Villetoureix
Villetoureix est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Villetoureix | |||||
Le bourg de Villetoureix et son église. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Périgord Ribéracois | ||||
Maire Mandat |
Patrick Lachaud 2020-2026 |
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Code postal | 24600 | ||||
Code commune | 24586 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Villetoureicois | ||||
Population municipale |
911 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 56 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 15′ 47″ nord, 0° 21′ 48″ est | ||||
Altitude | Min. 56 m Max. 161 m |
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Superficie | 16,40 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Ribérac (banlieue) |
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Aire d'attraction | Ribérac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Ribérac | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.villetoureix.com | ||||
Géographie
Généralités
Dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, en Ribéracois, la commune de Villetoureix s'étend sur 16,40 km2. Elle est bordée par la Dronne qui limite le territoire communal au sud, ainsi que par ses affluents : au nord-ouest le Boulon, au sud-est le Tournevalude, et à l'est le Meyré, affluent du Tournevalude. Deux autres affluents de la Dronne, le ruy Bagner et le ruisseau de la Barde arrosent également le territoire communal.
L'altitude minimale, 56 mètres, se trouve au sud-ouest, au lieu-dit la Rivière, là où la Dronne quitte la commune et sert de limite entre celles d'Allemans et de Ribérac. L'altitude maximale avec 160 ou 161 mètres[Note 1] est localisée au nord-est, au puy de la Garde.
Au pied des coteaux nord de la Dronne, le bourg de Villetoureix est desservi par la route départementale (RD) 99. Il se situe, en distances orthodromiques, trois kilomètres au nord-est de Ribérac et dix kilomètres à l'ouest de Tocane-Saint-Apre.
Au niveau géologique, le sol se compose essentiellement de calcaires du Crétacé, hormis en vallée de la Dronne recouverte d'alluvions holocènes[1].
Le territoire communal est également desservi par les RD 708 et 709.
Communes limitrophes
Villetoureix est limitrophe de cinq autres communes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[8] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 47 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Villetoureix est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Ribérac, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[18] et 4 767 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ribérac, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,1 %), prairies (21,6 %), forêts (13,4 %), terres arables (9,2 %), zones urbanisées (8,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Prévention des risques
Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2014 pour la Dronne — qui borde la commune au sud — à Villetoureix, impactant ses rives jusqu'à une largeur pouvant dépasser 700 mètres en amont du lieu-dit le Grand Pont, ainsi que la partie aval de ses affluents le Tournevalude (les 1 200 derniers mètres) et le Bournet (les 400 derniers mètres)[24],[25].
Villages, hameaux et lieux-dits
La commune est constituée d'un bourg principal situé sur une colline au-dessus de la Dronne et de plusieurs villages ou hameaux épars, ainsi que de lieux-dits[26] :
- les Baraques ( 45° 16′ 41″ N, 0° 20′ 49″ E )
- les Boiges
- Bonafon (ou Bonnafont) ( 45° 15′ 43″ N, 0° 21′ 03″ E )
- la Borie ( 45° 15′ 48″ N, 0° 20′ 35″ E )
- les Bourdalais Nord ( 45° 16′ 27″ N, 0° 20′ 39″ E )
- les Bourdalais Sud ( 45° 16′ 07″ N, 0° 20′ 33″ E )
- le Bourdaleix ( 45° 16′ 16″ N, 0° 20′ 36″ E )
- le Bourg ( 45° 15′ 45″ N, 0° 21′ 52″ E )
- les Brousses ( 45° 16′ 20″ N, 0° 21′ 45″ E )
- le Caillou ( 45° 16′ 37″ N, 0° 21′ 07″ E )
- Champagnou ( 45° 16′ 10″ N, 0° 19′ 49″ E )
- Combe du Maine ( 45° 16′ 41″ N, 0° 21′ 36″ E )
- la Courberie ( 45° 16′ 00″ N, 0° 23′ 12″ E )
- à la Crouzille ( 45° 17′ 12″ N, 0° 21′ 31″ E )
- la Dérame ( 45° 16′ 56″ N, 0° 22′ 18″ E )
- Domaine de Fayolle ( 45° 16′ 48″ N, 0° 20′ 28″ E )
- Gagnepot ( 45° 16′ 09″ N, 0° 20′ 54″ E )
- la Gare
- les Gémories
- le Grand Pont
- les Grands Bois
- Grands Champs ( 45° 15′ 46″ N, 0° 22′ 09″ E )
