Saint-Séverin (Charente)

Saint-Séverin (Sent Severin en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Séverin.

Saint-Séverin

La place centrale de Saint-Séverin.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Patrick Gallès
2020-2026
Code postal 16390
Code commune 16350
Démographie
Gentilé Saint-Séverinois
Population
municipale
794 hab. (2018 )
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 18′ 50″ nord, 0° 15′ 16″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 134 m
Superficie 14,93 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Séverin
Géolocalisation sur la carte : Charente
Saint-Séverin
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Séverin
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Séverin

    Ses habitants sont les Saint-Séverinois et les Saint-Séverinoises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Saint-Séverin est une commune du Sud Charente limitrophe avec le département de la Dordogne, faisant partie du canton d'Aubeterre-sur-Dronne, située à km au nord-est d'Aubeterre et 38 km au sud d'Angoulême, sur la rive droite de la Lizonne et de la Dronne et à leur confluent.

    Le bourg de Saint-Séverin est aussi situé à 10 km au sud-ouest de Verteillac, 10 km au nord-ouest de Ribérac, 13 km au sud-est de Montmoreau, 17 km au nord-est de Chalais, 25 km au sud de Villebois-Lavalette et 39 km à l'ouest de Périgueux[2].

    Saint-Séverin est traversé par la D 709, ancienne nationale de Montmoreau à Ribérac et Bergerac, que croise la D 17, route de Villebois-Lavalette à Aubeterre qui longe la Lizonne, puis la Dronne. La D.709 traverse la Lizonne, limite départementale[3].

    Hameaux et lieux-dits

    L'habitat est dispersé et la commune comporte de nombreux petits hameaux : le Cuq à l'ouest, le Marchais et sa papeterie au sud-est, l'Oume et la Jarrige, le Breuil au nord, l'Épine à l'est, la Brousse au sud, etc. ainsi que de nombreuses fermes[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Le sol est en très grande partie constitué d'un calcaire crayeux du Campanien commun à tout le Sud Charente (Crétacé supérieur) et qui convient bien au vignoble pour la production des eaux de vie de cognac, classé ici dans la zone d'appellation des Bons Bois, à la limite de celle des Bois ordinaires et Bois communs, se trouvant de l'autre côté de la Dronne, dans le canton de Saint-Aulaye, en Dordogne.

    Au nord-ouest de la commune, la colline boisée du Peyrat est couverte de dépôts du Tertiaire ou Cénozoïque, sables argileux et galets. Les vallées (Lizonne à l'est et Dronne au sud), sont occupées par des alluvions récentes du Quaternaire, limon mais aussi tourbe[4],[5],[6].

    Le relief est assez vallonné, comme tout le Sud Charente. Le point culminant de la commune est à une altitude de 134 m, situé au Peyrat près du château d'eau. Le point le plus bas est à 45 m, situé en limite sud-ouest au confluent de l'Auzonne et de la Dronne. Le bourg, construit sur une légère hauteur surplombant la vallée de la Lizonne, est à 110 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La commune de Saint-Séverin a l'exceptionnelle particularité géographique d'être le site de deux lieux de confluence. Tout d'abord, elle domine le site de confluence de la Dronne et de la Lizonne. Ces deux rivières lui servent à l'est et au sud de limite administrative avec le département de la Dordogne tandis que, dans le sud du finage communal, l'Auzonne, venant de l'ouest, se jette aussi dans la Dronne[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    ZNIEFF

    À Saint-Séverin, les vallées de la Dronne et de son affluent la Lizonne font partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[7],[8].

    Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[7] :

    Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[7].

    Natura 2000

    Dans leur traversée de la commune, la Lizonne et sa vallée[9] font partie d'une zone du réseau Natura 2000 « Vallée de la Nizonne » avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne[10] :

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Séverin est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,7 %), prairies (7,3 %), forêts (6,6 %), zones urbanisées (4,5 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom est attesté sous la forme ancienne en latin Sanctus Severinus en 1271[17].

    Saint Séverin fut évêque de Bordeaux au Ve siècle. Il mourut vers 420[18]. Son nom est à l'origine de plusieurs communes dans la région, en particulier des Saint-Seurin  et Saint-Séverin  (Charente-Maritime, Dordogne, Gironde)[19].

    Pendant la Révolution, la commune s'est appelée provisoirement Séverin-Lizonne[20].

    Limite dialectale

    La commune est dans le domaine occitan (dialecte proche du limousin), et marque la limite avec la langue d'oïl (domaine du saintongeais) à l'ouest[21]. Elle se nomme Sent Severin en occitan[22].

    Histoire

    Les plus anciens registres paroissiaux remontent aux premières années du XVIIe siècle.

    Sous l'Ancien Régime, Saint-Séverin était le siège d'une châtellenie qui a successivement appartenu aux familles de Jambes de Saint-Gelais et de Chauveron aux XVIIe et XVIIIe siècles[23].

    Saint-Séverin a une longue tradition de moulins à papier, situés sur la Lizonne[24] :

    • moulin de la Barde, quelques vestiges du XVIIe siècle[25]
    • moulin de l'Épine, moulin à papier construit en 1838, puis scierie à partir de 1987[26]
    • moulin du Petit-Marchais, construit en 1837 sur un ancien moulin du XVIe siècle[27].

    Au début du XXe siècle, l'industrie était représentée par les papeteries du Marchais (Chauveau et frères) et l'Épine (M.Daguerre), et l'exploitation des tourbières.

