Còrrec del Pou (rd) ;
      • Còrrec del Coll de l'Ullat (rg) ;
        • Còrrec del Puig d'Orella (rg) ;
      • Còrrec de Jaca (rg) ;
      • Còrrec de les Teixoneres (rd) ;
      • Còrrec de Mata Porcs (rd) ;
      • Còrrec de la Font del Pomer (rd) ;

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 15,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 826 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,4 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[11].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Boulou », sur la commune du Boulou, mise en service en 1962[16]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[17],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15,6 °C et la hauteur de précipitations de 726 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 20 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[20], à 15,7 °C pour 1981-2010[21], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[22].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[23] : la « crête du pic d'Aureille » (270 ha), couvrant 4 communes du département[24] et les « crêtes de pic Neoulos » (366 ha), couvrant 3 communes du département[25] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[23] : le « massif des Albères » (10 837 ha), couvrant 10 communes du département[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Laroque-des-Albères est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[27],[28],[29]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Cyprien, une agglomération intra-départementale regroupant 14 communes[30] et 60 792 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[31],[32].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[33],[34].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,2 %), cultures permanentes (23 %), zones urbanisées (9 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Routes menant à Laroque-des-Albères[36] :

    La ligne 550 du réseau régional liO relie la commune à Céret et à Argelès-sur-Mer, et la ligne 553 relie la commune à la gare de Perpignan depuis Saint-Génis-des-Fontaines.

    Toponymie

    Panneaux à l'entrée de Laroque-des-Albères

    En catalan, le nom de la commune est La Roca d'Albera[37].

    Histoire

    Les traces d'occupation humaine sur le territoire de la commune de Laroque remontent au moins jusqu'à la période protohistorique. En témoignent de nombreuses haches polies ainsi que la Balma del Moro[38], « l'un des trois plus beaux et plus grands dolmens du département » selon Jean Abélanet.

    Laroque est mentionnée pour la première fois au IXe siècle sous le nom Roca Frusindi du nom de son possesseur : Frusindus. Il s'agit d'un ancien fundus d'origine wisigothique.

    Au haut Moyen Âge l'actuel territoire de Laroque comptait cinq paroisses rurales : Roca-Vella, Tanya, Alamanys, Galicie et Laroque. Quatre de ces paroisses furent réunies au château de Laroque entre le XIIe et le XIVe siècle. L'ancien village de Laroque fut, dès le Moyen Âge, articulé autour du château seigneurial à l'intérieur des remparts. C'est dans le château de Laroque que le roi de France Philippe III le Hardi rencontra le roi de Majorque lors de la Croisade d'Aragon. Dès le XVIIe siècle, le village commença sa croissance en dehors des remparts, vers le nord, formant un "faubourg". Aujourd'hui le village est bien plus étendu et englobe, au nord, l'ancien hameau de Tanya.

    Roca-Vella

    Au Xe siècle est mentionnée la Villa Rochas dite aujourd'hui Villa Vella.

    Tanya

    Ce lieu est cité dès le IXe siècle. On y cite la Cella Saint-Félix et la Celle Saint-Julien, établissements quasi monastiques rattachés à l'évêque d'Elne. Dans son Testament daté de 1187, dame Alisende déclare: «Je laisse mon corps au monastère de saint-Génis...En outre, je laisse audit monastère, comme alleud, toute ma partie d'une borde aux environs de SaintFélix de Tanya, que tenait Raimond Saurina, avec les hommes et les femmes, de sorte qu'après le décès de mon mari Pierre de Saint-Martin, ledit monastère possède librement cette borde. Je laisse aux clercs de Saint-Félix de Tanya un muid inter panem et vinum. Je laisse à Saint-Julien de Tanya, cent sols barcelonais qui seront versés l'an accompli après mon décès. Si toutefois cette somme ne leur était pas versée, les recteurs du lieu de Saint-Julien tiendront mon champ de Condamine et ma vigne de Gavarra jusqu'à ce que cette somme leur soit acquittée... »

    Alamanys
    Galicie

    Politique et administration

    Canton

    D'abord incluse dans le canton de Collioure en 1790, la commune de Laroque en est détachée en 1793 pour devenir le chef-lieu du nouveau canton de Laroque. Ce dernier est supprimé en 1801 et Laroque est alors rattachée au canton d'Argelès dont elle a fait partie depuis[39]. À compter de , la commune est incluse dans le nouveau canton de Vallespir-Albères.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    François Domenjo    
    Fernand Soler    
    Sébastien Martinez   Inspecteur honoraire de la Jeunesse et des Sports
    Pierre Romengas    
    Maryse Armada DVD puis UMP  

    (démission)
    Jean-Pierre Bagate[40] SE  
    En cours Christian Nauté[41],[42] DVD Retraité
    12e vice-président de la CC Albères Côte Vermeille Illibéris

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1359 1365 1378 1470 1515 1553 1709 1720 1730
    120 f92 f91 f73 f57 f34 f136 f151 f153 f
    1765 1767 1774 1789 - - - - -
    600 H715 H859 H170 f-----
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].

    En 2018, la commune comptait 2 128 habitants[Note 8], en diminution de 0,93 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7869371 0181 1541 1731 1821 0031 3031 317
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3251 2091 3001 2411 1681 2311 2961 2451 210
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2541 1671 108968991884905795828
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8538319841 1261 5081 9091 9412 1282 099
    2018 - - - - - - - -
    2 128--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[47] 1975[47] 1982[47] 1990[47] 1999[47] 2006[48] 2009[49] 2013[50]
    Rang de la commune dans le département 60 55 56 53 50 52 52 52
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fêtes patronales : et 1er août[51].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 31 360 [52].

    Entreprises et commerces

    Longtemps tourné vers l'agriculture le village connait un nouveau développement grâce au tourisme vert. Sa proximité des côtes rousillonnaises en fait un lieu de villégiature et un point de départ des randonnées.

    La population s'accroit grâce à l'arrivée de retraités et de citadins qui fuient les villes du bord de mer. Une zone d'activité artisanale a été créée.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Personnalités liées à la commune

    • Philippe III le Hardi (1245-1285) : roi de France, qui rencontra à Laroque le roi de Majorque Jacques II ;
    • Jean Chaubet (1815-1871) : homme politique né à Laroque-des-Albères ;
    • Marcel Darné (1901-1970) : joueur de rugby à XV né à Laroque-des-Albères, champion de France avec l'U.S.A.P en 1925 et finaliste en 1924 ;
    • Lucien Jeunesse (1918-2008) : animateur de radio, demeura plusieurs années à Laroque sur la route des Mas catalans ;
    • Carlo Maiolini (1940-) : artiste-peintre vivant à Laroque-des-Albères.

    Héraldique

    Blasonnement :
    Coupé de gueules et d'argent aux trois rocs d'échiquier de l'un en l'autre mal ordonnés, à la bordure denticulée du même.

    Photographies

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Laroque-des-Albères », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Laroque-des-Albères et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Laroque-des-Albères et Céret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Laroque-des-Albères », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
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    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Institut cartographique de Catalogne, « Visualisateur cartographique Vissir » (consulté le ).
    9. « Plan séisme » (consulté le ).
    10. Carte IGN 2549 OT
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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    51. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
    52. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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