- Grands Prés ( 45° 15′ 42″ N, 0° 21′ 26″ E )
- aux Grèzes ( 45° 16′ 13″ N, 0° 20′ 14″ E )
- la Guionie ( 45° 16′ 23″ N, 0° 22′ 48″ E )
- la Haute Rigale
- l'Île d'Amour
- chez Lafond ( 45° 16′ 36″ N, 0° 21′ 28″ E )
- les Lattes
- les Lieuges ( 45° 16′ 33″ N, 0° 22′ 27″ E )
- à Madrix
- le Maine du Bost ( 45° 17′ 06″ N, 0° 21′ 16″ E )
- le Maine Pautard
- Maison Blanche ( 45° 17′ 17″ N, 0° 21′ 01″ E )
- Maison Neuve
- chez Marty ( 45° 16′ 17″ N, 0° 21′ 02″ E )
- Mayac ( 45° 17′ 21″ N, 0° 21′ 58″ E )
- le Moulin de Larcy
- le Moulin de Puyrousse
- les Mourreix
- les Perrières
- la Petite Renaudie ( 45° 16′ 36″ N, 0° 22′ 10″ E )
- aux Petites Fontaines
- la Pinière
- chez Pinquet
- le Pont
- la Pouyade ( 45° 16′ 01″ N, 0° 21′ 53″ E )
- Prés des Faures
- Prés des Joncs
- Puy Barry ( 45° 16′ 57″ N, 0° 20′ 36″ E )
- Puy de la Garde
- Puyrousse ( 45° 15′ 50″ N, 0° 22′ 25″ E )
- Puy Tutaud
- chez Raynaud ( 45° 16′ 20″ N, 0° 19′ 57″ E )
- les Rebeyrolles
- la Renaudie
- la Rigale ( 45° 15′ 42″ N, 0° 22′ 40″ E )
- la Rivière
- le Roc
- la Rode
- Rossignol ( 45° 16′ 56″ N, 0° 21′ 40″ E )
- le Syndic ( 45° 16′ 26″ N, 0° 21′ 55″ E )
- Thauriac ( 45° 16′ 08″ N, 0° 21′ 20″ E )
- la Thonie ( 45° 16′ 25″ N, 0° 21′ 25″ E )
- chez Tuilet ( 45° 15′ 55″ N, 0° 20′ 17″ E )
- chez Tutaud ( 45° 16′ 00″ N, 0° 20′ 34″ E )
- chez Varailhon ( 45° 15′ 48″ N, 0° 21′ 28″ E )
- la Vigerie ( 45° 16′ 02″ N, 0° 21′ 06″ E ).
Depuis le début des années 1990, la commune voit, par ailleurs, se construire des habitations le long des routes qui la traversent.
Toponymie
La première mention écrite connue du lieu date du XIIIe siècle sous la forme Villatores[27]. Ce nom correspond à un village (vila en occitan) et un bâtiment défensif (torre)[27].
En occitan, la commune porte le nom de Vila Torrés[28].
Histoire
Les premières traces d'occupation humaine sur la commune remontent au Magdalénien, entre 16200 et 16100 BP[29]. Le Néolithique et les âges des métaux y sont également documentés par des fouilles au lieu-dit Chez Tuilet, où un important habitat du Néolithique final a été retrouvé[30].
La période gallo-romaine[27] livre en bord de Dronne les vestiges d'un temple du IIe siècle[31] : la tour de la Rigale[32]. Cependant le bourg de Villetoureix ne se développa vraiment qu'à la suite du XVIIe siècle et la construction du château de la Rigale.
Le , une météorite tombe en partie sur la commune. On en retrouvera huit fragments, répartis d'est en ouest depuis Villetoureix jusqu'à Saint-Séverin (Charente) pour un total de 271 kg, dont deux à Villetoureix : un de 5,2 kg trouvé dans l'ouest, au Puy Barry, et un autre de 350 grammes trouvé au nord-est à la Dérame[33].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Villetoureix est rattachée au canton de Ribérac qui dépend du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Ribérac jusqu'en 1926, date à laquelle cet arrondissement disparaît, ses cantons étant alors rattachés à l'arrondissement de Périgueux[34].
Lors de l'importante réforme de 2014 définie par le décret du et supprimant la moitié des cantons du département, la commune reste attachée au même canton qui devient plus étendu[35].
Intercommunalité
Fin 1998, Villetoureix intègre dès sa création la communauté de communes du Ribéracois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[36],[37].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Villetoureix relève[40] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Politique environnementale
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[41].
Démographie
Les habitants de Villetoureix se nomment les Villetoureicois[42].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].
En 2018, la commune comptait 911 habitants[Note 7], en augmentation de 2,47 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Analyse
La commune a connu une forte baisse de population au cours des années 1890 à 1960, lors de l'exode rural. Elle est alors passée du millier d'habitants à moins de 700 en 1968. Mais depuis, la population est repartie à la hausse.
Économie
Emploi
En 2015[46], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 368 personnes, soit 40,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (cinquante-quatre) a augmenté par rapport à 2010 (quarante-quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,6 %.
