Salles-Lavalette

Salles-Lavalette est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Salles.

Salles-Lavalette

Maison ancienne au bourg.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Carine Daulon
2020-2026
Code postal 16190
Code commune 16362
Démographie
Gentilé Sallesiens
Population
municipale
339 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 23′ 03″ nord, 0° 14′ 07″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 191 m
Superficie 20,15 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Salles-Lavalette
Géolocalisation sur la carte : Charente
Salles-Lavalette
Géolocalisation sur la carte : France
Salles-Lavalette
Géolocalisation sur la carte : France
Salles-Lavalette

    Ses habitants sont les Sallesiens et les Sallesiennes[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Salles-Lavalette est une commune du Pays de Lavalette, située dans le Sud Charente et limitrophe du département de la Dordogne, à km à l'est de Montmoreau et 30 km au sud d'Angoulême, sur la rive droite de la Lizonne.

    Salles-Lavalette est aussi à km au nord de Saint-Séverin, 11 km à l'ouest de Verteillac, 12 km au sud de Villebois-Lavalette, chef-lieu de son canton, 14 km au nord d'Aubeterre et 17 km au nord-ouest de Ribérac[2].

    La D 24 entrant dans le bourg au nord-ouest.

    À l'écart des routes importantes, la commune est traversée par la D 17, route d'Aubeterre et Saint-Séverin à Villebois, qui longe la Lizonne à l'est de la commune et qui passe à km du bourg. La D 24, route de Montmoreau à Verteillac (D 1 en Dordogne) qui lui est transversale dessert le bourg. Enfin, la D 19, route de crête de Saint-Séverin à Juillaguet en direction d'Angoulême, borde la commune à l'ouest[3].

    Communes limitrophes

    Salles-Lavalette est limitrophe de sept autres communes, dont deux dans le département de la Dordogne.

    Géologie et relief

    Géologiquement, la commune est située dans les coteaux calcaires du Bassin aquitain datant du Crétacé supérieur.

    On trouve le Campanien, calcaire crayeux, sur toute la surface communale. La crête à l'extrême nord-ouest de la commune est recouverte de dépôts du Tertiaire (Lutétien et Cuisien) composés de galets, sables et argiles, propice aux bois de châtaigniers.

    La vallée de la Lizonne, à l'est, est occupée par des alluvions récentes du Quaternaire composées de sable et tourbe[4],[5],[6].

    Le relief de la commune est celui du versant occidental de la vallée de la Lizonne, compris entre une crête élevée à l'ouest et le cours d'eau à l'est, tous deux parallèles de direction nord-sud. De nombreux épaulements et vallons secondaires descendent vers l'est et rendent le terrain communal très vallonné.

    Le point culminant est à une altitude de 191 m, situé à l'extrémité sud-ouest, près du château d'eau de Bel-Air. Le point le plus bas est à 65 m, situé le long de la Lizonne en limite sud-est. Le bourg s'étage entre 80 et 100 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La Lizonne, affluent de la Dronne et donc dans le bassin de la Dordogne, limite la commune à l'est. Le canal des Moulins, parallèle au cours principal, alimente trois moulins. D'anciennes tourbières occupent aussi le nord de la commune.

    Quelques ruisseaux affluents occupent les vallons, comme la Font Saint-Martin et le ruisseau de Nogerède, qui se rejoignent au pied du bourg. Au nord de la commune, un autre ruisseau passe près de Barillaud. Il y a aussi quelques ruisseaux temporaires. On trouve aussi dans ces vallons de petites retenues d'eau[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    ZNIZFF

    Étang à l'est du lieu-dit Maine Barillaud, dans la ZNIEFF « Tourbières de Vendoire ».
    Le bras central du canal des Moulins au lieu-dit Moulin Neuf, à Salles-Lavalette.

    Selon l'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), le site « Marais alcalins de la vallée de la Nizonne »[7] concerne la commune de Salles-Lavalette. Dans les faits, les communes du département de la Charente mentionnées par la fiche ne font que tangenter cette zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), intégralement comprise dans le département de la Dordogne, comme le montre la carte du site[8]. Ces communes de Charente, dont Salles-Lavalette, sont traitées dans une autre ZNIEFF décrite ci-dessous.

    À Salles-Lavalette, la vallée de la Nizonne fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[9],[10].

    Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[9] :

    Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[9].

    Inclus dans la ZNIEFF ci-dessus, le site « Tourbières de Vendoire » est une ZNIEFF de type I[11],[12] qui s'étend sur 148,62 hectares, dont un peu plus de la moitié sur le territoire de Salles-Lavalette, le long du cours de la Lizonne et du canal des Moulins. Les communes de Gurat et Vaux-Lavalette sont également concernées.