    Aucune voie ferrée ne traversait la commune, mais la station la plus proche était celle de Petit-Bersac, en Dordogne.

    Des foires se tenaient au bourg le deuxième mardi du mois[23].

    La météorite Saint-Séverin. Muséum national d'histoire naturelle.

    Le , une météorite tombe en partie sur la commune. On en retrouvera huit fragments, répartis d'est en ouest entre Villetoureix et Saint-Séverin pour un total de 271 kg, le bloc le plus important (113 kg) étant retrouvé entre le lieu-dit le Marchais et le bourg de Saint-Séverin[28]. Il s'agit d'une chondrite ordinaire pauvre en fer (type LL6).

    Administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    depuis 2001 mai 2020 Alain Rivière PS Conseiller général du canton d'Aubeterre-sur-Dronne (2004-2015)
    mai 2020 En cours Patrick Gallès PS Professeur des écoles,
    suppléant de la sénatrice Nicole Bonnefoy depuis 2020
    Conseiller départemental depuis 2021

    Jumelages

    Démographie

    Évolution démographique


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2018, la commune comptait 794 habitants[Note 2], en augmentation de 6,58 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 1441 2561 2991 2401 2931 3021 3321 3791 396
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 3631 4961 2781 2901 4051 2581 2731 1821 114
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 1231 147970968907911872861842
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    824721741777731774781787745
    2018 - - - - - - - -
    794--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 49,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 13,6 %, 15 à 29 ans = 17,7 %, 30 à 44 ans = 12,3 %, 45 à 59 ans = 27,7 %, plus de 60 ans = 28,7 %) ;
    • 50,4 % de femmes (0 à 14 ans = 9,8 %, 15 à 29 ans = 13,6 %, 30 à 44 ans = 14,4 %, 45 à 59 ans = 24,7 %, plus de 60 ans = 37,5 %).

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (33,2 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (26,6 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,4 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    Pyramide des âges à Saint-Séverin en 2007 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ans ou +
    0,5 
    10,0 
    75 à 89 ans
    17,6 
    18,2 
    60 à 74 ans
    19,4 
    27,7 
    45 à 59 ans
    24,7 
    12,3 
    30 à 44 ans
    14,4 
    17,7 
    15 à 29 ans
    13,6 
    13,6 
    0 à 14 ans
    9,8 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Remarques

    Par sa population, Saint-Séverin est la commune la plus peuplée de son canton et figure parmi les deux communes du canton d'Aubeterre-sur-Dronne à compter plus de 500 habitants, la deuxième étant Saint-Romain.

    Économie

    Agriculture

    La commune fait partie de l'aire d'origine contrôlée du Cognac « Bons Bois »[36] et de l'AOP Noix du Périgord[37].

    Industrie

    Saint-Séverin doit sa relative forte population grâce à son industrie papetière où fonctionne la papeterie Ahlstrom (groupe finlandais) qui y occupe 140 personnes[38].

    Commerces

    La commune compte des petits commerces et services de proximité.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Pillac et Saint-Séverin. Pillac accueille l'école élémentaire et Saint-Séverin l'école primaire. L'école de Saint-Séverin, située rue des Écoles, comprend une classe de maternelle et deux classes d'élémentaire. Le secteur du collège est Montmoreau[39].

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église paroissiale Saint-Séverin est une église à coupole qui date initialement du XIe siècle[23].
    • La salle des fêtes.

    Héraldique

    Les armoiries de Saint-Séverin se blasonnent ainsi :

    D’azur au pal bandé d’or et de sable, accompagné en chef à dextre d’une gerbe de blé d’or et à senestre d’une presse à papier d’argent et d’or ; en pointe à dextre d’une fontaine sur un mont d’argent mouvant de la pointe et à senestre d’une crosse d’évêque d’or.

    Dessiné par Raymond Laforêt.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le )
    7. [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    8. Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    9. Carte du site FR7200663, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    10. [PDF] FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    11. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Cartulaire du prieuré Notre-Dame de Barbezieux (1201-1300), , 426 p. (lire en ligne)
    18. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 628.
    20. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, Bulletins et mémoires, Société archéologique et historique de la Charente, , « Toponymie révolutionnaire en Charente », p. 272-278 [lire sur le site d'André J.Balout (page consultée le 19 juillet 2012)] [PDF]
    21. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    22. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    23. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 349-350
    24. Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, notice BnF no FRBNF34901024, présentation en ligne), p. 279
    25. « Moulin de la Barde », notice no IA00066395, base Mérimée, ministère français de la Culture
    26. « Moulin de l'Epine », notice no IA00066394, base Mérimée, ministère français de la Culture
    27. « Moulin du Petit Marchais », notice no IA00066393, base Mérimée, ministère français de la Culture
    28. Jean Orcel, Benjamin David, François Kraut, Daniel Nordemann et Jacques Tobailem, Sur la météorite de Saint-Séverin, t. 264, , 1556-1560 p. (lire en ligne [PDF]).
    29. Site web de Nandrin
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Évolution et structure de la population à Saint-Séverin en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    35. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    36. « AOC Grande Champagne, Grande Fine Champagne, Petite Champagne, Fine Champagne, Borderies, Fins Bois et Bons Bois », sur inao.gouv.fr, (consulté le )
    37. « Délimitation géographique de l'AOP Noix du Périgord », sur www.noixduperigord.com, (consulté le )
    38. Le canton d'Aubeterre-sur-Dronne dans France, le trésor des régions
    39. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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