Établissements
Au , la commune compte 90 établissements[47], dont cinquante au niveau des commerces, transports ou services, dix-sept dans la construction, douze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et cinq dans l'industrie[48].
Entreprises
Dans le secteur des services, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Lachaud transports » (transports routiers de fret interurbains) implantée à Villetoureix se classe en 28e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 4 798 k€[49].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château de la Rigale, XVIIe siècle[50], dont la tour gallo-romaine, datant du Haut Empire romain, est classée monument historique depuis 1905[32].
- Le pigeonnier de la Rigale.
- Le château de Fayolle[51] et sa chapelle du XIXe siècle[52].
- Le manoir[53] (ou château) de Champagnou, du XIXe siècle[54].
- L'église romane Saint-Martin érigée au cours du XIIe siècle et agrandie au XVIe siècle[55]. Le clocher a été construit par l'entreprise Dussol de Mussidan, de février à . Les premiers plans ont été réalisés par l'architecte Auguste Bouillon (1805-1864), puis par l'architecte Jules Mandin (1827-1905) à la demande du curé Soymier. Le clocher a été béni le par Mgr Dabet[56].
- L'ancien presbytère, bâti en 1775 et remanié au XXe siècle au niveau du rez-de-chaussée[57], abrite désormais les locaux de la mairie.
Le pigeonnier de la Rigale. La chapelle et le château de Fayolle. L'église Saint-Martin. La façade nord de la mairie (ancien presbytère). Le monument aux morts.
Natura 2000 et ZNIEFF
À Villetoureix, la vallée de la Dronne fait partie à la fois du réseau Natura 2000[58],[59] et d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II[60].
Voir aussi
Bibliographie
- Annet Dubut, « Restauration révolutionnaire des grandes routes dans la commune de Villetoureix en l'an II » , dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1937, tome 64, p. 58-61 (lire en ligne)
- Dominique Audrerie, « La reconstruction du clocher de l'église de Villetoureix », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1987, tome 114, 2e livraison, p. 123-126 (lire en ligne)
- Dominique Audrerie, « Le couvent de Villetoureix », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 2008, tome 135, 4e livraison, p. 689-691 (lire en ligne)
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Deux données contradictoires selon l'IGN : 160 mètres sur la carte de randonnée 1734 E et 161 pour les données géographiques.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Orthodromie entre Villetoureix et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- [PDF] Rivière la Dronne – Villetoureix - Plan de prévention du risque inondation, p. 19, DREAL Aquitaine, consulté le 14 avril 2019.
- Cartes de randonnée 1734 E et 1834 O, IGN.
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 429-430.
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 26 avril 2014.
- Antoine et Gaëlle Chancerel, « Villetoureix. Chez Tuilet », Bilan Scientifique Régional Aquitaine, .
- Antoine et Gaëlle Chancerel (dir.), Villetoureix « chez Tuilet » : un habitat du néolithique final en Dordogne, Toulouse, École des hautes études en sciences sociales, Archives d’écologie préhistorique, , 475 p..
- Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 304.
- « Tour du château de la Rigale », notice no PA00083069, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 avril 2017.
- [PDF] Jean Orcel, Benjamin David, François Kraut, Daniel Nordemann, Jacques Tobailem, Météorite de Saint-Séverin, t. 264, Comptes-rendus de l'Académie des sciences de Paris, (lire en ligne), p. 1556-1560.
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- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 19.
- À Villetoureix, Sud Ouest édition Périgueux du 9 avril 2014, p. 19.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 17 décembre 2020.
- Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 23 avril 2017.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Dossier complet - Commune de Villetoureix (24586) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 6 février 2019.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Villetoureix (24586) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 6 février 2019.
- « Services », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 39.
- « Château de la Rigale », notice no IA24000592, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 avril 2017.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 110.
- « Chapelle de Fayolle », notice no IA24000626, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 avril 2017.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 71.
- « Demeure dite Château de Champagnou », notice no IA24000604, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 avril 2017.
- « Église paroissiale Saint-Martin », notice no IA24000591, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 avril 2017.
- Dominique Audrerie, 1987, p. 123-126.
- « Presbytère, actuellement maison », notice no IA24000627, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 avril 2017.
- Vallée de la Dronne de Brantôme à sa confluence avec l'Isle sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 23 avril 2017.
- [PDF] Arrêté du 20 novembre 2014 sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 23 avril 2017.
- Vallée de la Dronne de Saint-Pardoux-la-Rivière à sa confluence avec l'Isle sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 23 avril 2017.
- [PDF] Allée d'arbres - Villetoureix sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 23 avril 2017.
- [PDF] Site de la Rivière sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 23 avril 2017.
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