    Onze espèces déterminantes d'animaux ont été répertoriées sur cette ZNIEFF[11] :

    Cinquante-trois autres espèces animales y ont été recensées[11] : dix-huit mammifères et trente-cinq oiseaux.

    Six espèces déterminantes de plantes ont été recensées sur la ZNIEFF[11] : la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), la Léersie faux-riz (Leersia oryzoides), l'Orchis des marais (Anacamptis palustris), le Potamot coloré (Potamogeton coloratus), le Souchet jaunâtre (Cyperus flavescens) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis), ainsi que 102 autres espèces végétales.

    Natura 2000

    Dans leur traversée de la commune, la Lizonne et sa vallée[13] font partie d'une zone du réseau Natura 2000 « Vallée de la Nizonne » avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne[14] :

    Urbanisme

    Typologie

    Salles-Lavalette est une commune rurale[Note 1],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (77,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,1 %), forêts (20,3 %), zones agricoles hétérogènes (15,2 %), prairies (6,7 %), cultures permanentes (1,7 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Hameaux et lieux-dits

    L'habitat est très dispersé, et en dehors du bourg, la commune compte de nombreux hameaux et fermes : Nougerède, Chez Buguet, Vésignole, Chez Rigaud, le Breuil, Loches, Puyraud pour n'en citer que quelques-uns[3].

    Toponymie

    Le nom de la commune est attestée par la forme ancienne latinisée de Salis en 1329[21].

    Le mot Salles qui a donné son nom à de nombreuses communes du sud de la France (La Salle, Les Salles, Lasalle, Lassalles, Salles, etc.) dériverait du germanique seli, en allemand saal, désignant « chambre, château »[22].

    La commune a été créée Salles en 1793 du nom de la paroisse, puis nommée Salles-la-Valette en 1801 pour la distinguer des autres communes du même nom dans le département. Elle s'est orthographiée Salles-Lavalette vers la fin du XIXe siècle[23],[Note 2].

    Le nom Lavalette provient du duché de La Valette érigé à Villebois en 1622 par Louis XIII au profit de Jean-Louis Nogaret de La Valette, duc d'Épernon, gouverneur de l'Angoumois, Saintonge et Guyenne, et seigneur de ce fief.

    Limite linguistique

    La commune est dans le domaine occitan (dialecte proche du limousin), et marque la limite avec la langue d'oïl (domaine du saintongeais) à l'ouest[24].

    Histoire

    L'Antiquité a laissé quelques vestiges. Deux bassins bétonnés de l'époque romaine ont été trouvés à Nougerède et aux Grands Champs. Un sarcophage mérovingien avec ossements et scramasaxe a été découvert près de Toutifaut[25].

    Au Moyen Âge, vers l'an mil, la terre de Salles appartenait à l'abbaye de Saint-Cybard. La paroisse faisait partie de l'ancien diocèse de Périgueux, et, en 1117, l'évêque de Périgueux, Guillaume d'Auberoche, donna raison à l'abbaye de Saint-Cybard contre le chapitre de Saint-Martin de Périgueux, qui prétendait avoir des droits sur le prieuré de Salles. Cette sentence fut confirmée en 1119 par Arnaud Géraud de Cabanac, archevêque de Bordeaux.

    Le prieuré de Salles fut très éprouvé pendant les XIIIe et XIVe siècles. Il perdit la conventualité vers 1400 et le prieur cessa d'y résider en 1444. À cette époque les maisons prieurales, pourtant cossues, furent déclarées inhabitables.

    Au tout début du XXe siècle, plusieurs moulins fonctionnaient encore sur la Lizonne. Après la crise du phylloxéra, le vignoble avait été reconstitué plus rapidement que dans d'autres communes, et produisait un bon vin. Des foires avaient lieu au bourg le 4e lundi du mois[26].

    Administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1888 1919 André-François-Romain Pichon    
             
    1982 1986 Michel Pichon    
    2001 2008 Michel Eynard    
    2008 juillet 2017[27] Éric Gendron[Note 3] SE Agriculteur
    octobre 2017[28] En cours Carine Daulon    

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[29].

    La commune est labellisée « Territoire Bio Engagé » depuis 2019[30].

    Démographie

    Évolution démographique


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

    En 2018, la commune comptait 339 habitants[Note 4], en diminution de 6,87 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 1141 0511 2231 1551 2151 1751 1641 1511 169
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 1261 1161 0761 0481 007973895863836
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    879900714765780761678591539
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    503385362365360338355360339
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 18 %, 15 à 29 ans = 10,5 %, 30 à 44 ans = 21,5 %, 45 à 59 ans = 23,3 %, plus de 60 ans = 26,8 %) ;
    • 51,5 % de femmes (0 à 14 ans = 21,3 %, 15 à 29 ans = 12 %, 30 à 44 ans = 18,6 %, 45 à 59 ans = 21,9 %, plus de 60 ans = 26,2 %).

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (26,5 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (26,6 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,5 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    Pyramide des âges à Salles-Lavalette en 2007 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,0 
    9,9 
    75 à 89 ans
    12,0 
    16,9 
    60 à 74 ans
    14,2 
    23,3 
    45 à 59 ans
    21,9 
    21,5 
    30 à 44 ans
    18,6 
    10,5 
    15 à 29 ans
    12,0 
    18,0 
    0 à 14 ans
    21,3 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Agriculture

    Le silo Charentes Alliance vu de la D 24.

    L'activité agricole rythme la commune de Salles-Lavalette. La commune compte près de 20 fermes avec des productions diversifiées : élevages bovins (laitier et allaitant), élevage avicole (poulets de chair), élevage porcin, grandes cultures (céréales, oléagineux, légumineuses et protéagineux), prairies, maraîchage, vigne, production de noix et houblon. En 2010, trois fermes sont certifiées en Agriculture biologique, et une en Label rouge[36].

    La commune fait partie de l'aire d'origine contrôlée du Cognac « Bons Bois »[37] et de l'AOP Noix du Périgord[38].

    Industries et activités artisanales

    Plusieurs commerces et activités artisanales dynamisent Salles-Lavalette.

    La commune compte une entreprise de fournitures et matériel agricole, les établissements Simmonet. Cette entreprise familiale, renommée dans les alentours, compte cinq emplois[39].

    Salles-Lavalette compte aussi une entreprise de maçonnerie.

    Une microbrasserie paysanne a vu le jour en 2019, la Nouge, qui produit bières blondes, ambrées et stouts. Les ingrédients sont produits à la ferme (orge et houblon).

    Commerces

    Une boulangerie, la boulangerie du moulin Sartier, a ouvert fin 2010 au cœur du bourg. Le pain est fabriqué avec la farine moulue au moulin, patrimoine communal, et avec le blé produit sur la commune. On peut également y déguster viennoiseries et pâtisseries.

    Le bourg accueille aussi un bar-restaurant sur la place du village face à la mairie et l'école.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école maternelle au pied de la mairie.

    L'école est un RPI entre Montignac-le-Coq, Palluaud et Salles-Lavalette. Salles accueille l'école maternelle, et Montignac et Palluaud les écoles élémentaires, avec une classe unique chacune.

    Le secteur du collège est Montmoreau[40].

    Marchés

    Un marché réunit tous les vendredis matins de 9 h à 12 h 30 des producteurs locaux dont les maraîchers biologiques installés sur les terres communales.

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église paroissiale Saint-Martin est au centre du bourg et surplombe la vallée.

    Patrimoine civil

    La commune comptait de nombreux moulins sur la Lizonne. Le moulin Sartier était un moulin à papier au XVIIe siècle avant d'être un moulin à blé à partir du XVIIIe siècle et même à huile de noix. La minoterie et ses machines datent de 1907[41].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Voir aussi Salles-d'Angles,Salles-de-Barbezieux et Salles-de-Villefagnan dans le même département.
    3. Décédé en fonctions.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montmoreau », sur Infoterre, (consulté le )
    7. [PDF] 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    8. Carte de la ZNIEFF 720008181, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    9. [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    10. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    11. [PDF] 540003487 - Tourbières de Vendoire, Jean Terrisse, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    12. Carte de la ZNIEFF 540003487, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    13. Carte du site FR7200663, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    14. [PDF] FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 214
    22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 580.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    25. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 155
    26. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 373
    27. Éric Gendron, le maire de Salles-Lavalette, a mis fin à ses jours, Charente libre, 18 juillet 2017.
    28. Carine Daulon, nouvelle maire de Salles-Lavalette. Charente libre, 13 octobre 2017.
    29. Site des villes et villages fleuris, consulté le 7 février 2021.
    30. Julien Caumon, « Salles-Lavalette, au tableau d'honneur du bio », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Évolution et structure de la population à Salles-Lavalette en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    35. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    36. Site communal, « Salles-Lavalette, découvrir », (consulté le )
    37. « AOC Grande Champagne, Grande Fine Champagne, Petite Champagne, Fine Champagne, Borderies, Fins Bois et Bons Bois », sur inao.gouv.fr, (consulté le )
    38. « Délimitation géographique de l'AOP Noix du Périgord », sur www.noixduperigord.com, (consulté le )
    39. « Ets Simmonnet et fils », (consulté le )
    40. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    41. « Moulin Sartier », notice no IA00066399, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

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